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Panic in the Street [ft. Catherine]
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Panic in the Street.
Mirawen, une ville à l'apparence des plus charmantes, aux bâtiments au design plutôt vintage et ainsi qu'aux teintes colorées qui les décorent. Pourtant, c'est dans un début de vieille ruelle que se fait entendre une timide voix, dans une sonorité incertaine. La voix d'une jeune fille en bleue.  

▬  H-hum, Nympa t'es sûr que c'est par là le Centre Pokémon. Pa-Pas que je ne te fais pas confiance hein, mais il me semblait plutôt ailleurs... voir même au total opposé...

Le cri insouciant de sa partenaire lui répond, comme pour lui signifier qu'elle n'avait pas à s'inquiéter. Que le Pokémon de corail avait la situation en main, et continuant tranquillement sa route dans la ruelle en trottinant de ses petites pattes. C'est dans une grimace peu convaincue que Sérénade suit sa partenaire non sans jeter des coups d'ailleurs craintifs dans les moindres recoins. Surtout qu'il faisait sombre par là.

Mais le duo continua ainsi leur chemin, s'enfonçant dans une partie de la ville qui leur est totalement inconnu - ne connaissant que les alentours du Centre Pokémon et le chemin pour se rendre à la Plage Mystique. Le temps passe, et la demoiselle commence presque à se dire qu'elle n'avait pas à avoir peur, qu'il n'y avait rien à craindre de cet endroit.

Pourtant...

▬  KYAH !! On part d'ici, on part d'ici !!!

Cette confiance a été démolie à cause... d'une feuille morte. Oui, une simple feuille morte qui tombait d'une des plantes d'un balcon se trouvant juste au-dessus d'eux. Mais une feuille morte qui réussit à anéantir le minimum de courage que l'adolescence possédait. Il n'en fallut pas plus pour qu'elle attrape sa Corayon et se mit à piquer le sprint de sa vie pour rejoindre désespérément un lieu familier.

Ou au moins tomber sur une personne gentille. Voir même une personne gentille, qui saurait où est le Centre Pokémon. Oh ce serait vraiment génial ! Mais pour le moment...

Fuyooooons ! Fuyons très loin d'ici !!!

by lizzie


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Catherine était fière d’elle. Cela faisait une semaine qu’elle était arrivée à Lumiris et elle ne s’était toujours pas attirée d’ennui. Ses parents auraient été satisfait de l’assagissement de leur fille. Que de souvenir de vacances avait-elle où à peine arrivée, les valises encore dans le hall de leur logement temporaire, la rouquine avait déjà disparu pour se faire de nouveau amis et surtout se retrouver suspendu la tête en bas dans un arbre, à courir avec un ballon dans les bras, poursuivie par la moitié des garçons de la station de vacances, sous l’acclamation des filles ou encore d’autres choses.

Catherine était intenable, enfant comme adulte sauf que ses bêtises d’adulte, bien que pas très méchante, lui avait valu des passages au poste de police, « pour sa propre sécurité », selon les dires des fonctionnaires de police. Sottise ! Pensait-elle à chaque fois. Depuis le temps qu’elle faisait ce qu’elle faisait, elle était toujours en vie, et maintenant, elle commençait à savoir ce qu’elle faisait. Et puis, si on respecte les règles, on finit par s’ennuyer.

S’ennuyer. C’était exactement l’expérience qu’elle était en train de vivre et franchement, cela ne lui plaisait absolument pas.

Catherine aimait beaucoup de chose, mais pas l’inactivité. C’était d’ailleurs l’une de sources principales d’ennuis chez elle. Dès que l’ennui était trop important, elle pouvait faire n’importe quoi, comme monter au sommet d’un clocher pour admirer la vue ou autre chose de complètement stupide. C’était à se demander comment elle avait réussi à obtenir un titre de docteur sans faire exploser plus de la moitié du laboratoire, juste pour voir ce qu’il se passerait.

