âge 20 ans
née le 06/06
sexe Femme avec les accessoires géométriques
origine Son père vient d'Unys et sa mère vient d'Alola.
groupe Nova ;bluuue:
métier Coach d'un club sportif pour Pokémon et humains.
Originale de Dadachyo (Cheveux longs)
Il est souvent simple, voire évident de se fier à ce qu'on voit, à ce qu'on croit percevoir. De se fier à des traits lisses, à des sourires mutins. Or tout cela n'est souvent qu'un jeu ou une manipulation consciente ou inconsciente.T'es ça, une poupée toute lisse et parfaite. Un être dont les contours ne sont pensés et soulignés que pour attirer et captiver.
Succube au visage
d'ange
Salope avec
Du miel dégoulinant.
Ta voix est de miel et tes pensées sont de fiels. Tu sais même pas pourquoi, mais le mensonge est un second toi. Un toi que tu portes sans jamais te poser des questions. T'as jamais eu besoin de te poser des questions, tout était déjà cuit dans ton bec avant même que tu n'y penses. Qui te résiste ? Qui ne ploie pas de gré ou de force devant toi ? Et, honnêtement, ça te fait chier.
Ta nature n'es pas celle d'une combattante, celle qui crache ses poumons sur le sol. Elle est celle de l'hypocrite, celle qui assène sans aucune ode de pitié.
Tu frappes, Tu déchires
Tu passes le sel sur les plaies
Avec ton grand sourire de salope
Et tes fausses paroles.
Car tu es égocentrique. Personne d'autre que toi ne compte, personne d'autre que toi n'arrive à attirer un tant soi peu ton attention. Car, tu sais, que personne ne peut être comme toi. Et qui peut se contenter de la merde quand on a goûté à la perfection ? Tu n'aimes pas l'attention d'autrui, surtout pas. Tu aimes tisser ta toile.
Lentement, entendre les cris
Les cris pour sortir de ton étreinte
Les cris qui se taisent
Les complaintes de peur.
Car tu n'aimes personne. Tu ne t'autorises pas à aimer, tu ne vois que des luttes sauvages. Guerre de pouvoir, guerre de reconnaissance. Et au milieu, tu ne ressens qu'un attachement âcre-amer à ce reflet scintillant qui est le tien. Tu aimerais le déchirer, pourquoi ? Tu ne le sais pas. Mais c'est un besoin sauvage, un besoin tapi. Quel connerie. Tu sais pertinemment que ton image est la seule chose vraiment importante.
Pourtant, tu le sais
Tu caches, tu devines, ce double-toi.
Cette parenthèse ouverte de ton être
Tu l'entends, c'est peut-être la seule chose que tu caches, ce grésillement. Il serpente entre les lattes de ton esprit, il s'enroule autour de ta gorge. Et tu sais quoi ? Il te fait bien plus peur que tout. Quand il t'aveugle, quand tu n'entends que ce sirupeux murmure.Quand tu perds tout espoir devant lui.
« N'oublie pas l'Aliénée, tu n'es que de cire »
Oui, tu es l'Aliénée. L'écorchée, la bâtarde, la crevure. Celle qui se renie, elle-même. Celle qui hurle et rit en même temps. Celle qui tordue sur la chaise électrique affiche le grand sourire. Car, tu as toujours été comme ça. Folle non, mais Aliénée oui. Tu n'as jamais compris, jamais deviné.
Tu déchirais tout ce que tu étais
Tout ce que tu voulais être
Morcelée entre la peur et le dégoût.
Morcelée par l'Abandon.
Taillant à vif, les rares douceurs. Tentant de retenir cette forme qui grouillait dans ses côtes. Cette forme que tu nourris tout le temps. Parce que, tu n'as pas compris. Tu n'as jamais compris mais tu sais. Tu es seule. Seule face à toi-même, face à cette pourriture que tu aimes et chéris comme un enfant pourrissant ton ventre.
Car tu as toujours peur. Peur comme un enfant, un grand enfant. Tu as peur quand on ouvre la porte, tu as peur quand on te parle. Peur de subir encore, toujours. Peur de se laisser suffoquer, peur de comprendre. De comprendre que tu peux encore gagner, de comprendre que tu peux encore être comme ses gens que tu enfonces dans l'eau.
Tu n'es qu'un amas de défauts
Un cadavre ambulant
Rattaché que par ses souhaits
Ses rêves
« Faites de moi de la cire. »
Tu as toujours voulu être parfaite, briller pour toi et autrui. Prouver que tu étais là, prouver que tu valais mieux que tout. Tellement que tu as tout caché dans ce miroir, ce miroir que tu vois. Les yeux fermés,tu sens. Tu sais très bien sentir, après tout. Tu le vois cette mioche, dans ses vêtements moisis.
