Rapidement, vous vous trouvez à être trois avec le même but : libérer vos compagnons qui sont prisonniers de ce merveilleux mécanisme leur permettant de ne pas être dans vos jambes quand vous le désirez. Oui, les pokéballs, vous avez bien compris. Avez-vous conscience de la pression qui pèse sur vos épaules ? Tout repose sur vous, désormais. La survie des autres, la réussite des autres salles, ce retour sur terre, reposent sur vos capacités à trouver et neutraliser ce qui empêche les pokéballs de s’activer.
Il faut s’activer et réfléchir, sans se faire remarquer et ne pas faire trop de bruits, parce qu’autrement, des obstacles se poseraient. Et vous en avez déjà un de taille : trouver l’emplacement (ou les emplacements ? rien n’indique l’individualité de la machine) de ce qui empêche d’utiliser vos pokéballs.
Vous avancez lentement sur ce bateau qui vous promettait merveilles pour finalement vous plonger dans les flammes de l’enfer. Si le temps presse, se précipiter pourrait être mortel. Alors… dépêchez-vous lentement.
Là où vous vous trouvez, le bateau expose toute sa luxure. Un ascenseur se dresse, scintillant, aux bouton de couleur or. Sans doute que c’est du vrai or. Des escaliers se trouvent à votre droite avec une pente et une rampe également. Rappelons-le, c’est un bateau de luxe. Il est évident que tout est pensé pour accommoder le plus grand nombre de personnes, même celles avec quelques particularités. Vous pouvez monter, ou descendre. À votre gauche, il y a un couloir qui mène ailleurs dans le bateau. Rappelez-vous : la discrétion est de mise. Les employées sont tous alertes et prêts à réagir.
Alors… concertez-vous, et décidez où vous allez. Vous prenez l’ascenseur, les escaliers ou le couloir ? Et si vous ne prenez pas le couloir, vous montez, ou descendez ?
Bonjour ! Le groue se compose de Yokoss, Mikhail & Sanzo.
Vous avez exactement une semaine pour poster. La prochaine modération tombera donc le 26 juillet à 2h du matin toujours ! (Heure FR)
Votre modération référent est Lys (coucou c’est moi) et si vous avez des questions, c’est elle qui faut tag !
Résumé du tour de modération : vous devez choisir entre différents chemins. Vous pouvez discuter dans le salon discord pour vous mettre d’accord !
Ils c'étaient donc retrouvé à trois, à devoir fouiller cet immense navire noyé par le luxe, afin de trouver le pauvre petit -ou les d'ailleurs- mécanisme qui les empêchaient d'appeler leurs compagnons. D'ailleurs le gris remerciait Arceus de lui avait fait penser à mettre ses lentilles de contacte, plutôt que d'emporter ses lunettes. C'était toujours plus pratique pour lui. Et moins casse gueule. Une petite pensée d'ailleurs pour sa vieille paire qui n'avait pas survécu à l'avalanche au volcan... Nerveux, le gris continuait de triturer la pokeball de son starter -attaché à une chaine en argent- tout en observant tout ce qui pouvait se trouver autour d'eux. C'était fou à quel point, ce genre de situation était bien plus difficile à gérer, émotionnellement parlant, lorsque l'on ne pouvait pas compter sur un de ses pokemons... Peut-être aurait-il dut demander à Alek' d'attendre à l'extérieur de la salle de réception ?... Inutile de ressasser là dessus de toute façon, ce n'est pas ça qui allait faire avancer le bazar.
Le trio c'était donc retrouvé face à trois chemin possible. Un long couloir, un escalier ainsi qu'un ascenseur. En soit, aussi luxueux soit-il, le gris n'y prêta pas plus attention que ça... A ces yeux, la chose ne faisait même pas parti des possibilité. Il n'était même pas sûr, que le présence par ici soit accepté, et au vue de ce qu'il venait de se passer... Aucun des employé ne devaient faire parti d'éventuelles alliés. Rofl. Dire que le premier massage de ça vie, lui avait été offert par un Mistral...
- J'imagine... Que pourrr que le système de blocage fonctionne surrr tout le navirrre, faut que ce soit placé en hauteurrr non ? - L'argenté n'avait pas parlé bien fort, chuchotant presque, alors que son accent ne l'avait toujours pas quitté... Il faut dire qu'en plus d'être frustré et pas spécialement ravis par la situation -qui le serait ?...- il était quelque peu troublé par les mots que Lise lui avait lâché, avant que chacun parte dans une direction différente... - Ou même plusieurrrs... ?
Le gris jeta un regard derrière eux, observant un instant le chemin d'où ils venaient, avant de regarder les deux autres, tour à tour....
- Je vais à l'étage.
Ne pas se faire repérer donc. Il s'imaginait bien que s'il venait à croiser quelqu'un, ce ne serait pas de simple salutation qu'il se passerait... En tout cas, il porta le regard vers l'escalier, fronçant les sourcils... C'est après avoir finalement lâché la pokeball du démolosse, pour la laisser de nouveau pendre autour de son cou, qu'il se mit en route. Du moins il fit quelques pas, avant de se rendre compte, que ces grosses chaussures de marches là... Si elles étaient bien pratique ne temps normal, elles se montraient quand même bien bruyante. Peut-être en faisait-il trop ? En tout cas il dénoua rapidement les lacés, pour les retirer et finir en chaussettes. Double avantage. Non seulement il ferait bien moins de bruit, mais en plus il avait enfin de quoi taper si jamais la situation l'exigeait. En tout cas il jeta un regard vers ses camarades du jour, leur offrant un sourire plus ou moins navré, avant de finalement s'élancer dans les escaliers...
Bien entendu, Mikhail passa les premières marches rapidement, avant de ralentir et de tendre l'oreille, histoire de ne pas se retrouver nez à nez avec une personne qu'il aurait bien évité. Ce serait quand même bien con, de se faire chopper au premier escalier non ?...
Modération : - Mikhail poses quelques questions sur l'emplacement de l'antenne - Il choisi de prendre les escaliers pour passer à l'étage suivant - Il prend soin de retirer ses grosses chaussure de marche, pour faire le moins de bruit possible eAe... - Il a toujours son accent (Type Russe) eAe
Ma mission auto-proclamée de remettre nos pokéballs en service m’aura pousser à former un trio pour le moins hétéroclite. Une jeune femme en fauteuil roulant dont le nom m’échappe mais dont je suis assez certain qu’elle est également championne, un jeune homme aux cheveux blancs et à l’accent prononcé qu’il me semble avoir déjà rencontré lors d’une précédente catastrophe de type “Mistral Navrant”, et enfin moi-même, champion chétif armé d’un pied de chaise.
Nous arrivons finalement à un croisement. Le choix est multiple : le plat, les marches, ou l’ascenseur. J’éloigne immédiatement cette dernière possibilité : trop évidente et peu discrète. Reste alors les marches et le couloir.
« J'imagine... Que pourrr que le système de blocage fonctionne surrr tout le navirrre, faut que ce soit placé en hauteurrr non ? Ou même plusieurrrs... ? »
J’acquiesce.
« C’est ce que je me suis dit également. Le toit semble être assez évident… »
Pourtant quelque chose me retiens.
On parle quand même d’un gigantesque navire. Est-ce qu’un seul appareil suffirait vraiment à englober tout ça ? Est si c’était le cas, serait-il vraiment placé en hauteur ?
Il faut qu’il puisse couvrir tout le navire. S’il est en haut, il doit être assez puissant et donc visible pour couvrir l’ensemble du bâtiment. Est-ce que ça n’attirerais pas l’oeil, en hauteur ? La prudence les aurait forcé à choisir un endroit discret, auquel cas la cale est l’endroit parfait.
À l’inverse, s’il s’agit d’un engin plus discret, il y a des chances qu’il soit multiple, afin de couvrir l’ensemble du périmètre. Auquel cas nous séparer nous offre plus de chances.
