Realiser un voeu. Cette chance, cette occasion, aussi incroyable soit-elle, n'était pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Heimdall s'était empressé de venir à la capitale, avec quelques collègues scientifiques ; beaucoup espéraient voir leurs voeux de réussite et de succès accordés par Jirachi, le pokémon voeur. Heimdall, lui, avait bel et bien d'autres idées, mais il était complexe et difficile de choisir parmi tant de voeux. Royal naviguait dans la foule comme une vague déferlante, ouvrant un chemin qu'il suivait, Heimdall, pensivement. Le Lokhlass ne cessait de tourner sa majestueuse tête vers lui, curieux de savoir ce qu'il allait annoter sur ce petit bout de papier. L'arbre était déjà recouvert de voeux, et le vent les faisait chuinter comme autant de feuilles blanches et pâles, couvertes d'encre et des désirs de tant de coeurs.
« allons-y » murmura t-il en s'approchant, non sans se saisir de son stylo. La feuille lui semblait terriblement vide, mais il savait quoi noter. Son écriture méticuleuse s'incrivit sur le vélin, et mimant les gestes autour de lui, Heimdall accrocha son voeur à l'arbre, le coeur gonflé, comme un gamin. L'espoir était là, tranché parfois par l'esprit plus pragmatique. Mais Jirashi existait, et s'il pouvait exprimer un voeur, pourquoi pas le sien ?
Elle avait profité de l'occasion pour s'habiller dans des habits traditionnels de Johto. Toute pimpante, elle se promenait avec Kaito en se demandant quoi souhaiter pour la nouvelle année. Elle voyait tant de gens se tenir là, écrivant leurs souhaits et les accrochants aux arbres, se posant plusieurs questions quant au sien. Ils avaient laissés Cédrik avec les pokémons de Rebecca à la maison et la maison n'avait rien à craindre avec eux
Qu'est-ce que tu voudrais cette année toi Kaito?
Souhaiter d'argent ne lui tentait pas, la célébrité Rebecca la laissait aux autres pour l'instant et de la santé pour elle et sa famille ne serait que temporaire. Il lui faudrait quelque chose de durable, qui puisse faire ses preuves de manière tangible.
Je crois que j'ai trouvé!
Après avoir réfléchi, elle se mit à écrire sur un papier de façon droite et concise.
Satisfaite, elle accroche le papier à l'arbre après avoir prié un peu. C'était peut-être stupide de souhaiter à son âge, mais il y avait quelque chose de presque libérateur là-dedans. Advienne que pourra, cette prochaine année ne pourra être que meilleure que la dernière! Pleins de projets à réaliser, de rêves à imaginer, de caprices à faire subir à Kaito et de Staribucks à boire, il faut célébrer ça!
Je m'étais paumé dans cette grande ville, j'avais suivis un amas de gens qui se dirigé vers une destination bien précise, un grand arbre a vœux je crois.. Ou quelque chose comme ça, je ne sais pas du tout ce que je veux comme vœux, ironique non ? Je continuais de suivre les gens. Ils s'étaient arrêtés devant cet arbre ou tout le monde inscrit ce qu'ils veulent... Est-ce que je suis encore assez tendre pour y croire ? Je ne sais pas.
La vie ma m'éborgner une paire de fois, mon passé me hante. J'ai presque perdu foi en la race humaine, les pokemons me donnent encore un peux de chaleur dans mes débris glacé. Ils m'accompagnent, sorti de leur pokeball. Ils me regardent, ils veulent faire un vœu eux aussi. Je vais pas casser leur délire, je vais leur faire pour eux. Je m’approche de l'arbre, subtilisant un stylo. Demander l'arrêt de mes cauchemars ? Je suis pas une victime, demander que les douleurs s'arrêtent ? Je suis pas un faible, me faire oublier mon passé ? Non, demandé l'amour ? Trop facile... Hm.
Réchauffer mon cœur de pierre ? Trop gamin ou trop évident. Vivre encore un jour de plus ? Certainement pas, je ne veux pas vivre une journée de plus. Alors que demander ? Quelque chose qui viendrait du passé ? Mon père ne m'avais pas fait de cadeaux spécial.. Quelque chose qui vient du passé.... Réfléchis Yethos, je veux bien que je suis con mais pas a se point la... Je tire une bouffée sur ma cigarette, expirant la fumée part le nez... Je regarde mon nidoran, avant de sourire. Je vais me concentrer sur le présent. J’attrape le stylo, j’essaye d'écrire... Je suis pas aller à l'école très longtemps vous savez.. Sachant que j'ai pas eux plus de formation que ça.....
Cédrik roupillait gentiment sous haute surveillance, alors le magicien et sa dulcinée s’était accordé une petite soirée en amoureux à Nemerya. Une multitude de décorations lumineuses ornaient les rues et il faut bien l’avouer il y avait bien un coté onirique et enchanteur à ce décors de fête. Le couple se baladait donc tranquillement dans la ville, profitant du spectacle nocturne. Le magicien c’était emporté par son enivrante compagne ainsi le voici habillé d’un vêtement propre à la lointaine contrée de Jotho son kimono était noir et parsemé de fines rayures blanche qui éclaircissait le vêtement, le rendant de loin, presque gris. Par-dessus il portait une longue veste rouge pale, parsemé de motive floral esquissait dans une nuance de teinte se trouvant entre le rouge et le rose. Cela ressortait si harmonieusement avec le reste de la toile et ses cheveux que ça en était divin.
Le père de famille n’était pas à son coup d’essai avec ce genre d’étoffe, en effet il c’était déjà rendu sur l’ile de Jotho et y avait appris leurs uses et coutumes, mais pour ce soir c’était diffèrent il n’était pas question de se fondre dans la masse pour s’intégrer, non. Si le magicien était ainsi habillé c’était pour faire plaisir à sa femme et l’accompagner dans son impulsivité vestimentaire. Les jeunes parents avait l’air d’un jolie petit couple parfait avec leur vêtements qui match à se balader main dans la main en direction des arbres à vœux. Mais Kaito se fichait bien des regard qui filait sur lui, car il se retrouvai avec Rebecca, et aujourd’hui il ne nierait plus qu’il l’aimer car elle parvenait à gommer toutes ses partie sombres et le rendre meilleur. Elle était capricieuse, mais lui était têtu, alors pourquoi reprocher à sa femme quoi que ce soit… Elle savait le comprendre, lire en lui et l’apaiser, elle l’avait dompter et en soit c’est tout ce que le jeune homme avait toujours voulu.
Le policier lâcha la main de Rebecca, alors qu’elle se tourner vers lui pour le questionner et formuler son propre vœu. Ce que tu veux, hein et cette arbre le réalisera ? Est-ce que tu désirais autre chose que ce tu avais obtenue cette année ? Non pas vraiment, maintenant tout ce que tu voulais c’était protéger ce que tu avais, rendre éternel ce bonheur si improbable, car tout est éphémère et tu le sais. Tu prend alors un papier et note :
Kaito place son papier à côté de celui de Rebecca et baisse la tête un instant dans une prière muette avant de poker la joue de sa compagne et lui glisser au creux de son oreille avec un sourire :
-Et si on allait s’amuser encore un peu avant de rentrer ?
Quoi que il commençait à s’inquiéter pour Cédrik mais passer encore plus de temps seul à seul avec la jolie mère de son fils le faisait pétiller de bonheur. Après tout ils étaient encore jeunes ça serait dommage de rentrer se coucher maintenant !
