Antarès Choei Makhai
Feat. Tobio Kageyama - HAIKYŪ!!
20 ans
Piéton professionnel
01.11.2000
Neutre
Johto
Habite partout
Il
nébuleuse
DÉTERMINÉ
BRAVE
Résilient
Colérique
Orgeuilleux
Rancunier
Peut-être qu’Icare savait que ses ailes allaient brûler en s’approchant du soleil. Peut-être savait-il que ça ne servirait à rien, mais sûrement que pour une fois il touchera ses rêves du bout des doigts. Déception et résignation lors de la chute, aucun cri qui ne s’échappe de ses lèvres sauf peut-être un soupir de s’être encore une fois laissé emporté par ses émotions. On voulait les rendre fiers et leur prouver qu’ils avaient tort, mais peut-être qu’au fond les voix moqueuses ont toujours eu raison: jamais il ne sera assez bien pour sa couronne. Antarès veut tout alors qu’il ne sait pas comment faire et joue donc les effrontés, faisant comme si c’était déjà le cas. Sa peur devient des coups, ses larmes deviennent des mots acides et sa joie de la suffisance sans borne. Quand tant soit peu de pouvoir ou de reconnaissance lui est donné, c’est comme s’il en devenait saoul, la douce béatitude d’enfin se sentir comme un être complet, comme un frère digne de ce nom. Il fait comme si tout lui était facile, qu’il avait le talent des génies sans piper mot de tous les efforts fournis et l’énergie dépensée pour arriver à ces résultats. Sa loyauté est durement acquise, mais éternelle et sans faille pour ceux qui s'en sont montrés dignes, jamais il ne revient sur une promesse, mais n'a aucune pitié pour ceux abusant de sa confiance ou se jouant de lui. Il est également notable de parler du respect sans faille que le jeune homme voue à Ho Oh, sûrement à cause de sa lignée.
“Admirez-moi” crient ses victoires, “j’existe” hurlent ses colères, “ne m’abandonnez pas” pleure son cœur. Des demandes que l’on noie dans les huiles bouillantes de la colère qu’Antarès porte envers le monde qui l’a jugé insignifiant. Déchiré entre le désir constant d’être reconnu et les envies de vengeances envers ses oppresseurs, qui causent des dissonances avec ses objectifs qui lui semblent si superficiels en surface quand il y pense, mais c’est tout ce qu’il a, alors c’est avec les jointures blanches qu’il les garde près de son coeur. On exige de lui des résultats, des preuves qui feront de lui un membre légitime de l’Éden d’où il a été chassé.
Pourtant il se relève, refuse d’abandonner cette rage de vivre qui l’anime, refusant de se laisser tenter par les idées noires qui l’assaillent durant ces nuits sous les étoiles. Peu importe à quel point Antarès sombrera dans les abysses de sa conscience, jamais il ne s’y noieras
“Admirez-moi” crient ses victoires, “j’existe” hurlent ses colères, “ne m’abandonnez pas” pleure son cœur. Des demandes que l’on noie dans les huiles bouillantes de la colère qu’Antarès porte envers le monde qui l’a jugé insignifiant. Déchiré entre le désir constant d’être reconnu et les envies de vengeances envers ses oppresseurs, qui causent des dissonances avec ses objectifs qui lui semblent si superficiels en surface quand il y pense, mais c’est tout ce qu’il a, alors c’est avec les jointures blanches qu’il les garde près de son coeur. On exige de lui des résultats, des preuves qui feront de lui un membre légitime de l’Éden d’où il a été chassé.
Pourtant il se relève, refuse d’abandonner cette rage de vivre qui l’anime, refusant de se laisser tenter par les idées noires qui l’assaillent durant ces nuits sous les étoiles. Peu importe à quel point Antarès sombrera dans les abysses de sa conscience, jamais il ne s’y noieras
Dernier allié et premier ami d'Antarès, Kannon a vu toute la sueur, le sang et les larmes versés pour créer cette façade derrière laquelle son dresseur se cache. Celui qui apaise les soucis et partage son bonheur dans l'espoir de remonter celui qui l'a élevé depuis l'oeuf.