« Je vais à l’étage. »
Je l’observe gravement. Il semble assez intelligent pour jouer la discrétion. J’acquiesce de la tête avant d’observer notre troisième mousquetaire. En temps normal, j’aurais des regrets à laisser une personne à mobilité réduite dans une telle situation, mais le fait est que nous séparer reste notre meilleure chance de trouver le (ou les) brouilleurs. Elle semble cependant très sure d’elle, malgré la situation. J’imagine que je peux lui faire confiance pour ne rien faire de stupide.
Heh. Comme si j’avais le choix.
« Je pense qu’il vaut mieux qu’on se sépare afin d’avoir plus de chance de tomber sur le - ou les - brouilleurs. Mademoiselle, je vous laisse l’étage, je vais fouiller les bas-fonds. »
Suivant l'exemple du cendré je retire mes chaussures pour faire moins de bruit sur le parquet du navire puis, serrant nerveusement mon pied de chaise, je prends l’escalier vers le bas en faisant le moins de bruit possible.
Codage Reira
HRP : - Sanzo vous fait l'honneur d'une discussion et de son génie :handspinner: - Sanzo s'inspire de l'idée brillante de son camarade communiste de l'est et retire également ses chaussures (par contre, il compte bien taper avec son pied de chaise, pas ses godasses) - Sanzo se dirige vers l'étage inférieur - Sanzo n'a pas d'accent particulier
Yokoss Tomiisenshin
Dresseur·euse Nova, Champion·ne d'Arène & Membre Hestia
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Après cette mise en bouche plus ou moins mouvementé les chose sérieuse allait commencer, nous étions au final trois à prendre l'initiative de rechercher la ou les antennes qui nous empêchait de libérer nos pokémons de leurs pokéballs.
Sanzo le champion de type eau , Mikhail le prétendant au titre de champion fieu et enfin moi.
l’objectif était le même et après s'être mis d’accord chacun partait dans la direction de son choix.
J’avais intimement préfère que nous restions groupé, car même si l’un de nous trouvais l’antenne il ne pourra pas prévenir les autres et si il ne s’y connais pas assez ne pourras pas la désactiver
Je prenais la direction du couloir sereinement en faisant bien attention de regarder autour de moi pour ne rater aucun indice suspect qui pourrait me mener a ma perte…. mais avant….
Et si on envoyais l'ascenseur dans un étage random ou personne de notre groupe irais?
Puis l'avancée dans le couloir pouvais enfin commencer, maintenant espérons juste que si je croise du monde que la personne que je croise soit soit un allié sois seule histoire que le je fasse comprendre le langage de la moquette.
Au final J’aurais surement dû Laissé Kyora, Kayl et Luna s’amuser dans l’eau pour la soirée, mais bon ce qui est fait est fait… l’important c’est que mes balls soit toujours avec moi.
Action du tour:
Envoie un l'ascenseur a un étage random autre que le haut du bateau et la cale.
Prend la direction du couloir en roulant prudemment.
Yokoss
Dusk
PNJ
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Discrétion est mot d’ordre. Et vous le prenez bien à coeur. Enlever vos chaussures étaient une très bonne idée. Félicitation !
Mikhail, alors que tu montes en haut, tu atteins un petit palier qui te laisse choisir deux côtés. Deux côtés pour deux couloirs différents. Enfin, c’est ce qu’on peut supposer quand tu regardes les portes qui te font fasse. Tu dois donc réfléchir entre la droite ou la gauche. Mais rapidement ! Parce qu’alors que tu te tiens là, tu peux entendre des personnes qui descendent les escaliers. Si toi, tu fais clairement moins de bruit sans tes chaussures, eux ne sont pas aussi intelligents. Surtout que bon, ils parlent forts. Tu peux les entendre dire qu’Hyouga vont leur faire payer si vous vous enfuiyez, si vous retrouvez vos pokéballs, si, si. Ils paniquent un peu. Autant que vous. Mais ils sont déterminés. Tu n’as pas une minute à perdre. Tu vas où ?
Sanzo, bravo d’avoir suivi l’initiative de Mikhail pour les chaussures ! Les bas, c’est défintivement plus discret… et ça va te sauver. Parce que lorsque tu descends, toi, tu tombes sur une pièce avec une vitrine, qui permet aux personnes dans la pièce d’avoir une vue sur l’escalier. Mais comme tu n’as pas fait de bruits, ils… jouent aux cartes. Très professionnels de leur part, n’est-ce pas ? La vitre ne fait pas toute la grandeur, c’est une petite vitre, à vrai dire. Contrairement à Mikhail, tu ne tombes pas tout de suite sur un autre couleur. Tu as plutôt, et tu peux le voir, si tu continues de descendre un tout petit peu (après avoir passé le bureau), une pièce marquée “personnel autorisé seulement”. Vas-tu aller voir là-bas au risque d’y retrouver un personnel ou chercher l’étage inférieur ?
Et toi, Yokoss, clairement, c’est aussi une bonne idée ! Vous ne pouvez pas le voir, mais l’ascenseur alerte les personnes qui sont à un des étages plus haut. On peut entendre le bruit de leurs pas dans les escaliers tout près et ils vont attendre devant la porte de l’ascenseur… pour la découvrir vide. Alors que tu continues de fouiller le couloir, tu peux observer plusieurs portes qui n’ont rien de marqué. Une porte possède un symbole “toxique” et l’autre dit seulement “entrée interdite”... et une autre porte, à ta droite, n’a tout simplement pas la moindre indication. Tu as aussi une intersection qui te permet d’aller à droite ou à gauche, dans d’autres couloirs… Dépêche. Parce qu’une ombre approche au bout du couloir dans lequel tu te trouves.
Faites attention, vous n'êtes pas des employés. Rien n'indique que les portes sont déverrouillées.
Mikhail, tu dois choisir entre gauche ou droite sur un palier !
Sanzo, toi, tu dois faire attention à ne pas te faire remarquer en passant devant le bureau et choisir entre tenter la porte ou continuer de descendre.
Yokoss, de ton côté, tu as plusieurs choix qui s'offrent à toi : tu as trois portes que tu peux tenter ou alors tu peux aller à gauche ou à droite.
La prochaine modération tombera le dimanche 2 août à 2H AM (si tout va bien uhu)
Retirer mes chaussure aura porté ses fruits : je ne me fait pas détecter au premier virage : joie !
Maintenant l’idée c’est de pas ruiner une victoire si durement acquise. Fort heureusement, j’ai laissé mes allergies à la maison ! C’est donc sans geste brusque que je passe devant la vitrine, le visage détourné afin que mon teint blafard ne me trahisse pas.
Et là, c’est le dilemme.
D’un coté, je me dis que ça serait “trop facile” de déjà tomber sur le brouilleur, de l’autre si tout le personnel est mistral, alors il y à des chances que les lieux réservés au personnel renferment quelques informations.
Mais de toute façon, c’est ça, ou continuer à errer sans but dans un bâtiment capable d’accueillir la broutille de quelques 2000 âmes.
Bon. “Inch’Arceus”, comme ils disent là bas. Serrant fermement ma matraque improvisée, je m’accroupie devant la porte et tente d'entendre ce qu'il se passe de l'autre coté. Idéalement j'aimerait également y jeter un oeil.
Codage Reira
HRP : - Sanzo passe accroupi sans geste brusque devant la vitrine - Sanzo écoute à la porte pour essayer de détecter une quelconque activité de l'autre coté - S'il n'entends rien, il entrouvre discrètement la porte réservée au personnel pour jeter un oeil - Toute qualité de discrétion est laissée à l’appréciation du MJ, célavie - Sanzo a toujours un pied de chaise, pour le meilleur et pour le pire
Ils c'étaient donc séparé, après qu'il aie eut quelques réponses de la part du champion de type eau... Au moins ainsi, ils seraient plus difficile à être détecté... Mais d'un autre côté, ils allaient être moins efficace en cas de capture. Mikh' avait donc grimpé les escaliers, dans l'idée de rejoindre l'étage suivant, puis éventuellement passer à la suite, afin d'arriver au plus haut du navire. D'ailleurs... A devoir se montrer aussi discret, il avait l'impression d'être de retour dans le passé, où il rentrait un peu -beaucoup- en retard, et que sa mère l'attendait de pied ferme... Sauf que bon. Ce n'était pas une gueulante, ni même une punition quelconque qu'il risquait aujourd'hui. Et même si c'était moins dangereux qu'une avalanche... Non, l'argenté n'en menait pas large, tenant fermement sa paire de chaussure. Des bruits l'avaient rapidement interpellé, alors qu'il c'était engagé sur la deuxième partie de l'escalier. Des pas de courses rapide, des voix, des mots qui n'étaient pas vraiment rassurant. Ils étaient à leur recherche -logique en somme- et ne semblaient pas vraiment prêt à subir le courroux de leur chef. Hyouga. A la simple évocation de ce nom, l'argenté en eut un frisson... Il en aurait d'ailleurs presque compati sur le sors des gars.