HRP : Apparition d’un Pokémon
(c) TakeItEzy & Ellumya
Ombline Fheri
Dresseur·euse Nova
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Front contre front, les yeux fermés, Milusia et Ombline semble presque ne faire qu’un à cet instant comme si elles étaient dans leur bulle d’amour et que rien au monde ne pouvait la briser. Ombline s’étonnait toujours de la vitesse avec laquelle la Goupix était devenue indispensable à sa vie. Cela ne faisait que cinq mois environ que la renarde était entrée dans la vie d’Ombline mais déjà la dresseuse ne se voyait plus sans le Pokémon. Elle ne savait pas pourquoi, ni comment ou par quel hasard cette petite créature était arrivée jusqu’à Kishika, s’était réfugiée dans la ferme des Fheri, y avait fichu le feu et était restée dans les parages pour se faire pardonner jusqu’à finalement devenir un membre à part entière de la famille. C’était fou ! Mais simple coïncidence chanceuse ou destin ancré, c’était la plus belle chose que la vie avait offerte à Ombline. Soudain, Milusia gigote un peu pour se retourner dans les bras d’Ombline, de façon à pouvoir regarder l’arbre et se fige comme absorbée par celui-ci.
“Milusia ? Tu as vu quelque chose ?”
La Goupix émet une sorte de petit ronronnement et saute des bras de sa dresseuse. Elle se dirige alors vers l’arbre en reniflant le sol. Ombline la regarde faire sans bouger de là où elle est pour lui permettre d’avoir une vision globale des lieux et du Pokémon mais aussi pour ne pas la déranger tant elle a l’air concentré dans ce qu’elle cherche. La petite renarde fait le tour de l’arbre à vœu, une fois, deux fois et se met à creuser entre ses racines. Pas sûre que ce soit une bonne idée, Ombline se rapproche du Pokémon mais n’a pas le temps de l’atteindre que déjà Milusia court vers sa dresseuse, un objet dans la gueule. La jeune femme s’accroupit alors pour se mettre à hauteur de la petite renarde.
“Mais qu’est-ce que tu as là ?”
Milusia dépose aux pieds d’Ombline une fleur toute jaune, il ne lui semblait pourtant pas avoir vu de fleurs dans les parages et pas de cette couleur. La jeune femme regarde autour d’elle pour être sûre sans voir en effet aucune autre fleur semblable à celle-ci dans les parages. Entre temps, la Goupix était retournée en trombes à l’endroit où elle avait creusé avant de revenir encore vers Ombline avec un nouvel objet entre les dents. Comme le précédent, elle le dépose aux pieds de la jeune femme et retourne en sautillant vers le trou creusé. L’herboriste étudie le nouvel objet apporté par son Pokémon, une capacité de reproduction. Dans l’incompréhension la plus totale, la fermière regarde autour d’elle pour voir si quelqu’un avait par hasard perdu quelque chose, si ces objets appartenaient à quelqu’un. Milusia revient alors en trottinant et s’arrête devant Ombline sans lâcher l’objet trouvé cette fois, elle observe la dresseuse de ses grands yeux pétillants comme si elle essayait de lui dire quelque chose. La blonde fronce les sourcils et tend doucement la main à Milusia, comme pour l’encourager à lâcher ce qu’elle retient dans sa gueule. Toute contente, la Goupix dépose alors une pierre étrangement chaude dans le creux de la main de sa dresseuse. Ombline l’observe de plus près, ouvrant des grands yeux étonnés.
“Je..Qu’est-ce que ?”
Le regard d’Ombline passe des gens autour d’elle à son Pokémon puis à la pierre logée dans la paume de sa main. Milusia, qui ne tient plus en place retourne près de l’arbre et se met à sautiller et à courir tout autour en poussant des petits cris de joie. Ombline n’est pas tout à fait sûre de comprendre mais...serait-il possible que…? Alors que le cheminement fou de l’idée que ces objets soient l’oeuvre de Jirachi et de la réalisation de son vœu se fait dans l’esprit de la jeune femme, cette dernière reste bouche bée. La Goupix, qui comprend alors que la dresseuse réalise enfin ce qu’il venait de se passer, pousse un cri plus fort que les autres, sa façon à elle de remercier Jirachi. Ombline quant à elle, regarde une nouvelle fois la pierre feu qu’elle tient toujours dans la main et la porte doucement à son cœur en fermant les yeux.
“Merci Jirachi.”
Ombline se sent alors partir à la renverse, basculant vers l’arrière et tombant sur les fesses, chute provoquée par sa petite tornade de feu qui s’est jetée sur elle et qui lui lèche le visage de part en part. La jeune femme pousse un cri de surprise avant de se mettre à rire. Elle attrape la boule de poils rousse et frotte légèrement son nez contre le sien.
“Je t’aime toi tu sais ?”
Une léchouille sur le bout de son nez lui répond et Ombline embrasse Milusia sur le front avec tendresse avant de la reposer par terre. La demoiselle ramasse alors les précieux objets reçus et les range avec précaution dans son sac, mis à part la fleur ocre que l’herboriste glisse derrière l’oreille de la Goupix qui en semble ravie. Ombline se relève et tapote deux fois sa cuisse pour encourager la petite renarde à grimper. Celle-ci ne se fait pas prier et vient se loger dans la capuche chaude de sa dresseuse, posant ses pattes avant sur sa tête pour pouvoir regarder les alentours. La jeune femme passe alors furtivement l’une de ses mains dans le pelage roux de son amie, reprend son sac à dos et après un dernier regard reconnaissant à l’arbre des vœux, s’éloigne pas à pas. Ombline ne s’attendait vraiment pas à ce qu’il venait de se passer, quand elle avait écrit son vœu, c’était plus une promesse faite à Milusia et à elle-même de toujours prendre soin de la petite Goupix, d’être toujours là pour elle et de grandir avec elle, de l’aimer jusqu’à la fin. Il semblait que Jirachi ait voulu donner un coup de pouce à sa manière. Le cœur gonflé d’espoir, de joie et d’amour, et un léger sourire rêveur sur le visage, Ombline et Milusia regagnent la camionnette grâce à laquelle elles étaient venues jusqu’ici.
Alors que j'allais partir, je manque de tomber à cause d'enfants jouant dans la neige, tout autour de l'arbre.
Loin de m'en offusquer, je pense plutôt à Yuna, qui aimerai surement venir jouer ici aussi. Nul doute que Kei l'y emmènera. Stoppé dans mon élan, je prend le temps de m'imprégner de l’atmosphère ambiante.
Les gamins qui courent dans la neige, lançant des boules de neige qui atteignent rarement leur cibles,. Des personnes se regroupant pour discuter autour de l'arbre, profitant de l'occasion pour rattraper le temps perdu. D'autres, plus révérencieuses, semblent prier l'arbre de toutes leurs forces. Ici, une vieille dame borgne regarde les enfants jouer avec tendresse. Peut être que ses petits enfants sont dans le lot. Ça et là, des stands offrent de la nourriture aux badauds : crêpes, gaufres, marrons et autres friandises.
Au final, il règne une ambiance bienheureuse de fêtes de début d'années. Le genre d'ambiance qui donne envie de prendre des bonnes résolutions et de s'y tenir.
...
Nope, je tomberais pas dans le panneau. Bon, mon interlude as assez duré, Il est grand temps que je rentre.
