Dusk Lumiris

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Avant que le parc d’attraction ne ferme pour l’hiver, fallait y faire un dernier tour ! Artiesta, la ville qui ne dort jamais ; Artiesta, l’endroit où toutes les personnes qui vivent de nuit viennent. L’endroit qui te convenait plus que tout. Tu ne dormais que très peu ; tu étais un oiseau de nuit, un oiseau de jour ; tu te nourrissais de l’adrénaline pulsant dans tes veines et des boissons énergétiques que tu buvais à tous les jours – tu vivais de l’énergie bouillant dans tes veines et de ton incapacité à te poser.
Et tu vivais sur scène également, des applaudissements des autres, des étoiles dans les yeux des enfants, quand tu les entendais dire « un jour maman, je veux être comme lui ! Je veux danser sur scène et briller ! » ; et tu vivais des hoquets quand on avait l’impression que t’allais tomber du fil ; mais tu ne tombais jamais.
Tu vivais, à chaque seconde, à chaque instant, tu prenais une profonde respiration – et jamais tu n’hésitais. Non, tu ne connaissais pas l’hésitation. Tu fonçais – tu réfléchissais après. Ou tu ne réfléchissais pas. Est-ce que ça t’arrivait de réfléchir ? Pas vraiment, à vrai dire. Impulsif petit être qui ne prenait pas le temps de se demander quelles seraient les conséquences de ses actions.

Aujourd’hui, tu voulais t’amuser dans le parc d’attraction pour la dernière fois avant que ce ne soit fermé pour causer de températures inadéquates pour les manèges ! Tu étais donc en fille avec ta barbe à papa (c’est très bon ! vraiment) et tu attendais que ce soit ton tour en essayant de ne pas trop bouger pour ne pas piétiner les pieds des personnes devant et derrière toi. Quelque chose te disait qu’ils ne seraient pas trop contents de se faire marcher dessus. Alors tu essayais de te concentrer sur manger ta barbe à papa avant que ce ne soit à ton tour de monter dans le manège – et tu ne savais pas pourquoi ils étaient tous accompagnés. Y’avait que toi qui étais seul.
« Désolé Monsieur, pour des raisons pratiques, on demande à ce que tous soient en duo ; c’est plus simple pour attribuer les bancs.
- D’accord, attendez je reviens vite ! »
Tu voulais absolument faire le manège alors tu sortis rapidement de la file en ignorant le soupir légèrement agacé des autres que tu allais faire attendre et tu attrapas la main d’une jeune fille près d’un stand de… de quoi ? Peu importe ! C’était pas important ! Tu ne voulais pas perdre ta place dans le manège après tout, alors fallait se dépêcher.

« Y’a un manège et il faut absolument qu’on soit deux alors j’ai décidé que tu m’accompagnais pour faire le manège, dépêche ! » Tu cours en traînant la jeune femme avec toi jusqu’à arriver à la file et tu t’arrêtes quelques instants pour respirer, tenant toujours la main de cette inconnue. « Voilà, on est deux ! » Il vous fait signe que vous pouvez vous installer et rapidement, tu embarques dans le manège toujours en la traînant pour éviter qu’elle ne décide de ne pas vouloir.
Une fois que vous êtes assis et que les autres continuent de s’installer dans le manège, tu te tournes vers la jeune femme et tu lui fais un petit signe pour lui dire bonjour. « Moi c’est Oyaris ! Et toii ? Comme ça j’aurais pas à t’appeler l’inconnue ! Parce que si je ne connais pas ton prénom, ce serait dur de t’appeler autrement que l’étrangère. »

Ce serait drôle de l’appeler l’inconnue ou l’étrangère, mais tu n’étais pas sûr que ce soit pratique pour en parler à Vlinder et Zamas ou encore à Pillar ou Casper qui était toujours sur ta tête ! Parce que Casper ne bougeait pas de ta tête. Elle restait accrochée sur ta tête et refusait toujours d’en bouger.
« Je te présente Casper ! Je peux pas te montrer Pillar, c’est une Pyronille, elle fait 1m, donc euh pas sûr qu’on apprécie que je la sorte dans le manège ! » Et peut-être que tu devrais lui donner le temps de te répondre ! C’est toujours une idée, lui donner le temps de te répondre. Mais t’étais pas très doué pour donner la parole aux autres.


(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
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i'm a apostrophee, i'm just a symbol to remind you that there's more to see - jade  100313

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Jade & Oyaris


C’était à peu près ta dernière chance de profiter du parc d'attractions avant que celui-ci ne soit fermé quelques semaines faute de température trop basse. Tu avais donc décidé d’y aller et, surtout, d’y aller seule. Parce que Juniper n’avait toujours pas répondu à tes messages et donc, de ce fait, tu te sentais coupable d’avoir envie d’inviter Nathan. Et ça t’emmerdait un peu, à vrai dire, de te sentir comme ça. D’avoir ta meilleure amie qui semblait vouloir limiter les contacts avec toi et de ne pas pouvoir voir celui qui hantait de plus en plus tes pensées, tout ça parce que bah, ça ne semblait pas lui plaire, à elle. Donc bon, voilà, t’étais seule. T’étais seule parce que ça te prenait moins la tête, parce que, comme ça, tu pouvais peut-être passer une bonne journée sans trop te poser de questions. Bon, tu cessais aussi de te poser des questions dès lors que tu te retrouvais face au sourire de l’aîné Shelby mais ça… C’est juste que t’y étais faible, en fait. Faible face à lui. Ce qui semblait être la source du conflit (en était-ce seulement un ?) qui était apparu entre Juniper et toi.

