Je ralentis et m’arrête près de mes affaires. Il fait beau, et pas encore trop chaud en ce début de matinée, mais cela ne m’empêche pas de suer à grosses gouttes. Stahl, mon Galekid, endormi près de on sac, relève la tête à mon approche. Je ne prête pas attention à lui et fouille dans ma besace pour y trouver une bouteille d’eau dont je bois quelques petites gorgées. Pas trop, cependant.
Le parc du Saule, à Sunyra, est un bon endroit pour courir. Je suis venu ici selon le conseil du professeur… Saule, justement (étrange coïncidence). Il m’a dit qu’on y trouvait un lieu particulier ici, le parc safari, dans lequel on pouvait y trouver tout un tas de Pokémon dont certains étaient mis à l’honneur par période. Je sais pas trop en quoi tout ça va m’aider à devenir plus forte alors j’avoue que je l’avais un peu mauvaise quand j’ai compris que cela allait contre carrer mes plans pour d’aller au nord. A peine arrivée à Voltapolis que j’ai du faire demi-tour. Tant de chemin pour devoir repartir dans l’autre sens, tss… Mais bon, après une petite séance de sport, mon sel sera passé. Je vais continuer à courir encore un peu, je sens que ça marche.
Je repose la bouteille, puis vérifie que ma petite queue de cheval est bien en place avant de repartir pour un nouveau tour du parc. Il y a des arbres un peu partout ce qui offre de l’ombre pendant que je cours. Je m’efforce de garder un rythme constant en faisant attention à mon souffle. A force de pratiquer, tout cela est quasiment devenu un automatisme. Un pas après l’autre, les enjambées se succèdent et j’atteins la dernière ligne droite qui me sépare de mes affaires, mon point de départ. Comme à chaque fois, je décide d’accélérer autant que possible. J’ai un vitesse de pointe pas trop mauvaise, il parait.
Concentrée sur ma course, je n’aperçois qu’au dernier moment le Pokémon qui travers le chemin, juste sous mon nez. Je tente de ralentir et de l’éviter mais mes pieds s’emmêlent, et je trébuche. Des gravillons s’enfoncent dans les paumes de mes mains et mes avant bras lorsque j’amortis ma chute. L’un de mes genoux racle violemment le sol. Et je bouffe un peu mes cheveux aussi. C’est cependant à ma cheville que j’ai le plus mal. J’ai du me la tordre en trébuchant.
Je pousse un juron en examinant mon articulation endolorie. Je ne fais même pas attention à ce qu’est devenu l’autre Pokémon. J’ai appris à supporter la douleur, mais bordel ce que ça fait mal. Pour l’instant elle n’a pas l’air gonflée ou d’une couleur anormale, mais j’ai intérêt à y mettre de la glace rapidement. Ayant assisté à ma chute phénoménal, Stahl s’approche de moi, s’inquiétant de mon état. Bordel, j’espère que je vais pas finir avec une attelle.
Le parc du Saule, à Sunyra, est un bon endroit pour courir. Je suis venu ici selon le conseil du professeur… Saule, justement (étrange coïncidence). Il m’a dit qu’on y trouvait un lieu particulier ici, le parc safari, dans lequel on pouvait y trouver tout un tas de Pokémon dont certains étaient mis à l’honneur par période. Je sais pas trop en quoi tout ça va m’aider à devenir plus forte alors j’avoue que je l’avais un peu mauvaise quand j’ai compris que cela allait contre carrer mes plans pour d’aller au nord. A peine arrivée à Voltapolis que j’ai du faire demi-tour. Tant de chemin pour devoir repartir dans l’autre sens, tss… Mais bon, après une petite séance de sport, mon sel sera passé. Je vais continuer à courir encore un peu, je sens que ça marche.
Je repose la bouteille, puis vérifie que ma petite queue de cheval est bien en place avant de repartir pour un nouveau tour du parc. Il y a des arbres un peu partout ce qui offre de l’ombre pendant que je cours. Je m’efforce de garder un rythme constant en faisant attention à mon souffle. A force de pratiquer, tout cela est quasiment devenu un automatisme. Un pas après l’autre, les enjambées se succèdent et j’atteins la dernière ligne droite qui me sépare de mes affaires, mon point de départ. Comme à chaque fois, je décide d’accélérer autant que possible. J’ai un vitesse de pointe pas trop mauvaise, il parait.
Concentrée sur ma course, je n’aperçois qu’au dernier moment le Pokémon qui travers le chemin, juste sous mon nez. Je tente de ralentir et de l’éviter mais mes pieds s’emmêlent, et je trébuche. Des gravillons s’enfoncent dans les paumes de mes mains et mes avant bras lorsque j’amortis ma chute. L’un de mes genoux racle violemment le sol. Et je bouffe un peu mes cheveux aussi. C’est cependant à ma cheville que j’ai le plus mal. J’ai du me la tordre en trébuchant.
Je pousse un juron en examinant mon articulation endolorie. Je ne fais même pas attention à ce qu’est devenu l’autre Pokémon. J’ai appris à supporter la douleur, mais bordel ce que ça fait mal. Pour l’instant elle n’a pas l’air gonflée ou d’une couleur anormale, mais j’ai intérêt à y mettre de la glace rapidement. Ayant assisté à ma chute phénoménal, Stahl s’approche de moi, s’inquiétant de mon état. Bordel, j’espère que je vais pas finir avec une attelle.