Originaire de la région de Kanto, Soul Skull à vue le jour et a grandie dans une petite ville de montagne où il a très vite démontré une passion certaines pour les matchs pokemon à la télévision. Très vite le jeune garçon pouvait passer des heures entières devant le poste, à énumérer toutes les espèces qui défilait à l’écran. Bercés par ses rêves d’enfant plein de pokemon et l’amour de ses parents, ses premières années furent des plus paisible, hormis les quelques écarts qui lui devait parfois un coup sur les doigts en guise de réprimande de là par de l’Ossatueur de sa mère. Le jeune Soul se souvient encore avec nostalgie, cette époque où le pokemon de sa mère le suivait partout pour vérifier qu’il ne faisait pas de bêtises. Il fallut attendre quelques années pour que le petit homme ne développer une plus dérangeante passion.

A l’âge de treize ans Soul était capable de vous débarrassez de votre montre, votre portefeuille et vos clés, et ceux à votre insu en vous ayant croisez pas plus de quelque seconde. Possédant un talent certains pour la substitution, ou appelons un chat un chat, étant un véritable maitre pickpocket, il ne fit jamais vraiment ça pour l’argent, ses parents sans pour autant rouler sur l’or n’en manquant pas. Pour lui, seul le frisson et le défi l’attirer et l’exalter dans cette entreprise. Ainsi ses méfaits s’étalèrent sur plus d’une année avant qu’il commette une erreur et se retrouve menotter dans un poste de police.
De par son jeune âge il s’en sortie sans trop de dégâts, cependant, ce fut la douleur qu’il causa au cœur de ses parents qui le heurta principalement. Il avait visiblement déçu ses parents lorsque ses actions de ses derniers mois étaient remontées à la surface, les faisans se questionner sur la chose à faire pour leurs menteur d’enfant.  Ce fut à peu prés à cette époque, que l’Oncle de Soul, Edgard Skull, revint en ville.

Edgard était le chef d’un cirque itinérant qui s’était au fil du temps bâtie une certaine réputation à travers Kanto. Nommer le cirque Brumeux pour la brume (créé par plusieurs pokemon eau de la troupe) qui le recouvre à chaque représentation, il était connu pour l’ambiance digne d’un film d’horreur qui l’avait avec le temps personnifié. D’une taille modeste, leurs renommer avait dépasser se stade, que se soit pour ses cracheurs de feu, pour sa collection unique de pokemon spectre ou pour sa galerie de pokemon chromatique ou sa diseuse de bonne aventure, tous trouvaient leurs bonheurs et le frisson tant attendu en arpentant le cirque brumeux.
Et lorsqu’il repassa par sa ville d’origine, le chef de la troupe itinérante soumis une solution assez inconventionnel pour orienter son neveu : Pourquoi ne pas basculer son talent pour la substitution vers un tout autre domaine ? La magie par exemple. Quelque peu sceptique, le jeune garçon vu bien tentait le coup et on peut dire… Que le résultat fut prophétique ! Soul démontra immédiatement un talent unique pour la prestidigitation.

En seulement quelque semaine, le jeune garçon alors âgés de quinze hivers, avait maitriser chacun des tours que son oncle pouvait lui apprendre et commença à développés les sien avec une facilité déconcertante. Soul embrassa la magie et commença à s’isoler de plus en plus souvent dans la foret pour développés de nouveau tour. C’est également à cette époque qu’il commença à remarquer une silhouette qui le suivait partout… Au début c’était que certaine fois, puis très vite, à chaque fois qu’il s’entrainait pour tel ou tel tour, il pouvait ressentir une présence le lorgnant, puis une vague silhouette qui se volatilisait dés qu’il tentait de lui poser le regard dessus. Il ne se doutait pas encore de la relation qui se construirait bientôt avec cet étrange mirage.

Avec le temps, face au talent de son neveu, Edgard le fit entrée officiellement au sein du cirque, embarquant le jeune Soul dans leurs périples au travers de Kanto. Les mois et les années passèrent, où toujours sur les routes, le jeune homme ne cessait pas de voir l’étrange mirage qui semblait bien décidait à le suivre. Avec le temps la silhouette disparaissant de moins en moins vite face à son regard, il avait fini par identifier l’entité comme un abra des plus timides qu’il put même apercevoir assister à ses représentations au sein du cirque à de nombreuse reprise. Soul ne sut jamais vraiment d’où était nés cette attraction, supposant simplement que le pokemon aimer ses spectacles de magie. Même avec le temps, ça l’étonne toujours d’un être capable de lire vos pensées même en dormant…
Tout ce qu’il savait c’est qu’où qu’ils aillent, l’Abra serait là à le regarder. Et Soul avait apprit à aimer ça. Mais leur relation changea réellement le jour, où après une représentation, et que tous les spectateurs furent parties, Soul s’allongea sur le sable de la piste pour regarder le plafond conique. Quelque seconde après, en tournant la tête, il constatât le mystérieux mirage allongé à ses côtés. Imitant sans propre posture : Sur le dos, les bras derrière la tète, la créature semblait assoupie mais heureuse, comme si elle se savait en paix. Cependant quand il voulut le toucher, l’Abra se téléporta plus loin…

Il lui fallut encore de nombreux mois pour pouvoir le toucher, ou même lui parler directement, mais au fil des voyages la confiance s’installa et bientôt la jeune abra passait ses journées à tourbillonnais en dormant autour du jeune magicien. Ayant tout de même garder cette malencontreuse habitude, de disparaitre au moindre regard n’appartenant pas à Soul. Cependant le futur dresseur, n’avait jamais vue en Abra « SON » pokemon, il ne s’agissait là que d’un compagnon de voyage un peu loufoque qu’il adorais de tout son cœur. Ce n’est que lorsque son Oncle lui annonça que Le cirque allait quitter la région pour une autre en plein expansion de leurs cotés du globe, et que le magicien répondit présent, que Soul réalisa la porter de son lien avec le pokemon. Ce même pokemon, qui, alors que le jeune homme pleurait discrètement la perte de son ami une fois le bateau loin des cotes de Kanto, qu’il réalisa que son ami était juste là.

Serait-il un dresseur alors ?
Cela ravivait en lui, d’ancien rêves, alors qu’il se revoyait plus jeune, trépignant devant se télévision…