T’es devant un stand à pretzel lorsque ton attention est attirée ailleurs. Lorsqu’elle est attirée par un jeune homme qui attrape ton bras pour t’entraîner à sa suite. T’es presque tentée d’hurler à l’enlèvement mais bon, pour faire ça, il faudrait déjà que tu ais un semblant d’instinct de survie. Ce que tu ne possèdes pas, bien évidemment. Puis bon, il te suggère quelque chose d’intéressant, à savoir une attraction où il fallait vraiment être deux.

Ouai, y’a pas à dire, si un vieux monsieur louche t’avait offert des bonbons, plus jeune, en te faisant monter à l’arrière de sa voiture, tu ne serais plus de ce monde.

Tu as pas trop ton mot à dire que tu es devant l’attraction, un pretzel à moitié mangé dans une main, ce qui te faut un regard agacé de l’employé du parc avant qu’il ne te fasse savoir que tu n’avais pas le droit de monter sur le siège avec ça dans tes mains. Soit alors. L’instant suivant, tu enfonces ce qu’il reste dans ta bouche, manquant au passage de t’étouffer tout en lui adressant un sourire innocent, l’air de dire que, voilà, tu t’étais occupée du problème. Et ce alors que celui à tes côtés continue de te parler avec enthousiasme. Un enthousiasme que tu reconnaissais, qui ressemblait au tiens maintenant que tu y pensais. T’as juste pas trop l’occasion de lui répondre pour le moment, tentant difficilement de manger ce pretzel que tu n’avais malheureusement pas eu le temps de savourer.

- Enchantée ! Que tu réponds enfin. - Moi c’est Jade. Le tout en lui offrant ton plus beau sourire avant de diriger ton regard sur la Mimiqui dont il te parle. - Ohh, il est joli. Et donc, pour répondre à ça, tu dégages un peu tes cheveux pour faire apparaître un Statitik aux couleurs sombres qui trônait sur ton épaule. Décidément l’endroit où il aimait le plus être depuis que tu l’avais. - Il s’appelle Tomas. Et je pourrais bien te présenter mes autres pokémons mais je pense que j’en ai un peu trop pour qu’ils puissent tous être avec nous. Tu rigoles un peu à tes mots. Et puis, bon, c’est surtout que Tomas est petit, ce qui le rend d’autant plus adorable, et qu’il te quitte très peu depuis qu’il a rejoint ton équipe.

- T’es venu seul au parc ? Tu poses la question en sachant peut-être la réponse. Après tout, s’il était venu accompagné, il ne serait pas venu te chercher alors que tu mangeais tranquillement ton pretzel pour qu’il puisse faire ce manège où il était obligatoire d’être deux. Une règle un peu bidon, de ce que tu croyais, parce qu’elle se voulait assez injuste pour les gens qui venaient ici seuls, comme lui et toi. Ouai, franchement, c’était pas cool, une telle règle. C’était discriminatoire envers ceux qui savaient apprécier leur propre compagnie et les célibataires.

Enfin.
C’était ce que tu te disais.

Parce que t’as toujours pas remarqué que vous étiez sur la rivière de l’amour. Une attraction qui, comme son nom l’indiquait, était pour les couples.
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On ne t’avait pas appris à demander la permission ; on ne t’avait pas appris à attendre qu’on te réponde pour parler – non, ta mère t’avait toujours accepté comme tu étais et clairement, Vlinder et Zamas te ressemblaient trop pour te demander un tel geste. Bon, d’accord, Zamas était peut-être le plus grand de vous trois, mais ça changeait pas grand-chose hein ! Vous étiez des boules d’énergie qu’on arrêtait jamais à la différence où Zamas se contrôlait déjà un peu mieux que ta sœur et toi. Il arrivait à se concentrer par moments et c’est déjà ça. Oui vraiment, c’était déjà mieux que toi qui allais ici et là ! Quoique, t’avais ton permis de conduire, ça montrait que tu y arrivais quand même un peu.
Et toi, t’avais un instinct de survie ? Pas vraiment – suffisait de voir les activités que tu faisais ; le fil sur lequel tu te tenais souvent ; les situations dans lesquelles tu te mettais. Clairement, t’en avais pas d’instinct de survie. Tu courrais après le danger comme un toxico après sa dose, et tu avais besoin de l’adrénaline au bout des doigts pour continuer d’exister ; pour ne pas laisser une routine s’installer.
Clairement, Oyaris, t’étais allergique à la routine, au calme, à la paix. T’étais allergique à l’absence d’éclats, de luminosité – t’étais un rayon de soleil ; brillant, énergique, qui ne se posait jamais, parfois même trop chaud – et on craignait de se brûler les ailes à trop te côtoyer. Mais tu ne faisais jamais rien pour blesser les autres. T’avais grand cœur, Oyaris, quelque part. Grand cœur, mais une passion qui s’essoufflait un peu trop rapidement, un peu trop souvent.

