Lunasfreya Maristolova
Feat. Rize Kamishiro | Tokyo Ghoul
26 ans
Biologiste / Zoologiste
04.04.1995
Aucune Faction
Galar
Habite Nemerya
Elle
Météore
Intelligente
Tenace
Attentive
Têtue
Lunaire
Menteuse
Luna, de son nom complet Lunasfreya, est l’enfante chérie d’un Médecin et d’une professeur en chimie. Elle est le fruit parfait d’un amour parfait, et se l’est entendu répéter toute sa vie. C’est un peu être un des facteurs aggravant de son envie d’un « monde parfait ». Oui, Luna est perdue dans cette obsession totale d’un monde parfait, d’un monde où les humains ne sont pas humains, mais une sublimation des pokémons. Dans son esprit distordu, les humains ressemblent à des monstres, quand elle regarde les autres, rares sont les exceptions qui ne la dégoûtent pas au premier regard.
Lunasfreya est attaquée par des Épisodes psychotiques, ce qui définit une grosse partie de sa personnalité. Luna hallucine quotidiennement, elle voit des monstres partout, les visages avenants deviennent des masques hideux, et les peaux de pêche des amas de putréfactions. Non, elle n’est pas capable de voir le visage normal des gens, mais avec le temps, elle a appris à le cacher. Luna est une excellente actrice, capable de simulé une délectation parfaite de votre présence, alors que le simple fait de vous regarder la dégoutte.
On dit souvent que les fous voient des trucs qui n'existent pas et entendent des voix, Luna n’en entend qu'une, elle. Elle entend ce qu’elle appelle La Voix du Monde. Un murmure constant qui lui donne une migraine atroce (elle a toujours une boite d’aspirine sur elle), une sorte de tas de voix se plaignant constamment de l’imperfection du monde et l’enjoignant à tout changer, à modifier, à améliorer le monde.
Ceux qui ne la connaissent que de surface vous diront que Luna est une personne enjouée, toujours souriante, toujours prête à aider son prochain. Elle donne aux charités, aide dans les associations quand elle le peut et aura toujours un mot gentil pour ceux qu’elle croise. Ils vous diront que Luna est, à l’inverse de son nom, comme un rayon de soleil qui illumine de sa simple présence, un sourire qui réchauffe les cœurs.
Ceux qui savent, tout aussi rare soient ils, vous diront que Luna est insidieuse, qu’elle cache sa folie sous de fausses platitudes. Qu’elle vend du rêve comme elle donne des mensonges, et qu’il ne faut jamais croire ce qui sort de sa bouche souriante. Ils vous diront qu’elle est folle, qu’elle voit des choses qui n’existent pas et qu’elle a des idées qui ne devraient pas exister ; ils vous parleront du fait que parfois (souvent) elle leur fait peur, que ses idées extrême les terrorisent. Ils partageront avec vous cette crainte permanente d’un jour faire partir d’une de ses expériences, de cette incertitude qu’ils ont de n’être considéré que comme une avancée pour son monde parfait.
Il n’y a rien qui rende Luna plus heureuse que de partager ses expériences avec ses Amis. Malheureusement, ils sont tellement rares que souvent, elle n’a que Marie avec qui partager. Sa pokémon se fait une joie de participer à ses tentatives d’amélioration du monde, et ensemble elles forment une équipe soudée.
Pour sa passion, pour cette modification du monde, elle est prête à tout, il n’y a rien qu’elle ne pourrait faire. Couper, brûler, arracher et parfois même goûter le fruit de son travail sont des étapes qu’elle entreprend à chaque nouvelle tentative. Comme un inventeur, comme un Chef cuisinier, elle se doit de savoir ce qui va ou non dans ce qu’elle a fait. Pourquoi un autre échec, y a-t-il quelque chose qu’elle aurait dû faire autrement ? Souvent, elle s’interroge, entrant dans des rages folles qui la force à détruire des objets autour d’elle. Dans ces instants, elle incarne vraiment la folie qui la dévore.
Pour ceux qui croisent Luna dans la rue, ils n’ont rien à craindre. Elle ne cueillera pas le premier venu, non. Elle étudiera le prochain spécimen et son environnement, afin de s’assurer qu’elle ne coupe pas à la racine une plante reproductrice. Imaginer la police frapper à sa porte parce qu’elle aurait pris le mauvais monstre la mine vraiment, même si elle s’inquiète peu de cette possibilité.
