Dusk Lumiris

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Lilith ~ Comment pouvez-vous prétendre m'aimer puisque je ne m'aime pas moi-même ?
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Lilith Vancadzand
Feat OC by Kayl
19 ans 24 mars Au nord-nord de Kalos Femme Employée en librairie Nova
QualitésCurieuseIntelligenteToléranteEmpathiqueDiscrète

DéfautsAuto-dénigranteIndéciseRancunièreHypersensibleJalouse

Description


Physiquement, je me considère comme moche. Je sais que plusieurs personnes disent le contraire, Ellende la première, et pourtant c’est ce que je ressens. Je suis petite et banalement moche. Ma poitrine est trop développée pour ma taille, et c’est lourd à porter. Je n’ai plus aucun muscle parce que je ne fais presque plus de sport. Je suis mince et presque trop. J’ai tendance à manger comme un moineau comme on dit, pourtant je vous assure que je mange à ma faim. Puis, il y a mes bras. Couverts de cicatrices. Sur le droit, elles ne sont pas intentionnelles, j’ai des traces laissées par des ronces, et tout un tas de brûlures. Sur le gauche… toute une série de cicatrices, lignes plus claires qui courent sur ma peau. C’est vieux, maintenant, mais je cicatrise très très mal, et elles sont toujours là pour me rappeler ce que j’ai fait et qui j’ai été.

Mon visage est plutôt rond, ovale, assez plat. J’ai un petit nez que je trouve moche, une bouche aux formes étranges qui va pas du tout avec le reste, un menton avec une cicatrice, des taches de rousseur. Mes cheveux sont d’un châtain-blond terne, même pas vraiment blonds, même pas vraiment bruns. Et je les coupe moi-même quand j’en ai marre de les avoir longs. La seule chose de bien, c’est peut-être mes yeux. Selon Ellende, ils ont plein de couleurs. Du vert, du bleu, du gris, et même un peu de doré, apparemment. C’est ce qu’elle dit. Mais j’avoue que quand je me regarde dans un miroir, c’est la seule chose qui ne me donne pas forcément envie de détourner les yeux.



Anxieuse - Calme - Capable d'écouter - Casanière - Complexe - Compréhensive - Dénigrante envers elle-même - Difficultés à s'exprimer (et encore plus à se confier) - Discrète - Douce - Égoïste - Empathique - Envahissante - Estime de soi quasi nulle - Étouffante - Exclusive - Faible - Fraternelle - Garde ses sentiments pour elle - Généreuse - Hypersensible - Indécise - Insatisfaite - Instable - Intelligente (trop) - Introvertie - Jalouse - Juste - Lâche - Lucide - Lunatique - Maladroite - Mauvaise confiance en elle - Mature - Mélancolique - Oubli de soi au profit de ses proches - Paradoxale - Pas envie de grandir - Patiente - Pense trop, réfléchit trop, se pose trop de questions - Perfectionniste - Pessimiste - Peur de la foule - Peur de l'abandon - Peur du rejet - Peur du regard des autres (principalement de ses proches) - Possessive - Protectrice - Pudique - Rancunière - Réfléchie - S'attache peu mais fort - Secrète - Solitaire - Stressée - Susceptible - Têtue - Tolérante - Travailleuse - Violente envers lui-même

Je ne sais pas trop qui je suis. Je ne suis rien, mais je suis aussi plein de choses à la fois. Je suis complexe et paradoxale. Je ne me réduis pas à quelques traits de caractère qui prennent sens dans toutes les situations. Certes, il y en a certains qui seront toujours là, qui forment la base de mon caractère, tandis que d'autres varient selon la situation. Selon les gens qui m'entourent, selon mon état de fatigue, selon les enjeux, selon les situations précédentes, aussi, je vais réagir différemment. Comme tout le monde, je crois. Mais on l'oublie trop souvent. Les gens se réduisent à quelques traits par facilité, mais personne n'est aussi creux. Et tout le monde peut se montrer imprévisible.

Je fais partie de ceux qui sont mal dans leur peau, comme on dit. Je suis quelqu'un d'assez anxieux, angoissé de la vie, qui passe son temps à réfléchir et tourner les choses en boucle dans sa tête, à se poser trop de questions, et à avoir beaucoup de mal à profiter des petites choses de la vie. C'est très rare que j'aille vraiment bien. Enfin, je ne sais pas. Ça m'arrive, heureusement. Mais on peut dire que je suis lunatique à l'extrême. Et il y a des périodes globales, mais au sein de ces périodes, je peux passer du rire aux larmes en cinq secondes, ou sembler aller très bien mais m'énerver d'un coup sans véritable raison. Et ce n'est pas qu'une question de susceptibilité.