Depuis quelque jours je n'entendais parler que de ce fameux arbre à voeux placé à Nemerya. Alors quand j'ai eu le temps de me libérer je me suis précipité pour rejoindre le centre de lumiris et pouvoir enfin voir cette arbre de mes yeux.
Je profite de ce long déplacement pour prendre à mes côtés Levi, mon navigateur devenu importante et necessaire dans mes déplacements, mais aussi l'oeuf que j'ai recu il y a peu. Je ne sais pas d'ou il viens, ni même qu'elle pokemon c'est, mais une chose est sur il ne viens de mes propres pokemons ... Il avait été déposer à mon palier, heureusement que je disposait du matériel necessaire pour m'en occuper. Même si j'ai suffisamment d'oeuf en ce moment.
« dépêchons-nous ! j'ai hâte de voir cette arbre ... pas toi Ritsu ?! »
Accompagner également de Ritsu, mon fidèle partenaire de toujours, nous marchions en direction de l'arbre, l'oeuf bien au chaud dans ma sacoche, je vérifie régulièrement son état. Quand je passe devant la grande place, je le vois, cette arbre tant attentu. Il était assez haut et comportait déjà tellement de petite feuille. En m'aprochant je peux en lire quelqu'un, c'était adorable et bienvaillant. Cette légende de l'arbre voeux à toujours été connu dans mon entourage.
Il va sans dire que je m'approche du stand pour acheter ma propre feuille. Maintenant il fallait reflechir à un voeux et je dois dire que j'en ai beaucoup en tête. Que cela soit mon envie d'avoir plus de temps, mon envie de rendre heureux mon entourage ou celui pour que l'oeuf soit en bonne santé. Bref j'en ai tous un tas et il a été difficile de choisir le bon. Une fois confiante, je laisse Levi poser mon voeux sur l'arbre. Pour une raison que j'ignore il était exité et heureux quand il est revenu, comme s'il avait vu une bénédiction, ou un ange ? qui sais.
Ca y est l'année 2020 est arrivée. Au revoir 2019 et ses mauvais souvenirs . Yona va pouvoir commencer une année nouvelle, une nouvelle encore plus excitante qu'avant.
Que dire sur cette année 2019 ? Et bien une rencontre qui lui a sauver la vie, une autre qui lui a sauver de la déprimer. Elle veut bien parler de Ice et Vincent, ils étaient tous les deux les plus importants dans sa vie. Vincent l'a sauvé, a aidé à l'arrestation de ses parents et lui a donné un nom, celui qu'elle porte aujourd'hui. Quand à Ice, c'est grâce à lui qu'elle a su garder la tête haute malgré sa vie avant tout cela, c'est lui qui lui avait transmit au long de ses visites, une once de bonheur pour la rouquine.
Sa vie d'avant ne lui manquait pas, pour elle c'était une Yona , une fille nommée 6319 par ceux qui l'élevait. Certes c'était du passé mais ce nombre était la pour lui rappeler de ce passer, une marque de guerre dirait-on. Et merci, seul Vincent est au courant de son passé, lui ayant promit de ne rien dire de cette marque, qu'elle essaie de caché tant bien que mal.
C'est ce qui fait d'elle ce qu'elle est maintenant.
Le sapin des voeux était présent à Nemerya. et ce grâce à un pokémon fabuleux que Yona n'a jamais vu. D'après Vincent il s’appellerait Jirachi.
Accompagné de son pokémon, Yona alla à cet arbre. Arrivée devant, elle regarda son ami :
- Ca y est Ice on y est !
Un grand sourire s'affichait sur son visage, ainsi que des yeux verts brillant pouvaient être vu. Elle e savait pas vraiment quoi demander. Elle avait tout ce qu'elle avait rêvé jusqu'à maintenant, d'autant plus que maintenant elle avait récupérer un oeuf, d'après certains spécialiste c'était un oeuf de Poussifeu. Elle prit un petit papier et un crayon et écrit enfin le voeux qu'elle souhaitait. Yona regarda Ice, tout deux s'étaient comprit.
:copyright:️ MISE EN PAGE PAR TAZER.
Dusk
PNJ
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Vous êtes de plus en plus nombreux à vous montrer présent à ce mystérieux arbre à voeux, mais croyez vous que tout cela se réalise vraiment ? Pensez-vous que Jirachi vous surveille ? Si c'est le cas, les bons vont être exaucés mais les mauvais également ... et cela risque d'en peiner un en particulier. Passons dès à présent aux dons gracieux que Jirachi vous a fait, chers habitants de Lumiris !
Jirachi a le coeur rempli d'émotions mais il ne peux pas cacher sa fatigue, cette tournée fut extrêmement fatigante mais bénéfique pour un bon nombre d'habitants de Lumiris. Et c'est tout joyeux qu'il repart se cacher, pour revenir bien vite !
Le froid est mordant, le soir ; c'est l'hivers, quoi. Avec ses horaires, Gladys avait l'habitude de sortir tard (elle faisait la fermeture après tout), alors elle commençait à s'y habituer -ou plutôt, se persuadait de tout son petit cœur qu'elle s'y habituait. Information aléatoire : Gladys est super frileuse. Elle avait un pull difforme, un une veste épaisse avec de la fausse fourrure à l'intérieure, une grosse capuche, une écharpe, des gants et avait hésité à prendre son bonnet. Autant dire que le type glace et elles n'étaient pas faits pour s'entendre. Elle arrivait à prendre sur elle au boulot -elle avait déjà dû travailler dans une chambre froide et c'était de loin une de ses pires expériences- mais elle n'avait aucunement la patience d'en faire de même en privé. Là, elle avait le droit de crever de froid. Elle avait hésité à demander à Jirachi de la rendre mon frileuse, ou une armée de couettes, plaids et autres bonnets. Mais elle avait fini par trouver ça ridicule et fort peu approprié. Elyas ne lui avait pas parlé de l'arbre, évidemment. Un soir en rentrant du boulot, elle avait songé à passer y faire un tour -tous ses collègues l'avaient tannée à le faire. Jirachi écoute tes vœux ! Il peut peut-être les réaliser ! Quels vœux ? Tout ce que désirait Gladys était inatteignable, impossible ou surréaliste. C'était une perte de temps, pour être honnête. Mais qu'avait-elle à perdre, à essayer ? Tant qu'il l'écouterait, elle serait heureuse. Tant qu'elle avait l'impression d'être écoutée, ça lui suffirait. Elle savait ses rêves fanés, savait ses ambitions disparues et ses envies futiles. Elle n'avait plus rien à attendre, à espérer ; plus rien pour elle-même (que peut vouloir une coquille vide ?). Tout ce que Gladys Maxine Stark pouvait te demander, ô Jirachi, c'était une oreille attentive. Elle avait terriblement froid quand elle vint se poser sous l'arbre ; elle avait cru qu'en semaine, il y aurait peu de monde. Quelle erreur ! L'arbre attirait beaucoup de gens, et de tous les âges. Elle voyait (tendrement) des parents porter leurs enfants accrochant des petits papiers, plus loin, une dame aider une grand mère à en faire de même ; tout le monde semblait s'entre-aider. Ça mit du baume au cœur à la brune. « T’as vu ça, Jirachi ? On peut être solidaires, pas vrai ? Ce serait quoi, ton vœu, toi ? » (Elle n'attendait aucune réponse). Elle soupira ; qu'est-ce qu'un dieu des vœux pouvait souhaiter ? Aider les autres, peut-être ? Elle commençait à l'imaginer doux, à tout donner pour les autres ; elle commençait à bêtement se sentir proche d'un petit être infiniment plus important qu'elle. Ridicule. Elle s'offrit même le droit de sourire tristement devant le grand arbre. Pouvait-elle enlever son masque juste un instant, Jirachi ? Pouvait-elle montrer un petit morceau de son cœur ? Oh et puis. Au pire, c'était anonyme ! Elle s'approcha d'un stand plus loin, repéré à son arrivée, et récupéré un papier et un crayon. Elle contourna le petit abris en pierre pour s'y appuyer et écrire à la verticale. Elle allait peut-être essayer de faire court... (un truc qu'elle savait pas trop faire, soit dit en passant).
