Kenji Saeba
Feat Kizakura Kôichi de Danganronpa : Mirai
39 ans 20 Avril Hoenn Homme Détective privé freelance Pulsar
IrresponsableAlcooliqueCoureur de juponsFeignantCliché
ObservateurPerspicaceSocial
IrresponsableAlcooliqueCoureur de juponsFeignantCliché
Description
Je ne pense pas que connaître Kenji avant son arrivé à Lumiris soit vraiment très important... Mais je devine que vous voulez tous savoir? Très bien...
Vous le voyez ce presque quarentenaire à chapeau et aux aires un peu louche? Ouais bientôt quarant ans on croirait pas hein! C'est vrai que là-dessus, la nature l'a gâter, elle lui devait au moins ça. Ses cheveux mi-long blond, un sourire en coin comme s'il sait tout parmis une moustache et un bouc de trois jours, ses yeux verts et ses traits fins peuvent faire chavirer les plus innocentes et naïve aujourd'hui, mais à Hoenn c'était autre chose. C'est simple, le seul truc qui change pas c'est le costard et encore il l'a changé pour un bien plus classe et une cravate beaucoup moins serrée! Son corps svelte de un mètre soixante-seize était serré dans un costume tiré à quatre épingle comme tout homme d'affaire. Il était quoi déjà... Comptable? Banquier? Je pourrais même pas vous dire s'il était bien placé ou un simple employé... Mais depuis son craquage, on est bien loin du sage homme de bureau qu'il était. Mais ça c'était avant son craquage, si j'ai bien compris il y a un autre onglet pour ça alors on en parle plus tard?
Kenji maintenant, qu'est ce que c'est? Un grand enfant qui essaie de rattraper ses rêves et le temps perdu... Ouais ça le qualifie plutôt bien et en plus qu'est ce que c'est beau! Depuis qu'il a tout quitté pour Lumiris, c'est un tout autre homme! Vous notez que j'ai dit "autre", pas "meilleur". Fan de manga depuis tout petit, il a décidé à Lumiris de reprendre son rêve de gosse et devenir détective privée à l'instar de son idole partageant le même nom. "Je suis pas qu'un simple détective privée..." qu'il répondrait d'un air blasé, le même genre de réponse que son héros. C'est vrai "Détective privée" ça rend bien sur la carte mais Kenji... Déjà il n'a pas de carte de visite, et encore moins d'agence pour l'instant. Vous vous doutez que sans agence, les enquètes ne se bousculent pas... pour ça il faudrait qu'il y en ai au moins deux... Une se serait bien quand même... Ouais, en fait c'est plutôt un détective autoproclamé depuis la veille... Peut-être que Lumiris accomplirera ce rève, ou peut-être au moins le deuxième?
Car si dans votre monde, derrière votre écran, ces créatures n'existent pas et ne sont que le fruit de lignes de codes, une passion dévore l'esprit de tout enfant, enfin la plupart je pense: dresseur de pokémon! Je vous fais pas un dessin si vous êtes ici vous connaissez ces petits monstres! Mais le pauvre petit Kenji n'a pas eu la chance d'avoir son premier pokémon et de partir à l'aventure. Il en a rêvé pourtant, puis il a vieilli. C'est donc bien décidé à rattraper le retard!
Est-ce que cela marche? Pas vraiment et pour cause, il n'a pas un caractère des plus productif... Comme beaucoup, la monotonie de son ancienne vie lui a apporté pas mal de défaut comme la cigarette, la boisson ou un certain cynisme. Mais sa "renaissance" ne lui a pas apporté qu'une nouvelle vie, car après des années de travail il est bien décidé à profiter de la liberté et du soleil de Lumiris! Une affaire à résoudre, faudrait déjà qu'il y en ai une et qu'il arrive à l'heure! Et pour ça faudrait qu'il arrive à se lever, ce qui est compliqué quand on aligne la deuxième gueule de bois de la journée après avoir écumer les bars en essayant d'aborder plus de jeunes filles qu'il a de doigt... Tant de vilains défaut encré dans le quotidien d'un adulte ne voulant pas vieillir, ça aide pas, mais ce départ lui a apporté la chose qui lui manquait: cette volonté d'aimer la vie... Ou du moins ce qu'il fait.