Je m'attache peu aux gens, probablement en partie à cause de ma peur du rejet, mais lorsque je le fais, c'est vraiment fort. Je suis assez exclusive, mais également très possessive et jalouse. Je suis aussi protectrice, donc il ne faut pas toucher aux gens que j'aime. Cependant, je suis consciente qu'envers eux, je peux parfois, même plutôt souvent, être envahissante et étouffante. J'ai profondément peur qu'ils partent, qu'ils m'abandonnent, et je remets souvent en question leur affection pour moi. Parfois même, je m'en vais pour qu'ils ne puissent pas le faire eux-mêmes.

Je suis très rancunière. Envers les autres, car ce qui m'a vraiment fait mal restera une plaie suintant de rancoeur pendant très longtemps, et j'ai énormément de mal à pardonner. Mais je suis surtout rancunière envers moi-même. Lorsque je suis consciente d'avoir blessé quelqu'un que j'apprécie, que ça ait été volontaire sous le coup de la colère ou non, les remords restent. Très longtemps. Des mois et des années. Au point que je peux encore m'en vouloir pour quelque chose que la personne blessée aura carrément oublié. Après, parfois je m'en veux pour des torts qui me semblent immenses et qui, même si j'ai quand même blessé l'autre sur le moment, sont ridiculement insignifiants pour lui. Ça joue sûrement.

En même temps, je suis très dure avec moi-même de façon générale. Je me dénigre souvent, même beaucoup trop de l'avis de mes proches. J'ai très peu de confiance en moi, et une estime de moi très basse également. J'ai du mal à accepter que des gens tiennent à moi, et c'est aussi pour ça que je remets très souvent en question leur affection pour moi. J'ai du mal à reconnaître que j'ai des qualités, et quand on me demande de me décrire, je ne peux en trouver que très peu, et assez bateaux, du genre intelligente, tolérante ou compréhensive. Je me trouve affreuse, nulle et sans intérêt. Ça n'aide pas à aller bien, c'est sûr.

Puis je suis très maladroite. Je passe mon temps à me cogner partout et mon corps et souvent couvert de bleus par ma seule et unique faute. Je renverse souvent des choses, aussi, parfois je casse de la vaisselle, etc. Je déteste ça. À chaque fois que ça arrive, je m’insulte et me maudis. Mais ça ne fait pas partir ma maladresse. Paradoxalement, je suis aussi perfectionniste, et cette maladresse, ça aide pas. Le simple fait de faire tomber quelque chose sonne comme un échec.

Je suis aussi quelqu'un de lâche. Je sais que l'on passe son temps à me dire que non, mais si. Dans la nature, il existe 4 réactions face au danger. La fuite, l'attaque, la résolution du problème, et l'évitement du problème comme s'il n'existait pas. Moi, je fuis. Parfois j'évite et j'ignore aussi, mais le plus souvent, mon moyen de protection, c'est la fuite. Donc oui, je suis lâche. Lâche et je me sens égoïste, même si l'on me dit souvent que non parce que je fais trop attention aux autres.

C'est vrai que, quand il s'agit de personnes à qui je tiens vraiment, il arrive que je m'oublie et m'efface complètement pour eux. Parce que je me donne moins d'importance, parfois aussi pour être certain de ne pas me retrouver au centre de l'attention, car je déteste ça. Je suis quelqu'un de timide, discret, réservé, taiseux, très introverti. Je préfère souvent qu'on m'oublie. Et pourtant, paradoxalement, je fais parfois des trucs débiles pour qu'on me voie un peu, pour une fois. Quand je suis trop en manque d'attention.

On me dit aussi compréhensive, tolérante, à l'écoute. Je parle peu, mais je pense que je sais écouter. Par contre, réconforter c'est autre chose, c'est plus compliqué. Mais au moins je sais écouter sans ramener ma fraise à chaque seconde et parler de sujets difficiles. C'est vrai, ce n'est pas une capacité que tout le monde possède. Mais des fois, t'as juste envie de gueuler parce que t'as déjà bien assez de mal avec tes propres problèmes. Fin, tu vois ? C'est comme avant, au-dessus. De base, je suis effacée, j'écoute plus que je ne parle. Et parfois, ça explose.