Tu ne connaissais rien de celle qui te faisait face – sauf son prénom désormais, qu’elle t’avait délivré avec un magnifique sourire auquel tu répondis ; oui, tu n’attendis pas pour lui renvoyer ce sourire. Tu souriais souvent, tu souriais beaucoup. T’étais une boule de joie, tu étais un être de lumière – et très souvent, trop souvent, ton énergie et ta bonne humeur se retrouvaient à être contagieux. Mais ce n’était pas mauvais, si ? Tu ne voyais pas du tout comment ça pouvait être mauvais. Ça faisait sourire ta mère, quand elle était encore là, et si ça faisait sourire, ça ne pouvait qu’être bien !
« Enchanté Jade ! J’aime ton prénom. » Jade, c’était une pierre précieuse. Zamas en avait parlé souvent ! Onyx, Jade, Azurite, et toutes les autres pierres. Zamas aimait beaucoup les pierres, c’est pour ça que je lui trouvais souvent des trucs en rapport avec les pierres – et les pierres évolutives aussi, Zamas aimait beaucoup ce sujet ! Pour sa fête ou pour Noël. Et pour Vlinder, c’étaient des trucs avec des papillons et des Prismillions aussi – parce qu’ils avaient tellement de détails différents et ça passionnait Vlinder.

« J’avoue qu’il est joli ! Je le trouve adorable, mais elle est très timide. » Ce qui n’est pas très pratique sur scène. Sauf que parfois, t’étais patient. Oui, t’étais impulsif, précipité, mais tu savais te montrer patient. Surtout avec les pokémons, surtout avec ceux qui avaient de la difficulté sur scène. Doucement, leur montrer que c’était grisant et enivrant – partager quelques fragments du monde dans lequel tu vivais, dans lequel tu t’étais plongé depuis longtemps. Oh, t’étais pas le plus célèbre et clairement, t’en avais pas grand-chose à faire de la célébrité, tant que tu aimais ça. Tant que ça te plaisait et clairement, la scène était ta maison.
« Alors explique moi c’est quoi les pokémons ! Bon je vais peut-être pas tous les connaître parce que euh ; je connais surtout les pokémons feu ! Mais tu peux toujours essayer et je vais essayer de fouiller ma mémoire pour trouver ! » Une pause ; une respiration et toi qui te prépares à fouiller dans chaque petit recoin de ton esprit pour te souvenir des pokémons que Jade pourrait te dire. Les noms. Sûrement que t’allais lui demander de lui décrire aussi, parce que clairement, t’étais pas la science infuse… ou on disait pas plutôt que t’avais pas la science infuse ? Bah ! T’avais jamais été fort en français. « Il est adoraaable. Pourquoi Thomas ? Casper c’est parce que c’est un fantôme ! » Et tu plisses les sourcils quelque seconde en observant le pokémon sombre et t’arrives pas à reconnaître son espèce. Peut-être que tu devrais t’intéresser un peu plus à ce qui n’est pas … feu. Mais tu sais pas vraiment si c’est important.

« Malheureusement oui je suis seul ! Vlinder et Zamas sont partis à la chasse aux pokémons papillons, pour voir s’ils peuvent pas découvrir des espèces rares et récolter des informations sur la fin du monde ! » Et tes yeux qui brillaient quand tu parlais des jumeaux – et tes yeux qui brillaient quand tu parlais de ce que tu aimais. Tu étais un enfant. Un enfant hyperactif, incapable de se taire, mais un enfant quelque part toujours aussi attachant – seulement beaucoup plus grand qu’auparavant.
Et t’avais pas remarqué le manège. Ça ne t’avait même pas effleuré une seule seconde l’esprit qu’il devait y avoir une raison pour qu’ils demandent des duos déjà établis. T’avais juste vu un petit bateau et ça t’avait semblé amusant, alors t’avais voulu le faire ! « Du coup toi aussi j’imagine que tu es venue seule ? T’as de la famille ? J’ai des jumeaux ! Enfin, euh, pas moi, je suis pas papa, je veux dire que mon petit frère et ma petite sœur sont jumeaux. Et tu aimes quel type de pokémon ? »
Tu ne trouves pas que tu parles un peu trop ? Doucement, Oyaris, laisse-la respirer un peu.