Bref, pas de temps à perdre. Redescendre ne servirait à rien, si ce n'est à précipiter sa capture. Monter était donc plus que malvenue. Il restait donc deux possibilités sur ce pallier. La porte gauche, ou la porte droite. Et les deux étaient bien entendu fermée. Le fait qu'elles puissent être verrouillée ne lui effleura d'ailleurs pas l'esprit, un seul instant. Poussé par le temps, par ces types qui descendaient bien trop rapidement à son gout, il n'avait pas cherché bien loin, en fonçant directement vers la porte de droite... La première qui avait attiré son regard, la plus proche de lui à ce moment précis...
Modération : - Mikhail Tente la porte de droite. - Il tâchera de refermer la porte derrière lui, le plus rapidement dans la lenteur pour ne pas faire de bruit (d'abord rapidement puis lentement pour étouffer le "clac") s'il parvient à l'ouvrir
Ma recherche dans la bateau avais commencé, je m'étais retrouvé dans un couloir avec beaucoup de possibilité de recherche, mais une ombre inquiétante commençait a s’approcher du couloir dans lequel je me trouvais alors une décision rapide devait être prise.
La porte la plus “Safe” semblait être la porte sans indication, ce serait dommage de se retrouver devant une porte fermé alors par pur logique, éviter les portes avec des écriteaux dessus était le meilleur des choix.
Progresser à droite ou à gauche sans information sur ce qui se trouve devant moi serait du suicide alors ma décision était prise.
Dans un sprint en chaise rapide et discret je m’élançais dans le couloir en manoeuvrant avec habilité mon fauteuil, arrivé devant la porte avec l'écriteau “entrée interdite” je l’ouvrais légèrement et discrètement sans y entrer avant de me précipiter vers la porte sans inscription pour m’y abrité discrètement.
La porte avait été ouverte avec douceur et silence avant d’être refermé discrètement, sans pour autant quitté des yeux l’intérieur de cette pièce histoire de ne pas alerté de ma présence si des personnes n’avais pas encore prêter attention à mon intrusion furtive dans la pièce.
Action du tour:
J’ouvre la porte entrée interdite de manière à penser qu’une personne vient d’en sortir avant de me diriger vers la porte sans inscription.
Je prend la 3ème porte en l’ouvrant discrètement.
Je la referme doucement en évitant de faire du bruit.
Yokoss
Dusk
PNJ
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Trop facile… tu as raison, Sanzo. Ce serait clairement trop facile, trop simple de tomber directement sur le brouilleur. Félicitation ! Tu parviens à passer sans te faire remarquer… quoique, leur partie de cartes semble clairement plus important qu’autre chose. Quel professionnalisme, vraiment. Ça mériterait une bonne leçon. Comme une explosion. Non ? Mauvaise idée ? (La MJ admet que c’est une mauvaise idée). Il n’y a pas de bruits distincts dans la pièce. Silence radio. Alors tu ouvres la porte. Tu as le temps d’observer une pièce qui n’est pas très vaste, une sorte de … « débarras à papier désorganisé » mais quand même assez organisé pour ne pas être dans un foutoir total. Ton regard se pose sur un tout petit bureau où trônent des papiers illisibles et une clé. Mais tu n’as pas le temps de faire un pas de plus qu’un truc te tombe dessus. C’est un Ambipom qui semble décider à t’emmerder et… faire du bruit. Il attrape la clé, d’ailleurs, et tu peux y voir rapidement une inscription sur cette fameuse clé. Mais il te faudra l’attraper pour mieux la voir… et rapidement, pour ne pas te faire remarquer.
Mikhail, de ton côté, tu tombes sur un autre couloir. Ta rapidité te permet d’échapper aux membres de l’équipage qui continuent de descendre les escaliers. Tu peux les entendre parler plus ou moins distinctement. « On nous attend dans la salle des machines ! » est la seule phrase que tu parviens à véritablement comprendre, néanmoins. Maintenant.. regardons où tu te trouves. La première porte que tu vois, la plus près, porte un symbole de toilettes. Pour femmes. T’y vas ? (Espérons que y’ait pas d’employées si tu y vas) D’autres portes ont simplement des numéros et des lettres. Une porte un peu plus loin possède un tableau aux formes étranges peintes dessus, qui rappellent fortement les tableaux de la salle de réception. Une autre porte a directement un symbole pokémon dessus, comme le symbole des toilettes, mais un pokémon à la place. Que tu ne connais pas. Puis, tout au fond, tu as une porte qui donne sur des escaliers.
Tu avais envie d’une pause Yokoss ? Parce que c’est sur une cuisine que tu tombes. Tu peux te faire un café, prendre une viennoiserie. Mais je te conseillerais de ne pas trop tarder… sans sortir tout de suite. Parce que tu peux entendre des pas dans le couloir, des voix un peu trop faibles pour être comprises et une porte qui se referme. Si tu tends l’oreille vraiment fort, tu peux même croire entendre une serrure qui se verrouille. Dans la cuisine, il y a des tiroirs. Mais la majorité possèdent des verrous et sont… en effet verrouillés. Il y a une toilette aussi, la porte est ouverte, mais la lumière est éteinte.
Sanzo, tu as un nuisible : un Ambipom qui attrape la clé de ce qui semble être une salle d'archive. Tu dois t'en débarrasser.
Mikhail, tu te retrouves dans un autre couloir, et tu as encore plusieurs portes de possible. Certaines ont que des chiffres et des lettres, une est... une toilette pour femme, une porte un tableau semblable à ceux de la salle de réception, une porte seulement un symbole de pokémon et finalement, la dernière donne accès aux escaliers.
Yokoss, tu tombes sur une cuisine. Café ? Viennoiserie ? Il y a aussi une toilette.
Vous avez jusqu'au dimanche 9 août à 2H AM pour répondre
Mikhail avait réussi. Il c'était rapidement glissé par la porte de droite, et l'avait refermé derrière lui, avant de se coller au mur à côté de celle-ci, le coeur battant. Bordel... Le gris retint d'ailleurs un instant son souffle alors qu'il entendait les deux employé passer, tout en continuant de parler fortement et... Ils étaient attendu dans la salle des machines ? Pourquoi ? Il tenta de tendre un peu plus l'oreilles, mais ne parvint malheureusement pas à obtenir plus d'information. L'idée même de ressortir pour tenter de les suivre lui traversa l'esprit... Un instant. Avant de se rendre compte qu'il n'avait même pas regardé dans quoi il venait de mettre les pieds... Ou même, s'il y avait des gens pour le réceptionner. Heureusement, un rapide coup d'oeil a l'opposé de la porte, lui signala qu'il était bel et bien seul ici. Du moins, dans cet espèce de couloir, qui regroupait un tas de porte.