C'est comme pour mes sentiments en fait. J'ai tendance à tout garder pour moi, pour ne pas inquiéter ou avoir le sentiment de déranger mes proches. Je ne dis rien, je souris, et je laisse l'eau remplir le vase. Ça s'accumule au fil du temps, et un jour, souvent à cause d'un truc ridicule, minuscule, ça déborde et je pète un plomb. Enfin, péter un plomb ne veut pas dire devenir folle furieuse et blesser tous ceux qui s'approchent de moi. Je ne sais plus si j'ai déjà dit que je suis pudique, mais je le suis aussi dans la douleur. Pis j'ai peur du regard des autres, principalement de mes proches. Bref, tout ça pour dire que si j'explose en public, c'est que ça va vraiment, mais vraiment pas. En général, j’attends d’être seule pour cela.

J’ai d’énormes difficultés à faire des choix et prendre des décisions. Qu’il y ait un enjeu ou pas, d’ailleurs, il m’est aussi difficile de savoir ce que je veux manger au prochain repas que de choisir mes études, ou de savoir ce que je veux faire dans la vie. Comment on dit, “choisir, c’est renoncer”. Et comme je suis quelqu’un de très curieux, j’ai envie de tout faire et de tout essayer. Je crois que je n’ai pas envie de me contenter d’une seule voie. Je crois qu’il y a aussi une autre explication à cela. Je déteste les conflits, et je suis passée maître dans l’art des réponses du type “comme tu veux”, “je ne sais pas, qu’est-ce que tu veux toi ?”, “ce que tu préfères”, … À force de vouloir éviter les conflits, les frictions, je le range toujours du côté de l’avis des autres. Au point que je pense toujours que la décision de l’autre est la meilleure, et que je m’en convainc. Ça m’évite de faire un choix. Mais parfois, en réfléchissant après coup, je me rends compte que ce n’était pas ce que je voulais. Sauf que j’ai dit oui par habitude, j’ai laissé le choix à l’autre, et dans ces moments-là, je me sens piégée, et frustrée. C’est de ma faute. Et pourtant, c’est un schéma qui se répète.

Je n’ai pas de but. Au contraire, j’en cherche un. Genre je me verrais bien lancer une petite annonce du style “Cherche but ou objectif inspirant pour savoir quoi faire de sa vie.” Bref, je ne ferai jamais ça, mais c’était pour donner une image. Je n’ai pas de but, pas d’objectif, pas de point à atteindre. J’avance sans rien, comme un équilibriste sur une corde sans filet. Il n’y a rien qui me rattache, je suis un peu en roue libre, comme on dit. J’aimerais beaucoup avoir un objectif, qui me guiderait sur une certaine voie et me motiverait quand ça va mal. Mais je ne sais vraiment pas quoi. Autour de moi, certains rêvent de devenir le meilleur dresseur ou le meilleur coordinateur. Parfois quelqu’un rêve de devenir un grand scientifique. Moi, je ne sais pas. Je n’ai pas de voie, pas de chemin tout tracé. J’avance à l’aveugle et ça me terrifie. Heureusement que j’ai la chance d’avoir Ellende qui me tient la main pour me guider dans le noir.

Farfalla

SkittyFemelle
Il y a un dicton qui dit “tel dresseur, tel pokémon”, comme si la personnalité d’un pokémon se calquait sur celle de son dresseur, ou alors, comme s’il n’y avait aucun hasard dans les rencontres. Difficile à croire, et pourtant, ce dicton s’applique parfaitement à Farfalla et Lilith. La Skitty est aussi anxieuse et hypersensible que l’est sa dresseuse. Elle accorde très difficilement sa confiance, déteste tout ce qui implique un quelconque changement, et miaule souvent dans le but de s’assurer que tout va bien. Très peu sociable avec les étrangers, elle a tendance à se cacher dès qu’il y a quelqu’un qu’elle ne connaît pas à proximité. En revanche, elle peut s’avérer très câline et affectueuse avec sa dresseuse, demandant beaucoup d’attention et d’amour, ainsi qu’envers Alios et Ellende. Elle est d’ailleurs très proche du Chacripan en qui elle a énormément confiance.