(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
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Jade & Oyaris


Le jeune homme présent avec toi parle beaucoup. C’est pas pour te déplaire, t’es la première à bien souvent trop parler. Tu trouves juste ça un peu différent de ta dynamique habituelle lorsque vient le temps de tes relations. Plus souvent qu’autrement, t’es celle qui parle sans vraiment laisser l’occasion à l’autre d’en placer une. Cette fois-ci, t’es celle qui n’a pas le temps de parler, qui n’a pas vraiment le temps de répondre à ses questions non plus. Parce que les questions, elles sont nombreuses, mais t’es forcée de l’écouter, restant sagement assise dans ce petit bateau à observer ce qu’il y a autour de vous. Tu comprends toujours pas pourquoi est-ce qu’il vous fallait être deux pour cette attraction, peut-être parce que tu n’as pas vraiment besoin de savoir quelle est cette attraction exactement. C’est pas bien important puis, de toute façon, t’as des questions auxquelles répondre alors que t’es même plus sûre de tout ce qu’il a pu te demander.

- Vlinder et Zamas, c’est les jumeaux, c’est ça ? T’essaies de comprendre un peu, de suivre toutes ses histoires. - Oui, je suis venue seule ! Et sinon, je suis enfant unique et, depuis peu, je vis dans mon propre appartement. Mais je vais souvent voir mon père, il est pêcheur et vit près de la mer. Dans le sud de Lumiris, donc. Tu fais ensuite mine de réfléchir, tentant de te souvenir (tant bien que mal) de tout ce qu’il a pu te demander jusqu’à maintenant, dans les quelques dernières minutes où il a plus ou moins monopolisé la discussion. Pas que ça te dérange, au contraire, ça te demande juste un peu plus de concentration.

Ah, oui, Tomas ! La petite araignée descend le long de ton bras pour s’arrêter dans ta main. - Tomas, c’est le nom d’un peintre. Et tous tes pokémons ont soit le nom d’un peintre connu ou encore d’un sculpteur. Plus généralement, ils ont des noms d’artistes, chose qui te passionne et ce, depuis toujours. La seule chose qui te passionne réellement et pour laquelle tu ne t’es jamais lassée. Parce que tu as souvent de nouveaux centres d’intérêts, des passions éphémères qui ne t’intéressent déjà plus avec quelques temps, pour ensuite t’intéresser à autre chose. Il n’y a vraiment que l’art sous toutes ses formes qui captivent toujours autant ton attention, sûrement parce que tu y as trouvé la meilleure façon de t’exprimer. De montrer aux autres ta façon de voir la vie.

- Et bon eh, mes pokémons… J’ai un Riolu. Il est bleu et noir et il a des oreilles qui tombent et il est vraiment mignon. J’ai aussi un Gringolem, c’est un spectre de roche ! Ensuite, eh, j’ai une Candine. C’est un peu comme une fleur mais elle est jolie et gracieuse et elle aime beaucoup danser. Puis, j’ai un Tiplouf, lui il est chromatique ! Il est tout bleu, c’est un peu comme un oiseau mais il peut pas voler. Tu parles de tes pokémons avec beaucoup de sérieux alors que tu es en train de lui faire la liste complète de ton équipe.

- Puis une Tarsal, c’est la forme de base de Gardevoir ! De mémoire, Gardevoir est un pokémon assez connu, que ce soit pour ses talents en soin ou encore ses capacités psychiques. T’as vraiment hâte de voir la Gardevoir que Rosa allait devenir. - Elle aussi elle est chromatique ! Comme ma Mysdibule, en fait. C’est un pokémon avec une grande mâchoire à l’arrière de la tête. Et, parlant de chromatique, bah, j’ai lui, mon Statitik. Alors que tu lui montres à nouveau Tomas qui avait déjà repris place sur ton épaule. - Et pour finir, toujours chromatique, j’ai une Rozbouton ! Elle va devenir une jolie Rosélia mais, pour le moment, elle ressemble encore qu’à un bourgeon de fleur. Et voilà. Tu penses avoir fait le tour de tes pokémons. - Et c’est tout. Avec un petit rire. Décidément, depuis que tu étais partie de chez toi, ta petite équipe s’était largement agrandie. Et t’es bien heureuse d’avoir tous ces pokémons avec toi pour partager ton quotidien.
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Toi, t’étais toujours cette boule d’énergie ; cette énergie communicative qui ne s’éteignait que très rarement. Toi, t’étais cette lueur dans les yeux - tu ne souriais pas très souvent, du tout même. Pourtant, sur ton visage, la joie se communiquait si aisément. On n’avait pas besoin de te voir sourire pour comprendre que tu étais heureux. Fondamentalement heureux. La joie se voyait - dans ton regard, dans tes gestes, se dégageait de tout ton être. Dans tes yeux, quand les étincelles brillent, quand les étoiles scintillent, on ne se pose pas une seule seconde si t’es content ; parce que c’est tellement évident. C’est tellement facile à remarquer. On sait que tu es heureux. Même lorsque le sourire n’est pas au rendez-vous.
Tu n’avais pas vraiment remarqué que tu ne lui donnais pas le temps de parler - peut-être même par moments par le temps de réfléchir. À vrai dire, tu n’y pensais jamais, tu ne le voyais jamais. Tu ne tenais juste pas en place et quand les pensées se précipitaient (toujours donc) tu ne pouvais tout simplement pas te taire ; les questions fusaient et tu tentais pas davantage de te calmer. Pourquoi t’empêcherais-tu de poser des questions pour connaître la personne qui était près de toi ? Ce n’était pas logique. Tu aimais connaître les autres. Alors tu posais des questions. C’était tout aussi simple que ça.