Kannon
Togepi
Mâle
Sérénité
Couronne de cendres et royaume de fumée, c’est au milieu des volutes d’encens de la tour Carillon que la dynastie Makhai planta ses racines à Johto quand un jeune homme en voyage d'affaires vint adresser ses prière de la nouvelle année qui commençait et c’est alors qu’il rencontra une certaine miko qui fit manquer un battement à son coeur. Leur amour était doux et rien ne semblait pouvoir les arrêter ensemble, pas même la famille du conquis qui se révélait être stricte et très attentive aux choix de celui qui héritera de l’empire pharmaceutique qui s’était construit par-delà les mers et voulait s'étendre en ces terres. Ce fut dur et il y eu beaucoup d'épreuves, mais avec le temps la tour Carillon fut témoin d'un mariage ayant vu prévaloir l'amour sur l'argent
Leur nouvelle vie commença et bien vite les mariés devinrent parent d’un beau petit garçon qu’ils décidèrent d’appeler Mahiro. L’enfant semblait être un cadeau du ciel, tout ce que de jeunes parents encore un peu incertains de ce qu’ils faisaient, pouvait rêver. C’était si beau d’avoir un angelot alors pourquoi pas en avoir deux? Tout semblait parfait quand Antares avait vu le jour, mais l’idylle n’avait pas duré longtemps, car le petit se montrait plus difficile et revêche que son aîné plus les années passaient. Toujours dans l’ombre du plus talentueux, toujours comparé à celui qui semblait avoir tout eu à la naissance et jamais assez bien pour les standards établis par la perfection, comment faire pour grandir quand on a à peine la place pour respirer?
De l’incompréhension on passa bien vite à la frustration d’être laissé de côté et regardé seulement quand il était temps des critiques et des piques pour lui faire comprendre qu’il pourrait mieux faire. Le masque de suffisance grandis en même temps que sa mèche se raccourcissait et que les mauvais comportements s’exprimaient par des bagarres à l’école, des manque de respects envers les figures d’autorités et bon nombre de fugues. Peu importe les punitions ou les victoires qu’Antares obtenait, ça ne semblait jamais être assez pour satisfaire la monde. Ses parents et son frère lui avait demandé pourquoi il se battait, pourquoi il traitait les autres comme des êtres inférieurs et d'où lui venait cette colère contre l'existence comme s'ils ne savaient pas. Bien sûr qu'ils étaient innocents, car à leurs yeux c'était normal d'enfoncer le dernier-né et de l'humilier pour qu'il apprenne de ses erreurs, comment ça pourrait mal tourner? Et Orion, ce maudit frère qui le regardait de haut, faussement inquiet de son état et lui disant des conneries du genre "je suis là pour toi" rien que pour se donner bonne conscience avant de retourner léché les bottes des vieux.
Le benjamin des Makhai s'est tellement fermé aux autres, s'est tellement aveuglé par ses peurs et ambitions qu'il ne pouvait plus voir l'amour qu'on lui donnait et ne voulait plus comprendre les intentions derrières les conversations. À force de grandir dans l'ombre d'une étoile et de se rabaisser au bord du gouffre les séparant, le monde entier devint comme un ennemi voulant le faire tomber et un jour la vie dans cette mascarade de sa création devint trop dure à subir. Le soir d’un anniversaire pas fêté après une énième punition, une ombre s'enfuit de la maison des Makhai comme un voleur dans la nuit. Ayant pris la carte de son frère et avec un sac à moitié-plein, Antares était parti sans rien dire à personne, mais ce n’est pas comme si quelqu’un allait s'inquiéter de voir le mouton noir partir. Kalos, Unys, Galar et maintenant Lumiris lui servirait de maison pour l’instant, plus qu’à voir ce que ça va donne.