Histoire

Je suis née et j’ai grandi à l’extrême-nord de Kalos. Mon enfance est pour ainsi dire assez banale, selon moi, même si l’on peut dire que j’ai probablement été plutôt privilégiée. Excepté durant l’année où ma mère était malade et celle qui a suivi, mes parents n’ont jamais eu de problème pour boucler les fins de mois. J’ai grandi dans une maison, certes petite, mais avec un jardin, et à partir de mes dix ans environ, une chambre pour moi toute seule. J’ai eu la chance d’apprendre à jouer d’un instrument, de faire du sport en dehors de l’école, et même d’apprendre à monter à dos de Ponyta. En un sens, j’ai eu beaucoup de chance, et je ne peux m’empêcher de penser que mes souffrances d’adolescente étaient illégitimes.

J’ai un frère cadet également. On s’est toujours entendus comme s’entendent les frères et soeurs, bien et mal à la fois. On n’est pas non plus particulièrement proches, mais je l’aime bien. Et s’il est plus jeune que moi, il m’apprend tout de même beaucoup de choses. Il est plus intelligent que moi, un peu comme Ellende. Et on se ressemble un peu, mais on se parle pas assez. Parfois je me dis que c’est dommage.

Donc, on peut dire que j’ai eu une enfance banale. J’étais une victime à l’école, jusqu’à 15 ans environ, mais ça reste assez banal, et j’ai envie de dire, ça se devine à ma tête. J’étais tête de classe au début, puis en milieu de secondaire j’ai compris que je pouvais garder de bons points en foutant rien et j’ai quasiment arrêté de bosser. Je me suis contentée des cours qui m’intéressait, autrement dit : histoire, français, et latin. Le reste, j’ai plus rien foutu. Ça me soûlait. Surtout quand les profs nous prenaient pour des idiots, et que même en faisant autre chose à côté je pouvais suivre tranquille. J’écoutais vaguement et ça suffisait largement.

J’ai eu très peu d’amis. Quatre-cinq au début, puis trois à la fin des secondaires. Mais c’est une longue histoire qui n’a pas beaucoup d’intérêt pour la suite, on pourrait juste mentionner le fait que, parfois, ça m’arrive encore de penser à eux et de me dire qu’ils me manquent. Bref. Les cicatrices que j’ai sur le bras gauche, je les dois à la période de mes 16-17-18 ans. Mon cerveau est pas le plus doué pour traiter la douleur, et à l’époque, c’était un bon moyen pour me calmer, pour extérioriser, un peu, parce que je créais une autre douleur que celle de mon esprit, une douleur physique que je savais comment apaiser après. J’ai commencé à boire aussi, enfin à boire un peu trop. Contrairement à la plupart des adolescents, j’ai connu mes premières cuites seule cloîtrée dans ma chambre.

C’est vers cette époque que j’ai rencontré Ellende, grâce à l’une de nos passions communes : écrire. Raconter des histoires. Assez rapidement, on s’est très bien entendues, et en quelques mois, on était devenues des amies assez proches. Je lui racontais tout, tout ce qu’elle pouvait comprendre, elle, au contraire de mes autres amis. On est devenues les confidentes l’une de l’autre, et on a beaucoup écrit ensemble. On a même écrit un livre, dont on rédigeait les passages en cours. En quelques mois, et c’est pas de la blague. C’est l’une des plus belles périodes de mon adolescence, d’ailleurs. J’étais sans cesse plongée dans cette histoire, je ne pensais qu’à nos personnages, à leur vie et à ce qui pouvait bien leur arriver ensuite. Je n’ai encore jamais réussi à retrouver ce sentiment sur le long terme, et je n’ai donc jamais fini d’autre roman.

Donc, on s’est rapprochées. Puis, à la fin des secondaires, on a décidé d’emménager ensemble, en colocation. Je suis partie de chez moi, pour être avec elle et à la fois pour m’éloigner de tout ce que j’étais avant. Je me disais qu’ailleurs, je pourrais recommencer autre chose, être quelqu’un d’autre, qui je voulais. Personne ne me connaîtrait à part Ellende, et je pourrais quitter cette image négative. On a emménagé alors dans la région de Lumiris. En arrivant, j’ai recueilli Farfalla, ma Skitty. Elle n’était alors qu’un bébé apeuré et perdu, maltraité. Je l’ai tout de suite aimé, et donné tout l’amour que je pouvais. Elle a grandi, tout en gardant ce côté anxieux et méfiant. On se ressemble un peu, dans un sens.