Même si parfois t’oubliais que les personnes ne te connaissaient pas et ne pouvaient donc pas savoir de qui tu parlais quand tu nommais des noms. Toi, tu disais les noms - et t’oubliais de dire ça représentait qui pour toi, dans ta vie, dans ton existence. Jusqu’à ce qu’on te le demande et alors, t’étais entièrement ravi de l’expliquer ! Parfois, tu te perdais même dans tes explications. Mais c’était classique de ta part et les jumeaux étaient tellement habitués. Ils n’étaient pas mieux, vraiment pas - c’était très compliqué vous suivre tous les trois quand vous étiez ensembles.
« Exactement ! Ce sont les jumeaux. » Les jumeaux qui étaient tellement, tellement importants pour toi - qui étaient au centre de ton existence, de tout ce que tu faisais. À qui tu pensais avant tout; et pour qui tu mourrais si c’était nécessaire. Tu n’hésiterais pas. Tu n’hésiterais pas à te sacrifier si telle était la nécessité de la situation, parce que les jumeaux étaient tout ce que tu avais; tout ce qui te restait.

« Tu dois quand même être contente d’être en appartement, non ? » Tu te souvenais quand tu avais déménagé. Tu aimais bien avoir ton propre endroit - tant et aussi longtemps que les jumeaux n’habitaient pas trop loin. Et ils étaient sur la même rue que toi, alors tout allait parfaitement bien. Tu aurais sans doute été moins content de déménager si tu avais encore été chez tes parents; mais tu étais chez Elvan, ton oncle, et du coup, c’était plus simple de partir. Il ne pouvait pas se reposer quand il devait travailler et vous fournir en nourriture, en habits, et tout ça. Tu te disais que c’était mieux pour lui du coup que tu ne sois pas trop là, avec les jumeaux. Mais parfois tu lui écrivais ! Parce que tu l’aimais quand même, ton oncle.
« Et tu pêches toi ? » Tu te demandais ce que ce serait de pêcher. Tu aimais bien le poisson, c’était très bon. Surtout quand c’était bien cuisiné. T’étais toujours à la recherche de nouvelles recettes, d’ailleurs ! Parce que fallait pas croire, mais t’étais quand même un bon cuisinier. Quand tu te concentrais. « Je veux apprendre ! Tu veux m’apprendre ? » Tu aimais toujours apprendre, après tout. Tu espérais vraiment qu’elle soit d’accord.

Tu inclines très légèrement la tête en l’écoutant te décrire ses pokémons alors que tu essaies de te faire une image mentale de ce qu’elle te dit. Ce n’est pas très facile ! T’avais l’impression de partir de rien. Mais t’arrivais à imaginer le truc de fleur là, c’était quoi encore le nom ? Ah oui Rozbouton ! Et bah, le Statitik - c’était comme ça qu’il s’appelait - parce que tu l’avais sous les yeux. Ah et aussi, le Tiplouf et le Tarsal - tu avais vu déjà une Tarsal. Et le Tiplouf… t’imaginais un oiseau sans ailes, mais t’étais pas trop sûr que ça ressemble à ça. Alors tu mettais un gros point d’interrogation sur ton image mentale. « Un oiseau qui ne peut pas voler ? C’est triste. Pourquoi il ne peut pas voler ? » Tu avais froncé les sourcils, parce que tu ne comprenais pas trop pourquoi le pokémon ne pouvait pas voler. Un oiseau, ça volait. Et c’était tout ce qui faisait du sens à tes yeux, alors te dire que c’était comme un oiseau tout en lui retirant la fonction première de l’oiseau, c’était pas très logique. Tu n’arrivais pas à imaginer comment ça fonctionnait (fonctionnait, oui, comme si les pokémons étaient des objets technologiques - parfois les termes n’étaient pas ton fort, Oyaris).

« Wouah ! Ça en fait beaucoup ! Tu les as tous capturés ? Ou ils ont décidé de te suivre ? Moi, j’en ai juste deux ! J’ai le Mimikyu et j’ai ma chenille ! Et Casper est chromatique comme tu peux le voir. » Casper cache sa tête dans tes cheveux et tu ris un peu parce qu’elle te fait rire. Même si elle est très timide, tu l’aimes bien et elle s’améliore doucement avec le temps. On vous avertit alors que l’attraction est sur le point de démarrer et tu tapes dans les mains - comme un enfant. T’aimes les attractions (même si t’avais pas regardé quelle était cette activité). « Ooooh, ça commence ! »

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Jade & Oyaris


Tu hoches doucement de la tête pour répondre à sa question. Oui, t’es contente d’être en appartement. Parfois c’est un peu difficile, parfois tu t’y sens seule, puis finalement t’as tes pokémons avec toi donc ça va mieux. C’est juste pas aussi facile que lorsque t’étais chez ton père, les responsabilités d’adulte te rattrapent bien vite et t’es pas exactement prête à te comporter en adulte. Mais tu fais ton possible, tout ça pour réussir à bien t’en sortir seule, pour ne pas avoir à retourner chez ton père. Pas que tu n’aimais pas ça chez lui, au contraire, t’as juste pas envie d’être un poids pour lui. T’as envie qu’il vive par lui-même, pour lui-même, et qu’il cesse de faire sans cesse des sacrifices pour toi. Alors la meilleure façon que t’as trouvé de faire ça, c’est de partir, tout simplement. Et t’es pas malheureuse, t’es juste confrontée à la dure réalité de la vie et aux responsabilités dont tu ignorais jusqu’à dernièrement l’existence.