Rocabot
KaoriFemelleAbandonné sur le quai du port de Poivressel, Kenji a décidé de l'emmener avec lui pour devenir officiellement son premier pokémon à 39 ans, mieux vaut tard que jamais! Kaori et Kenji font route commune que depuis peu, il serait donc difficile de décrire leur relation. Mais pour ce qu'a vu Kenji, c'est une Rocabot plutôt maline et très compréhensive. Je ne sais pas si c'est par le nom que Kenji lui a donné, mais par la suite elle empêchera plusieurs fois Kenji d'être...lui-même comme quand il rentre dans un bar de trop ou qu'il accoste des fille bien trop jeune pour lui.
Histoire
"P'us tard je serais comme Tonton Ryo!" C'est le plus vieux souvenir clair qu'il a de son enfance, et c'est celui qui a résonné dans son crâne ce jour là.
Oui j'aurais peut-être dut vous le dire dans la catégorie "Description" mais c'est comme ça qu'il surnommait son héros quand il était enfant. Ils partageaient le même nom pourquoi il seraient pas de la même famille? Mais même si c'était son père qui lui avait fait découvrir la série animée, ses parents étaient bien décidé à ce qu'il ai une bonne carrière fixe. Le centrant un maximum sur les études, il ne sortait pas beaucoup, n'avait pas beaucoup d'ami et encore moins de petite-amie... Si les années avançaient, les gens changeaient, avaient leur premiers pokémon, ces derniers évoluaient... Mais pas Kenji qui depuis tout petit avait sa vie fixé dans la monotonie. Réveil, transport passant du car scolaire à la voiture, travail passant de l'école au bureau, quelques discutions sans grande profondeur, transports, dodo. Mais durant ses transports, il ne pouvait s'empêcher de regarder les passants avec leur pokémon et le décors en s'imaginant des scénarios possibles. Durant cette dernière étape il se remémorait ses scénarios de la journée, émettait des théories et révait qu'il enquête sur la disparition de cette jolie passante rousse et son Papinox. Peut-être même qu'il aurait une jolie assistante, ou la sœur de son meilleur ami décédé avec qui il entretiendrait une relation ambigüe...
"...bllblblJ'suis rentré!"
Vous voyez cette démarche branlante, ce besoin de tenir les murs pour se déplacer, cette oeil à la fois vide et et fougueux, se teint rouge... Encore une fois, le Kenji Saeba qui vous pouvez observer est complétement cuit. Une étape qui s'était rajoutée dans sa monotonie avant le sommeil dans les cinq dernières années de sa première vie.
"Heeeey j'te permets pas d'me juger... A qui tu parles?..."
Laisse tomber, vas te coucher et surtout bois beaucoup d'eau.
"Hummm'okay"
Admirez ce magnifique plongeon d'un matelas... Enfin c'est plus proche du bon gros plat, et à côté en plus dommage. A qui est ce matelas? Aucune idée, surement pas à lui. Qu'est ce que... Vous t'as l'air perdu derrière ton écran? Ha oui ça! T'inquiète pas, j'ai jamais compris pourquoi mais quand il est bourré il entend des voix, enfin une la mienne. On peut vraiment dire qu'il l'entend quand c'est de l'écrit? Je diverge, maintenant qu'il dort reprenons.
"Une promotion? Hum... Je vais y réfléchir et vous contacterais." Cette phrase il l'avait beaucoup entendu. Vous devinez que c'est Kenji que a recontacté son patron pour lui demander une nouvelle fois.Qu'est ce qu'il faisait... Impossible de me souvenir c'est fou! Mais je me souviens qu'un jour, il a été recontacté. Enfin on lui offrait sa promotion après avoir tout donné à cette banque, ou boîte de comptable, c'était peut-être la Sylph SARL? Un meilleur salaire qui lui permettrait de prendre un véritable appartement, une chambre séparé du salon et peut-être même le saint-graal: des VACANCES?!
