Nashetanya Kaithleen Axthérize
Feat Zero Two de Darling in th FranxxDescription de votre personnage
Haine.
Flamme flamboyante. Flamme ardente. Brûlant tout sur son passage. Ne laissant que des cendres. Rien d'autre ne compte. Le bonheur n'as pas sa place. La haine synonyme de vengeance. Vengeance synonyme de haine. Les deux sont un tout. L'un n'est rien sans l'autre. Ils te composent. Te dominent. Sont toi. Tu es eux. Tu te retiens. Tu enchaînes tes démons. Tu es obéis. Pour l'instant. Tu ne succomberas pas. Bien sur que si.
Vengeance.
Les liens. Ta place. Tout est lié. Tout te serviras pour ta vengeance. Envers tes parents. Envers la société. Envers la "puissance". Envers les hommes. Envers l'argent. Tu uses. Tu subis. Tu domines. Tu es soumise.
Tout est utile. La confiance ne règne en aucun cas. Tout n'est que question de contrat. Un pacte. Que chacun doit respecter. Respectez-le. Pour que les démons se tiennent tranquille. Ne le respectez pas.
Cling.
Cling.
Cling.
La matraque se frotte aux barreaux. Ton regard fixant l'horizon. Tu sens le regards des occupants. Ils te fixent avec intensité. Tu souris de bonheur. Soumettez-vous. Vous n'êtes rien. Tu n'es rien. Tu arrives à cette fameuse cloche. Tu sens l'impatience. Telle une brume. Elle t'envahit. Ils n'attendent que cela. Tu te retournes. Tu te mets dos à eux. Tu leurs montres. Que tu n'as pas peur. D'eux. Tu frémis de peur. Tu as déjà fait tes preuves. Ils savent. Ce que tu es capable de faire. On te surnomme 'démone'. Tu adores cela. Tu fais même exprès de porter des cornes. Tu tournes ta sucette dans ta bouche. Goût orange. Une fois. Deux fois. Tu lèves la main. Le silence se fait. Plus rien ne bouge.
Tu attrapes la corde et tu fais un moulinet. Le son se répand. Les cellules s'ouvrent. Chacun se dépêche de sortir de sa cage. Libère-toi.
Et tu regardes de ton piédestal ses âmes perdues. Chacun ayant sa part d'ombre. Chacun ayant vécu une vie compliquée. Les incompris. Les démunis. Les malchanceux. Les idiots. Les soumis. Les dominants.
Tu croques. Tu baisses le menton. Ton sourire se voyant loin, très loin. Tu es maîtresse de ces lieux.
Tu ne sais pas le futur. Tu ne le connais pas. Futur, dis moi, que me réserves-tu ?
Tes yeux se posent sur ce lac. Qui bordent ton futur chez toi. Ce lac qui resplendit. Des lueurs dansant sur l'eau. Des reflets se profilant. De pokémons qui jouent. L'un deux t'interpelle. Il danse. Il virevolte sur le lac. Il est magnifique. Il ne fait que danser et pourtant. Ton cœur bat. Tes larmes reviennent. Tu ne sais pas ce que tu fais. Tu ouvres la portière. Tu la déverrouille. Tu déverrouille ton cœur fermé. Tu tombes. Tu te fais mal. Tu sens le sang couler le long de tes jambes. Tu te relèves. Tu fuis quand la porte se referme. Tu coures comme tu peux. Tu expires. Inspire. Expire. Tu ne souhaites pas te retourner. Tu le fais. Il se rapproche dangereusement. Tu ne veux pas retourner dans ta cage.
Tu regardes le pokémon qui as arrêter de danser. Il te fixe. Tu ne veux pas finir seule. Tu articules doucement, ta voix n'allant pas loin. Desséchée.
"_ Libère-moi."
Tu marches dans l'eau. Les cailloux te griffant. Les algues essayant de t'arrêter. Des poissons qui te frôlent. Tout du moins, tu espères. Tu continues. L'eau venant bercer tes hanches. Tu entends un cri. Un ordre. Tu continues. Le pokémon n'ayant pas bouger. Tu continues. Les bras mouillés. Tu flottes. Tu nages. Tu ne sais pas à quel distance tu es de la rive. Mais tu n'en as que faire. Tu lèves ton bras, timidement. Essoufflée, tu pointes le doigt. Le pokémon se rapproche doucement. Tu souris, heureuse. Il te touche. Et tu le sais. Il est à toi. Tu es à lui. Tu sais qu'il ne te quitteras jamais. Que tu ferais tout pour lui.