Lunasfreya est attaquée par des Épisodes psychotiques, ce qui définit une grosse partie de sa personnalité. Luna hallucine quotidiennement, elle voit des monstres partout, les visages avenants deviennent des masques hideux, et les peaux de pêche des amas de putréfactions. Non, elle n’est pas capable de voir le visage normal des gens, mais avec le temps, elle a appris à le cacher. Luna est une excellente actrice, capable de simulé une délectation parfaite de votre présence, alors que le simple fait de vous regarder la dégoutte.
On dit souvent que les fous voient des trucs qui n'existent pas et entendent des voix, Luna n’en entend qu'une, elle. Elle entend ce qu’elle appelle La Voix du Monde. Un murmure constant qui lui donne une migraine atroce (elle a toujours une boite d’aspirine sur elle), une sorte de tas de voix se plaignant constamment de l’imperfection du monde et l’enjoignant à tout changer, à modifier, à améliorer le monde.
Ceux qui ne la connaissent que de surface vous diront que Luna est une personne enjouée, toujours souriante, toujours prête à aider son prochain. Elle donne aux charités, aide dans les associations quand elle le peut et aura toujours un mot gentil pour ceux qu’elle croise. Ils vous diront que Luna est, à l’inverse de son nom, comme un rayon de soleil qui illumine de sa simple présence, un sourire qui réchauffe les cœurs.
Ceux qui savent, tout aussi rare soient ils, vous diront que Luna est insidieuse, qu’elle cache sa folie sous de fausses platitudes. Qu’elle vend du rêve comme elle donne des mensonges, et qu’il ne faut jamais croire ce qui sort de sa bouche souriante. Ils vous diront qu’elle est folle, qu’elle voit des choses qui n’existent pas et qu’elle a des idées qui ne devraient pas exister ; ils vous parleront du fait que parfois (souvent) elle leur fait peur, que ses idées extrême les terrorisent. Ils partageront avec vous cette crainte permanente d’un jour faire partir d’une de ses expériences, de cette incertitude qu’ils ont de n’être considéré que comme une avancée pour son monde parfait.
Il n’y a rien qui rende Luna plus heureuse que de partager ses expériences avec ses Amis. Malheureusement, ils sont tellement rares que souvent, elle n’a que Marie avec qui partager. Sa pokémon se fait une joie de participer à ses tentatives d’amélioration du monde, et ensemble elles forment une équipe soudée.
Pour sa passion, pour cette modification du monde, elle est prête à tout, il n’y a rien qu’elle ne pourrait faire. Couper, brûler, arracher et parfois même goûter le fruit de son travail sont des étapes qu’elle entreprend à chaque nouvelle tentative. Comme un inventeur, comme un Chef cuisinier, elle se doit de savoir ce qui va ou non dans ce qu’elle a fait. Pourquoi un autre échec, y a-t-il quelque chose qu’elle aurait dû faire autrement ? Souvent, elle s’interroge, entrant dans des rages folles qui la force à détruire des objets autour d’elle. Dans ces instants, elle incarne vraiment la folie qui la dévore.
Pour ceux qui croisent Luna dans la rue, ils n’ont rien à craindre. Elle ne cueillera pas le premier venu, non. Elle étudiera le prochain spécimen et son environnement, afin de s’assurer qu’elle ne coupe pas à la racine une plante reproductrice. Imaginer la police frapper à sa porte parce qu’elle aurait pris le mauvais monstre la mine vraiment, même si elle s’inquiète peu de cette possibilité.
Marie fut le tout premier pokémon de Luna, qui l'eut rejoint quand elle eut ses 14 ans. C'était un pokémon que ses parents lui avaient offert dans le but de canaliser son énergie .. débordante. Ils pensaient que s'occuper d'un pokémon l'aiderait à se sentir mieux, et d'une certaine manière, ce fut le cas. Il ne calculèrent certainement pas la déviance que Luna ferait des réactions naturelles de son pokémon.
Marie est un pokémon volontaire et avec un caractère fort, elle n'obéira réellement que si Luna se fait entendre, refusant d'écouter un quelconque autre humain. Elle aura même tendance à faire claquer ses mâchoires supplémentaires pour prévenir de ne pas la provoquer.
