i'd rather sleep away the day
save me, i'm a prisoner, i'm a prisoner of my mind
Visage stoïque quand ses yeux dévisagent la plaie qui saignait légèrement. Elle s’était blessée avec le mécanisme d’une horloge - et c’était une forme de perplexité et de fascination qui s’étaient imposées dans ses yeux.
C’était particulier - particulier de voir cette blessure, de pouvoir goûter le sel du sang sur ses lèvres, de sentir le chaud et le froid - de ressentir les textures de tout ce qui se trouvait sous ses mains… mais de ne pas être en mesure de ressentir la douleur. Cette douleur qui affirme la vie, le sang qui coule dans les veines, le coeur qui bat. Cette douleur qui démontre qu’ils existent et qu’ils ne sont pas que des apparitions - cette douleur qui est à la base de tout et qui manque à son existence.
“Maman, maman !” La douce voix de son fils avait résonné dans la roulotte et elle s’était tournée vers lui en lui souriant. La présence de cet enfant dans sa vie illuminait toutes les journées de rayons de soleil, même lorsque l’orage se déferlait à l’extérieur. Vai’iti aimait courir sous la pluie, danser sous les grondements du tonnerre et les éclairs qui déchiraient le ciel les surplombant.
Il avait été une erreur. Mais elle ne l’avait jamais regretté et elle n’avait jamais douté de ce qui était bien, de lui, de son amour pour lui. Elle avait complètement oublié le nom du père de cet enfant, elle avait complètement oublié pourquoi elle était tombée pour lui de prime abord. Elle ne se souciait même pas de tout ça, de tout ce qui entourait la conception, elle se souciait uniquement de son enfant qui lui faisait apparaître de merveilleux sourires sur ses lèvres même quand elle pensait ne pas pouvoir sourire. Vai’iti était un miracle, malgré les conditions très problématiques entourant l’accouchement.
“Oui, mon ange ?” elle tendit les bras à son fils qui se précipita pour la rejoindre et s’asseoir sur ses genoux. Sa petite main se posa sur celle de sa mère qui avait été blessée. “Toi bobo ?” Elle secoua doucement la tête en laissant un rire s’échapper d’entre ses lèvres. Elle le serra doucement contre elle en respirant son odeur. Elle avait un peu craint la solitude, quand elle pensait à partir, avant que se joigne cette pierre précieuse dans son existence. Elle n’avait pas à craindre de se sentir seule désormais - même si, elle ne pouvait affirmer que c’était toujours facile. Vai’iti n’était pas tout facile comme enfant, il pouvait piquer des crises comme tous les autres. Mais elle l’acceptait ainsi.
“Ce n’est rien, ne t’en fais pas. Maman va bien.” Il laissa sur sa main un bisous léger en souriant. Elle répondit à son sourire par un sourire tout aussi radieux. “Tu voulais me montrer quoi ?” Il faisait beau, vraiment beau, le soleil était magnifique dehors.
Le soleil brillait dehors - mais le soleil qui importait Vaheana était celui qui rayonnait dans ses bras et qui lui montrait un dessin… qui représentait le Trousselin et le Vaporeon de la jeune femme aux côtés du Vulpix de son enfant. Évidemment que son petit allait avoir un pokémon. Il lui avait été offert quand elle l’avait trouvé perdu dans les bois de Lumiris, en arrivant dans la région, et depuis… ils étaient inséparables.
“C’est magnifique Vai’!” Rien ne valait plus que les étoiles brillant dans son regard quand elle le complimentait. Mais le son des clés qui s’entrechoquaient lui indiquait que quelqu’un approchait - Williwaw était un peu comme sa sonnette personnelle. Elle déposa son fils par terre en lui rendant son dessin. “Maman a un client, retournes jouer dans la roulotte veux-tu mon ange ?” Elle avait lâché la main du petit qui s’était envolé dans la roulotte en hochant farouchement la tête. Elle, elle avait levé le regard vers la personne qui arrivait tout près d’elle, avec une horloge et… un pokémon sur le dessus de l’horloge. Ce qui fit rire l’horlogère. Elle se leva en s’approchant. “Besoin d’aide ?”
Ses talons laissaient un son résonnant alors qu’elle époussetait ses vêtements moulant à la perfection un corps dont elle prenait grand soin malgré la présence de son fils dans sa vie. Sa féminité, elle y tenait - et elle n’allait rien laisser l’empêcher de prendre soin de son apparence sans pour autant préférer une séance de manucure à un moment mère - fils.
