Dusk Lumiris

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Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé
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Jóna HULDA
OC. de Cafetière.
24 ans 12 Aout 1996 Unys Maintenance à l'usine Nébuleuse
QualitésPersuasiveHonnêteFranche

DéfautsPessimisteImpulsiveDistraite

Description


Un visage qui pourrait sembler si jeune s’il n’était pas déjà ravagé par des problèmes de peau et de la fatigue chronique. Un visage qui, sous ses traits amicaux et simplets renferment une complexité et un intérêt dans lequel personne n’a vraiment envie de se perdre. C’est ça le visage de Jóna : un visage aussi bien épuisé qui cynique, aussi bien cassé qu’encore debout. Elle et se petit trogne d’amour ne fera pas de spectacle, pas d’événements. Elle n’a pas le visage d’une battante. Elle n’a pas le moral d’une pente. Derrière ses dreadlocks et quelques croûtes, entre son eczéma et la poussière du travail qui - à défaut de s’y incruster, fait mine de toujours plus abîmer son visage, ne se cache ni la femme de vos rêves, ni la femme de vos envies. Il ne se cache qu’une immense couche de désespoir, des sensations d’un corps désabusé par la vie et les principes les plus fondamentaux. Elle n’est ni une punk, ni une activiste. Elle n’est ni une terroriste, ni une future employée du mois. Elle est banale à en crever, déprimante à s’en tuer.

Pourtant, ses cheveux blonds vénitiens et ses yeux vairons pourraient laisser paraître quelque chose d’unique. Les formes de son corps seraient bien preuve qu’un modèle féminin idéal ne résiderait en rien là-dedans, et elle aimerait espérait que par-delà ses mains abîmées, ses pieds cornés et son corps un peu dessiné musculairement se cache quelque chose d’intéressant. Mais dès lors qu’elle pense à un quelconque potentiel physique, elle se sent perdue.

Perdue, elle est également très mauvaise compagnon de vie ou d’aventures, elle est désagréable et froide, et quand elle ne l’est pas, elle se bat. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle se bat. Elle veut tout détruire, et une haine profonde l’envahit. Dès lors, c’est le monde entier qui devient détestable, et non plus elle. Les commerçants. Les parents. Les retraités. Les enfants. Les étudiants. Ses collègues. Et pour aucune raison, elle se met à cogner sur quelqu’un que ce soit une personne bonne et noble ou non. Un agent de la paix ou un simple mendiant. Une fille adorable ou un mauvais gars des rues. Et les rares choses qu’elle perd dans ces moments sont un peu de sang et quelques neurones. Elle ne semble à aucun moment sortir du lot, et c’est pour ça qu’elle est effrayante quand elle est énervée : car elle ressemble à la première demoiselle épuisée, toussotant comme une accablée des maladies et paraissant à peine plus propre qu’un chantier à peine terminé.

La peur se décrypte et se lit sur son visage. La peur la fait fuir, la peur lui pousse à ne pas être si différente. Elle a une carrure grande, mas une allure si pauvre et si peu originale. Une allure si triste, malgré sa grande taille. Ses vêtements ressemblent à ceux de n’importe quel ouvriers. Ses passions ressemblent rarement à quelque chose d’original. Et dès lors qu’elle sort de l’ordinaire, elle ne fait que ressemblait à une militante d’un extrême, rebroussant ses racines vers des allures d’anarchistes. La musique lui permet d’apprécier des moments de solitudes et de peine, mais la musique l’enfonce aussi. Elle la pousse dans ses retranchements les plus tordus, les plus malsains. Alors des fois, sans raisons apparentes, elle part. Dès qu’elle est partie, elle trouve un endroit isolé. Elle s’assoit et elle pleure. Elle crie. Puis dès qu’elle a finit, elle se souvient qu’elle sait sourire. Alors elle se relève. Puis devant vous, elle rigolera et elle sourira. Elle vous serrera la main en vous tapant l’autre école, et vous racontera la différence entre un chromatique et une tapin, avant de sortir la chute à une blague à l’humour, certes discutable, mais amené avec un ton qui ne laisserait jamais indifférent.

Les aléas et les interactions sociales, elle a finit par en devenir expertes, car dès lors qu’elle ouvre la bouche, c’est un énorme défi, pour elle. Un défi qui dépasse celui de faire combattre un pokémon. Chose qu’elle ne supporte pas. Regarder des bestioles se frapper dessus lui donnent des nausées et elle essaiera de le faire comprendre. Mais comme elle n’y arrivera pas elle se taira.

Alors elle prendra la première bouteille d’alcool qui passe, et l’entamera. Alors elle attrapera la dernière roulée de sa sacoche, et l’allumera. Elle ira se coucher, puis le lendemain, elle se souviendra que rien n’ira mieux.

Rogue

Lixy
Petit Rogue est un chouette Lixy, aimant vivre et sautant dans tous les sens. Il est fan de sa maîtresse et la colle dès qu’il en a l’occasion. Il a peur de ce qui pourrait lui arriver, et comme il ne rentre pas souvent dans sa pokéball, il l’embête souvent quant elle est à la maison. Parfois c’est l’appartement qui en prend un coup, d’autres fois c’est ses vêtements, et même s’il met la jeune femme dans tous ses états, il l’aide énormément au quotidien. Sans lui, elle ne sortirait quasiment pas pour faire quelques balades en forêt, sociabiliser ou autre.