Dans un soupir tu prononces son prénom :
"Espoir."
histoire
La fortune détermine le futur d'un être. Plus on est riche, plus les attentes sont importantes. Qu'importe si l'enfant est une femme ou un homme. Qu'importe ses rêves. Il n'as aucun choix. Il doit obéir en se taisant. Petit oiseau enfermer dans une cage. Tes ailes se fanent et tombent en morceau. Tu baisses le bec, te laissant nourrir par tes maîtres. Tes rêves de liberté ne se réalisant que dans tes rêves.
On t'as accorder le droit à avoir un "ami". Un homme, bien sur. Ton futur mari. Petite, tu n'as que 16 années. Tu rêves encore de princesse. De prince charmant. Alors, pourquoi ce monsieur de deux années de plus que toi est ton "mari" ? Qu'est-ce ? Pourquoi l'amour ne fleurit-il pas ?
Jeune fille, pourquoi pleures-tu ? Pourquoi ton ventre est-il arrondi ? Une année n'est même pas passer. Rien n'est passer. Alors, pourquoi un souffle de vie grandit en toi ? On te pointe du doigt. On t'insulte. Tes parents t'ont enfermer à double tour. Tu ne peux que regarder par la fenêtre. Rêvant d'un autre monde. D'une autre toi. Ton mari ne voulant plus de toi. Prétextant que tu n'étais pas heureuse. Il avait raison. Bien sur. Tes larmes le prouvaient. Tes cris de même. Tu ne pouvais rien faire. Rien.
Tu as accoucher. D'une petite fille. Mais tu étais trop jeune. Tu n'en voulais pas. D'elle. Elle est le fruit d'une union désespérée. Tes propres parents ne voulaient plus de toi. La petite fut confier. Tu venais d'avoir à peine 17 ans. A peine. Pour qu'on te mènes dans un couvent. Pour que tu expies tes fautes. Que tu expies tes pêchés.
Tu n'avais en aucun voulu tomber enceinte. Tu n'avais fait que subir. Subir encore et toujours. Et te voila enfermer. Tu devais porter la tenue adaptée. Faire ce qu'il fallait faire. Te confesser d'actes que tu n'avais pas commis. Devoir subir des jugements. Tu ne pleurais plus. Tes larmes t'étaient taris. Non. Tu conservais et cultiver ta rage. Envers tes parents. Envers le couvent. Envers le jugement. Envers tout le monde. Seul l'Espoir te permettait de tenir. Seul l'Espoir te permettait de te retenir. Tu attendais impatiemment. L'heure de ta sortie.
Enfin. Libre. Tes parents t'avaient "reprise". Car tu étais redevenue "pure". Bêtise. Ânerie. Tu voulais juste partir. Et tu le fis. A peine rentrée chez "toi", tu pris des affaires et tu partis. Loin de tout cela.
Tu errais sans but. Couchant à la belle étoile. Endurant le mauvais temps. Subissant les maladies. Seule. Avec Espoir. Tu n'étais pas seule. Si seule. Tu t'imposas une règle.
1. Ne faire confiance à personne.
Tu dus te résoudre à suivre une femme. Charismatique. Puissante. Ton mentor. Tu l'avais choisi. Tu choisissais ton futur. Elle te parlait. De son travail. Elle cherchait un successeur. Tu étais majeure. Seule. Tu voulais de la puissance. Pour te venger. Du mal qu'on t'as commis.
Tu fis une gardienne exemplaire. Tu fis vite promu. Tu succédas au chef. Tu l'étais. Tu l'as eu grâce à ta hargne. A ta "puissance". Tu n'as eu besoin que de ta volonté. Tu étais maintenant chef de prison.
Un sourire faiblement éclairé par une lampe de bureau. Le dossier se referme dans un claquement. La bouche se referme sur une sucette. Les dents croquent. Le bruit se répercute dans le silence. Solitude. Faux. Des regards dans le noir. Des souffles. Des craquements. Tu pousses ta chaise. Tu te lèves, remontant en place ton couvre chef. Tu poses négligemment ta cape sur tes épaules. Tu pars, tes bottes claquant sur le sol. Le silence t'accompagne. Les regards te suivent. Les corps se lèvent. Le rythme s'intensifie. Un cri guttural se lève. La dernière vision se fixe sur ton visage. Le sourire se meurt. Le regard vous fixe.
"_ Partez. Il est encore temps."
Une simple phrase qui couvre les autres bruits.