Elle baissa le papier et sentit ses yeux brûler. La dernière ligne, elle avait envie de la barrer ; c'était pas juste, et personne n'y pouvait rien. Personne n'y pouvait rien, c'était juste la vie. Mais quitte à écrire des rêves ridicules et inaccessibles... elle se permit d'ajouter une dernière ligne pour lui briser le coeur.
C'était ridicule, sa gorge lui faisait mal, comme ses yeux. Elle plia maladroitement le papier et l'attacha où elle put, un peu à l'aveuglette. Elle n'espérait aucune réponse. Elle voulait juste l'écrire quelque part.
L'arbre à voeux. C'était bien la première fois qu'on installait une telle chose dans l'immense ville et avec ça, pouvoir écrire des voeux... dessus. Et bien, Ezekhiel était plutôt perplexe, il n'avait jamais entendu ce genre de coutume depuis toujours alors, ça piquait toujours la curiosité. Il s'était rendu seul, sans son amie Elincya et se retrouva alors devant l'immense arbre où déjà pas mal de gens avaient faire la leur. Le garçon regarda plusieurs passants, ne comprenant pas pourquoi on pouvait croire à de telles sottises. Les rêves, ça ne se réalise jamais. En tout cas, ça n'a jamais été le cas pour lui, ni pour sa soeur. Et franchement, s'il devait souhaité quelque chose, il voudrait bien que Kaito aille pourrir en enfers, pour avoir toucher aux cheveux de Rebecca. Même de lui avoir piquer sa virginité mais par dessus, ce fichu gosse de... Oh, qu'ils aillent tout deux mourir en enfer.
Non, franchement. C'était idiot, il avait couper les ponts avec elle depuis qu'il avait appris qu'elle avait une famille. SANS SON CONSENTEMENT. Ben, peut-être allait-il essayer, après tout.
Ouais, c'était mieux comme idée. Puis, il deviendra papa comme ça.
Seule. Tu avais toujours été seule. Toute ta vie, longuement, ton existence, bâtie dans une solitude morale et psychologique que personne ne pouvait comprendre, analyser, ne serait-ce même que déceler. Dans ton château de glace, la solitude semblait être la seule compagnie que tu pouvais espérer, vouloir, désirer. Mais tu languissais des histoires romantiques que tu pouvais dévorer dans tes temps libres. Tu te languissais de la romance que les héroïnes vivaient, tu la désirais, la souhaitais, tu voulais la prendre pour être la tienne. Tu voulais connaître cette sensation qu'était de ne plus être seule, d'être comprise, d'être complétée par quelqu'un de différent et à la fois semblable à ta personne.
Au travers des aventuriers et aventurières des histoires que tu avais si longuement dévorées dans le confort d'un divan, d'un lit parfois même, tu faisais taire la mélancolie douloureuse de ton être décevant par la douceur d'un souper aux chandelles, les larmes d'une histoire terminée trop tôt, le coeur battant à la chamade lors d'une course contre la montre pour rattraper l'être aimé et lui dire tout ce qu'on a pas pu lui dire autrefois. Ça te semblait être parfait, être enviable. Tu t'imaginais souvent, les yeux fermés, cette douce histoire. Tu t'imaginais à la place de la princesse perdue dans l'hiver le plus dur, rattrapée par l'homme vu au détour d'un arbre, tu t'imaginais vivre.
Mais.
La réalité te rattrapait toujours. Dans la plus grande des violences, cruellement, elle te retirait les étoiles des rêves les plus fous pour te plonger dans cet enfer parcouru jour après jour. Les secondes te torturaient alors que tu tentais de devenir quelqu'un, quelque chose. Aujourd'hui, et ce depuis trois mois environs, tu avais quitté ta ville natale, Nemerya, pour un coin perdu dans Kishika, loin de la civilisation, espérant pouvoir avancer. Pas à pas, dans ce monde effrayant, exister. Pourtant, tu restais si souvent figée devant tes volets, des larmes solitaires coulant parfois sur tes joues fragiles et blanches.
Heureusement, tu avais un travail, à temps partiel, qui te forçait à sortir. Tu avais le titre de chercheuse en même temps que celui d'enseignante. Ta douceur, ta fragilité, semblaient ne pas être des points négatifs dans cette université où des milliers de regards se posaient sur toi alors que tu étais assise dans cette chaise roulante, ou debout, racontant les mythes, les légendes composant votre monde. Ça avait semblé être le parfait travail pour la poupée de glace vivant au travers des histoires, les raconter n'avait que trop de sens. Les détailler, les expliquer, les rendre vivantes. Tu excellais. Ou non. Tu ne pensais pas exceller. Tu ne pensais pas être capable de quelqu'un dans ce monde si ce n'était être un poids, un poids parce que tu pouvais te briser d'un coup de vent trop fort, un poids parce que tu ne pouvais faire comme les autres, parce que tu craignais. Tu craignais le monde entier.
Mais aujourd'hui, tu allais sortir. Tu allais prendre une grande respiration, essuyer cette larme solitaire de ta joue, et sortir. Parce que tu avais entendu. Tu avais entendu entre les murs de l'Université que Jirachi pouvait exaucer les voeux dans un arbre à voeux. Autour, tout du moins, et tu voulais croire en cette douce magie pour apaiser ton coeur, apaiser ton âme. Tu voulais croire que ce pokémon légendaire puisse vous aider, vous écouter, faire quelque chose pour les quotidiens parfois trop lourds. Tu voulais voir de tes propres yeux, assumer le titre de Chercheuse qui t'avait été discerner avec trop de facilité pour ce que tu valais. Alors tu avais pris le bus, sans cette chaise roulante qui t'embarrassait, portant tes lunettes de soleil pour cacher tes yeux, et tu avais fait attention, très attention, à ne croiser personne, ne frôler personne, t'asseoir le plus souvent possible. Tu déplorais ta santé. Tu l'avais toujours fait, regardant les autres avec cette envie douloureuse de leur voler la leur, sans pouvoir le faire, te demandant pourquoi tu existais seulement.
Mais tu avais fait le chemin, tu étais arrivée. Tu te tenais devant cet arbre, seule, parce que tu l'étais toujours. Tu le regardais. Tu avais déjà envie de pleurer. Tu étais si. Faible. Déplorable. Tu ne voyais pas pourquoi Gladys tenait à toi, pourquoi elle t'avait sourit si souvent, pourquoi elle t'avait offert ce pokémon électrique que tu n'avais même pas amené avec toi, mais qui t'avait - tu ne savais pas comment - suivi et retrouvé. Il veillait sur toi. Il ne te lâchait pas, te poursuivait, ne t'abandonnait pas. Mais tu ne comprenais pas comment quelqu'un d'aussi fort pouvait tenir à quelqu'un d'aussi faible. Elle aurait mieux fait de s'intéresser à des personnes bien plus fortes, avec bien plus de valeur, que ta pauvre personne. « Bonsoir Jirachi, il paraît que vous venez ici, que vous nous écoutez, c'est vrai ? Vous êtes si gentil.. un jour, je ferais en sorte de vous rencontrer. » Quelques mots et ta voix se brisait déjà. Shunt s'approcha de toi et tu reculas. La peur te prenait, t'épuisait, emplissait chaque fibre de ton corps. Les pokémons pouvaient te briser. Tout pouvait te briser.