Leur nouvelle vie commença et bien vite les mariés devinrent parent d’un beau petit garçon qu’ils décidèrent d’appeler Mahiro. L’enfant semblait être un cadeau du ciel, tout ce que de jeunes parents encore un peu incertains de ce qu’ils faisaient, pouvait rêver. C’était si beau d’avoir un angelot alors pourquoi pas en avoir deux? Tout semblait parfait quand Antares avait vu le jour, mais l’idylle n’avait pas duré longtemps, car le petit se montrait plus difficile et revêche que son aîné plus les années passaient. Toujours dans l’ombre du plus talentueux, toujours comparé à celui qui semblait avoir tout eu à la naissance et jamais assez bien pour les standards établis par la perfection, comment faire pour grandir quand on a à peine la place pour respirer?
De l’incompréhension on passa bien vite à la frustration d’être laissé de côté et regardé seulement quand il était temps des critiques et des piques pour lui faire comprendre qu’il pourrait mieux faire. Le masque de suffisance grandis en même temps que sa mèche se raccourcissait et que les mauvais comportements s’exprimaient par des bagarres à l’école, des manque de respects envers les figures d’autorités et bon nombre de fugues. Peu importe les punitions ou les victoires qu’Antares obtenait, ça ne semblait jamais être assez pour satisfaire la monde. Ses parents et son frère lui avait demandé pourquoi il se battait, pourquoi il traitait les autres comme des êtres inférieurs et d'où lui venait cette colère contre l'existence comme s'ils ne savaient pas. Bien sûr qu'ils étaient innocents, car à leurs yeux c'était normal d'enfoncer le dernier-né et de l'humilier pour qu'il apprenne de ses erreurs, comment ça pourrait mal tourner? Et Orion, ce maudit frère qui le regardait de haut, faussement inquiet de son état et lui disant des conneries du genre "je suis là pour toi" rien que pour se donner bonne conscience avant de retourner léché les bottes des vieux.
Le benjamin des Makhai s'est tellement fermé aux autres, s'est tellement aveuglé par ses peurs et ambitions qu'il ne pouvait plus voir l'amour qu'on lui donnait et ne voulait plus comprendre les intentions derrières les conversations. À force de grandir dans l'ombre d'une étoile et de se rabaisser au bord du gouffre les séparant, le monde entier devint comme un ennemi voulant le faire tomber et un jour la vie dans cette mascarade de sa création devint trop dure à subir. Le soir d’un anniversaire pas fêté après une énième punition, une ombre s'enfuit de la maison des Makhai comme un voleur dans la nuit. Ayant pris la carte de son frère et avec un sac à moitié-plein, Antares était parti sans rien dire à personne, mais ce n’est pas comme si quelqu’un allait s'inquiéter de voir le mouton noir partir. Kalos, Unys, Galar et maintenant Lumiris lui servirait de maison pour l’instant, plus qu’à voir ce que ça va donne.
Pourquoi les Nébuleuses ?
Malgré ses airs confiants, Antarès a vraiment aucune idée de ce qu'il veut vraiment et quel groupe il a envie d'intégrer, alors pour l'instant c'est chez les nébuleuses qu'il trouvera sa place
Pseudo(s): Kaliko
Âge: 20 ans
Localisation: Là-bas
Pronom(s): N'importe
Âge: 20 ans
Localisation: Là-bas
Pronom(s): N'importe
Comment nous as-tu trouvé ? // demandez au staff, je prends pas les interviews
Ton Pokémon préféré ? // Milobellus!
As-tu un parrain ? // nop!
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // la perfection rien de moins
Un dernier mot ? // Indubitablement
Ton Pokémon préféré ? // Milobellus!
As-tu un parrain ? // nop!
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // la perfection rien de moins
Un dernier mot ? // Indubitablement