Le voyage en bateau avait été très long, beaucoup trop long à mes yeux. Je m'étais d'ailleurs découvert, avec Aïx, une certaine aversion pour l'eau : j'ai passé quasiment la totalité de mon temps sur ce bateau penché par dessus bord à tenter de retenir ce qui était logé dans mon estomac. Je me suis donc découvert une certaine passion pour rester sur la terre ferme, bien plus agréable pour les remous gastriques.
J'avais décidé de ne pas reprendre la route immédiatement : je devais souffler, me reposer et surtout me rétablir du voyage en bateau, mince, je déteste les navires. Surtout que, selon la carte, je devrais reprendre un bateau pour joindre de Port-Corail à Kishika. Je frissonnais déjà d'horreur à l'idée de monter encore une fois dans une de ces cages de fer flottant au dessus d'un liquide bleuâtre et si nocif pour ma constitution.
Ainsi nous avions opté pour rester un peu à Mirawen, ville voisine de notre arrivée, louant une chambre d'hôtel afin de prendre une petite semaine de repos. La plage mystique séparait les deux villes, c'était une bonne occasion pour aller tremper les pattes dans l'eau salée sans forcément se retrouver dedans ou au dessus.
Je pourrais en profiter pour faire quelques thèses et observations sur les Pokémons vivants sur la plage.
Lendemain de mon arrivée, je partis donc avec Aïx, une tablette tactile et un crayon pour tablette dans la sacoche afin d'observer, dessiner et comprendre la plage. Arrivée sur celle-ci, je pus observer l'animation actuelle, visiblement Lumiris c'était regroupé pour élire les Miss et Mister de leur région : un événement intéressant tant pour son côté à souder les humains entre eux que les pousser à se détester le temps d'un regroupement pour savoir qui serait le meilleur d'entre eux.
Il y en avait pour tout les goûts. Si Aïx était complètement désintéressé, voir stressé par la présence d'autant humain, je ne me cachais pas de me rincer les yeux sur quelques sublimes concurrents aux formes mélodieuses, des sujets très intéressants.
Un jour je sortirais peut être de mes recherches et m'intéresserais à ce qu'on défini comme l'érotisme, en attendant, la science m'attend.
Je commenças donc à marcher le long de la plage, ayant retiré mes chaussures et redressé mon pantalon, j'observais en silence, laissant l'eau salé cogner contre ma peau brûlante par la chaleur intenable en cherchant le moins Pokémon pouvant passer par là. Je ne voulais pas les effrayer ou les forcer à venir me voir, je préférais marcher calmement malgré la chaleur et les observer dans leur environnement naturel : tant qu'ils ne désiraient pas me voir, ma présence pourrait fausser les résultats, je me devais de rester prudent.
Aïx, quant à lui, s'amusait à bondir dans l'eau, s'arrosant complètement en aplatissant son pelage propre : je l'avais brossé avant qu'on sorte à la plage, je vais être contrains de devoir le brosser en y revenant.
Le petit Zorua qui n'avait jamais évolué avait décidé de se mettre à courir à la recherche d'un jeu. Il fit tout pour s'éloigner des humains tout en surveillant qu'il ne m'arrive rien. C'est d'ailleurs en courant, la tête tournée vers moi, qu'il fini par ne pas remarquer qu'il venait de se cogner à quelque chose de bien vivant. Pauvre Aïx, avec mon œil, tu ne peux pas voir correctement. Mais tu aurais dû prévoir que courir en regardant derrière n'était pas la bonne idée.
J'accéléra le pas afin de rejoindre Aïx voir s'il n'a rien, mais aussi voir quel est cette chose contre laquelle il a pu se cogner.
J'avais décidé de ne pas reprendre la route immédiatement : je devais souffler, me reposer et surtout me rétablir du voyage en bateau, mince, je déteste les navires. Surtout que, selon la carte, je devrais reprendre un bateau pour joindre de Port-Corail à Kishika. Je frissonnais déjà d'horreur à l'idée de monter encore une fois dans une de ces cages de fer flottant au dessus d'un liquide bleuâtre et si nocif pour ma constitution.
Ainsi nous avions opté pour rester un peu à Mirawen, ville voisine de notre arrivée, louant une chambre d'hôtel afin de prendre une petite semaine de repos. La plage mystique séparait les deux villes, c'était une bonne occasion pour aller tremper les pattes dans l'eau salée sans forcément se retrouver dedans ou au dessus.
Je pourrais en profiter pour faire quelques thèses et observations sur les Pokémons vivants sur la plage.
Lendemain de mon arrivée, je partis donc avec Aïx, une tablette tactile et un crayon pour tablette dans la sacoche afin d'observer, dessiner et comprendre la plage. Arrivée sur celle-ci, je pus observer l'animation actuelle, visiblement Lumiris c'était regroupé pour élire les Miss et Mister de leur région : un événement intéressant tant pour son côté à souder les humains entre eux que les pousser à se détester le temps d'un regroupement pour savoir qui serait le meilleur d'entre eux.
Il y en avait pour tout les goûts. Si Aïx était complètement désintéressé, voir stressé par la présence d'autant humain, je ne me cachais pas de me rincer les yeux sur quelques sublimes concurrents aux formes mélodieuses, des sujets très intéressants.
Un jour je sortirais peut être de mes recherches et m'intéresserais à ce qu'on défini comme l'érotisme, en attendant, la science m'attend.
Je commenças donc à marcher le long de la plage, ayant retiré mes chaussures et redressé mon pantalon, j'observais en silence, laissant l'eau salé cogner contre ma peau brûlante par la chaleur intenable en cherchant le moins Pokémon pouvant passer par là. Je ne voulais pas les effrayer ou les forcer à venir me voir, je préférais marcher calmement malgré la chaleur et les observer dans leur environnement naturel : tant qu'ils ne désiraient pas me voir, ma présence pourrait fausser les résultats, je me devais de rester prudent.
Aïx, quant à lui, s'amusait à bondir dans l'eau, s'arrosant complètement en aplatissant son pelage propre : je l'avais brossé avant qu'on sorte à la plage, je vais être contrains de devoir le brosser en y revenant.
Le petit Zorua qui n'avait jamais évolué avait décidé de se mettre à courir à la recherche d'un jeu. Il fit tout pour s'éloigner des humains tout en surveillant qu'il ne m'arrive rien. C'est d'ailleurs en courant, la tête tournée vers moi, qu'il fini par ne pas remarquer qu'il venait de se cogner à quelque chose de bien vivant. Pauvre Aïx, avec mon œil, tu ne peux pas voir correctement. Mais tu aurais dû prévoir que courir en regardant derrière n'était pas la bonne idée.
J'accéléra le pas afin de rejoindre Aïx voir s'il n'a rien, mais aussi voir quel est cette chose contre laquelle il a pu se cogner.
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