Catherine était donc arrivée à Mirawen et maintenant s’ennuyait ferme. Elle ne connaissait encore personne dans la ville, et s’était un peu perdu, car elle ne voulait pas aller jusqu’ici au départ mais ne se souvenait plus du patelin qu’elle visait. Après avoir fait le tour des rues principales de la ville, la rouquine décida d’aller chercher l’aventure ailleurs.

Cet ailleurs n’était rien d’autre que les ruelles glauques, étroites où jamais personne ne venait. C’est là qu’elle croisa un groupe de roublards, homme et femme, de mauvais genre. Toute personne normalement pensante aurait fait demi-tour en les entrapercevant, les plus courageux en voyant leur regard mauvais, mais Catherine n’était pas une personne normale.

Alors les copains. Qu’est-ce qu’on fait de beau dans le patelin ? Leur lança-t-elle avec une grand sourire, à leur grande surprise. Devant eux se tenait une fille élancée, les cheveux en vrac, un grand sourire joyeux, et un Goinfrex tout aussi heureux à ses côtés.

Qu’est-ce t’as ? Tu veux te battre ? Tu nous cherches ? Lui lança un type avec un air encore plus mauvais. L’armoire à glace s’avança vers la jeune femme qui ne se départit pas un instant  de son sourire et son regard se teinta même de défi.

Mais t’es énorme toi ! Je vous cherchais pas particulièrement mais maintenant que vous êtes là et que moi aussi, qu’est-ce qu’on fait ? Répondit effrontément la biologiste.

Le chef s’approcha menaçant d’elle. Il prenait facilement questre tête à Catherine qui bien qu’étant grande pour une femme n’était pas non plus une géante et on aurait pu ranger deux rouquines côte à côte dans son vis-à-vis.

Qu’est-ce que qu’on fait ? Bah toi tu vas dégager avant que je m’en occupe. La menaça l’homme.

L’expression de Catherine changea en une expression malveillante mais toujours souriante. Elle avait ce qu’elle voulait. Un peu d’action. Ah ouai ? Et t’es combien dans ton caleçon ?

L’autre leva le battoir qui lui servait de main, mais Catherine fut plus rapide et son poing vint cueillir l’homme dans l’estomac.

Catherine n’était peut-être pas une armoire à glace, mais son surplus d’énergie lui avait forgé un corps musclé et la boxe était entrée très vite dans ses activités favorites. Donner et recevoir des coups, comme au rugby, offraient une seine fatigue pour la rouquine.

Le géant se plia en deux et elle en profita pour le redressait d’un direct au menton. L’homme tituba et Catherine l’acheva d’un coup de genou bien placé mais pas suffisamment fort pour avoir de grosses séquelles. Le roublard tomba à genou sous le regard sidéré de ses comparses pendant que Catherine sautillait de joie.

Et bim ! Qui est-ce qui déménage qui ici ? C’est bibi. Numéro 1. Elle arrêta sa jubilation devant les nombreux regards mauvais des autres. Munch, son Goinfrex avait vu le vent tourner et avait déjà entreprit une retraite lente.

Chopez-là. Souffla le géant qui se tenait l’entrejambe. Il ne fallut pas plus pour que Pokémon comme dresseur se lancent à l’attaque de la rouquine sui fit demi-tour immédiatement en rappelant Munc au passage, car le Goinfrex ne pourrait pas courir assez vite.

Retraite ! hurla-t-elle pour elle-même, toujours un sourire sur les lèvres. Pour l’instant, elle s’amusait, et cela restera le cas dans qu’ils ne la rattraperaient pas.

Elle courut dans les ruelles désertes en essayant de semer ses poursuivants et mettant toute son énergie et son endurance dans la partie. Elle arrivait à creuser la distance avec les dresseurs et les Pokémons grâce à des virage brutaux.

Mais au détour d’un virage, une fille courait elle aussi en panique vers elle et la ruelle était trop étroite pour qu’elle l’évite et surtout, la fille ne devait pas être de ses poursuivants. Donc la laisser continuer c’était la jeter en pâture à des gens pas très jojo. Tant pis.