Aussitôt, il en oublia presque les types qu'il voulait suivre, quelques secondes auparavant, se demandant à quel endroit il avait finit par atterrir. C'est en tournant la tête sur sa gauche qu'il aperçu donc le dessin sur la première porte. Ou plutôt le logo des toilettes pour femme. D'ailleurs, il s'attendait à voir celle pour les hommes juste à côté mais... heu... C'était où ? Ah ! Et maintenant qu'il y pensait, il ferait mieux de se grouiller les moches, au cas où quelqu'un sortirait de là... Aussi silencieusement qu'il le pouvait, Mikh' se remit en route, observant chacune des portes et... S'arrêtant sur deux en particulier. L'une arborant un tableau bien étrange, rappelant un peu ceux exposé dans la salle de réception... Et l'autre, avec un logo. Celui d'un pokemon qu'il ne connaissait pas. Une créature qui ne devait sans doute pas être un pokemon feu, en ce cas. A dire vrai, ce qui l'intriguait plus, c'était la présence de ce logo. Sur cette porte. A la manière de celui qui présentait des wc. Des toilettes pour pokemon ? l'idée manqua de le faire rire, mais il parvint à s'en empêcher, posant un instant une main sur sa bouche.
Bon, ou aller maintenant ? La question ne se posa guère longtemps. Il jeta un œil sur la porte au tableau, avant de s'avancer vers celle qui portait le logo pokemonesque. Peut-être y avait-il un pokemon enfermé ?... Bon, ok. Si c'était le cas, il allait bien douiller. Mais d'un autre côté, il pouvait y avoir autant d'information utile là dedans que dans l'autre pièce. Enfin, dans tout les cas, il avait bien l'intention de visiter les deux endroits. Enfin, s'il en avait l'occasion. Mikhail observa autour de lui, un instant, avant de poser l'oreille sur la porte au pokemon. Il tenta ainsi de capter un bruit, un mouvement qui trahirait la présence d'employé quelconque... Ce serait un peu con tout de même, d'être arrivé jusque là, pour se faire chopper en entrant dans une pièce sans faire attention... heu... Attendez... C'était pas ce qu'il venait de faire juste avant ?....
Modération : - Mikhail se dirige vers la porte au logo pokemon et tente d'essayer d'y entendre un bruit y provenant. - S'il n'entend rien, il tentera d'y entrer, pour voir ce qui s'y trouve Et la curiosité tua le chat - Il est toujours en chaussettes et armé de sa paire de botte de marche au cas où eAe
Mon regard balayait la cuisine dans laquelle je venais d'atterrir, les bruits de pas semblait s’éloigner mais valait mieux rester prudent.
Armé de mon portable et de son flash j’explorais la cuisine, qui semblait avoir vu une grande partie de ses tiroires condamnés.
J’avais éviter d’allumer la lumière de la pièce pour ne pas attirer malencontreusement l’attention sur moi.
Après avoir fais un rapide tour de la cuisine je me dirigeais vers ce qui semblait être des toilettes dans une cuisine… Intrigant non? Niveau Hygiène ce n’est pas top.
Le temps que les personnes dans le couleurs s’éloigne une exploration des toilettes pouvais être lancé! après tout le fameux papier toilette au feuille d’or pourrait s’y trouver !
Action du tour:
J’observe la cuisine en faisait attention à ne rien faire tomber.
je fais attention à ce qui se passe à l’extérieur
Je met le feu à la cuisine
Je me dirige vers ce qui semble être des toilettes dans une cuisine.
J’utilise le flash de mon portable pour m’éclairer.
Alors même qu’il n’y avait aucun bruit dans la pièce, un excité du bulbe me tombe sur le coin de la trogne et me pique immédiatement le point d’intérêt de la pièce. Moi qui espérer faire le tour des collectables du navire, m’en voilà fort marri !
Fort heureusement, les excités du bulbe, j’en ai un et demi à la maison (Kei ne compte plus que pour un demi maintenant, mais Yuna compense sa petite taille par… Et bien par elle même). La technique est simple : captation, distraction, dispersion.
J’entre dans la pièce sans trop de bruit et referme la porte derrière moi, puis commence à m’adresser à lui… Ma foi comme à un enfant : doucement, expressions faciales facilement visibles et lisibles, grand sourire, tout bas et en articulant très le beaucoup.
Je lui chuchote donc :
« Heeeeey, comment tu va ? Tu va bien ? Tu. Va. Bien ? Mais oui il va bien ? Kicékivabien ? Mécétoua ! Méoui ! Cétouakivabien ! Tu veux voir quelque chose de rigolo ? »
Captation : check. Maintenant faut que je prépare la distraction. Mes options sont assez maigres. J’ai laissé mes godasses à l’étage (et je doute que ça l’aurait intéressé de toute façon); je ne connais pas son degrés d’allégeance (ni même son allégeance tout court en fait) donc lui confier mon gourdin de fortune s’avère et espérer qu’il aille jouer ailleurs avec, c’est un peu comme confier des codes nucléaire à un businessman septuagénaire qui aurait abusé sur autobronzant (en application dermale ET buccale) et espérer que tout se passe bien (quand bien même c’est la meilleure idée que mon narrateur ai pu trouver de lui même); et comme c’est un peu tout ce que j’ai embarqué avec moi (et qu’il est hors de question que je lui confie mes pokéball, aussi inutilisables soient-elles, pas plus qu'il n'est envisageable que je le frappe mon pied de chaise (un sbire mistral ? Tous les jours ! Mais un pokémon ? Pas question.), je suis obligé d’improviser avec les moyens du bords à ma disposition dans cette pièce, à savoir : le papier !
Fort heureusement, je dispose d’un talent peu connu mais ô combien utile dans cette situation. J’ai nommé : L’ORIGAMI !
C’est faux.
Mais tout le monde sais faire un avion en papier, ça devra faire l’affaire.
Je m’applique donc à la tache à grands renforts de mimiques ridicules et d’onomatopées forcées, de “wouush”, de “zooom”, de “pwaaaa”, mais tout ça chuchoté. Chuchoté avec insistance, certes, mais chuchoté.
Après tout, qui ne serait pas discret quand il s’agit de distraire un pokémon afin d’obtenir un quelconque objet d’intérêt dans une situation où le moindre bruit généré par son interlocuteur ou soit même serait une question de vie ou de mort, pas vrai ?
Sortez moi de là.
Bon, c’est le moment de vérité (autant pour la qualité de ma distraction que pour celle de sa conception).
« Tu es prêt ? Regarde, regarde : “zouuuu” ! »
Oui, j’ai beau être dans une panade pas possible, je varie mes onomatopées. Un peu de professionnalisme, que diable ! Sur ce, nous suivons maintenant l’aventure formidable de l’avion en papier qui file au travers de la pièce sous les regards d’un pokémon (je l’espère) captivé et d’un humain dont le scepticisme n’a d’égal que l’auto-navrance de cet acte désespéré.
Codage Reira
HRP : - Vous venez de lire 523 mots sur la genèse d'un avion en papier. - Sanzo tente donc, premièrement, de capter l'attention du Capidextre comme on capterait celle d'un enfant, puis de le distraire avec un avion en papier. - L'idée, bien que meilleure que la mienne, venant de Kei, il me semble que ce n'est que justice qu'en cas d'échec, c'est lui qui en subisse les conséquences - Non. Vous n'aurez pas mon pied de chaise.
Dusk
PNJ
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Que de bons choix Mikhail… Pas de bruit dans cette salle. Tu as tout juste le temps d’y entrer avant d’entrer le robinet des toilettes qui étaient au tout début du couloir, te laissant comprendre que tu aurais fait fasse à un employé si tu y avais été. Quant aux autres salles… elles étaient verrouillées. Tu as donc fait le bon choix. Cette pièce ? Elle est vide en grande majorité. Elle montre des tableaux, tous pleins de tableaux. Le plus gros tableau de la pièce ? Tu peux reconnaître l’endroit, Mikhail. Le volcan. Le volcan glacé. Encore une fois, on vous présentait un Lumiris sous le couvert de la neige. Il y a un meuble à tiroirs. Dans un des tiroirs, il y a tous pleins de papiers. Dans le deuxième, une corde, et des fils de canne à pêche. Des babioles qui ne semblent pas intéressantes. Dans les papiers : une carte. Enfin, pas vraiment une carte, mais des notes. Au-dessus, juste au-dessus. Que vas-tu faire de cette information ? Une photographie est là, également. C’est un couloir. Il te semblerait presque l’avoir vu… Quand on te montrait le bateau. Saurais-tu le retrouver ? Est-il seulement important, ce couloir ? Que vas-tu faire ? Chercher à trouver le couloir, ou fouiller davantage la pièce ?
