Juno Itō
Feat oc (TEYA)
25 ANS 08.03KANTOSAIKS DE FILLE FAN CLUB MANAGERELEVEURS
Défautscoffee addictimpatientetêtue
Qualitésaltruistebravehonnête
Défautscoffee addictimpatientetêtue
Description
premier abord – Juno est joviale. On dit souvent de son sourire qu’il est contagieux et qu’il en va de même pour son dynamisme, pour son optimisme. Sa détermination est inébranlable, beaucoup s’en sont inspirés. Ses bonnes manières ainsi que son manque de discrimination font sa popularité. Mais sous cette personnalité avenante, demeure un esprit solitaire à la recherche d’aventure, de danger et de changement constant.
une connaissance que l’on voit peu – Il est vrai qu’en tant que simple connaissance, il est difficile d’apercevoir la dresseuse. Un jour en vadrouille, l’autre en plein travail, rien ne retient Itō dans ses activités. La productivité est une valeur importante pour la jeune éleveuse puisque, selon elle, il y aurait trop à vivre et à découvrir. Juno a pour ambition de rendre la vie des gens plus simple et surtout plus heureuse ; elle travaille à cet objectif chaque jour qu’on lui donne.
l’amie de tous – Elle est l’amie de tous. Chaque personne compte, à la simple condition que cette dernière soit respectueuse et n’ait commis aucun crime. C’est évident, mais … Je ressentais le besoin de le préciser. Juno est quelqu’un de compréhensif, qui ne jugera que dans les cas les moins pardonnables. Justicière dans l’âme, elle n’apprécie guère la violence gratuite mais peut tout de même comprendre l’imperfection de la race humaine. Et Pokémon !
une dresseuse dévouée – Les Pokémons sont sa passion première et l’ont toujours été. Elle ne jure que par eux et préfère amplement la compagnie des ces créatures plutôt que celle des Hommes, si elle devait être honnête. En tant que dresseuse, elle est protectrice, patiente et à l’écoute. Elle a un type favori, le type Spectre, mais ne saurait traiter un autre type différemment. Itō a beaucoup fait pour les Pokémons dans sa jeune vie et aimerait désormais en faire tout autant pour les dresseurs qui, eux aussi, méritent qu’on les soutienne, qu’on les épaule.
qualités et défauts – Ses qualités tournent surtout autour de l’altruisme et de son dévouement envers les autres. On n’oublie pas son acharnement dans la vie de tous les jours et avec quelle motivation elle cherche à rompre ses propres limites afin de les pousser encore plus loin. Itō est une battante mais cela fait également d’elle une personne très têtue et il est parfois difficile de lui faire avouer ses torts. Itō aime travailler en équipe mais c’est pour mener ses troupes ! Elle est une leader née et booster le moral des autres est en quelque sorte l’un de ses talents. Sous l’autorité de quelqu’un d’autre, Juno peut se sentir gênée, encore pire : elle pourrait revenir sur la manière dont les choses sont gérées autour d’elle. Pour revenir sur ses qualités, eh bien, on peut dire qu’elle est téméraire voire amatrice de sensations fortes. D’un autre côté, il peut être difficile de vivre à ses côtés puisqu’il faut savoir suivre le rythme !
Leia
MunnaFemelleLeia est un cadeau de bienvenue de la part du Professeur Baobab. Il s’agit d’une petite boule rose à l’apparence fragile mais à l’intelligence indéniable puisqu’à leur rencontre, elle semblait déjà connaître les environs par cœur, … Mais pas plus loin que la route 6. Leia est indépendante mais docile, elle peut se montrer fière de ses connaissances, peut-être trop. Elle peut également tenter certaines actions d’elle-même, sans demander l’avis de sa dresseuse au préalable, mais pour le moment, on n’a pas encore été témoin d'événements dramatiques. Leia est coquette et apprécie particulièrement les bains chauds aux huiles essentielles. Ses plats préférés sont sucrés et ses accessoires favoris fleuris. La petite Munna semble parfois ébahie devant les posters et affiches de coordinateurs. On peut alors penser que la célébrité l’attire ! Sa coordinatrice favorite est Evangelyne, qu’elle rêve de voir en performance.