C'est un secret, mais Marie est également un Pokémon qui a été entraîné à dévorer les corps. En effet, Luna se sert d'elle pour faire disparaître ses expériences ratées, et la Mysdibule a finit par y prendre goût. Si elle se met à baver en vous regardant, il est conseillé de s'éloigner.
Marie est un pokémon volontaire et avec un caractère fort, elle n'obéira réellement que si Luna se fait entendre, refusant d'écouter un quelconque autre humain. Elle aura même tendance à faire claquer ses mâchoires supplémentaires pour prévenir de ne pas la provoquer.
C'est un secret, mais Marie est également un Pokémon qui a été entraîné à dévorer les corps. En effet, Luna se sert d'elle pour faire disparaître ses expériences ratées, et la Mysdibule a finit par y prendre goût. Si elle se met à baver en vous regardant, il est conseillé de s'éloigner.
Marie
Mysdibule
Femelle
Épine de Fer
Elle était belle, la vie de la petite princesse. Elle était belle, la vie de la jolie poupée. Une fille parfaite, pour une mère parfaite, dans une famille parfaite. Jusqu'à ce que tout se brise, tout se délisse, tout ne change.
La vie parfaite de Luna le resta jusqu'à son adolescence. Une vie toujours aimée de ses parents, dorlotée et chouchoutée comme la petite princesse qu'elle était. Toujours les dernières robes, les derniers jouets, les amis les plus fidèles, les compliments les plus agréables. Et puis l'adolescence est arrivé, et avec elle ... la maladie. Et non pas une maladie visible, mais bien une maladie insidieuse, qui se développa lentement, mais sûrement ... et qui détruisit tout ce monde parfait.
À 15 ans, Lunasfreya fut diagnostiquée victime d'épisodes psychotique et ce après avoir tenté de s'arracher les cheveux en hurlant que des Abo y avaient pris résidence. Ses parents l'emmenèrent en urgences dans un hôpital, uniquement pour s'entendre dire que leur fille n'était pas parfaite. Dingue, folle, cinglée, mais le tout portant un nom qu'ils ne voulaient même pas prononcer.
'Ne vous inquiétez pas' les rassura le médecin 'il y a des médicaments qui aident' il leur vendit. Oui, il y avait certainement des médicaments, des médicaments qui tuaient petit à petit l'enfante parfaite qu'ils avaient fait. Lente, rêveuse et semblant toujours planer, ces médicaments n'étaient rien d'autre qu'une camisole chimique. Posée là, comme une poupée à laquelle on aurait coupé ses fils, leur fille n'avait plus rien d'être vivant. Alors lentement, doucement, ils réduisirent de leur propre chef les doses, et elle reprit vie. Elle recommença à sourire, à parler, à vivre ... mais aussi à mentir, à cacher, à tromper. Elle serait la parfaite fille de ses parents, pour qu'elle n'ait plus à prendre cette drogue qui la muselait, mais cela ne l'empêcherait pas de penser ce qu'elle devait, ce qu'elle pouvait, ce qu'elle voyait.
Libéré des menottes chimiques qui l'empêchaient de voir la réalité du monde, elle pouvait à nouveau voir la distorsion des humains, leur apparence monstrueuse qui ne devrait pas exister. Elle, enfante encore, ne pouvait rien y faire. Mais elle se l'était juré, elle arriverait un jour à purifier le monde, à changer l'horreur qui l'habitait pour le transformer en ce qu'il y avait de mieux.
S'engageant dans une croisade digne de Don Quichotte, elle se jeta à corps perdu dans la recherche du corps et de sa possible modification. Passionnée par son sujet et capable de se faire passer pour ce qu'elle n'est pas (saine d'esprit), ses parents se rassurèrent sur le fait qu'elle était guérie, ils se mentirent sur le fait qu'elle était à nouveau normale, qu'à présent, elle serait à nouveau parfaite. Son esprit bouillonnant lui permet d'être toujours dans les premiers de sa classe, d'entrer dans l'université de son choix, d'avancer à une vitesse fulgurante dans les études. Son mémoire se posant sur les différences anatomique entre pokémons et humains, les points communs, les possibilités innovantes qui pourrait en découler, ce fut une étude qui en intéressa plus d'un. Major de sa promotion, elle sortit de là avec assez de contact pour pouvoir sponsoriser ses recherches pour au moins 100 ans.
