Johnny Turner
Feat Johnny Joestar de Jojo’s Bizarre AdventureDescription de votre personnage
Vous connaissez forcément des gens pour lesquels la vie est facile. Ceux qui prennent vos problèmes et en font des catastrophes tellement, de leur côté, ils respirent une joie de vivre insolente. Johnny est de cette espèce, souvent très appréciée, mais parfois jalousée pour une telle insouciance. Vivant dans le monde de l’élevage depuis sa toute jeunesse, il ne se voit pas d’autres carrières, et cela lui convient parfaitement. Se destinant à une vie simple, mais tout de même heureuse, il partage son temps entre le travail à la pension pokémon, qui appartient à des amis de sa famille, et ses longues, très longues pérégrinations sur Lumiris, perché sur le dos de Faindu, son ponyta. Amateur de grands espaces et de sensations fortes, il n’aime pas beaucoup fréquenter les rares villes de l’île. Selon lui, il pourrait très bien passer toute sa vie loin du dynamisme étouffant de l’urbanisation
Son optimisme de rigueur l’a peut-être rendu un peu naïf sur les bords. Johnny n’a jamais connu de réels dangers, à part les chutes de ponyta ; il n’a jamais connu de chagrin d’amour, bon, pas d’amour non plus il faut dire ; la maladie l’épargne souvent, lui et ses proches, et la maigreur de son répertoire de connaissances lui a permis d’éviter les écueils d’une trop grande popularité, même s’il en jouirait sûrement dans un environnement moins isolé. Encore très immature dans sa tête, l’apprenti éleveur souffre d’un appétit coupable face à toutes sortes de sucreries, qu’il arrive tout de même à éliminer grâce à ses nombreuses escapades.
Avec les pokémons, comme avec les humains, le jeune homme est d’une gentillesse insultante. Ne souhaitant jamais le mal, car il ne l’a vraisemblablement jamais connu lui-même, il ne comprend pas qu’on puisse nourrir des sentiments négatifs, comme la jalousie ou la colère, à l’égard d’autres personnes ou des pokémons. L’un comme l’autre ne veulent que de l’amour, dans le fond, et leur donner n’est pas bien plus compliqué que de comprendre ce besoin séculaire que possède chaque espèce peuplant le monde.
Physiquement parlant, on a là un jeune homme de la campagne ! Plutôt petit, dans le mètre soixante-dix ; une tignasse blonde comme les blés, souvent coiffée d’un bandana ; des yeux bleus pétillants et un semi-sourire pratiquement toujours gravé sur son visage. Il est finement musclé, surtout des bras, mais sinon c’est assez équilibré sur tout son corps (merci l’équitation). Portant des vêtements plus pratiques qu’élégants, il se soucie peu de son allure qui peut parfois paraître négligée, mais on lui pardonne bien vite en constatant la bonne humeur évidente de l’éleveur.