Histoire
Membre d’une fratrie de six sœurs, Juno en est la seconde. Elle est également citoyenne de Safrania, héritant peut-être du lieu sa préférence pour les types Pokémon les plus sombres. A l’intérieur de la scintillante métropole, Juno mena d’abord une vie de citadine typique, vivant ses journées sans voir le temps passer, ni l’argent dépensé dans des biens superficiels, dans un besoin de divertissement insatiable. A l’époque, l’ardeur de la jeune fille ne flambait pas de la flamme la plus positive. Influencée par ses sœurs aux mœurs peu claires, elle failli tendre la main à une vie de délinquance. C’est son sens de la justice qui la sauva, elle comprit bien et rapidement que, dans les agissements de tous ces malfaiteurs et scélérats, rien ne faisait sens.
Afin de rester éloignée de tout cela, elle prit la décision – manches retroussées – d’aider ses parents dans leur travail de restaurateurs, au café qu’ils tenaient, et tiennent toujours. Il s’agit d’un café cozy où l’on peut être servi ou diverti par des Pokémons Spectre (autrefois abandonnés par leurs dresseurs). Collée au bâtiment, on peut dépenser quelques pièces de plus dans l’attraction des plus téméraires : une maison hantée plus vraie que nature. C’est dans cet endroit que Juno appris les ficelles du divertissement mais surtout, elle apprit à s’occuper des Pokémons comme s’ils faisaient partie d’elle-même. Elle découvrit un monde Pokémon peu simple, triste mais réaliste, qui lui donna toute la motivation du monde afin d’accomplir sa toute nouvelle ambition : celle d’offrir de nouveaux privilèges aux Pokémons autrefois rejetés, délaissés.
Pour cela, elle décida, dès sa majorité, de quitter le nid familial afin de s’installer dans les montagnes environnantes, à savoir celles qui bordent l’étrange Lavanville. Dans les hauteurs de Kanto, elle re-focalisa toute son énergie dans l’apprentissage Pokémon, dans l’aventure que pouvait être la vie en pleine nature. Durant son séjour en solitaire, Juno passa ses plus longues journées et nuits à recueillir des Pokémons affaiblis dans sa hutte, à les observer durant leur convalescence, à prendre des notes, pour enfin les relâcher. Aucun Pokémon n’aura été capturé par l’éleveuse. Ce train de vie la plaça en réel face à face avec le danger. Parfois, il était nécessaire de parcourir des terrains entiers rongés par les ronces, de dévaler des ravins raides ou humides, d’échapper à des Pokémons possessifs envers leurs proies. A d’autres moments, c’était le froid qui lui mordait la peau, mais si elle voulait être le soutien de ces Pokémons, alors elle devait se forger une carapace solide. C’est ce qu’elle accompli en quelques années, avec quelques temps de repos, de retour à Safrania.
Ces retours « au bercail » étaient tout aussi agités, bien que moins dangereux. Régulièrement, la famille entière partait pour de longs périples censés ouvrir l’esprit des plus jeunes. L’un de ces voyages avait pour destination l’île d’Izabe, en Hoenn. L’île d’une île. Là-bas, en autarcie, vivaient un vieil oncle et son fils, un jeune garçon brave mais tout aussi connu pour son irritabilité que pour son manque d’adaptation au groupe. Sa relation avec Juno était relativement instable mais prévisible si l’on considérait la combativité et le feu qui crépitait en ces deux jeunes êtres. On les voyait souvent s’éloigner du foyer, s’approchant de lieux plus sauvages où ils s’échangeaient des « trucs » de guerriers parfois enfantins. Bunji était le maître des lieux, le meneur, mais Juno ne semblait s’en plaindre. Elle accumulait un savoir important qui en plus, satisfaisait son enthousiasme naturel pour les activités physiques et difficiles. L’une de leurs activités favorites était la récolte des cerises de café dans les champs-mêmes de l’oncle Itō. Le travail était suffisamment intensif et long, rendu difficile par un temps parfois pluvieux. Une petite compétition pouvait parfois se faire ressentir entre cousins. Sans surprise.