Qui te tends la main
Qui te chuchote
« Je peux t'aider à devenir chair »
Mais sa main est si laide.
Mais cette enfant, elle t'a brûlée des choses. Et ses cendres sont si douces. Tu ressens cet émerveillement un peu enfantin devant toutes formes de pokémon, devant tout ce qui n'est pas humain. Tu les aimes ces pokémon, comme une enfant pas grandie.
Tu aimes les voir
Courir
Grandir
Aimer
Jouer
Le combat n'est pas une option pour toi, le dressage non plus. Le pokémon doit être libre et heureux, tu es une éleveuse. Une femme qui délicatement, passe sa main sur les œufs doux. Car, ton fond doit être étrangement candide. Mais, tu n'as rien gardé de ce monde. Tu n'as que l'amère et irritante colère des enfants pourris. La haine, le sadisme un peu innocent des enfants quand ils mettent du sel sur les escargots.
Tu pourrais devenir autre chose, mais c'est si simple. Si simple de se laisser aller, si simple d'être irresponsable comme toi. Si simple de déchirer du papier et de se plaindre que les arbres disparaissent. Si simple de voter sans regarder, en se plaignant toujours du même maux. Oui, tu es une feignante spirituel, tu prends jamais conscience. C'est toujours plus simple quand c'est la fautes des autres. Quand ça nous touche pas.
Mais, L'Aliénée n'est qu'humaine. Elle brille, suffoque, s’éteint, et recommence. Avec des défauts trop colorés et des qualités distordues. Elle est radine comme généreuse, idiote comme maline. Tout dépend du sujet, et tout dépend de son cœur. Cette machinerie humaine si douloureuse.
surnom en colère: Petite merde verte.normale LilyBubulle
espèceChlorobule
sexe Cela ne peut être qu'une femme
nature Modeste
talent Chlorophile
Alors, Lily est un petit pokémon charmant, respirant la joie de vivre. Mais, elle est très espiègle et à tendance pour réveiller son éleveuse en fourrant ses feuilles dans sa bouche. Mais dans le fond, c'est un petit boule d'amour qui s'amuse à faire des farces à tout le monde et qui profite de sa bouille innocente pour passer entre les mailles du filet. Elle sait parfaitement qu'elle peut faire les pires crasses à sa dresseuse, elle pourra rien dire devant un ChloroKiss. Elle est sinon généralement de bonne humeur et elle est toujours pleine de bonne volonté.
-Aliénor, penses à 5 choses que tu aimerais voir arriver.
L'enfant avait déjà fermé les yeux, elle ne respirait que doucement. Elle se retenait même au moment du sommeil, elle avait peur de décevoir.
-Je voudrais être aussi belle que Maman. Je voudrais que Maman me remarque. Je voudrais que Papa rentre. Je voudrais que demain, Papa et Maman viennent pour mon anniversaire. Je voudrais savoir pourquoi les étoiles brillent.
L'enfant n'avait pas la voix qui tremblait, l'enfant ne bougait pas d'un cil. Pleine de la certitude tranquille que tout allait se passer. Pleine de l'innocence enfantine. Mais ses yeux s’entrouvraient doucement et elle parlait :
-Et toi que veut-tu Sidérella ?
Le futur brillait sous mes yeux, oui. Je voyais tout ce qui allait se passer, je le savais. Je suis déjà vieille, je n'ai pas prétention à vivre ces événements. Mais le futur s'affichait devant moi, froid et implacable. Toutes les routes possibles, tous les événements aléatoires, tous ne semblait que donner petite Aliénor comme perdante.
Je savais le passé, je le sentais.
Madame Stark était une fille d'un notaire de Mele-Mele, amoureuse de la ville. Tellement amoureuse qu'elle en a claquée la porte. Parce que, elle s'ennuyait. Qui ne voit pas le bout des choses à Mele-Mele ? Des arbres, des arbres, des fruits. Elle, elle voulait de l'excitation. Elle voulait des cris, des paillettes. Alors, elle est partie. Son sucreine et son Mélo avec elle. Elle n'était pas seule se disait-elle. Elle voulait vivre, croquer des diamants, brûler le monde. Elle était belle, elle était flamboyante. Et surtout, elle n'avait peur de rien.
Monsieur Stark était le chef d'une énorme firme, vendant tout et n'importe quoi. Les lois du marché sont plus importantes que tout, Monsieur Stark se considérait comme un vendu. Mais un vendu très intelligent. Tout ce qui lui manquait était une belle histoire, une histoire qui ferait pleurer la ménagère. Un mariage était pour lui, une solution tout à fait acceptable. Mais pas n'importe lequel, un mariage qui montrerai à quel point il est généreux et aimant. Un mariage utile, un mariage d'image.