« J'aurais voulu vous demander la santé, mais ce serait gaspiller mon voeu. » Ta voix faiblissait, tremblait. Shunt se tenait tranquille, te regardait, souffrait avec toi. Tu avais cette envie cruelle d'encore te faire bercer par ta mère, te faire dire que tout irait bien. Tu n'avais pas changé, tu n'avais pas grandi. « Je suis bien placée pour savoir que vous ne pouvez pas changer la trame de l'histoire, soigner les êtres humains, je vous ai longuement étudié, admiré. Vous avez le coeur si grand. Et vous ne faites que le bien. Vous valez plus que la plupart des humains de ce monde. » Tu aurais voulu voler la santé des autres, voler leur force, ne pas pleurer, ne pas te briser si aisément, pouvoir respirer correctement. Revenir en arrière et ne jamais naître, parfois aussi. Tu t'étais assise, Shunt gardant son regard posé sur ta personne, n'essayant pas de t'approcher, tu avais mal, ta cage thoracique te brûlait. Tu étais déjà épuisée. « Alors... »
Il y avait du mouvement, beaucoup de mouvement, dans la foule. Et Asmaël, assis sur son carton, se ratatina un peu plus, cachant son malheureux visage des inconnus. Il ne comprenait pas pourquoi tant de gens allaient dans la même direction. Oui, il avait vu, la plupart d'entre eux se dirigeait à un endroit précis. Ce n'est après plusieurs jours qu'il décida de se lever de son lit de fortune afin de plonger dans la foule. Malheureusement, les gens s'écartèrent aussitôt. Son odeur ? Son physique ? Il ne savait pas mais s'en fichait. Il était malheureux et empli de haine.
Alors, quand il découvrit l'arbre à voeux, il voulut pleurer. Le monstre n'y croyait pas. Tout simplement pas mais tenta le coup. Il avait du mal à écrire, il ne savait pas écrire en fait.
Il lâcha son crayon, pas très sûr de ce qu'il avait écrit avant de l'accrocher dans l'arbre.
Abygaël avait entendu l'histoire sur l'arbre à voeux, à Nemerya. Alors, bien sûr, elle y était allée, croyant fortement au petit Jirachi. N'avait-elle pas consacrer sa vie à la divinité ? Pouvait-elle le faire une nouvelle fois ? Peut-être, elle qui avait tout perdu. Alors, c'est avec le coeur déchiré qu'elle s'approcha de l'arbre, tenant dans sa main un papier et un stylo avant de se mettre à écrire.
Elle lâcha son stylo avant de se diriger vers une des branches pour y laisser le voeu. Oui, c'était tout ce qu'elle voulait.
Voila bien longtemps que le gris n'était pas sortie en famille. Et en cet occasion des fêtes de fin d'année, son père avait proposé à sa petite famille, de faire un voyage à Nemerya pour profiter des fêtes, du grand marché de noël, et autre festivité du genre. Et bien entendu, Mikhail avait bien l'intention de profiter à fond de cette période. Ce fut donc tout naturellement, que le trio avait finit par arriver à cet endroit, où était dressé un magnifique arbre de noël, où était attaché décoration et multiple petit papier. Les papiers de vœux. Cette petite tradition, où chaque personne venait déposer un vœux, dans l'espoir qu'il finisse par se réaliser pour l'année à venir. Esteban avait alors proposé à sa petite famille de participer à tout ça. Et n'avait pas attendu que sa femme et son fils réagissent, pour foncer faire son propre petit papier...
- Bon. Je suppose qu'il va falloir faire un effort, nous aussi. - Pourquoi, t'aime pas ce genre de truc ? - Je serais bien resté à la maison, tranquillement, a faire les comptes de ton père. - Merci d'être venue en tout cas... Papa est content, et je le suis aussi.
Le gris sourit à sa mère, puis se mit en route pour rejoindre son paternel, sous le regard de sa mère. Si celle-ci n'avait esquivé aucun sourire, aucune réaction même, quand aux paroles de son fils, elle n'en était pas moins contente de l'entendre dire ces mots. Abby était quelqu'un de particulier. Qui semblait dur, distante, associable. Mais son mari et son fils la connaissait assez pour savoir ce qu'elle avait derrière la tête, en règle général. Alors aucun des deux ne c'était attristé de la voir si sérieuse, si... Jemenfoutiste en faites, devant toute ces choses qui illuminaient leur regard.
A côté du sapin était placé des paquets de feuilles, accroché à des rubans. Ainsi que quelques stylos. Le stock diminuait d'ailleurs drastiquement, entre ceux qui oubliaient de remettre les stylos en place et ceux qui avaient décidé de les garder en souvenir. Heureusement, le gris avait toujours un stylo avec lui. L'avantage de toujours avoir de quoi dessiner, pour toute les occasions. Il se plaça donc sur un côté, et observa le papier, réfléchissant à ce qu'il pourrait y écrire...
- Demande une bonne année de travail pour ton vieux père ! Et la fin des travaux de rénovation. Tu feras des heureux ! - Tu sais, c'est pas le but de dire le voeux qu'on a fait aux autres ! - ... Je suis pas assez subtil, c'est ça ? - Nan, pas du tout.
Les deux hommes se mirent à rire, et après une tape amicale dans le dos de son fils, Esteban retourna vers sa femme, attendant donc que le jeune gris finisse par écrire ses mots, et placer ces vœux aux milieux de tout les autres.
Lorsqu'il eut finit d'écrire, il plia son petite papier, puis s'approcha du sapin et l'accrocha à l'une des branches, avant de se reculer de quelques pas. Un sourire illumina son visage, alors qu'il observait le géant d'aiguille. Puis, après avoir été appelé par son père, qui semblait commencer à s'impatienter, voulant sans doute voir plus de chose encore, il tourna les talons et retourna auprès de sa famille, le cœur léger.
Eloignée de l'arbre pour laisser les nouveaux arrivant y déposer son voeux, je le fixait encore du regard, admirant ça beauté, cela égayait ma journée clairement. Mais le plus étrange dans cette histoire était de voir Levi, mon Motisma devenir complètement fou et exité, j'avais peiner à le calmer mais il semblait toujours au anges.
Portait ma main à l'oeuf dans ma sacoche, je le regarde, examinant s'il va bien et toujours en bonne santé, esperant peu être que mon voeux ce produisent. Je le caresse lentement pour re déposer mon regard sur l'arbre. C'est comme ça que j'ai remarquer que Ezekhiel était venu, je l'ai vu déposer son voeux et avant qu'il s'en aille je m'empresse d'aller le rejoindre.
« Ezekhiel ! alors comme ça tu est venu toi aussi ?! »
J'étais heureuse et enthousiaste mais je ne lui demanderais pas qu'elle voeux il a put faire. C'était privée et personelle, neanmoins cet heureux hasard est très sympathique, je vais pouvoir continuer à passer le reste de ma journée en sa compagnie comme ça.