Ressourcés ou bien lessivés, la famille Itō retourne à Safrania, passant par les ports de Poivressel, celui de Nénucrique pour enfin rejoindre Carmin-sur-Mer.
Les jours défilèrent non sans rebonds. Son refuge près de Lavanville s’était transformé en petite pension bucolique où des Pokémons sauvages rendus vulnérables cohabitaient jusqu’au jour du grand départ. L’endroit ressemblait à une petite ferme en pleine montagne. Les Pokémons ne manquaient de rien, certains formaient des amitiés. Quelques personnes avaient entendu parler de la hutte dans la montagne, sans trop chercher à s’impliquer, à l’exception d’une poignée de volontaires, qui venaient apporter rations et médicaments.
Cinq courtes années passèrent et Juno parla soudainement de changer de cap. Elle voulait voir plus loin dans ses projets d’avenir et l’idée de quitter la région lui vint en tête. Comme un éclair. Voir d’autres paysages, peut-être même envisager un changement de profession ... Le but était toujours de rendre service à autrui, mais quelque chose de nouveau devait naître. C’est deux années dans le futur que la jeune éleveuse pris la grande et définitive décision de voyager en direction de l’île Lumiris, un endroit paradisiaque progressivement ouvert au public. Là-bas, elle installerait sa petite société de fan-clubs, un moyen amusant de venir en aide aux dresseurs, coordinateurs et éleveurs les plus ambitieux. Cette rencontre entre divertissement et assistance lui rappelait vivement ses jeunes années auprès de ses parents.
Après enquête, on informa l’impatiente Juno que Lumiris possédait une ville portuaire où elle pourrait s’installer facilement. Du haut de son immense volonté, elle voyait déjà les supporters enjoués, les sourires aux lèvres et la fièvre dans les arènes !
Sûrement, c’est dans cette direction qu’elle s’attela. Vers Lumiris !
Afin de rester éloignée de tout cela, elle prit la décision – manches retroussées – d’aider ses parents dans leur travail de restaurateurs, au café qu’ils tenaient, et tiennent toujours. Il s’agit d’un café cozy où l’on peut être servi ou diverti par des Pokémons Spectre (autrefois abandonnés par leurs dresseurs). Collée au bâtiment, on peut dépenser quelques pièces de plus dans l’attraction des plus téméraires : une maison hantée plus vraie que nature. C’est dans cet endroit que Juno appris les ficelles du divertissement mais surtout, elle apprit à s’occuper des Pokémons comme s’ils faisaient partie d’elle-même. Elle découvrit un monde Pokémon peu simple, triste mais réaliste, qui lui donna toute la motivation du monde afin d’accomplir sa toute nouvelle ambition : celle d’offrir de nouveaux privilèges aux Pokémons autrefois rejetés, délaissés.
Pour cela, elle décida, dès sa majorité, de quitter le nid familial afin de s’installer dans les montagnes environnantes, à savoir celles qui bordent l’étrange Lavanville. Dans les hauteurs de Kanto, elle re-focalisa toute son énergie dans l’apprentissage Pokémon, dans l’aventure que pouvait être la vie en pleine nature. Durant son séjour en solitaire, Juno passa ses plus longues journées et nuits à recueillir des Pokémons affaiblis dans sa hutte, à les observer durant leur convalescence, à prendre des notes, pour enfin les relâcher. Aucun Pokémon n’aura été capturé par l’éleveuse. Ce train de vie la plaça en réel face à face avec le danger. Parfois, il était nécessaire de parcourir des terrains entiers rongés par les ronces, de dévaler des ravins raides ou humides, d’échapper à des Pokémons possessifs envers leurs proies. A d’autres moments, c’était le froid qui lui mordait la peau, mais si elle voulait être le soutien de ces Pokémons, alors elle devait se forger une carapace solide. C’est ce qu’elle accompli en quelques années, avec quelques temps de repos, de retour à Safrania.