- Ouai, je pêche depuis que je suis enfant ! C’était une activité que tu aimais bien faire avec ton père même si tu n’étais pas très douée. Parce qu’il parait qu’il faut être silencieux pour pêcher, discret surtout. Et c’est deux adjectifs qui ne te définissent pas du tout, t’es même l’inverse de tout ça. Et c’est ce que tu retrouves à lui dire. - Je peux bien mais je suis pas douée. Faut rester des heures silencieux sans bouger dans un bateau et vraiment, après trois minutes ça me fait chier. Tu ne refuses donc pas de lui apprendre à pêcher, t’es juste vraiment pas la meilleure personne pour ça et, à le voir aller, tu doutes vraiment de votre taux de réussite à tous les deux.

Puis c’est plus trop le sujet, tu commences à parler de tes pokémons, ces derniers étant nombreux. T’en as plusieurs, pour ne pas dire beaucoup, tous assez différents, tant par leur personnalité qu’à leurs couleurs pour la majorité uniques. - Alors ehh, bah c’est comme un oiseau, avec des ailes et tout, mais les ailes sont trop petites pour la taille de leur corps donc ils peuvent pas voler ! Tu dis ça avec un léger sourire. - Mais ça va, lui il préfère glisser sur la glace. T’as compris aussi qu’il préférait le froid et la glace, l’une des raisons pour lesquelles c’est lui que tu amènes avec toi lors de tes visites dans le nord de la région.

- Elle est vraiment mignonne. C’est peut-être que t’as un faible pour les pokémons chromatiques finalement. - Un mélange des deux sinon. Certains ont accepté de me suivre et… Ouai non en fait je leur ai tous laissé le choix. T’avais pas non plus envie de forcer un pokémon à venir avec toi, de l’obliger à rejoindre ton équipe. T’as envie qu’ils soient heureux, tous autant qu’ils sont, et tu penses que ça commence par leur laisser le choix de garder leur liberté ou, au contraire, vivre un peu à tes côtés. Finalement, l’attraction commence enfin et tu vois donc le petit bateau dans lequel vous êtes installés s’avancer sur l’eau. Tu te demandes s’il y a pas eu un problème pour que vous mettiez tant de temps à lever l’ancre, mais bon, maintenant que c’était fait, tu pouvais profiter de l’attraction.

Une attraction qui, finalement, s’avérait plus lente que ce que tu avais prévu. Tu observes autour de toi, te demandant dans quoi est-ce que t’as mis les pieds pour finalement simplement pouffer de rire. Un éclat de rire qui résonne dans le tunnel dans lequel vous venez d’entrer. - Ah ouai. Tu ne parviens toujours pas à calmer ton rythme. - T’es rapide en affaires hein. Toujours en rigolant, le ton semblant très clairement amusé. - Tu sais, y’avait d’autres façons de me dire comment je suis incroyablement jolie et pour me déclarer ta flamme. T’essaies de reprendre un peu de sérieux tout en reprenant ton souffle alors que tu désignes ce qui vous entoure.

Votre petit bateau en forme de Lakmécygne s’avançait tranquillement sur l’eau, la tête penchée vers l’avant, alors que vous vous avanciez dans un long couloir éclairé d’une douce lumière tandis que des tonnes de coeur se dessinaient ici et là. Il y avait aussi une douce musique en fond, quelque chose de romantique, de quoi vous faire comprendre que vous étiez sûrement dans un semblant de tunnel des amoureux, ce qui ne manque pas de te faire rire. Après tout, t’oses croire qu’il n’a pas remarqué ce dans quoi il t’entraînait, qu’il avait juste vu une longue file et qu’il avait décidé de la rejoindre. Pourquoi est-ce que tu penses ça ? Parce que c’est clairement ce que toi t’aurais fait avant d’attraper la première personne qui passait par là si on t’obligeait d’être accompagnée.