Merci de ne pas foutre le feu, Yokoss. Franchement, je pense que tous les autres passagers aimeraient pouvoir revoir leur tendre Lumiris un jour ! Malheureusement pour toi, pas de papier de toilettes en or dans la salle de bain – qui est belle et bien une salle de bain. Même si j’admets que niveau hygiène, on a connu mieux. À la lumière de ton téléphone, tu peux observer un comptoir qui laisse entendre qu’une employée (au féminin oui) est passée récemment et… devrait revenir bientôt. Puisqu’il y a une brosse à cheveux, du maquillage qui traine et un pass. Tu ne sais pas où il mène, tu ne sais pas ce qu’il ouvre, mais clairement, y’a des risques pour que l’employée revienne si tu ne te dépêches pas. Surtout qu’elle n’a pas rangé son bazar.
Et toi Sanzo… remercie Kei ! Parce que l’avion en papier, bah ça ne fait pas que fonctionner sur les enfants, mais sur les pokémons turbulents également ! Il te regarde avec de grands yeux, se demandant si t’es capable de faire autre chose. Il tend la main en laissant tomber la clé sur le sol. Donne l’avion, donne ! Il saute sur le sol pour aller chercher un autre papier et te le ramener. Encore, encore ! Un enfant… tsss. J’ai déjà dit ne pas aimer les enfants ? C’lui-là est vraiment chiant. Mais passons. Tu prends la clé. Sur la clé, une inscription… 9-DR. À toi de voir si tu vas savoir quoi faire avec cette simple information.
Mikhail : tu peux fouiller le couloir, ou fouiller les papiers. Tu as une indication : "Au-dessus, juste au-dessus"
Yokoss, dans la salle de bain, tu as un pass sans pouvoir savoir à quoi ça sert ou pas. Mais c'est clair que l'employée va revenir le chercher.
Sanzo, toi, tu distrais le pokémon qui veut que tu lui refasses des avions en papier. Et tu as la clé avec une inscription : 9-DR.
Vous avez jusqu'au dimanche 16 août à 2H AM pour répondre
Yokoss Tomiisenshin
Dresseur·euse Nova, Champion·ne d'Arène & Membre Hestia
Messages : 2035 Née le : 27/02/1996 Age : 28 Région : Kanto Pokédollars : 6417 Stardust : 7281 Stardust utilisés : 6419 Equipe pokemon : Icone :
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Après avoir repérer les objets objets important c'est a dire la dernière gamme de maquillage "Gardevoir car tu le vaux bien" et accessoirement le pass que je range dans un des mes rangements secret, mon accoudoir je sort discrètement de la cuisine en vérifiant que le couloir soit bien vide avant d'y retourné et de fermer si possible a clé la porte de la cuisine histoire de ralentir la progression de l'employé vers la récupération de son pass et de son Précieux maquillage.
Je m'avançais alors rapidement vers la salle ou entrée interdite était indiqué avant d'essayer de voir si il y avais du monde avant d'y entrée si j'avais la certitude qu'il n'y avais personne, si no direction la porte avec le symbole toxic et le meme exercice serais fais, vérifier si il n'y a personne dans la pièce avant d'y entrée.
Action du tour:
Je récupère tout ce que l'employé a laissé sur la table.
J'écoute ce qui se passe hors de la pièce avant de sortir et être sur qu'il n'y a personne pour prendre la direction de l'entrée interdite et de vérifier si il y a du monde dedans avant d'y entrée si non je prend la direction de la seconde porte avec un symbole toxic dessus et de faire la même chose.
je ferme aussi correctement la porte de la cuisine et si il y a possibilité de la fermé a clé je le fais.
Pas de bruit ? Parfait. Le gris attrapa la poigné de porte et ouvrit la pièce, avant d'y entrer en tentant d'observer les lieux, histoire de ne pas se faire prendre. C'est d'ailleurs pendant son observation, que son oreille capta le bruit d'un robinet qu'on ouvrait... Perdant sa concentration sur ce qu'il faisait, il c'était arrêté un instant, regardant derrière lui en comprenant qu'il n'était pas seul, puis finit d'entrer en refermant derrière lui, avant de s'appuyer contre la porte. Le gris murmura quelques insultes dans une langue étrangère avant que son attention soit de nouveau happé par cette pièce. Une pièce bien vide, pour la taille qu'elle faisait, mais avec beaucoup de tableau. Et s'il c'était montré intéressé et admiratif devant tout ça... Son regard s'assombrit bien rapidement, alors qu'il tombe sur le plus grand d'entre eux... Un tableau représentant un lieu qu'il connaissait que trop bien, pour avoir grandit sous son ombre... Le volcan Eneka. Sa poigne se ressert un instant sur les bottes qu'il n'avait pas lâché, alors qu'il serrait les dents... C'était étrange, comme un simple tableau, sonnait tel une provocation... Ce volcan qui comptait tant pour lui... Ce volcan qui y avait vue sa meilleur amie s'éteindre aussi. Oh qu'il espérait, pouvoir un jour lui faire payer. A Hyouga. Pour Kyoko. Et pour tout les autres aussi...
Mikhail secoua vivement la tête. Ce n'était pas le moment de fulminer. Rapidement il c'était remit en mouvement, s'approchant du meuble à tiroir qu'il entreprit de fouiller. Des babioles en tout genre, de la paperasse et... Oh ! Une corde et du fil de pêche... ? Pourquoi pas. Il attrapa le fil de pêche qu'il glissa dans sa poche, et récupéra la corde, qu'il glissa entre sa main et ses chaussures. Ça pouvait toujours servir. Puis il s'intéressa à la paperasse. A cette note en particulier, qui parlait du dessus ? Du dessus de quoi ?... Puis il y avait une photo qui l'accompagnait. Celle d'un couloir qu'il avait déjà vue. Mais où... Jetant un oeil en direction de la porte, il récupéra le papier et la photo, qu'il glissa dans l'une de ses poches, avant de se tourner de nouveau vers les tableaux. C'était bizarre. Autant de tableau dans une pièce. Non ?... Tant qu'il était ici, il valait mieux continuer de fouiller, le plus possible. L'idée était de vérifier, derrière les tableaux. Voir s'il n'y avait pas quelque chose de cacher derrière. Tout en faisant attention de ne pas les faires tomber, ou de déclencher un truc qu'il ne souhaitait pas. Après son passage dans les ruines piégé d'Akeos... Il avait tendance à faire attention sur ce point... Il voulut aussi vérifier le dessus du tableau principal, celui du volcan. Au cas où. Juste au cas où... Avant de vérifier s'il y avait d'autre truc à fouiller, en hauteur notament...
Modération : - Mikhail Récupère la corde, le fil de pêche -ça peu toujours servir. Toujours...- ainsi que le papier et la photo. - Il prend le parti de fouiller un peu plus la pièce, en vérifiant derrière les tableaux (tout en faisant attention, au cas où) mais aussi au dessus du tableau du volcan gelé. - Il tentera de fouiller d'autre truc à fouiller s'il y en a, prenant soin de vérifier qu'il n'y a pas des trucs intéressant à voir... En hauteur.
Fout-AHUM !-Fichtreciel ! Il apprécie tellement l’avion en papier que non seulement il en lâche la clé, mais en plus il m’en redemande un deuxième !
Du coin de l’oeil je lis l’inscription sur la clé alors que je lui construit un deuxième jouet : 9-DR. J’imagine que c’est mieux que rien. Oui, mécékoidon ?
Je fini le second avion et le lui lance. Rapidement, j’en fait deux autres. Prêts pour la Dispersion ? Je range la clef dans ma poche.
« Amuse toi bien ! Woush ! Zouuu ! »
Je lance les avions numero 3 et 4 (que j’ai nommé respectivement Alison et Klaus (WINK WINK)) à deux coins de la pièce, puis m’éclipse discretement par là d’où je suis venu.
Bon. En l’absence d’autres indices, je n’ai pas mieux à faire que de me diriger vers l’étage 9. Et DR… Droite ? C’est assez vague… Bah, je verrais en arrivant. Je me demande si je vais recroiser un de mes compagnons sur le chemin.