"Je suis désolé de vous annoncer que l'on va devoir nous séparer de vous."... Ce n'était pas ce qu'il attendait. "Vos performance ne sont pas les raison de votre renvois, mais nous connaissons une restriction budgétaire. Vous recevrez bien évidemment une prime de licenciement." Ce n'était pas ce qu'il attendait et ce n'était pas une légère langue de bois accompagné d'une maigre prime qui allait arranger les choses "Votre départ sera une perte pour notre entreprise, vraiment."Ce n'était pas ce qu'il attendait, ce n'était pas une légère langue de bois accompagné d'une maigre prime qui allait arranger les choses et il mentait.
"Hé...
Héhéhé...
Aller vous faire foutre."
Ce n'était pas ce que son patron attendait.
Il faisait encore jour quand Kenji claqua sa crise de la quarantaine et la porte de la chambre miteuse qu'il louait. Quelques affaires, sa flasque et toutes ses économies dans un sac, son téléphone dans l'autre.Un "Je part, vous trouverez les clefs devant la porte." avant d'arracher sa cravate qu'il avait encore et la jeter avec les clefs de la chambre devant la porte. Une cigarette à la bouche, il fonça au port de Poivressel où il laissa de nouveau des clefs derrière lui. Ses clefs de voiture cette fois sur le capot, ça ferait un heureux. Devant le tableau des départ, c'est au hasard qu'il prit sa décision. Premier départ dans quarante cinq minutes pour Lumiris. Il prit une profonde gorgée dans sa flasque qui n'avait jamais servi jusqu'à aujourd'hui, c'était surtout un souvenir de famille dont il ne se souvenait plus la provenance, avant d'acheter son unique billet aller. Il n'y aura aucun retour, c'était les derniers instants de Kenji à Hoenn.
Il était debout sur le quais à attendre, le regard vide, une nouvelle cigarette à la bouche. La raison lui revenait un peu, légèrement, lui soufflant des "Mais qu'est-ce que tu vas faire?" ou des "Si t'y retournes en t'excusant, ils pourraient peut-être te redonner un job?". Des question sans aucun sens qui se fit stopper par un jappement qui le fit sursauter. A quelques mètres delui, endormi contre un poteau, un Rocabot semblait faire un mauvais rêve. Il s'approcha et le réveilla. Le pokémon sursauta à son tour avant de reculer à la vue de Kenji. Il semblait sale, il a reculé mais ne s'est pas enfuit, il ne devait pas être sauvage, même s'il a un inconnue en face de lui il surveille le quais du coin de l’œil... Une main tendu et quelques reniflement du poémon suffirent à donner confiance en ce dernier qui s'approcha et laissa la main nonchalante de Kenji le caresser. Il appartenait à quelqu'un c'était évident, et ce dernier était lui aussi parti en laissant tout derrière lui... ou du moins son pokémon. Il tourna la tête, regardant les voyageurs accompagnés par leur compagnons comme ceux qu'il observait quotidiennement. Pourquoi pas lui? Le Rocabot se laissa soulevé, pendant entre les deux mains de Kenji qui le tenait bras tendu. C'était une femelle.
"Ça te dis de partir d'ici? J'ai l'impression que toi non plus t'as rien à y faire."
Si un long silence quelque peu gênant s'installa entre les deux, le pokémon sembla comprendre et un accord conclu. C'est donc sur un bateau en direction de Lumiris que le nouveau Kenji est née. Accoudé en observant Poivressel s'éloigner, il repris une gorgée de sa flasque. Qu'est-ce qu'il allait faire une fois arrivé? Cette question continuait à tourner dans sa tête.