La nuit est tombée depuis un moment déjà. En hiver, elle tombe assez tôt de toute manière, mais l’obscurité est maintenant installée et la majorité des personnes sont maintenant bien au chaud chez elles. Mais, j’attends encore un peu.
Tapie dans l’ombre, j’attends. J’attends que les derniers promeneurs, les derniers fêtards, les derniers emmerdeurs. Il y a beaucoup de passage sur cette place.
Plusieurs fois, j’ai failli me lancer, mais un bruit, une intuition, m’ont gardée dans l’ombre.
Au centre de la place, l’arbre est là. Il trône paisiblement. Quelle connerie ce truc. Et dire que des gens y croient. Comme si mettre des bouts de papier sur un arbre allait faire en sorte que nos rêves se réalisent. Il n’y a que nous pour pouvoir réaliser nos souhaits et pas un hypothétique Pokémon. S’il avait vraiment le pouvoir de réaliser nos rêves, il le ferait tout le temps, sans attendre qu’on soit malheureux.
La place est silencieuse et vide quand une cloche sonne l’heure. Trois heures du matin.
Je surgis sans bruit de l’ombre, me glisse jusqu’à l’arbre. C’est un truc débile que seuls les crétins font.
Je tire de ma poche un papier et le relis doucement à la faible lueur des lampadaires.
Je l’accroche rapidement. Un truc de crétins. Mais il faut croire que mon crétin déteint sur moi. Je repars aussi vite que je suis arrivée, dans une autre ruelle. Une fois dans l’ombre, je jette un dernier regard à l’arbre. De toute manière, qu’est-ce que je perds à essayer.
J'ai entendu beaucoup de choses au sujet de l'arbre des voeux, mais jamais rien d'aussi concrets que depuis que celui de Lumiris a commencé. Je n'y avais jamais porté attention jusqu'à aujourd'hui, des personnes auraient apparemment pu voir Jirachi. Je n'y crois d'ailleurs qu'à moitié mais bon, qui ne tente rien n'a rien. Et je suis quelqu'un qui aime faire de nouvelles choses et si elles s'avèrent vraies, ces suppositions, j'aimerais en avoir le coeur net en l'ayant vu par moi-même. Comme je dis si souvent, je ne crois que ce que je vois.
« Tu es contente d'être ici Kisya ? »
Ma Draco chromatique illumine clairement les lieux de ses tons chromatiques très brillants, c'est bien la fille de Kaliya, la Draco de ma meilleure amie. Nous avançons dans les rues de Nemerya en croisant énormément de personnes qui ont l'air heureuses, leur voeu s'est réalisé ? Décidément je vais finir par y croire à tout ça !
« Alors ... comment ça fonctionne ? »
En m'approchant un peu plus de l'arbre à voeux je peux ressentir comme une présence qui m'apaise. Tous mes doutes, toutes mes souffrances semblent s'être envolés et on dirait que je sais quoi écrire sur le petit bout de papier, mit à notre disposition pour que nous l'accrochions ensuite à cet arbre. J'espère qu'il se réalisera. Je lève le menton en fermant les yeux, Draco détache une feuille et prend un stylo et me le donne à l'aide de ses petits crocs.
« Merci Kisya ... »
Je prend le stylo et le papier et commence à écrire.
Et je termine tout ça en accrochant mon petit papier à l'arbre.
Noël comptait dans les fêtes que Vai'ata aimait le plus ; surtout cette année, qu'elle avait deux personnes à gâter pourrir. Parce qu'elle n'avait pas lésiné sur les cadeaux, évidemment. Tous les ans, elle envoyait des chèques à six chiffres à la famille, plus des montagnes de cadeaux ; cette fois, elle avait pu en offrir en main propre, et que c'était agréable ! Cette année, noël n'avait pas été une fête huppée ou un plateau de télé ; et bien qu'elle ait été invitée à plusieurs occasions de ce type, elle les avait toutes refusées. Il était bien plus doux d'être avec ses proches -et plus encore alors qu'elle ne les avait pour ainsi dire pas vu grandir. Elle était partie avant. Surtout concernant Kiana. Alors elle avait savouré. Ils avaient tous trois passé un fantastique moment (pour l'occasion, elle n'avait même pas payé de traiteur ! Ils avaient fait la cuisine tous les trois, et l'appartement s'en souviendra longtemps. Mention spéciale au concours de roulade enfarinées de l'obalie d'Ele'i et de son otaquin, Moana. Quelques jours plus tard, il y avait eu l'œuf, et de nouveau la célébrité avait enchaîné. Elle n'avait pas su où donner de la tête -et pas oublié, pour autant, de spammer tous ses amis en espérant les voir souvent cette année. Revoir Ele'i, Kiana et même Heimdall lui avait rappelé qu'elle passait trop facilement à autre chose ; qu'elle aimait peut-être inconditionnellement, mais qu'elle laissait trop aisément la vie l'éloigner des gens qu'elle aimait. Et pour une tête de mule pareille, c'était ridicule ; ça montrait un triste sens des priorités qu'elle était déterminée à changer. Son travail serait toujours important, évidemment, mais elle n'allait pas le laisser mettre une distance entre elle et ses proches. Mais ça, c'était sa bonne résolution, et elle n'avait pas l'intention de demander à quelque force extérieure que ce soit de l'y aider. Elle n'avait jamais fait appel aux dieux pour régler ses problèmes, ce n'est pas maintenant qu'elle allait commencer.
Alors quoi demander à Jirachi ?
Vai'ata n'avait rien en tête en venant à l'arbre à voeux ; elle était simplement émerveillée par tant de beauté et avait voulu faire plaisir à ses cadets. Et puis, c'était une autre occasion douce à passer avec eux, elle ne serait pas passée à côté. Mais décidément, elle n'avait aucune idée. Vai'ata ne souhaitait pas ; elle faisait. Toute seule, comme une grande. Qu'est-ce que Jirachi pouvait lui offrir ? Il n'était pas omnipotent non plus. Oh ! Et puis mince, qu'importe, elle allait bien trouver une idée, même lambda. Elle imita ses frère et soeur et plaça le stylo au dessus du papier ; et puis, rien. A côté d'elle, les deux autres semblaient avoir trouvé une idée, eux, et l'écrire. Oh fantastique. Elle se faisait pitié, un peu, et c'était particulièrement désagréable. Oh allez quoi. La réussite ? Elle l'avait déjà. Dans un autre domaine, peut-être ? Elle se débrouillerait toute seule. Décidément, elle se fichait bien de ce que Jirachi pourrait lui apporter. Oh... c'était peut-être une idée.
Ça, au moins, ce n'était pas réellement de son ressort, alors ce ne serait pas vain. En l'écrivant, elle se rendit même compte à quel point il était évident, ce souhait. Qu'aurait-elle pu demander d'autre ?