Codage Reira
HRP : - Sanzo distrait la Capidextre avec un total de non pas un, ni deux, ni trois, mais bien 4 avions en papier avant de sortir discrètement de la pièce - Il se dirige ensuite vers l'étage 9 du bâtiment. - Il va sans dire qu'il continue d'observer les règles basiques de survie : rapidité, silencieuseté et gardage de pied de chaise...-té.
Dusk
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Félicitation ! Tu viens de récupérer du maquillage et un pass. À quoi peut-il servir ? Seul le temps le dira… mais, ce n’est jamais une mauvaise idée d’avoir un pass d’un employé du bateau. Malheureusement pour toi, non, aucun moyen de verrouiller la porte. Aucun moyen de la fermer à clé parce que.. il te faudrait une clé que tu ne possèdes pas. Mais ce n’est pas grave, si ? T’as un pass et du maquillage. Lorsque tu entres dans la pièce avec un symbole toxique – seule pièce sans verrou, c’est une odeur forte que tu ne peux pas décrire qui te prend à la gorge.. Est-ce que y’a eu fuite d’un quelconque produit ? Pour le moment, tout va bien, tu te sens bien, mais qui sait.. Il y a une bibliothèque vide, l’emplacement est presque vide si ce n’est un tableau blanc où l’unique terme marqué est « mach’ ». Rien de plus, rien de moins. Même pas un mot complet.
Quant à toi Mikhail, « au-dessus ». Oui, c’est vaste… mais n’oublies pas que souvent, les réponses sont plus simples qu’on s’y attend. Quand tu fouilles, tu peux mettre la main sur un autre papier où les lettres semblent… former un mot, mais il est très difficile à décrypter. « es » et « ier » sont les seules lettres que tu parviens à obtenir. Il va falloir composer avec ça. En hauteur… tu tombes sur deux gros yeux qui t’observent. Tu as le temps de cligner des yeux pour reconnaître un Chenipan qui ne semble pas du tout motiver à bouger, mais qui.. sans prévenir, enroule ta main de sa soie.
Et Sanzo, bravo ! Le pokémon court après les avions en papier que tu lui lances, te laissant la possibilité de sortir de la pièce sans trop de difficulté. Ce que tu ne vois pas – et ce que tu aurais peut-être trouvé amusant de voir – c’est ce pokémon qui se prend le mur en pleine face parce qu’il a tenté d’attraper Klaus. Malheureusement : tu ne croises personne. Ou plutôt heureusement ? Vu que les employés ne semblent pas décider à se mettre au travers de votre chemin… ou peut-être sont-ils trop occupés à se faire tabasser ? Quoiqu’il en soit, tu peux aller à droite ou à gauche lorsque tu arrives sur le palier de l’étage 9.
Yokoss, tu récupères le maquillage et le pass. Dans la salle "toxique", une odeur forte t'étouffe même si tu ne trouves pas sa provenance. Sur un tableau blanc, le mot (c'est vite dit) "mach'" est écrit.
Sanzo, tu te rends sans difficulté au palier du 9è étage. Droite ou gauche ?
Mikhail... regarder en hauteur fait que ta main se retrouve prisonnière de la soie d'un Caterpie qui t'avait soigneusement observé tout ce temps.
Rien n’attire vraiment l’oeil… dans la relative “sobriété” d’un couloir de bateau de plaisance, bien sur.
N’ayant toujours pas plus d’indications, je me dirige vers la droite.
J’imagine que la clé n’ouvre pas n’importe quelle porte, mais comme je ne peux pas vraiment me permettre de risquer de perdre du temps ou de rater la porte, j’essaye doucement de rentrer la clé dans toutes les serrures que je trouve. Quelqu’un y trouverai sans doute une métaphore sexiste, mais moi, j’ai pas le temps.
Codage Reira
HRP : - Sanzo va à droite - Il tente de se servir de la clef dans toutes les serrures qu'il vois - Lorsqu'il trouve la serrure correspondante (enfin, SI il la trouve), il l'ouvre
Bon, il ne semblait pas avoir grand chose de plus par ici. Si ce n'était ce bout de papier à l'écriture de médecin, et ces deux yeux qui... Heu... Attendez ? Le gris se figea net, lorsqu'il se rendit compte face à quoi il venait de se retrouver. Un. Chenipan. Bloqué dans une immobilité imputé par la peur, il finit simplement par se reculer vivement, le cœur battant, alors que la créature venait de lui balancer une attaque sécrétion sur sa main droite... Heureusement, le gris avait tendance à se murer dans un silence qui ne lui ressemblait absolument pas, lorsqu'il était prit de panique... Alors après avoir reculé en quelques bonds, il c'était mit à secouer sa main, dans l'espoir de la libérer de sa prison, finissant par arriver au niveau de la porte...
- Toi... tu.... Hmph !
Murmure mêlé de peur et de colère, alors qu'il n'avait pas lâché l'insecte des yeux... Bordel ! Il se mordit les lèvres, se retenant tant bien que mal d'hurler toute les insultes possibles et imaginable contre la créature, avant de finir par se décider à quitter tout bonnement les lieux. Non. Il était absolument HORS DE QUESTION, de rester plus longtemps dans la même pièce que cette chose...
Sans attendre, il avait ouvert la porte et s'était extirper de la zone, tout en essayer de libérer sa main -et toujours avec sa corde et ses bottines. Ce n'est qu'après avoir fermé derrière lui, qu'il se rendit compte que peut-être, il aurait dut vérifier que le chemin était libre... Collé à la porte de la pièce maudite, il c'était donc de nouveau figé, à observer les lieux, ce couloir qu'il avait longé quelques minutes auparavant... En tout cas, une chose était sûr. S'il avait le champ libre, il savait exactement où aller. Soit, quitter la zone, pour se diriger vers l'étage du dessus. Tant qu'à faire...
Modération : - Mikhail se fait bully par un Chenipan. Il a toujours su que les insectes étaient fourbe et mauvais eAe - Il Quitte donc rapidement la pièce, guidé par la peur qui c'était soudainement emparé de lui. - Si chemin libre. Mikhail va tenter de passer à l'étage suivant (par les escaliers du fond du couloir) - Il essaie de se débarrasser de la soie qui enveloppe sa main droite... Spas pratique pour un droitier...
A peine entrée dans la pièce une immonde odeur venais envahir mes narines, par réflexes je bloquais ma respiration avant de reculer prudemment dans la couloir pour avoir accès a de l'air frais et de faire un tour rapide la pièce en mettant mon chal autour de mon visage pour camoufler cette horrible odeur.
Après avoir pris notes des quelques infos présent dans la pièce Yokoss quita la pièce en pleine réflexion.
"Le mot mach signifie quoi...? le nom du produit qui créer cette odeur ou un mot de passe? ou alors la vitesse de quelques chose... si un quelques chose dans ce bateau peux atteindre mach c'est un pokémon et rien d'autre a mon humble avie... sauf si un avions de chasse super sonique soit dissimuler sur le navire et que nous somme en réalité sur un porte avion..."
Enfin bon Yokoss se disais ça surtout pour éloigné la possibilité que quelques chose soit capable d'attendre cette vitesse sur le navire.
Après avoir inspecté la pièce assez rapidement et laissé la porte de celle ci grande ouverte histoire de partagé l'odeur avec le reste du navire elle inspecta la dernière porte pour voir si celle ci était garder ou si un code ou un pass était demandé.
Si la dernière pièce ou entrée interdite était inscrit était disponible et sans risque visible ou audible , elle y rentrera pour la fouiller si non direction le couloir de gauche discrètement et rapidement.
Action du tour:
Yokoss se couvre le nez avec son chal.
Yokoss ressort prudemment de la pièce en la laissant grande ouverte.
Yokoss prend la direction de la dernière porte non visité, avec un peu de chance quelques chose dont j'ai besoin si trouve.
Si la porte est verrouiller: tentative d'utilisé le pass après avoir vérifier qu'il n'a personne dans cette pièce,si non direction le couloir a gauche car il faut toujours aller a gauche sauf quand il faut aller a droite.