Catherine se plia en à l’approche de la fille et lui saisit la hanche comme pour la planquer. Mais plutôt que de se jeter au sol avec elle, la rouquine se redressa et porta la fille sur son épaule, toujours propulsée par son élan. Au passage, elle ramassa le Corayon qui courait avec elle.

Catherine ne savait pas ce que les deux fuyaient mais si ce qui lui courait après pouvait croiser ce que l’inconnue voulait faire, ça pouvait donner un truc drôle.

Elle courut avec son fardeau un moment. Gauche, droite, gauche, gauche encore puis elle déboula dans une grande artère pleine de monde. Mais Cathernie continua encore un peu sous le regard surpris des passant avant de s’arrêter. Elle poussa un soupir et posa l’inconnu et son Corayon.

On peut dire que ça c’est une course, tu trouves pas ? C’était génial ! Je ne m’attendais pas à ça mais ils étaient pot de colle les gars derrière moi. Et toi tu fuyais quoi ? Parce que manifestement, ça ne devait pas être joli. Peut-être que ça arrêté les roublards. Bof, je ne sais pas. En tout cas, t’es super légère comme fille. Moi c’est Catherine. Catherine Collin, comme une colline mais sans le e, on pourrait dire Colin mais c’est colline. Etrange non ? Mais on s’y fait t’en fait pas. Et toi c’est comment ? J’ai soif. T’as pas soif toi ? Bah aller viens, je te paye à boire. Je crois d’ailleurs que c’est bientôt l’heure du gouter aussi. Tiens, je te présente Munch, mon Goinfrex. Catherine libéra sn Pokémon. Ouai, il a pas trop participé à la course-poursuite, pour une raison évidente de ligne. C’est un sacré gourmand, mais ça me va. Ce Corayon est à toi ? Je l’ai rammasé au passage en me disant qu’en cas de pépin, je pourrais les doucher un peu. Tu n’imagines pas combien ils puent ces types. Tiens si on s’installer ici ? Je t’aime bien tu sais. Tu parles pas beaucoup mais tu as une bonne tête. Mais détends un peu. On est pas bien là, avec le soleil en terrasse ? Et le serveur et plutôt mignon dis donc.

Catherine avait trainé la pauvre fille jusqu’à une terrasse et s’était installée avec sa prisonnière. excuse-moi, mais j’ai déjà oublié. Tu as dit que tu t’appelais comment déjà ?
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Panic in the Street.
Fuyoooon - hein ? Trop occupée à fuir pour sa vie - face à une feuille morte, la demoiselle en tilte que très tard ce qui se déroulait à l'instant présent. Elle se souvenait avoir foncé de la ruelle, d'avoir brièvement aperçu des personnes courir eux aussi dans le sens opposé, mais... Comment expliquer qu'elle et Nympha finissent transportées à vitesse grand v comme un sac à patate ? Aucune, absolument aucune, hormis peut-être.... OH MON ARCEUS. Est-ce que c'est ça qu'on appelle un kidnapping ?! C'est à cette pensée que l'adolescente commença à se faire pleins d'atroces scénarios dans son esprit, imaginant le pire.

Mais cela se calma en même temps que leur course folle, où Sérénade finit même par être reposée, refaisant à nouveau connaissance avec le sol pavé de la ville. Elle se permit un soupire avant d'être assaillie par le quasi monologue de sa kidnap-.. sauveu - arf, elle sait pas trop comment la décrire pour le moment. Bref, son interlocutrice qui semblait avoir une manie de forte causette. La jeune fille en bleue tentant parfois tant bien que mal à répondre aux différentes questions, mais soit elle n'avait pas le temps pour finir, voir même commencer ce qu'elle disait, soit elle parlait un peu trop bas par rapport à la femme qui lui parlait.    