"P'us tard je serais comme Tonton Ryo!"
Cette phrase surgit d'un coup, comme une lumière dispersant ses doutes. Il rigola légèrement même sur ce "Tonton Ryo", la naïveté de son enfance qui était devenu une blague maintenant. Il se tourna alors vers le pokémon qui était lui aussi tourné vers son passé.
"Haha... Tu veux devenir mon assistante? Je vais t'appeler Kaori!"
Oui j'aurais peut-être dut vous le dire dans la catégorie "Description" mais c'est comme ça qu'il surnommait son héros quand il était enfant. Ils partageaient le même nom pourquoi il seraient pas de la même famille? Mais même si c'était son père qui lui avait fait découvrir la série animée, ses parents étaient bien décidé à ce qu'il ai une bonne carrière fixe. Le centrant un maximum sur les études, il ne sortait pas beaucoup, n'avait pas beaucoup d'ami et encore moins de petite-amie... Si les années avançaient, les gens changeaient, avaient leur premiers pokémon, ces derniers évoluaient... Mais pas Kenji qui depuis tout petit avait sa vie fixé dans la monotonie. Réveil, transport passant du car scolaire à la voiture, travail passant de l'école au bureau, quelques discutions sans grande profondeur, transports, dodo. Mais durant ses transports, il ne pouvait s'empêcher de regarder les passants avec leur pokémon et le décors en s'imaginant des scénarios possibles. Durant cette dernière étape il se remémorait ses scénarios de la journée, émettait des théories et révait qu'il enquête sur la disparition de cette jolie passante rousse et son Papinox. Peut-être même qu'il aurait une jolie assistante, ou la sœur de son meilleur ami décédé avec qui il entretiendrait une relation ambigüe...
"...bllblblJ'suis rentré!"
Vous voyez cette démarche branlante, ce besoin de tenir les murs pour se déplacer, cette oeil à la fois vide et et fougueux, se teint rouge... Encore une fois, le Kenji Saeba qui vous pouvez observer est complétement cuit. Une étape qui s'était rajoutée dans sa monotonie avant le sommeil dans les cinq dernières années de sa première vie.
"Heeeey j'te permets pas d'me juger... A qui tu parles?..."
Laisse tomber, vas te coucher et surtout bois beaucoup d'eau.
"Hummm'okay"
Admirez ce magnifique plongeon d'un matelas... Enfin c'est plus proche du bon gros plat, et à côté en plus dommage. A qui est ce matelas? Aucune idée, surement pas à lui. Qu'est ce que... Vous t'as l'air perdu derrière ton écran? Ha oui ça! T'inquiète pas, j'ai jamais compris pourquoi mais quand il est bourré il entend des voix, enfin une la mienne. On peut vraiment dire qu'il l'entend quand c'est de l'écrit? Je diverge, maintenant qu'il dort reprenons.
"Une promotion? Hum... Je vais y réfléchir et vous contacterais." Cette phrase il l'avait beaucoup entendu. Vous devinez que c'est Kenji que a recontacté son patron pour lui demander une nouvelle fois.Qu'est ce qu'il faisait... Impossible de me souvenir c'est fou! Mais je me souviens qu'un jour, il a été recontacté. Enfin on lui offrait sa promotion après avoir tout donné à cette banque, ou boîte de comptable, c'était peut-être la Sylph SARL? Un meilleur salaire qui lui permettrait de prendre un véritable appartement, une chambre séparé du salon et peut-être même le saint-graal: des VACANCES?!
"Je suis désolé de vous annoncer que l'on va devoir nous séparer de vous."... Ce n'était pas ce qu'il attendait. "Vos performance ne sont pas les raison de votre renvois, mais nous connaissons une restriction budgétaire. Vous recevrez bien évidemment une prime de licenciement." Ce n'était pas ce qu'il attendait et ce n'était pas une légère langue de bois accompagné d'une maigre prime qui allait arranger les choses "Votre départ sera une perte pour notre entreprise, vraiment."Ce n'était pas ce qu'il attendait, ce n'était pas une légère langue de bois accompagné d'une maigre prime qui allait arranger les choses et il mentait.