Sortie de ses études, elle commença à faire ses vraies recherches, ses vraies expériences. Était il possible de modifier les immondes corps humains pour les faire se diriger vers l'évolution parfaite des pokémons ? C'était là le vrai sujet de son étude. Et libre des regard de ses paires et des "adultes" qui pensaient pouvoir contrôler ce qu'elle faisait, de ces monstres ignobles qui s'ignoraient, elle allait enfin pouvoir soigner les maux du monde.
Mais Galar n’était pas l’endroit qu’elle avait choisi, ici, elle était restreinte par les attentes des autres, les restrictions qu’elle devait s’imposer. Elle devait partir, se faire une tanière, quelque part, un endroit qui lui permettrait de réaliser ses travaux. C’était donc armée de l’argent de ses sponsors qui lui faisaient ‘confiance pour leur fournir ce qu’il y avait de meilleur, et ce quel qu’en soit le prix’ et des vœux de succès de ses parents, qu’elle quitta l’île qui l’avait vu naître pour poser le pied sur une nouvelle étendue de terre qu’elle n’avaient encore jamais explorée . Elle posa sa valise dans la capitale de cette île, Nemerya, non pas pour la vie citadine, mais pour pouvoir se fondre dans la masse et pour la pléthore de sujet qu’elle allait pouvoir y trouver.
Lentement, mais sûrement, elle sera son trou. En premier lieu, elle se fit une petite réputation de biologiste spécialisée dans les pokémons et leu étude, lentement, mais sûrement, elle se créa une brèche dans la suspicion des sceptiques. Puis, quand son venin fut bien encré dans les veines de la ville, elle frappa ! Elle kidnappa … non, elle cueillit le premier sujet de sa recherche : un SDF qui n’avait plus de famille et qui n’aurait personne pour le pleurer. Cet homme, elle tenta de le changer de son hideuse apparence, pour en faire une parfaite création, amalgame de pokémon et d’humain. Coupant, découpant, changeant, tirant et modifiant, elle usa du corps d’un pokémon et de celui d’un humain – tous deux toujours vivant et maintenu au plus long dans cet état – pour tenter de trouver la parfaite alchimie qui rendrait les monstres beaux. Pour que les hideuses formes humaines se rapprochent de celles parfaites des pokémons, il faudrait malheureusement quelques sacrifices, et ces pokémons sauvages et ces humains sauvages, seraient les martyres qui permettraient à Luna de changer le monde. À chaque mort, à chaque échec qui la rendait un peu plus furieuse, elle prenait quand même sur elle-même de remercier ces sacrifices, ces pierres qui paveraient un avenir meilleur. Et pour qu’elle puisse continuer à chercher une humanité sublimée, elle ne pouvait pas être liée à ces corps et se devait, malheureusement, de les faire disparaître. Il y avait Marie pour ça.
Son pokémon avait rapidement appris que ces corps étaient une source d’énergie qu’elle pouvait assimiler, qu’elle pouvait transformer. Donc oui, quand Luna lui tendait un corps, elle ouvrait les grandes mâchoires de son excroissance et avalait ces amas de chairs comme d’autres avaleraient un steak. Cette partie de son anatomie ne goûtant pas, n’étant pas sensible au goût, elle pouvait avaler le tout et le transformer sans avoir à subir l’immondice qu’était ce mélange de pokémons et d’humains.
Luna ne compta pas le nombre de corps qu’elle fit ainsi disparaître, mais le temps passant, elle s’améliora. Elle pouvait à présent faire survivre certains spécimen un petit temps, même s’ils finissaient tous par rendre l’âme. Ce faisant, elle découvrit également quelques utilités des organes pokémons sur ceux humains, qu’elle partagea avec ses sponsors. Elle en était sûre, elle se rapprochait du but, d’un monde parfait, d’un futur sans l’ignoble imperfection humaine.