Ça aussi, c'était évident. Même si elle estimait que c'était de sa responsabilité. Elle eut un petit sourire satisfait avant d'accrocher le papier à l'arbre. Elle avait été tentée de rajouter un petit quelque chose sur le petit coeur de ses frères et soeurs, mais elle était assez lourde en direct pour ne pas en rajouter auprès du pokémon aux voeux. Ce songe lui arracha un sourire amusé, absolument pas discret d'ailleurs, puis ils s'éloignèrent. Et évidemment, les secrets donnent toujours envie d'être sus. Vai'ata aussi mourait de curiosité, évidemment, alors son regard s'illumina et se posa sur les deux têtes brunes. » Qu’est-ce que vous avez souhaité ? » Pour le moment, c’est un secret ! Il ne faut pas révéler notre souhait sinon il ne se réalisera jamais. Elle sentit son coeur grossir dans sa poitrine à la vue de cet échange attendrissant. Kiana respirait une candeur qui donnait envie de la protéger du monde entier ; et Ele'i, à sa manière, lui inspirait le même sentiment. Il avait une maladresse sociale que Vai'ata trouvait, très subjectivement, adorable. » Vous venez à la maison ? On commandera cette fois, promis. Et on pourra toujours espérer ensemble que nos souhaits se réalisent ! Vai'ata observerait très attentivement, cette année. Elle était une grande soeur, et elle veillerait sur ses cadets. Elle était une soeur, il n'était plus question de s'en aller.
Fais un vœu, Vulki... de n’importe quoi, peu importe si ça a l’air absurde. Confier ses vœux à un arbre dans l’espoir qu’il les fasse se réaliser... une tradition que tu connaissais déjà à Hoenn. Tu y avais participé étant petite, quelques-fois. Tes demandes idiotes ne s’étaient jamais réalisées, mais tu ne t’en étais jamais étonnée, justement parce qu’elles étaient idiotes. Pourtant, tu voulais toujours faire de ton mieux, souhaiter quelque-chose qui ne soit pas trop improbable, mais pas trop impersonnel non plus. Un qui te fasse quand même plaisir s’il devenait vrai aussi. Mais les critères s’entassaient, s’empilaient, au point qu’il en devenait impossible de trouver quoi que ce soit à écrire sur ce fichu bout de papier. Tu es tellement consciente que n’importe qui pourrait lire ton vœu que tu en deviens ridicule...
Echappant un soupir las de tes lèvres, tu lèves les yeux vers la cime des arbres plantés sur la grande place. Ils disent que si on ne sait pas quoi écrire, on peut souhaiter quelque-chose de vague ou d’un peu abstrait, pas forcément juste pour soi. Mais si tu ne souhaitais pas pour toi-même, qui d’autre le ferait ? Regarde, tu penses comme une gamine égoïste, ehe ~
Alors, pour un petit instant, tu décides de ferme les yeux et réfléchir. A ce que tu voudrais réellement, en dehors de tes rêves de dresseuse et que Stattitik arrête de s’endormir dans tes couvertures quand tu la cherches pour sortir. Quelque chose de précieux, mais auquel tu ne penserais pas forcément au premier abord. Hm...
Lentement, tu pris ton crayon pour griffonner sur ton papier. Tu commences par quelques mots, puis te sens l’envie d’en ajouter un peu, jusqu’à finir par devoir écrire en toutes petites lettres pour pouvoir formuler ta pensée... mais au moins, tu l’avais écrite.
- C’est probablement pas un rêve que tu peux réaliser, toi... tu murmures à Jirachi, ou plutôt à l’arbre auquel tu accrochais ton vœu. Mais j’espère quand même pouvoir le faire.
Un vœu attaché à cet arbre parmi des milliers, lui-même qui n’est qu’un arbre parmi les dizaines mis à disposition des personnes venues à cette fête. Pour qu’il se réalise, il faudrait un miracle, non ? En attendant, il y a un tas de rêves que tu peux réaliser par toi-même, tu peux bien attendre un peu.
Dusk
PNJ
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Jirachi est de retour pour vous exaucer vos plus beaux voeux, attention à vous les malins qui voudraient se montrer négatif. Jirachi a déjà montré qu'il était capable de punir, n'écrivez pas n'importe quoi ! En tout cas le petit pokémon Fabuleux semble plus déterminé que jamais à exaucer tout pleins de voeux et il a envie de faire plaisir, tout autant que vous, alors soyez prêts !
Et c'est encore une tournée qui se termine bien, Jirachi sèche une petite larme et remonte au sommet de l'arbre. Cette tournée fut épuisante mais extrêmement touchante, certains voeux l'ont touché au plus profond de son petit coeur de pokémon Fabuleux. Il décide donc de se poser pour dormir un peu et revenir avec autant d'énergie et d'idée pour rendre vos journées, les plus fabuleuses possibles.
Devenir un meilleur homme. Devenir quelqu’un de meilleur ? Non, pour ça, il n’y avait aucun remède miracle. Si tu n’étais pas capable de percevoir l’étendu de ta valeur dans le bleu de tes yeux, ce n’était pas un arbre qui allait rectifier ta bêtise. Tu n’étais pas quelqu’un de méchant : pour cause, tu avais définitivement trop sacrifier au nom de d’autres bonheur que le tient pour que l’on puisse te considérer comme une mauvaise personne… Alors quand cesserais-tu ressasser ce discours ennuyeux ? Demain ? Dans une semaine ? Quand tu trouverais en toi la force et le courage de parler à Hazel ? Ce n’était pas gagné d’avance. Tu n’étais pas un habitué de l’échec, tu n’étais pas le genre de personne qu’elle prenait plaisir à confronter quotidiennement. Elle te trouvait peut-être trop ennuyant. Alors tu pouvais peut-être souhaiter l’être un peu moins ? Histoire d’être confronté un peu plus aux défaites cuisantes qui te détruisent un coeur et un homme. Histoire que cette fichue vie cesse de te prendre en pitié et de te ménager… Après tout, si elle-même préférait t’épargner plutôt que te servir sa médecine, c’était définitivement la preuve que tu étais en bas de l’échelle. De toutes les échelles. Tu étais encore un garçonnet, un enfant fragile dont il fallait à tout prix préserver l’innocence. Était-ce si dangereux pour toi que d’exister avec tout ce que cela incluait de bien ou de mal ? La question tournait en boucle dans ta tête. Elle te dévorait de l’intérieur, te faisait remettre beaucoup de choses en question. Pourquoi accordais-tu autant d’importance à un échec de cette envergure alors que, depuis longtemps, les gens déversaient leur sel sur ton dos ? Tu n’étais pas logique.
Au pied de l’arbre, tu soupires doucement. Tu reprenais une adolescence volée. À vingt-deux et des poussières, tu te retrouvais confronté pour la première fois aux interrogations superficielles qui assaillent normalement les jeunes qui découvrent la vie et les relations humaines. Tu avais espéré pouvoir prendre un raccourci, sauter quelques étapes… Mais ça n’avait pas fonctionné. Tu te prenais tout par la gueule avec cinq ou six ans de retard ; toutes les insécurités, les craintes, les questionnements sans queue ni tête. Tu n’avais en réalité que quinze ans et tu venais de vivre ton premier échec amoureux. Félicitation. Sauf que, comme tout gamin qui se respecte, tu ne pouvais pas tourner la page sur un premier “amour” (en était-ce un ? Tu t’avançais beaucoup trop, prend du recule sur la question) comme sur un chapitre un peu nul. Tu devais confronter tout ça, t’accrocher (inutilement) et attendre que ça fasse vraiment mal pour lâcher prise. Bon plan.
Retroussant légèrement le nez, tu attrapes un crayon et une feuille de papier. De toute manière, t’étais le prince charmant de personne. Il te fallait grandir. Tu pouvais toujours cracher sur ton adolescence perdue, la vérité c’était que tu étais censé être un adulte et que tu ne pouvais plus te cacher derrière ce genre de prétexte. Tu n'avais qu'à vivre avant d'en arriver là.