"Hé...
Héhéhé...
Aller vous faire foutre."
Ce n'était pas ce que son patron attendait.
Il faisait encore jour quand Kenji claqua sa crise de la quarantaine et la porte de la chambre miteuse qu'il louait. Quelques affaires, sa flasque et toutes ses économies dans un sac, son téléphone dans l'autre.Un "Je part, vous trouverez les clefs devant la porte." avant d'arracher sa cravate qu'il avait encore et la jeter avec les clefs de la chambre devant la porte. Une cigarette à la bouche, il fonça au port de Poivressel où il laissa de nouveau des clefs derrière lui. Ses clefs de voiture cette fois sur le capot, ça ferait un heureux. Devant le tableau des départ, c'est au hasard qu'il prit sa décision. Premier départ dans quarante cinq minutes pour Lumiris. Il prit une profonde gorgée dans sa flasque qui n'avait jamais servi jusqu'à aujourd'hui, c'était surtout un souvenir de famille dont il ne se souvenait plus la provenance, avant d'acheter son unique billet aller. Il n'y aura aucun retour, c'était les derniers instants de Kenji à Hoenn.
Il était debout sur le quais à attendre, le regard vide, une nouvelle cigarette à la bouche. La raison lui revenait un peu, légèrement, lui soufflant des "Mais qu'est-ce que tu vas faire?" ou des "Si t'y retournes en t'excusant, ils pourraient peut-être te redonner un job?". Des question sans aucun sens qui se fit stopper par un jappement qui le fit sursauter. A quelques mètres delui, endormi contre un poteau, un Rocabot semblait faire un mauvais rêve. Il s'approcha et le réveilla. Le pokémon sursauta à son tour avant de reculer à la vue de Kenji. Il semblait sale, il a reculé mais ne s'est pas enfuit, il ne devait pas être sauvage, même s'il a un inconnue en face de lui il surveille le quais du coin de l’œil... Une main tendu et quelques reniflement du poémon suffirent à donner confiance en ce dernier qui s'approcha et laissa la main nonchalante de Kenji le caresser. Il appartenait à quelqu'un c'était évident, et ce dernier était lui aussi parti en laissant tout derrière lui... ou du moins son pokémon. Il tourna la tête, regardant les voyageurs accompagnés par leur compagnons comme ceux qu'il observait quotidiennement. Pourquoi pas lui? Le Rocabot se laissa soulevé, pendant entre les deux mains de Kenji qui le tenait bras tendu. C'était une femelle.
"Ça te dis de partir d'ici? J'ai l'impression que toi non plus t'as rien à y faire."
Si un long silence quelque peu gênant s'installa entre les deux, le pokémon sembla comprendre et un accord conclu. C'est donc sur un bateau en direction de Lumiris que le nouveau Kenji est née. Accoudé en observant Poivressel s'éloigner, il repris une gorgée de sa flasque. Qu'est-ce qu'il allait faire une fois arrivé? Cette question continuait à tourner dans sa tête.
"P'us tard je serais comme Tonton Ryo!"
Cette phrase surgit d'un coup, comme une lumière dispersant ses doutes. Il rigola légèrement même sur ce "Tonton Ryo", la naïveté de son enfance qui était devenu une blague maintenant. Il se tourna alors vers le pokémon qui était lui aussi tourné vers son passé.
"Haha... Tu veux devenir mon assistante? Je vais t'appeler Kaori!"
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Comment a-tu découvert le forum ? Dans un vent de nostalgie (ho c'est beau)Ton pokémon préféré : Dimorêt, même si le zigzaton de galar est devenu ma mascotteAs-tu un parrain ? Je suis mon propre parrain.Un dernier mot ? Cette fiche n'est toujours pas une fiche sur le cyclimse, merci de votre compréhension.