Yokoss
Dusk
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Sanzo, tu ne trouves pas ça risqué d’essayer toutes les portes ? Certaines s’ouvrent sans être verrouillées, mais quelque part : tu te doutes qu’avoir un clé laisse entendre que la porte est verrouillée. Et ta recherche porte ses fruits. À un moment, la clé s’enfonce dans la serrure et quand tu la tournes, tu peux entendre un déclic. Un merveilleux déclic. Tu pousses la porte doucement, t’assurant que personne ne soit là – comme pour absolument toutes les autres pièces que tu as traversées jusqu’à aujourd’hui – et… personne. Par contre : sans doute que des employés vont débarquer à un moment. Un regard circulaire à la pièce te permet d’observer une imposante machine qui serait très difficile à décrire, mais seulement être près d’elle suffit à te donner un mal de tête horrible : clairement, c’est la source du problème. Source du problème que tu rayes de la liste puisqu’après de longues minutes de recherche, tu trouves un moyen de mettre hors d’état de nuire cette machine.
Mikhail, belle rencontre, non ? Un insecte qui décide que ce n’est pas fini parce que, sans que tu le remarques, il s’est attaché à toi avec sa soie et est désormais… en train de flotter derrière toi au rythme de tes mouvements. Beau traumatisme en vue. Par chance, en dehors du poids lourd que tu te traines désormais, le chemin est libre et tu peux tout à faire monter les escaliers et tu te retrouves avec un choix que tu connais si bien : droite ou gauche ? Parce que tu peux autant aller d’un côté que de l’autre. Ou réaliser que tu as un Chenipan qui flotte dans les airs… et grimpe désormais sur ton épaule. Il s’est pris d’affection pour toi. Tu ne trouves pas ça mignon ?
Yokoss, malgré le tissu qui recouvre ta bouche, tu peux doucement te sentir légèrement étourdie et fatiguée. Tu ne sais pas ce qui s’est échappé et ce qui provoque cette substance gazeuse, mais tu sais qu’elle n’est pas inoffensive. Quant à savoir si elle pourrait tuer… évitons de le découvrir, veux-tu ? Attention ! Plus un geste. Alors que tu te diriges vers la porte (verrouillée, par ailleurs – et le pass ne l’ouvre pas ), tu vois des employés descendre en catastrophe. « Il va nous tuer si quelque chose se passe là-bas ! » Tu peux entendre cet éclat de voix tout simplement avant de te tourner pour tenter d’ouvrir la porte, en vain. Le couloir à gauche est le même que tous les autres couloirs, à la différence peut-être d’un plan du bateau sur le mur. Mais autrement, c’est toujours un endroit avec plein de portes. Tout plein de portes.
Sanzo, tu finis par ouvrir une porte et tomber sur une machine. Par soucis de bon fonctionnement du pont, tu parviens à la neutraliser. Comment tu le fais est libre à toi, mais hésite pas à me poke en DM si tu veux !
Mikhail, le chenipan ne veut décidément pas te lâcher et est désormais sur ton épaule alors que tu dois décider d'aller à droite ou à gauche à l'étage supérieure.
Yokoss, la substance étrange parvient à te rendre étourdie et fatiguée alors que tu observes un couloir somme toute assez semblable aux autres. Même s'il y a un plan du bateau sur un mur.
Vous avez jusqu'à dimanche 30 août, 2AM pour répondre
Cette sordide machine que je ne saurais décrire car on ne me l’a même pas décrite parce que de toute façon elle était trop compliquée à décrire a cessé de fonctionné après que j’ai fait cette chose que je ne saurai décrire vu qu’on ne me l’a pas décrit alors que c’est moi même qui l’ai fait !
Qui a dit que la vie était compliquée ?
Bon, tout ça c’est bien joli, mais si quelqu’un passe derrière moi et fait l’inverse de cette chose que je ne saurai décrire quand bien même je l’ai faite et remet cette machine que je ne saurais décrire car on ne me l’a même pas décrite parce que de toute façon elle était trop compliquée à décrire en marche, ça ne sert pas à grand chose.
Je l’aurai bien mise hors service avec un Ultralaser, ou quelque chose dans le genre, mais mon ange d’épaule aurait répliqué en disant quelque chose du genre “gneugneugneu mais tention si ça explose ça fout le feu kskskks” ou whatever. Je déteste quand il a raison.
Du coup je pars sur une solution plus subtile et fais sortir Ganozunozu.
« Lance Vampigraine sur cette machine que je ne saurais décrire car on ne me l’a même pas décrite parce que de toute façon elle est trop compliquée à décrire »
Visiblement peu étonné par mon ordre particulièrelent spécifique, le Parasect se bouge les spores sur un rythme endiablé pour déposer sur la machine des petites graines. Celles ci se mettent à pousser à une vitesse stupéfiante, s’insérant dans tous les interstices de la machine, forçant un chemin jusqu’en son sien.
Je rappelle Parasect pour appeler Nidoqueen à la place :
« Rosa, lance Tempête de Sable, et assure toi qu’une bonne partie rentre dans la machine. Après quoi, lance des pics toxiks dans la pièce, puis rejoins moi. »
Je sors de la pièce alors que Nidoqueen s’exécute. Une fois que c’est fait, je la rappelle à son tour pour appeler cette fois Chunchunmaru.
« Gèle cette porte s’il te plait. »
Voiiiilà. Je souhaite bonne chance à quiconque souhaite remettre en marche cette sordide machine que je ne saurais décrire car on ne me l’a même pas décrite parce que de toute façon elle était trop compliquée à décrire.
Ce faisant, j’ai maintenant une nouvelle priorité : Rejoindre. Mon. Homme. Je grimpe sur mon compagnon :
« Emmène nous vers le pont Chunchun. »
Codage Reira
HRP : - Sanzo piège légèrement la pièce qui contiens la machine que je ne saurais décrire car on ne me l’a même pas décrite parce que de toute façon elle était trop compliquée à décrire après l'avoir désactivée. - Il bloque la porte avec un Laser Glace - Il se dirige vers le pont à dos d'Altaria
Le saviez-tu ? Dans son environnement naturel, le Sanzo sauvage n'apprécie pas particulièrement les pieds de chaise. En revanche, en cas de danger, cela deviens son compagnon de prédilection. Quand un Sanzo et un pied de chaise de rencontrent, il ne se lâchent plus jamais de toute leur vie.
Bon sang... La, debout, immobile, le gris fixait le bout du couloir d'un air absent, semblant un instant chercher le pourquoi il était ici. Heureusement, personne en vue. Personne sur son chemin. Alors d'un seul coup, sans vraiment crier garde, il se redressa avec vivacité, pour filer rapidement dans le sens contraire, et rejoindre les escaliers du fond. Sans s'apercevoir qu'il n'était au final pas seul du tout. Après s'être débarrassé de la soie qui entourait sa main droite, il avait rapidement grimpé les escaliers, sans lâcher sa paire de chaussure, ni même cette corde qu'il avait récupéré précédemment. Ce fut donc qu'une fois arrivé en haut, qu'il s'aperçut qu'il était de nouveau face à deux portes. Encore et toujours. Bon sang... Ce navire était un vrai dédale à porte ! C'était moins prise de tête sur l'après-midi, alors qu'il pouvait tout simplement s'éclater en bord de piscine. Hmph. En tout cas, il espérait que ça ce passait bien. Sur Lumiris. Si cette attaque de la central était bien réel, et non pas un coup de bluff de l'autre illuminé. Avec les gens qui se trouvaient encore là bas, tout devrait bien aller n'est-ce pas ?...