La rencontre des 2 était chose normale, c'était une forme de destin trop ironique. Un contrat fut très vite passé entre les 2, elle allait jouer la comédie et elle aurait tout ce qu'elle voudrait. Elle devait enfanter, un nouveau visage pur et innocent pour la marque. Monsieur Stark s'en accommodé très bien, sa femme était tout ce qu'il pouvait espérer d'une potiche. Madame Stark était très heureuse, à elle la joie de la ville. Juste, cet enfant l'embête un peu. Elle se disait qu'elle n'avait pas à le remarquer, juste le laisser couler. On pourrait toujours avoir des Sidérella ou des humains pour s'occuper d'une chose humaine.
Ainsi, tu es venue au monde. On avait prédit une petite fille, une jolie petite boule.
Aliénor, comme la grand-mère de Monsieur Stark. Yseult comme l’héroïne du conte d'enfant. Ta naissance fut très médiatisée, ta mère était devenue personnalité publique. Elle avait jouée dans des téléfilms et des films étrangement très bien financés. Potiche actrice, cela emplissait Monsieur Stark de fierté. Sa femme, petite provinciale, devenant une actrice. A coup sûr, cela allait faire grimper la bourse de Stark inc.
Dès ta naissance, ta mère t'avait déjà oubliée. Tu lui servais parfois, quand elle se pavanait. Elle te maquillait comme une grande, pour que tu fasses le faire-valoir de ta mère. Pour que tu dises comme un perroquet que ta mère était la meilleure. Parfois, tu prenais la pose avec ta famille. Pour faire semblant, et ils faisaient tellement semblant que dans 10 ans, tu souriras devant ses photos.
Mais tu te sens toujours délaissée, tant et si bien, que tu t'inventais un ami imaginaire. Tu fais comme si je ne le savais pas. Mais, je vois tout petite Aliénor. Un serpent, qui glisse sur tes épaules, te murmures des mots d'encouragement. Comment tu dois sourire à ta famille et à moi. Ce que tu ne sais pas, c'est qu'il va te manger. Détruire petit à petit ce que tu es, tremblante à l'idée d'être encore seule.
Lentement, tu ne vas entendre que du silence. Dans 1 an, ton père ne reviendra pas à la maison. Dans 1 an, ton père sera mort. Je pleure mais je ne peux rien faire. Une méningite foudroyante, lui laissant à peine le temps de faire de toi une héritière. Ta mère va te détruire dans le silence, plus un mot, plus une attention. Ta mère, dégoûtée d'être rien, elle sera de toi ce qu'elle est. Rien. Le néant, l'absence d'attention. Elle va jouer son rôle de mère parfois, pour faire joli. Tu vas le savoir, à faire joli. Ce qui est humain n'est pas joli pour le monde.
Étouffée, perdue, je ne serai plus là pour t'aider. Mais je me console, parce que tu vas trouver un ami. Ton petit LilyBubulle. Un petit pokémon caché dans les hautes herbes de ta maison de vacances, il ne sera en bon état mais tu ne vas jamais le capturer. Enfin, pas maintenant. Entière dans le soin d'un autre, tu n'entenderai plus le serpent. Tu vas l'aimer, tu vas l'adorer. Et, il sera tien. Ton premier et seul ami. Celui qui t'entendra crier contre l'impuissance.
Tu auras une fulgurante carrière en temps que mannequin pour la marque qui est censé t'appartenir. Forgeant encore plus cette haine qui coule en toi, cette innocence que rien ne perverti. Pour te protèger, tu deviendras comme cette mère qui t'ignore. Manipulatrice, joueuse. Tes doigts, ta bouche, ton corps, tout cela ne te sert que pour jouer finement.
Rapidement lassée par ce monde répétitif, tu lâchera tout à tes 18 ans. Lilybubulle ne se sentirait pas très bien là dedans et son bonheur passe avant tout pour toi. Ta mère sera furieuse, mais toi, tu t'en ficheras. Au fond, rien ne compte plus que toi. Rien ne vaut plus que toi. Profitant de l'argent accumulé par tes soins, tu passeras avec brio une licence sportive. Tu voudrais bouger, tu voudrais dégager de Volucité. Parce que ta mère sera toujours sur ton dos, à te réclamer ton grand retour.
Et, tu te poseras à Lumiris, un peu par dépit. Un peu par envie, tu montreras ton fidèle ami à le professeur Arbre et une nouvelle vie commencera. Seras-tu heureuse petite aliénor ? Je ne sais pas, je ne peux que caresser doucement les cheveux de ton enfance.
surnom Buuh, j'en ai trop. Mais Alya me va
âge 17ans
Comment as-tu découvert le forum ? Via Rootop o/
Ton pokémon préféré ? SUCREIIINE, c'est la vie ce ptit pokémon
Un dernier mot ? Vous pouvez valider la question Jean-Pierre