Ces retours « au bercail » étaient tout aussi agités, bien que moins dangereux. Régulièrement, la famille entière partait pour de longs périples censés ouvrir l’esprit des plus jeunes. L’un de ces voyages avait pour destination l’île d’Izabe, en Hoenn. L’île d’une île. Là-bas, en autarcie, vivaient un vieil oncle et son fils, un jeune garçon brave mais tout aussi connu pour son irritabilité que pour son manque d’adaptation au groupe. Sa relation avec Juno était relativement instable mais prévisible si l’on considérait la combativité et le feu qui crépitait en ces deux jeunes êtres. On les voyait souvent s’éloigner du foyer, s’approchant de lieux plus sauvages où ils s’échangeaient des « trucs » de guerriers parfois enfantins. Bunji était le maître des lieux, le meneur, mais Juno ne semblait s’en plaindre. Elle accumulait un savoir important qui en plus, satisfaisait son enthousiasme naturel pour les activités physiques et difficiles. L’une de leurs activités favorites était la récolte des cerises de café dans les champs-mêmes de l’oncle Itō. Le travail était suffisamment intensif et long, rendu difficile par un temps parfois pluvieux. Une petite compétition pouvait parfois se faire ressentir entre cousins. Sans surprise.
Ressourcés ou bien lessivés, la famille Itō retourne à Safrania, passant par les ports de Poivressel, celui de Nénucrique pour enfin rejoindre Carmin-sur-Mer.
Les jours défilèrent non sans rebonds. Son refuge près de Lavanville s’était transformé en petite pension bucolique où des Pokémons sauvages rendus vulnérables cohabitaient jusqu’au jour du grand départ. L’endroit ressemblait à une petite ferme en pleine montagne. Les Pokémons ne manquaient de rien, certains formaient des amitiés. Quelques personnes avaient entendu parler de la hutte dans la montagne, sans trop chercher à s’impliquer, à l’exception d’une poignée de volontaires, qui venaient apporter rations et médicaments.
Cinq courtes années passèrent et Juno parla soudainement de changer de cap. Elle voulait voir plus loin dans ses projets d’avenir et l’idée de quitter la région lui vint en tête. Comme un éclair. Voir d’autres paysages, peut-être même envisager un changement de profession ... Le but était toujours de rendre service à autrui, mais quelque chose de nouveau devait naître. C’est deux années dans le futur que la jeune éleveuse pris la grande et définitive décision de voyager en direction de l’île Lumiris, un endroit paradisiaque progressivement ouvert au public. Là-bas, elle installerait sa petite société de fan-clubs, un moyen amusant de venir en aide aux dresseurs, coordinateurs et éleveurs les plus ambitieux. Cette rencontre entre divertissement et assistance lui rappelait vivement ses jeunes années auprès de ses parents.
Après enquête, on informa l’impatiente Juno que Lumiris possédait une ville portuaire où elle pourrait s’installer facilement. Du haut de son immense volonté, elle voyait déjà les supporters enjoués, les sourires aux lèvres et la fièvre dans les arènes !
Sûrement, c’est dans cette direction qu’elle s’attela. Vers Lumiris !
megamewtwoshinymax 26 ans. tjrs un saiks de fille. oui. oui.
Comment a-tu découvert le forum ? Top-sites.Ton pokémon préféré : Staross, depuis que je suis petite. ;a;As-tu un parrain ? Nope!Un dernier mot ?