Mais au moins, maintenant, tu comprends un peu plus cette règle que tu trouvais débile quelques instants plus tôt.
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Ta chenille.
Il ne t’était pas venu en tête que tu n’avais pas donné son prénom, mais ce n’était pas grave - tu n’avais pas vraiment besoin de donner son prénom, tu le disais très souvent. Tu aimais beaucoup Pillar et tu avais vraiment hâte qu’il évolue ! Elle aurait beaucoup plus de faciliter à te suivre une fois évoluer après tout. Elle s’amusait beaucoup à s’entraîner avec les pokémons de Vlinder et Zamas et tu te disais qu’un jour, ça allait porter ses fruits ! Non ? Ça devait ! Il fallait que ça soit un jour évident ! Déjà, plus le temps passe, plus elle devient forte, alors sans doute qu’un jour, ce serait une merveilleuse Pyrax et tu serais tellement content. Tellement fier.
La voix de Jade te fit légèrement sursauter parce que t’avais oublié de l’écouter après que tu lui aies parlé, alors tu t’étais pas attendu à ce qu’elle reparle - t’avais un peu oublier que tu étais en train de discuter avec quelqu’un et tu t’étais légèrement perdu dans tes pensées. Tu inclines très légèrement la tête alors qu’elle te parle de la pêche. Puis tu fronces les sourcils à ce qu’elle te dit et tu te demandes comment c’est possible. C’est d’ailleurs la question qui franchit tes lèvres.

« Comment c’est possible ? » Même là, même ici dans le manège, tu parles. Tu parles et tu bouges. Tu gesticules beaucoup avec les mains, tu te replaces sur le siège, tu ne sais pas rester immobile et encore moins… silencieux ? Tu ne savais même pas que c’était possible de rester silencieux plus que quelques minutes ! C’était toute une nouvelle qu’elle t’apprenait. « Mais c’est pas grave ! L’essentiel c’est d’essayer et peut-être que les poissons vont vouloir venir discuter avec nous ! » Pourquoi pas ? Ce serait vraiment adorable des poissons qui viennent pour discuter avec vous !
T’étais sûr que ça pouvait se faire peu importe ce qu’on venait à te dire.
Puis tu fermes les yeux et tu essaies de te représenter le pokémon qu’elle est en train de te décrire et même si t’as beaucoup de difficulté et tu te dis que ce qui apparaît dans ton esprit est très probablement hyper éloigné de la réalité - ça ne te dérange pas vraiment. Parce que c’est cute, c’est totalement mignon et que de toute façon, bah t’as pas à le dessiner hein ! Et puis, t’as pas la science infuse, c’est pas ta faute si tu ne connais pas le pokémon dont elle te parle. « Il a vraiment l’air adorable ! Tu me le présenteras quand on pourra ! » Bien entendu que tu voulais le rencontrer de la même façon que t’allais lui présenter Pillar quand t’allais pouvoir - ce qui n’est pas maintenant parce que Pillar allait un peu faire couler le bateau et que ce n’était pas le but.

« Mais… » Et t’essayais de comprendre. Ce qu’elle venait de dire au sujet de ses pokémons, mais parfois, certaines choses ne faisaient simplement pas de sens dans ton esprit, même quand on les expliquait et ça arrivait souvent quand les gens disaient quelque chose et venaient se corriger tout de suite après. « Comme ça peut être un peu des deux et en même temps que tout le monde ait décidé de te suivre ? » Non, définitivement, ce n’était pas très logique dans ta tête. Même si tu essayais d’en dégager un sens.
Et doucement, l’attraction se mettait en marche et tu applaudis légèrement parce que t’étais content - et que t’avais hâte que l’attraction commence. Rapidement, néanmoins, tu fus plongé dans une certaine confusion qui brillait en point d’interrogation dans ton regard.

Puis quand le rire de Jade résonne, toi tu fronces encore les sourcils quelque seconde. Pourtant, rapidement, ton rire vient rapidement rejoindre le sien parce que clairement, t’aurais peut-être dû regarder où t’allais, dans quelle attraction tu te foutais ! Mais c’était typique de ta personne et vous voilà maintenant, des étrangers dans une attraction pour les amoureux et… ouais, c’était vraiment amusant. Tu ne pouvais pas trop t’empêcher de rire. C’était une hilarité qui secouait tout ton corps jusqu’à faire monter des larmes au coin de tes yeux. « C’est vrai que t’es jolie ! » parviens-tu à souffler entre deux quintes de toux suite à ton fou rire qui était très difficile à calmer. Vraiment très difficile.
« Ils auraient dû dire pourquoi on avait besoin de deux personnes au lieu de juste dire qu’on avait besoin de deux personnes obligatoirement! » Sans pour autant dire que ce n’était pas voulu, tu le laissais entendre. Disons simplement que tu n’avais pas pensé à confirmer mot pour mot que tu ne savais pas ce dont l’attraction retournait - mais il te semblait que c’était évident et entièrement logique. Tu avais vu une file, tu avais entendu. On t’avait dit que tu devais être accompagné, tu as attrapé la première personne qui passait par là. C’était le déroulement des événements - il était aussi simple que ça.
« Moi, on me dit que je dois être accompagné, je trouve quelqu’un, je pose pas de questions ! » Un peu difficile à croire vu le nombre de questions que tu avais posé à la jeune femme qui portait le prénom de Jade. Tu trouvais toujours aussi mélodieux son prénom.

