Olbéric est nait à Kalos, dans la bourgade pittoresque de Fort-Renard, connue pour son petit château fortifié et son style de vie tiré du Moyen-âges. En effet, à cause d'un principe de "respect des tradition", ce village à fortement réduit son avancée technologique. alors, il y a toujours ordinateur, téléphone et électricité, mais les véhicules, les basketballs et d'autre appareil particulier sont introuvable. Ainsi, aucune route ne mène à cette vile, et seul un chemin assez difficile celons la saison permet d'y accéder. Bien que le Kalosien ancien y soit parlé couramment, cela n'empêche pas la présence de sa version plus commune et jeune. Enfin, Fort-Renard est reconnue pour une troisième raison : c'est la ville natale de Thyméo, membre du conseil 4 de Kalos. ainsi, lorsque la jeune Béatrice, dresseuse voulant devenir la championne , décida d'augmenter ses forces pour faire face au défis des arènes, elle se dirigea vers ce village pour espérer croisée le valeureux chevalier de Kalos. Mais elle trouva à la place un chevalier qui conquit son petit cœur : Jean-Christian Sandacier. C'est de leur union que Naquit le jeune Olbéric, ayant hériter d'un patrimoine génétique très puissant de ses parents.

Ca naissance fut particulière, vue, que Fort-Renard est un peu en dehors du système judiciaire Kalosien. ainsi, à sa naissance, il fallut faire venir un huissier pour régler les problème de nationalité. Verdict final : il fut bien accepté comme étant un fiers habitant de l’hexagone. Après tout cela il fut élevée par ses parents, même si ça mère partait parfois pour essayait de défié l'actrice qui tient la place de Maitresse de ligue de Kalos. Pendant ce temps, le père jonglé entre ses occupation de garde et son rôle de gardien pour son fils unique. Étant un père très câlin, il essayé d'inventé plein de nouveau jeu pour son jeune poupon, en oubliant parfois de travailler pour ce faire. Bien sûr, son travail devenait plus simple quand Béatrice rentrait de ses escapades contre le conseil des 4. Elle n'arriva jamais à battre tout le conseil d'un coup, mais elle fut assez proche d'y arriver à plusieurs reprise. Cependant, cela ne la frustrait pas vraiment, et vue les pokédollars qu'elle gagnait pour ses victoires, elle emmenait sa petite famille en voyage chez elle, a Illumis. Là, Olbéric découvrit les plaisir de la ville, comme les esquimaux glacés, les gens ivres et leurs hurlements, les bandes étranges qui se cachait dans les rues... Oui, bon, il n'arrivait pas vraiment à apprécier la ville quand il était jeune. Surtout que bon, commencer par Illumis, c'est pas la meilleure des idées. Mais malgré tout cela, il eu une enfance simple.

Il fut éduqué à la maison, par sa mère qui lui faisait ses cours. Son père de son coté, l'inscrit chez le maitre d'arme du village. Au début, béatrice n'avait pas la moindre envie que son fils apprenne à manier des couteux, peu importe leur tailles, trouvant que c'est trop dangereux. Mais avec beaucoup de discution avec son mari, elle céda et elle accepta qu'il est une éducation de chevalier en plus de son éducation plus normale de jeune enfant. Ainsi, à ses 8 ans, Olbéric fut le premier élève de son groupe chez le maitre d'arme. Ce dernier entrainait aussi bien au maniement de l'épée, du bouclier, des marteaux, des lances et tout autres armes adapté, en plus d'apprendre à les créer car "une bonne arme est une arme que l'on connait" comme il dit lui même. Et parmis ses compagnon, autant adultes qu'enfants, le jeune prodige était capable d manier chaque arme avec une aisance déconcertante. Son jeune corps était comme sculpté pour le combat. ainsi, tout les vieux du villages le voyait déjà reprenant la suite du Maitre-épéiste. Mais, lorsque arriva ses 11 ans, ses parent décidèrent de l'inscrire au collège. Au début dubitatif, Jean-Christian avait remarqué que son fils était assez étrange, comme si c'était déjà un adulte bien avant l'heure. sous les conseil avisé de sa femme, il considéra que laisser leur fils aller au collège et au lycée en pensionnat serait une idée adapté, qui permettrait au jeune de retrouvé une certaine candeur.

Les années d'Olbéric au pensionnat. Envoyé dans un bon établissement d'Illimis, il fut au début assez timide. en effet, il ne savait pas comment se tenir dans un tel lieu, lui qui était habitué à la droiture et à l'ordre de sa ville natale. Avec le temps, il se fit un petit groupe d'amis, qui avait quand même du mal à comprendre toutes ses idées. Mais ils le respectaient pour sa vaillance, ayant plusieurs fois décider d'aider des inconnus en danger sans jamais rien demander en retour. Ou en prenant tout le blâme. Il lui arriva souvent de se retrouver dans le bureau du directeur, qui ne savait pas vraiment comment le prendre en charge. En effet, Olbéric n'avait pas peur de l'autorité mais n'était pas non plus un rebelle pour autant. Ainsi, face à ce supérieur hiérarchique, il était tout le temps extrêmement factuel. Rare fut les fois où les "méchancetés" d'Olbéric en furent de vraie, et le directeur fut souvent obliger de punir le jeune homme pour évité d'avoir le conseil des élèves sur le dos, ce qui ne gênait jamais Olbéric. Surtout que lorsqu'il rentra en seconde, il prit la liberté d'apporter avec lui son attirails d'entrainement basique (des armes en bois, des haltères et autres outils de musculation), ce qui créa un commun accord entre le jeune homme et son directeur, qui décida que ses heures de colles serait basée sur un style de punition "adapté à sa culture". Un moyen simple de permettre à Olbéric d'utiliser ces temps de sanctions à peine justifiable pour s'entrainer. A part cela, Olbéric était un garçon assez studieux, même s'il était loin d'être le meilleurs. Ironiquement pour une personne de sa provenance, il était particulièrement bon et intéressait en physique-chimie, au point qu'il aide ses camarades qui n'y arrivait pas vraiment assez souvent, en utilisant régulièrement des comparaison avec le travail de forgeron. En récompense de tout ses efforts, quand il obtint son diplôme, ses amis lui offrirent un ordinateur portable ainsi qu'une pokéball. Sachant qu'il allait surement ne jamais le revoir, étant donné qu'il allait partir pour son village natal, ils décidèrent de lui donner un moyen de pouvoir continuer de communiqué. Quand à la pokéball, elle avait était commander spécialement par le groupe et avait était gravé de symbole représentant chaque membre de son ancien groupe, le sien étant bien évidemment une épée.