Enfin. Le gris laissa échapper un soupire, et posa les yeux sur la porte de gauche. S'il voulait revenir en arrière, se retrouver au dessus de la pièce de laquelle il venait, c'était par là qu'il fallait aller. "Juste au dessus". La phrase revenait sans cesse dans son esprit, et d'un geste il récupéra la photo du couloir pour la regarder une nouvelle fois. C'était étrange... C'était étrange et frustrant, de savoir qu'il avait déjà vue le lieu, sans pouvoir le replacer... C'est exactement à ce moment précis, qu'il ressenti la pression dans son dos. Ce demandant quoi, il c'était rapidement retourné, s'attendant à voir un sbire et... Et bien rien. Le néant. le vide. Et toujours cette pression qui grimpait désormais le long de son dos. Jusqu'à son épaule. Il n'eut pas besoin de tourner la tête pour comprendre de quoi il s'agissait et son cœur rata un battement. Même plusieurs en faites. Alors qu'il venait de réaliser que le chenipan, n'était pas resté tranquillement dans sa pièce.
Panique
Immobile, incapable de faire le moindre mouvement, l'argenté essayait de trouver une solution. Malheureusement, le flot de ses pensés n'étaient fixé que sur une seule chose. Fuir. Loin. Très loin. Une pensée fixe qu'il n'arrivait pas à faire partir. pourtant... Pourtant il avait déjà côtoyé moult insecte. Comme cet immense Sarmuraï appartenant à Yokoss. Il en avait déjà affronté un certain nombre, durant ces entrainements contre des dresseurs de passage... Il fallait qu'il bouger. Juste, qu'il bouge. Qu'il se remette en route, pour faire de nouveau circuler le file de ses pensés. Après un gros effort, il parvint à se remettre en mouvement. A briser cette immobilité qui l'avait prise face à cette peur panique qui c'était emparé de lui. Et une fois le premier mouvement enclenché, la suite s'enchaina rapidement. Mikhail laissa échapper une sorte de hurlement sans son, tout en s'agitant sur place, comme tentant de se débarrasser de la bestiole sans pour autant y parvenir. Autant dire que le chenipan dut subir un véritable rodéo... Durant de longues secondes, le temps que le gris parviennent finalement à replacer correctement ses esprits... Lorsque ce fut chose faites, il s'immobilisa de nouveau, le regard se posant sur la porte de gauche...
- Pourrrquoi moi...
Simple soupire alors qu'il finit par se mordre les lèvres, pour tenter de rester concentrer. Bon. il va falloir faire avec donc. Il va... NON ! Il se remet en mouvement, retenter de se débarrasser du clandestin, puis, après s'être mordu plus fortement les lèvres, au point d'en faire couler le sang, il avait finit par s'élancer vers la porte qu'il visait...
Modération : - Mikhail se fait toujours Bully par le chenipan, mais à réussi à se débarrasser de la soie autour de sa main. - Il tente de se débarrasser de l'insecte après une immobilité total de quelques longues secondes. - Puis il finit par se diriger vers la porte de gauche, pour aller sur le couloir se trouvant au dessus du couloir qu'il a quitté juste avant. - Il a toujours son accent eAe
je soufflais par le nez pour essayer de me débarrasser de cette odeur envahissante, je prenais la photo de la carte du bateau avant de continuer d’avancer dans le couloir de gauche avec prudence.
Sur mon chemin dans le couloir plein de portes je cherchais des cabines ouverte et sans personne dedans histoire de trouver un coin de repli stratégique.
Pui direction le bout du couloires avec discrétion histoire de ne pas tomber sur un groupe de Mistral se précipitant on ne sais ou.
Je regardais autour de moi afin de repérer de potentielle indice.
Action du tour:
Yokoss prend une photo de la carte du bateau puis prend la direction du couloir de gauche afin de la traverser en cherchant des cabine vide et ouverte pour se replier en cas de besoin.
Yokoss
Dusk
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Sanzo, cette fameuse machine qu’on n’a pas pris le temps de décrire parce que l’urgence de la situation était bien présente est désormais désactivée d’un moyen qu’on ne saurait pas non plus décrire parce que tu as décidé que tu n’inventais pas de moyen et que tu laissais le flou s’installer. Enfin, ne tergiversons pas trop ! Tu as tes pokémons. Youhou, youpi. Ceci dit : tu as bien fait de les libérer avant de sortir de la pièce par que la désillusion aurait été si grande… Puisqu’en dehors de la pièce : les pokéballs sont de nouveau bloquées, inutilisables. C’est à se demander si ça a servi à quelque chose. Spoiler : oui. Les pokéballs sur le pont sont désormais utilisables, mais considérant que tu n’as pas de moyen de communication avec les autres, impossible de le savoir. Enfin, tu sembles parti pour l’apprendre en rejoignant ton partenaire de vie sur le pont. Emphase sur le « sembles ». Si ton aventure s’est passée sans encombre jusqu’à maintenant, ce n’est plus le cas. En effet, un sbire te fait désormais face, te bloquant le chemin. Impossible de savoir s’il n’a pas alerté d’autres membres de l’équipage, il est fort possible que des renforts soient demandés. Devant toi se dresse également un Dragonite. « Hop hop hop, tu penses aller où comme ça ? T’avises pas d’avancer ! » Le combat semble inévitable si tu veux rejoindre ton amour.
Mikhail, pauvre de toi… malgré tout tes efforts – et même si tu pensais le Chenipan finalement disparu – et bien, cette bête se retrouve sur ta tête. Elle veut être ton ami. Pourquoi tu ne veux pas toi ? Ok, peut-être qu’elle a juste apprécié la chaleur qui se dégageait de ton corps. Les motivations de l’insecte sont floues. Même pour moi. Bonne initiative pour l’étage au-dessus. Très, très bonne initiative. Tu peux reconnaître le couloir de la photo. En effet, si tous les couloirs se ressemblent, il y a tout de même un petit symbole incrusté dans un mur, qui a une forme pokémon, qui peut te laisser penser à des pokémons connus, légendaires, sans pour autant que tu sois capable d’affirmer avec certitude que c’est un légendaire connu. Si tu réussis à faire autre chose que de te préoccuper du chenipan sur ta tête, tu vas pouvoir voir des portes (et oui encore des portes !). Il y en a plusieurs, mais j’vais pas toutes les décrire, on passerait 1000 mots dessus. La porte juste à côté de toi possède la même inscription sur sa poignée que sur le mur. Les autres sont totalement banales. Agis vite ! Des voix se font entendre et tu n’es pas en mesure de savoir à quel point ils sont proches.. ou loin. « Est-ce que tu penses vraiment qu’on doit s’occuper de la salle des machines ? Le capitaine est déjà à la salle de navigation ! » Une voix plus forte se fait entendre et tu peux en comprendre les mots. Concentre-toi, ignore-les. Tu es proche du but.
Yokoss, de ton côté, les couloirs se ressemblent. Et si tu prenais le temps de regarder la carte ? Ou plutôt la photo de la carte que tu as pris ? Tu peux voir tous pleins de couloirs et des portes. Une multitude de portes. Ce n’est pas étonnant. C’est pensé pour que le navire puisse accueillir un grand nombre de personnes, et ce même si les personnes décident de dormir dedans. Tu peux aussi apercevoir la cafétéria, à l’étage numéro 5. Un petit creux ? Non, sûrement pas. Pas besoin de manger, l’important est de continuer de fouiller. Tu peux voir la salle de navigation aussi, mais un profond sentiment t’indique que ça ne sert à rien de t’y rendre. Appelons ça un pressentiment ou l’instinct. D’autres emplacements se font voir : la fameuse garderie où les pokémons étaient retenus, la salle des machines, des placards quelconque, un spa (j’ai bien envie d’un spa actuellement), une piscine qui semble grande aussi, un casino et tellement d’autres termes. Mais réfléchis bien. Tu as toutes les clés en main pour comprendre où aller.
Sanzo, bravo ! Tu as tes pokémons, mais tu ne peux pas les rappeler dans leurs pokéballs. Tu es désormais face à un Sbire prêt à se battre, un Dragonite se dresse devant toi, avec un Espeon à ses côtés et tu devines des formes en arrière aussi.
Mikhail, le chenipan se retrouve sur ta tête alors que tu es face à des portes banales et une porte avec une inscription de pokémon.
Yokoss, les portes sont toutes les mêmes, même si quelques unes sont déverrouillées. Je te fais une petite description rapide de la carte aussi.
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