Tu regardes autour de toi et t'es un peu forcé d'apprendre que c'est magnifique malgré tout - même si t'es clairement pas là pour déclarer ta flamme ou quoi que ce soit dans ce genre. De toute façon, toi, t'es pas un amoureux; t'es pas un copain, une personne à aimer - tu étais libre, tu étais lié au feu et à la vie, mais pas aux femmes.
La passion des premiers instants te dévorait toujours aussi rapidement - et tu te laissais faire jusqu'à ce que les cendres soient tout ce qui reste de la relation; tu te laissais toujours et tu le savais. Ce qui ne t'empêchait pas d'essayer - d'essayer et d'espérer jusqu'à tout ce que tout redevienne fade et que t'ailles voir ailleurs. Ou que tu la quittes. Sans la moindre diplomatie. Tu ne savais pas trop être diplomate.
Oh, tu pouvais être romantique - tu l'étais parfois sans même le vouloir, sans chercher à l'être. Mais ce n'était jamais assez pour garder la flamme des débuts - la flamme des premiers mots, des premières découvertes.
« Du coup euh, on a pas le choix de finir l'attraction ! Sauf si on saute à l'eau ? »

(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
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i'm a apostrophee, i'm just a symbol to remind you that there's more to see - jade  100313

i'm an apostrophee

Jade & Oyaris


T’hausses les épaules. - Bah, c’est juste que je pensais que c’était un peu des deux, puis j’ai réfléchis à la question et j’ai réalisé que je m’étais trompée. Aussi simple que ça. Tu laisses entendre un petit rire, te disant que ça ne valait pas vraiment la peine de t’attarder plus longtemps sur la question, surtout que, au final, le décor vous entourant vient attirer ton attention et vient provoquer un fou rire chez toi. Un rire qui se veut assez contagieux, si tu écoutes bien celui qui se trouve à tes côtés, celui qui se retrouve à rire avec toi. Toi, tu viens de comprendre dans quelle attraction vous vous trouviez donc, nécessairement, tu ne pouvais que l’embêter avec ça, sous-entendant ainsi que le tout avait été planifié, qu’il avait réfléchi à tout ça pour avoir le meilleur moment pour te déclarer sa flamme. Après tout, ça n’était pas impossible, ce n’était pas une idée à exclure, parce que t’es une personne exceptionnelle en plus d’être terriblement jolie : quiconque de censé tomberait amoureux de toi. Bon, tu ne le penses pas vraiment, mais ça te fait rire de l’embêter comme ça.

Ça te fait aussi sourire, ce compliment qu’il te fait. Il s’agit, certes, de quelque chose que t’as entendu souvent, parfois de la part d’hommes lourds que tu préférais éviter, toutefois, de sa part et dit avec autant d’innocence, ça fait toujours plaisir. Et bon, tu ne croyais pas vraiment tout ce que tu avais dit et il te le confirme assez rapidement. Votre présence ici, ensemble, dans cette attraction, n’avait rien de volontaire, ce qui n’est pas sans t’amuser. - Ça me surprend presque que tu as pas harcelé la personne qui t’a dit ça de questions. À nouveau, tu te moques gentiment de lui. C’est rare que tu rencontres quelqu’un qui parle plus que toi alors tu te dois de le souligner.

À sa proposition, t’hésites quelques instants, presque sérieusement, avant de secouer la tête. - J’ai pas trop envie de devoir passer le reste de la journée avec les vêtements trempés, c’est inconfortable. Donc autant rester ici ! Puis bon, le décor est assez joli. En effet. Tout était assez beau et la musique était paisible. Tu en viens aussi à te dire que ce serait pas si mal de revenir ici avec Nathan, te disant que l’attraction serait vraiment plus agréable dans ses bras.

- Puis bon, après on pourra toujours aller faire d’autres attractions. C’est toujours plus amusant à plusieurs, plus marrants à deux plutôt que d’explorer le parc d’attraction seule. - On pourra aussi aller se chercher à manger. Parce que tu réfléchis la majorité du temps qu’avec ton estomac et donc, t’as presque tout le temps faim et tu parles presque tout le temps de nourriture. C’est comme ça, il s’agit-là de l’une de tes plus grandes priorités dans la vie. - Puis tu pourras prendre le temps de me présenter tes pokémons et moi, je te montrerai mon Tiplouf ! T’as cru comprendre qu’il était curieux vis-à-vis de Salvador donc tu pouvais toujours le faire sortir de sa pokéball pour le lui présenter. Même que, maintenant que tu y penses, vous êtes entourés d’eau… - Oh mais je peux te le présenter maintenant ! Et, tes gestes suivant tes paroles, tu fais sortir ton pokémon chromatique de sa pokéball. - Salvador, voici Oyaris ! Toutefois, ce dernier ne s’attarde pas trop sur celui que tu lui présentes, s’approchant du rebord du bateau pour regarder l’eau. - Oui, tu peux y plonger. T’en as aucune idée de s’il peut vraiment mais bon, tu te dis qu’il ne ferait de mal à personne. - Mais reste sage et suis le bateau. C’est tout ce qu’il lui faut pour se jeter à l’eau et ainsi disparaître de ton champ de vision.
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