Alors, il rentra chez lui. Il garda discrètement sa pokéball, considérant qu'il n'en aurais pas besoin. La première chose qu'il fit, fut de retourner chez son maitre afin de reprendre son entrainement. Le maitre ne refusa pas, mais durant son absence de 7 ans, un autre élèves avait était prit comme apprentie du maitre et était devenue son successeur. Ainsi, il ne pouvait donc plus prendre la place de son professeur. Mais qu'à cela ne tienne, il décida de dépasser ses limites et de continuer de suivre ses enseignement. Lors de son vingtième anniversaire, il lui fut demander de passer la cérémonie de capture de "l'arme", une cérémonie consistant à capturer un monorpale pour passez à la dernière phase de l'entrainement : s'entrainer à ne faire qu'un avec son pokémons pour se battre en osmose.

Pour ce faire, il se dirigea dans la partie interdite de la forêt du village, la zone de reproduction des éxagides sauvages. Là, il vit un monorpale, seul, entrain de flotter nonchalamment. Son but était clair. Il dégaina son épée, forgée de ses propres mains et il la présenta au pokémon, en position de défi. L'arme volante soutint son regard pendant quelques secondes, puis se jeta sur l'homme. La créature savait qu'il était commun que des humains viennent ici les défié, et que s'il perdait, l'humain serait alors son maitre. Cela ne gênait pas la jeune épée de devenir attaché à un humain, mais ce dernier devait lui prouver sa valeur. Aucun des deux adversaires ne pu se retenir. Le combat dura plusieurs heures, durant lesquelles les deux adversaires croisé leur fer dans l'optique de prouvé sa puissance à l'autre. En plein cœur de la bataille, un lien puissant c'était lié entre les deux être, et déjà, le combat était devenue bien plus amical que cérémonial. Les deux êtres était déjà en osmose, sans même n'avoir jamais combattu du même côté. Alors que le combat s'éternisait et que les deux adversaire commençait à ressentir fortement la fatigue, Olbéric donna un coup décisif. Son épée, émoussé par le combat, ne tint pas le coup et se brisa. Mais le monorpale, lui, tomba au sol. Olbéric venait d'être victorieux. Mais avant de célébrer sa victoire, il ressortie la pokeball offert par ses amis. Il l’observa longuement, surtout le symbole en forme d'épée. Puis, il prit un morceau de sa lame brisée qu'il glissa dans la pokéball avant de l'utiliser sur l'épée vivante. Par ce geste symbolique, Olbéric transféra l'ultime combat de son arme "Azoth", dans son nouveau compagnon. Et par la même, il lui offrit donc le nom de son ancienne partenaire. A son retour, il fut sacrée chevalier de Fort-Renard. On lui oofrit une armure au doublure de cuir et les couvert furent mis pour lui ce soir là.

Son maitre lui apprit donc tout ce qu'il y avait à savoir sur le combat avec un pokémon et le lien déjà présent entre Azoth et Olbéric grandit. Toujours ponctuel, il ne ratait désormais aucune session d'entrainement. Même lorsque son ordi fut pirater et qu'il devait l'emmener en ville, il préféra laisser sa mère s'en occuper lors de sa tentative suivante de mettre un stop à ses échecs face au conseil des quatre plutôt que d'y aller lui-même. En un temps record, il apprit absolument tout ce qu'il fallait apprendre, au point où il fut enclin à enseigner à la jeune génération avant le successeur du maitre d'arme. Il fit cela pendant deux ans.

Mais, enfin, il fut face à la réalité : le successeur avait atteint la fin de son entrainement et devais donc prendre la place qu'il lui avait emprunté. Un peu à contre-cœur, Olbéric fut obliger de renoncer à son rôle de tuteur. Mais c'est là que sa mère lui donna un nouveau but dans sa vie. En effet, il existé, par delà les mers une nouvelle région dont elle avait entendue parlée durant ses voyages. Une îles nouvelles, avec des dresseurs de toutes horizon, et de nouvelle opportunité inconnue. Pourquoi la possibilités de fonder une école d'art des armements, ou bien pourquoi prendre pour objectif de battre les dresseur les plus fort de cette région ? Olbéric, face à cette révélation, réfléchit plusieurs jours. Ce serais une superbe opportunité pour lui, qui se lassait de ne rien pouvoir vraiment faire, si ce n'est prendre des tours de garde à son père. Il monta alors un petit paquetage, saisi Azoth et sa pokeball et il prit les routes pour cette étrange nation de Lumiris.

Aujourd'hui, il pose son premier pas sur le sol de Lumiris. Quelle sont les aventures qui l'attendent ?