Et rebelote, la voici à nouveau dans un lieu où elle n'a pas vraiment compris le comment. C'est donc un peu surprise qu'elle regarda un peu les alentours, ne reconnaissant toujours pas les environs. Et surtout pas très sereine d'être assise ici - à ce Café, sans le moindre argent, même si la jeune femme lui avait dit qu'elle le lui payerait.  

Enfin, c'est néanmoins dans une fine grimace et d'une voix incertaine qu'elle tente à nouveau de se présenter. Toujours timide de sa précédente situation et des circonstances.

▬  J-J-Je suis Sérénade Angeleys ..! Et... Et la Corayon est mon amie, e-elle s'appelle Nympa... Et hum... Euh..

La demoiselle ne savait pas trop quoi dire sur le moment, elle aurait bien voulu rendre la pareille en terme de qualité/quantité de dialogues que la dénommée Catherine. Mais... elle ne savait pas trop quoi dire en réalité, cherchant à la fois les mots, mais aussi ce qu'elle allait prendre sur le menu. Et c'est donc toujours aussi mal à l'aise qu'elle commanda sa sirop à la Baie Pêcha, non sans penser au commentaire de son interlocutrice. C'est vrai qu'il est plutôt mignon... AH MAIS NON. Doucement  Sérénade, il faut calmer tes jeunes pulsions d'adolescente !

C'est au départ du serveur que la fille en bleue passe au rouge non sans jeter des petits coups d’œil discret vers le serveur... Pour finalement se tourner vers Catherine, elle... elle n'a pas vu... Pas vrai ? P-PAS VRAI ..!?


by lizzie


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Catherine sourit chaleureusement à la jeune fille quand celle-ci eut enfin l’occasion de se présenter. Elle avait l’air toute timide mais Catherine ne s’en rendait pas vraiment compte. La plupart des personnes lui paraissait timide ou n’avait pas assez de caractère pour réfréner son énergie. Certains subissaient sages en attendant libération, d’autres appréciaient le tempérament de Catherine et la suivaient simplement parce qu’on ne s’ennuyait jamais avec. Mais il existait des gens qui osaient tenir tête à la rouquine et ça se passait parfois bien et parfois mal.

Quand le serveur vint, Catherine savait déjà ce qu’elle voulait. Elle prit un jus de fruit et deux parts de gâteaux avant de se tourner vers Sérénade.

Tu ne prends rien à manger ?

Puis elle nota le regard de la jeune femme, et son rougissement. Elle sourit de façon coquine en s’accoudant à la table la tête dans la main, l’œil coquin dès que le serveur s’en alla. Son sourire s’élargit encore quand elle vit dans le regard de Sérénade le doux espoir que son acolyte n’ait rien vu. C’était perdu.

Je vois que j’avais raison pour le serveur. Tu as de bons goûts en garçon. Tu veux son numéro ? Tu as le droit de demander son numéro en fait ? Est-ce que tu as l’âge de boire de l’alcool ? Si oui, tu pourrais l’inviter à boire un verre. J’ai remarqué le petit coup d’œil qu’il t’a lancé. Je ne pense pas que tu le laisses indifférent. D’ailleurs qu’est-ce que tu faisais dans cette ruelle ? tu t’étais perdue ? Tu semblais complètement paniquée mais je n’ai pas vu par quoi.

Catherine laissa un silence pour écouter l’histoire de Sérénade et quand le serveur revint avec la commande elle arrêta le jeune homme. Elle prit une pose charmante avec un sourire aguicheur.

Excuse-moi de te déranger, mais aurais-tu un numéro de téléphone ? Mon amie te trouve un certain charme mais elle n’ose pas trop te demander. Peut-être que vous pourriez aller boire un verre après ton service ? Ou la raccompagner chez elle, je ne vais pas pouvoir le faire et je ne voudrai pas qu’elle se perde ou qu’il lui arrive malheur. Tu serais un amour.

Petit clin d’œil à Sérénade et grand sourire au jeune homme.
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