La vie parfaite de Luna le resta jusqu'à son adolescence. Une vie toujours aimée de ses parents, dorlotée et chouchoutée comme la petite princesse qu'elle était. Toujours les dernières robes, les derniers jouets, les amis les plus fidèles, les compliments les plus agréables. Et puis l'adolescence est arrivé, et avec elle ... la maladie. Et non pas une maladie visible, mais bien une maladie insidieuse, qui se développa lentement, mais sûrement ... et qui détruisit tout ce monde parfait.
À 15 ans, Lunasfreya fut diagnostiquée victime d'épisodes psychotique et ce après avoir tenté de s'arracher les cheveux en hurlant que des Abo y avaient pris résidence. Ses parents l'emmenèrent en urgences dans un hôpital, uniquement pour s'entendre dire que leur fille n'était pas parfaite. Dingue, folle, cinglée, mais le tout portant un nom qu'ils ne voulaient même pas prononcer.
'Ne vous inquiétez pas' les rassura le médecin 'il y a des médicaments qui aident' il leur vendit. Oui, il y avait certainement des médicaments, des médicaments qui tuaient petit à petit l'enfante parfaite qu'ils avaient fait. Lente, rêveuse et semblant toujours planer, ces médicaments n'étaient rien d'autre qu'une camisole chimique. Posée là, comme une poupée à laquelle on aurait coupé ses fils, leur fille n'avait plus rien d'être vivant. Alors lentement, doucement, ils réduisirent de leur propre chef les doses, et elle reprit vie. Elle recommença à sourire, à parler, à vivre ... mais aussi à mentir, à cacher, à tromper. Elle serait la parfaite fille de ses parents, pour qu'elle n'ait plus à prendre cette drogue qui la muselait, mais cela ne l'empêcherait pas de penser ce qu'elle devait, ce qu'elle pouvait, ce qu'elle voyait.
Libéré des menottes chimiques qui l'empêchaient de voir la réalité du monde, elle pouvait à nouveau voir la distorsion des humains, leur apparence monstrueuse qui ne devrait pas exister. Elle, enfante encore, ne pouvait rien y faire. Mais elle se l'était juré, elle arriverait un jour à purifier le monde, à changer l'horreur qui l'habitait pour le transformer en ce qu'il y avait de mieux.
S'engageant dans une croisade digne de Don Quichotte, elle se jeta à corps perdu dans la recherche du corps et de sa possible modification. Passionnée par son sujet et capable de se faire passer pour ce qu'elle n'est pas (saine d'esprit), ses parents se rassurèrent sur le fait qu'elle était guérie, ils se mentirent sur le fait qu'elle était à nouveau normale, qu'à présent, elle serait à nouveau parfaite. Son esprit bouillonnant lui permet d'être toujours dans les premiers de sa classe, d'entrer dans l'université de son choix, d'avancer à une vitesse fulgurante dans les études. Son mémoire se posant sur les différences anatomique entre pokémons et humains, les points communs, les possibilités innovantes qui pourrait en découler, ce fut une étude qui en intéressa plus d'un. Major de sa promotion, elle sortit de là avec assez de contact pour pouvoir sponsoriser ses recherches pour au moins 100 ans.
Sortie de ses études, elle commença à faire ses vraies recherches, ses vraies expériences. Était il possible de modifier les immondes corps humains pour les faire se diriger vers l'évolution parfaite des pokémons ? C'était là le vrai sujet de son étude. Et libre des regard de ses paires et des "adultes" qui pensaient pouvoir contrôler ce qu'elle faisait, de ces monstres ignobles qui s'ignoraient, elle allait enfin pouvoir soigner les maux du monde.
Mais Galar n’était pas l’endroit qu’elle avait choisi, ici, elle était restreinte par les attentes des autres, les restrictions qu’elle devait s’imposer. Elle devait partir, se faire une tanière, quelque part, un endroit qui lui permettrait de réaliser ses travaux. C’était donc armée de l’argent de ses sponsors qui lui faisaient ‘confiance pour leur fournir ce qu’il y avait de meilleur, et ce quel qu’en soit le prix’ et des vœux de succès de ses parents, qu’elle quitta l’île qui l’avait vu naître pour poser le pied sur une nouvelle étendue de terre qu’elle n’avaient encore jamais explorée . Elle posa sa valise dans la capitale de cette île, Nemerya, non pas pour la vie citadine, mais pour pouvoir se fondre dans la masse et pour la pléthore de sujet qu’elle allait pouvoir y trouver.