Avec le temps, la collocation avec Ellende a pris une autre tournure. On est tombées amoureuses, et maintenant on est ensemble depuis près d’un an. Parfois, je trouve ça drôle, de se dire qu’on vivait ensemble avant même d’être en couple. Enfin, tout ce qui compte, c’est qu’on soit ensemble. On s’entraide, on se soutient. Je lui dois beaucoup. Ne fût-ce que pour toutes les fois où je voulais tout abandonner, et qu’elle m’a consolée, réconfortée, aidé à avancer.

Je fais des études de lettres, je me disais que c’était la seule chose que j’étais capable de faire. Maintenant je ne sais plus, je ne sais plus si ça m’intéresse assez, si c’est vraiment ce que je veux faire. Je suis paumée et je me pose beaucoup trop de questions. Et en même temps, je fais des petits boulots pour gagner un peu de sous, parce que sans argent on ne va nulle part, malheureusement, et en ce moment je travaille dans une librairie. C’est assez sympa, c’est calme, et je suis entourée de livres. J’aime encore bien.

Je ne sais pas trop où je vais, je suis un peu dans le flou. Mais au moins, j’ai Ellende avec moi, et Farfalla et Alios aussi, le Chacripan d’Ellende. J’écris toujours, beaucoup, parce que je ne sais pas trop faire autrement, en fait. C’est limite vital, chez moi, c’est mon moyen d’expression privilégié. Dans un recoin de ma tête, j’espère toujours avoir un jour la capacité d’être écrivain, même si ça n’est pas un vrai métier, mais je ne sais pas trop. Déjà, si je peux avoir une vie tranquille avec Ellende et nos pokémons, ce sera sympa. Puis sinon, on a pensé ouvrir une pension pokémon, un jour. Peut-être. Je ne sais pas encore, je ne sais jamais. Après tout, le futur est encore bien plus incertain que moi.
 
Sun Je sais plus parce que je compte à l'envers Meuf La Belgique (même si je vis présentement en banlieue de la belle ville de Lyon) Rien de stable, et étudiante c'est pas un métier

Comment a-tu découvert le forum ? Grâce à une amie rpgiste qui (a priori) devrait bientôt s'inscrire et cherchait un forum pokémon sympathiqueTon pokémon préféré : Il y en a trop fiou (en ce moment je suis devenue particulièrement fan de Météno, Bulbizarre, Doudouvet et Chlorobule)As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : La personne citée plus haut mais elle n'est pas inscrite xDUn dernier mot ? Les papillons c'est la vie (les chats aussi)
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Petit message pour dire que je pense avoir fini, en fait (à moins que vous pensiez qu'il reste des points de l'histoire à approfondir), je m'en remets donc à votre jugement de staffien x) L'avatar ainsi n'est que provisoire, mais comme ça il y en a un x)
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Bonsoir Lilith ! Je te souhaite officiellement la bienvenue parmi nous !

Ton personnage m'a l'air extrêmement travaillé. En deux ans ici tu dois bien être la première personne que je lis qui a autant détaillé la mentalité de son personnage, j'ai réellement hâte de voir l'évolution de ton personnage à Lumiris parce qu'elle promet d'être très intéressante. En soit ce n'est pas le genre de personnes que rencontrerait Lise (ma diva) et Rose (ma jeune combattante) mais plus mon Tobias (le prof de philo. Nova) ! So, si tu as envie de RP avec moi, n'hésite pas o/ Je réserve une place héhé !

Je te valide donc officiellement et je tire ton dès chromatique pour savoir si Skitty sera chroma ou non ! ♥

   
Bienvenue sur Dusk Lumiris
Tu es officiellement validé(e), félicitations !

   Tu peux aller créer ta T-Card, ton journal de bord, et rejoindre le serveur Discord ! Regarde le message ci-dessous pour savoir si ton starter est chromatique. S'il l'est, tu peux modifier sa couleur comme bon te semble. Pour commencer ton aventure, tu reçois ton starter, 5 stardusts, 50 pokédollars et 5 pokéballs !

   Bon jeu à toi ! Si tu as des questions, n'hésite pas.
 
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Lilith ~ Comment pouvez-vous prétendre m'aimer puisque je ne m'aime pas moi-même ? Qr9h
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Bienvenue par ici ! Hihi !
Kayl et Sun, ça me dit un truc...
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