Mais Vaheana avait toujours un certain effet sur les hommes - parce qu’elle savait qu’elle était belle. Et que la confiance était toujours une force. Bien qu’elle ne s’en souciait pas actuellement. Avoir de l’argent potentiel était plutôt ce qui restait dans sa tête devant cet homme.
C’était particulier - particulier de voir cette blessure, de pouvoir goûter le sel du sang sur ses lèvres, de sentir le chaud et le froid - de ressentir les textures de tout ce qui se trouvait sous ses mains… mais de ne pas être en mesure de ressentir la douleur. Cette douleur qui affirme la vie, le sang qui coule dans les veines, le coeur qui bat. Cette douleur qui démontre qu’ils existent et qu’ils ne sont pas que des apparitions - cette douleur qui est à la base de tout et qui manque à son existence.
“Maman, maman !” La douce voix de son fils avait résonné dans la roulotte et elle s’était tournée vers lui en lui souriant. La présence de cet enfant dans sa vie illuminait toutes les journées de rayons de soleil, même lorsque l’orage se déferlait à l’extérieur. Vai’iti aimait courir sous la pluie, danser sous les grondements du tonnerre et les éclairs qui déchiraient le ciel les surplombant.
Il avait été une erreur. Mais elle ne l’avait jamais regretté et elle n’avait jamais douté de ce qui était bien, de lui, de son amour pour lui. Elle avait complètement oublié le nom du père de cet enfant, elle avait complètement oublié pourquoi elle était tombée pour lui de prime abord. Elle ne se souciait même pas de tout ça, de tout ce qui entourait la conception, elle se souciait uniquement de son enfant qui lui faisait apparaître de merveilleux sourires sur ses lèvres même quand elle pensait ne pas pouvoir sourire. Vai’iti était un miracle, malgré les conditions très problématiques entourant l’accouchement.
“Oui, mon ange ?” elle tendit les bras à son fils qui se précipita pour la rejoindre et s’asseoir sur ses genoux. Sa petite main se posa sur celle de sa mère qui avait été blessée. “Toi bobo ?” Elle secoua doucement la tête en laissant un rire s’échapper d’entre ses lèvres. Elle le serra doucement contre elle en respirant son odeur. Elle avait un peu craint la solitude, quand elle pensait à partir, avant que se joigne cette pierre précieuse dans son existence. Elle n’avait pas à craindre de se sentir seule désormais - même si, elle ne pouvait affirmer que c’était toujours facile. Vai’iti n’était pas tout facile comme enfant, il pouvait piquer des crises comme tous les autres. Mais elle l’acceptait ainsi.
“Ce n’est rien, ne t’en fais pas. Maman va bien.” Il laissa sur sa main un bisous léger en souriant. Elle répondit à son sourire par un sourire tout aussi radieux. “Tu voulais me montrer quoi ?” Il faisait beau, vraiment beau, le soleil était magnifique dehors.
Le soleil brillait dehors - mais le soleil qui importait Vaheana était celui qui rayonnait dans ses bras et qui lui montrait un dessin… qui représentait le Trousselin et le Vaporeon de la jeune femme aux côtés du Vulpix de son enfant. Évidemment que son petit allait avoir un pokémon. Il lui avait été offert quand elle l’avait trouvé perdu dans les bois de Lumiris, en arrivant dans la région, et depuis… ils étaient inséparables.
“C’est magnifique Vai’!” Rien ne valait plus que les étoiles brillant dans son regard quand elle le complimentait. Mais le son des clés qui s’entrechoquaient lui indiquait que quelqu’un approchait - Williwaw était un peu comme sa sonnette personnelle. Elle déposa son fils par terre en lui rendant son dessin. “Maman a un client, retournes jouer dans la roulotte veux-tu mon ange ?” Elle avait lâché la main du petit qui s’était envolé dans la roulotte en hochant farouchement la tête. Elle, elle avait levé le regard vers la personne qui arrivait tout près d’elle, avec une horloge et… un pokémon sur le dessus de l’horloge. Ce qui fit rire l’horlogère. Elle se leva en s’approchant. “Besoin d’aide ?”
Ses talons laissaient un son résonnant alors qu’elle époussetait ses vêtements moulant à la perfection un corps dont elle prenait grand soin malgré la présence de son fils dans sa vie. Sa féminité, elle y tenait - et elle n’allait rien laisser l’empêcher de prendre soin de son apparence sans pour autant préférer une séance de manucure à un moment mère - fils.
Mais Vaheana avait toujours un certain effet sur les hommes - parce qu’elle savait qu’elle était belle. Et que la confiance était toujours une force. Bien qu’elle ne s’en souciait pas actuellement. Avoir de l’argent potentiel était plutôt ce qui restait dans sa tête devant cet homme.