Lentement, mais sûrement, elle sera son trou. En premier lieu, elle se fit une petite réputation de biologiste spécialisée dans les pokémons et leu étude, lentement, mais sûrement, elle se créa une brèche dans la suspicion des sceptiques. Puis, quand son venin fut bien encré dans les veines de la ville, elle frappa ! Elle kidnappa … non, elle cueillit le premier sujet de sa recherche : un SDF qui n’avait plus de famille et qui n’aurait personne pour le pleurer. Cet homme, elle tenta de le changer de son hideuse apparence, pour en faire une parfaite création, amalgame de pokémon et d’humain. Coupant, découpant, changeant, tirant et modifiant, elle usa du corps d’un pokémon et de celui d’un humain – tous deux toujours vivant et maintenu au plus long dans cet état – pour tenter de trouver la parfaite alchimie qui rendrait les monstres beaux. Pour que les hideuses formes humaines se rapprochent de celles parfaites des pokémons, il faudrait malheureusement quelques sacrifices, et ces pokémons sauvages et ces humains sauvages, seraient les martyres qui permettraient à Luna de changer le monde. À chaque mort, à chaque échec qui la rendait un peu plus furieuse, elle prenait quand même sur elle-même de remercier ces sacrifices, ces pierres qui paveraient un avenir meilleur. Et pour qu’elle puisse continuer à chercher une humanité sublimée, elle ne pouvait pas être liée à ces corps et se devait, malheureusement, de les faire disparaître. Il y avait Marie pour ça.
Son pokémon avait rapidement appris que ces corps étaient une source d’énergie qu’elle pouvait assimiler, qu’elle pouvait transformer. Donc oui, quand Luna lui tendait un corps, elle ouvrait les grandes mâchoires de son excroissance et avalait ces amas de chairs comme d’autres avaleraient un steak. Cette partie de son anatomie ne goûtant pas, n’étant pas sensible au goût, elle pouvait avaler le tout et le transformer sans avoir à subir l’immondice qu’était ce mélange de pokémons et d’humains.
Luna ne compta pas le nombre de corps qu’elle fit ainsi disparaître, mais le temps passant, elle s’améliora. Elle pouvait à présent faire survivre certains spécimen un petit temps, même s’ils finissaient tous par rendre l’âme. Ce faisant, elle découvrit également quelques utilités des organes pokémons sur ceux humains, qu’elle partagea avec ses sponsors. Elle en était sûre, elle se rapprochait du but, d’un monde parfait, d’un futur sans l’ignoble imperfection humaine.
Pourquoi les Météores ?
Alors, même si elle est victime d'épisodes psychotiques, Luna est une scientifique fière de son art et de ses création. Si c'était légale, elle partagerait tout avec tout le monde, mais pour l'instant elle se contente de partager quelques petites inventions qui découlent de ses projets les plus réussis. Quand au côté manuel ? Autant dire que c'est ce qu'elle préfère ! Mettre les mains dans le cambouis ... enfin, dans le sang.
Pseudo(s): Worldeater
Âge: 32 ans
Localisation: Le Var / France
Pronom(s): Iel, mais genrez moi par mon perso.
Âge: 32 ans
Localisation: Le Var / France
Pronom(s): Iel, mais genrez moi par mon perso.
Comment nous as-tu trouvé ? // DC
Ton Pokémon préféré ? // Eevee
As-tu un parrain ? // Moi owo
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Du Rp, des potes, des corps à découper.
Un dernier mot ? //J'ai donc créé un personnage 'fou' et cela se voit, mais ça ne veut pas dire que c'est médicalement correcte, tout ce que je vais sortir. N'étant ni médecin, ni psychiatre ou psychologue, merci de ne pas m'en tenir rigueur ;w;
Ton Pokémon préféré ? // Eevee
As-tu un parrain ? // Moi owo
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Du Rp, des potes, des corps à découper.
Un dernier mot ? //J'ai donc créé un personnage 'fou' et cela se voit, mais ça ne veut pas dire que c'est médicalement correcte, tout ce que je vais sortir. N'étant ni médecin, ni psychiatre ou psychologue, merci de ne pas m'en tenir rigueur ;w;