Tu plies le message, tente d’ignorer le flot de stupidités ayant coulé de ton crayon puis tu le glisses dans l’arbre. Tu n’y croyais pas vraiment, mais tu gagnais plus à essayer qu’à te tourner les pouces. Bientôt, tu irais parler à Hazel. Peu importe la manière dont se terminait ton épopée avec le conifère. Si les forces occultes de ce monde ne pouvaient pas te rendre plus cool ou désirable, tu supposais qu’il en te restait plus qu’à assumer. T’avais tout fait foirer alors redresse tes manches et répares tes erreurs comme un homme, un vrai.
Le début d'une nouvelle année. L'occasion de se fixer de nouveaux objectifs à atteindre, de prendre de bonne résolution. Pour l'occasion, tu as décidé de rejoindre Yuma à un lieu particulier, l'arbre à vœux. La légende raconte que si on accroche notre vœux à cet arbre, il y a des chances pour que Jirachi, un pokémon légendaire, réalise notre souhait. Qu'est-ce qu'il y a à perdre après tout ?
C'est donc avec ton meilleur ami, également rival, que tu te diriges vers l'arbre en question, prenant un morceau de papier pour y écrire ton souhait.
Relisant une dernière fois le contenu de ton vœux et estimant que tout était en ordre, tu te retournais vers ton rival, penchant légèrement la tête sur le côté par curiosité.
- Dit Yuma ? Qu'est-ce que tu vas faire comme vœux toi ?
Tu souriais à ton ami avant de replier le morceau de papier pour l'accrocher à l'arbre, par réflexe tu joins tes mains l'une dans l'autre, comme pour offrir une prière de remerciement au pokémon fabuleux veillant sur cet endroit et sur vos vœux.
Attendant que Yuma termine également son vœux, tu regardais Amber qui te suivait pour la prendre dans tes bras. Ruby dormait dans sa pokéball bien au chaud en attendant. Offrant un sourire à ton rival qui se dirigeait vers toi, tu le suivais en reprenant ton bavardage intempestif, reprenant votre route vers vos objectifs.
Mon équipe réussissait le miracle d'être stable. En effet, nous étions parties pour le centre-ville de Nemerya et mon équipe est encore complète jusqu'alors. De plus, aucun dégât matériel n'est à déplorer ! Ça semble trop beau pour être vraie n'est-ce pas ? Et bien effectivement...! Il suffit à Survolté de voir plein de gens attroupé autour d'un grand arbre pour foncer dans le tas...
-Pardon, excusé moi...
Dis-ai-je en entrant dans la foule dense, comme on percerais un mur d'eau. Chargeur, plus petit et plus rapide, me dépasse et rattrape la petite fugueuse sans trop de problèmes. Elle s'était simplement arrêté devant l'arbre. Je le regarde de haut en bas... Enfin ''de haut", on en voit pas le sommet de là où je suis.
-Volta !
-Quoi, tu veux que je participe ?
Elle fait oui de la tête, comme pour m'encourager. Chargeur et Foudroyant semblent s'en fiché, tendis qu'Onoff rejoins la Voltali. Ça fait un drôle de duo ça...! Et puis pourquoi pas après tous ? Alors, je regarde autour de moi pour essayer de savoir ce que je veux vraiment et prend un bout de papier, comme tout le monde. Dessus, j'écrits :
Le petit papier était noir de texte. Je n'avais pas réussi à être très synthétique ! Chargeur tente de regarder par-dessus mon épaule par curiosité, mais je cache le contenue du papier d'un réflexe et l'attache à l'arbre.
-Euu.. Où est passé Survolté ?
Je mets quelque temps avant de comprendre et soupire. Nous nous remettons en route !
La nouvelle année a enfin démarré ! Une année que j’espère pleine de sourires, de bonne humeur mais aussi, de nouveaux défis ! C’est accompagné de ma petite protégée Yuna, de mon majordome James, et de nos deux pokemons Laporeille & Dimocles, que nous nous rendons aux festivités organisées par la région. Une tenue simple et chaude pour tout le monde, sauf James, dans son smoking habituel, à peine suivi d’une écharpe. Rikku, la petite Laporeille ne pense déjà qu’à s’amuser et envoie des boules de neige sur Yuna, qui répond avec entrain, les deux jouant à chat.
Ces deux là reviennent de loin, elles se sont rencontrées dans de tristes circonstances, mais maintenant, elles semblent heureuses et épanouies, l’une à côté de l’autre. Pour Tidus, c’est toujours l’heure de la sieste dans mon dos. Un chocolat chaud à la main, on approche de ce qui semble être un arbre avec plein de petits mots !
Oh, grand frère Kei, c’est quoi cet arbre !! Un arbre à vœux Yuna. On dit qu’en inscrivant un souhait sur un papier et en l’accrochant, il sera entendu par Jirachi. Ca à l’air rigolo ! On le fait Rikku ??
La pokemon lapine saute d’enthousiasme et bondit vers l’arbre, en attendant le petit groupe. James & moi sourions en voyant le plein d’énergie des filles. J’attrape un papier et en donne un à Yuna. James la prend dans ses bras pour l’aider à écrire son souhait. Quant à moi, que pourrais-je bien mettre. Je ne pense sincèrement manquer de rien et ma vie en est à un point des plus acceptables. J’ai un homme que j’aime, des pokemons en nombre et en puissance, de l’argent et même un but fixe maintenant.
Voila pour moi ! Merci de l’aide James !! On l’accroche le plus haut possible !!! Bien mademoiselle Yuna, grimpez sur mes épaules.
Je souris devant la scène. A peine fini, la revoilà qu’elle recommence à s’amuser avec sa meilleure amie. Je suis bien curieux de savoir ce qu’il y a dans son papier, mais je vais le faire discrètement..
voeu de Yuna:
Cher pokemon des voeux, mon nom est Yuna et j’ai 8 ans et demi ! Un jour prochain, j’aimerais te rencontrer et jouer avec toi. Mais tu dois être très occupée, alors ne chamboule pas ton emploi du temps pour moi.
Je sais pas si tu vois observe, mais le monsieur roux à côté de moi, c’est grand frère Kei ! Ça peut paraître fou, mais il a que 10 ans de plus que moi ! Il est drôle, il est gentil, il joue avec moi et s’occupe de moi. Je l’aime plus que n’importe qui au monde !! La lapine à côté de moi, c’est Rikku, ma meilleure amie et je l’aime fort aussi !! On s’amuse tout le temps ensemble et on dort ensemble et on mange ensemble et on prend des bains ensemble !!
Si j’ai le droit de faire un vœu, alors il serait simple : que Kei soit heureux et trouve un nouvel objectif pour le motiver. Et aussi, que Rikku soit heureuse et devienne encore plus grande et plus forte pour qu’on s’amuse ensemble encore plus !!
Merci Jirachi, déjà de m’avoir lu et aussi, d’essayer de rendre les gens heureux ! À bientôt,
Yuna~
Cette enfant est décidément très inspirée et possède un cœur bien pur. Un nouvel objectif qui me stimulerait ? M’occuper d’elle demande déjà beaucoup d’énergie, mais sent elle que je commence à m’ennuyer des combats dans mon arène.
Enfin, aucune importance, je finirai par mettre la main sur un nouveau défi. Par contre, son petit mot m’a décidé sur mon voeu.
Bien, maintenant que le mien est accroché ici, j’attrape la main de Yuna, on se sourit mutuellement et on reprend notre petit tour en famille, tous ensemble !