Histoire

Vous savez à quoi ça ressemble, un repas de famille où personne ne parle ? C’est presque inspirant. J’aurai même tendance à dire sous certains aspect que ça en deviendrait mystique. Comme si une force supérieure nous forçait à nous taire, pour éviter qu’un mot ne soit dit de travers. Il était quatre heure passée quand je rentrais de l’école. Le schéma de ma vie se résumait à étudier, avoir des notes moyennes, subir les idéaux politiques chiants au possibles du paternel, et le manque de réponse de ma mère les dix minutes qui suivirent. C'est là que ça devient intéressant. C'est cette ambiance qui s'instaurait de nul part, ce moment où plus personne n’osait dire un mot. Un simple « ouais » venait parfois se greffer au milieu du repas au hasard, lâché par l’un de mes deux parents. Le moindre mot deviendrait inquiétant, plus terrifiant qu'une lame qui vient vous trancher la gorge.

Mon école ressemblait à... une école. Elle était froide et sans âme, neutre et inintéressante, même insipide, les professeurs semblaient encore plus faire semblant de s’intéresser à leur propres cours que leurs élèves. Pour ce qui était de mes camarades de classe, je ne cherchais pas spécialement à m'en faire des amis. De toute façon, tous les ans nous déménagions, avec mes parents. Donc tous les ans, je changeais environnement scolaire. Mais à chaque nouvel établissement où j’allais, j’avais toujours cette sensation d’inchangée. Comprenez, quand je dis que l’école ressemblait à une école, c’est car mon environnement de travail et mes interactions à cette époque étaient minimes, si ce n’est inexistantes. Certes, il y avait de cette peur de passer pour une idiote, un peu. Il y avait aussi un peu cette idée que ce ne sont pas mes amis qui allaient m’apporter quoique ce soit. Mon père répétait sans cesse qu’on obtient ce que l’on récolte de la vie et du travail par la sueur de son front, et pas de celui de quelqu’un d’autre. C’est peut-être pour ça, qu’il est mort la première année de mon collège.

Ma mère avait touché l’argent de l’entreprise de mon père, en la revendant à un investisseur, ou une entreprise… Quelque chose comme ça. De toute façon, tout ce que je sais, c’est qu’on avait les sous pour vivre, mais qu’elle y touchait peu. Une année plus tard, elle décida d’acheter un grand appartement à Volucité. Trois chambres s’ajoutaient à celle de ma mère et la mienne, et à deux nous aurions vécu dans un endroit si grand que la place nous aurait paru effarante. Ma mère avait lancé un commerce qui ne rapportait pas grand-chose, mais pour tenir le coup, elle avait mit deux chambres en location, et en parralèle, elle commençait à s’improviser couturière en travaillant avec un Caphumain qu’elle avait depuis des années, mais qu’elle ne sortait que rarement. Elle refusait que je joue avec lui et elle me demandait si j’allais faire quelque chose d’autre que ce mon père faisait ou pas. Quand je lui répondais que je n’avais aucune idée du travail de mon père, elle ne me prit pas au sérieux, ricana et oublia de m’en donner la réponse. Elle oublia même sa question initiale.

Non, je n’ai jamais su ce que faisait mon père. Et s’il eut le temps de me le dire avant sa mort, il faut croire que c’était suffisamment dénué d’intérêt pour que je daigne m’en souvenir. Alors j’oubliais, purement et simplement, qu’encore une fois je vivais sans tenir compte d'autrui.

Je pourrai m’arrêter là on aurait fait le tour, mais je suis obligé de vous parler de ces moments inspirants. Quand on est une jeune femme comme moi, on oublie parfois que les choses simples ne sont pas toujours les plus agréables. Vous savez, pour trouver un semblant de sens à mon existence, je partageais des fois une scénette d’un parc avec un M. Mime adorable. Aucune idée d’à qui pouvait bien appartenir ce pokémon. Je sais juste qu’il n’était pas rare que l’on se croise dans le parc, moi ma guitare mal accordée à la main, et lui ses gestes ubuesques et fascinant, et à deux, nous fîmes sourire bien nombre de personnes qui se sentaient soit accablés de maux en tous genres, soit enjoués d'une vie dont ils cherchent à profiter toujours un peu plus, et ça nous satisfaisait amplement. Nous ne nous reverrions que peu de fois, mais chacun de ces moments avait une sorte de goût unique, comme si quelque chose de doux pouvais ressortir de tout ça. Quelque chose de doux et pourtant d'horriblement éphémère. Mais c’est bien parce que c’était doux trop peu souvent que j’avais peur de vivre une vie simple et paisible, comme l’entièreté de cette ville. Alors je suis partie.

Pas immédiatement, bien sûr. Mais il était clair qu’une vie dans un appartement, aussi grand soit-il, ne me correspondrait guère, et je m’y résolvais chaque jour un peu plus. Les mois passèrent, les années aussi, et je ne franchis le cap que bien plus tard. Chaque jour était nouveau pour moi, et chaque jour me faisait également un peu peur. Ma mère continuait de louer ses deux chambres disponibles à des itinérants, tous plus inintéressant les uns que les autres. Beaucoup d’artistes, beaucoup de travailleurs, mais pas vraiment de personnes qui semblaient sortir du lot, intéressées par nos vies miséreuses, ou avec de vraies anecdotes - et j'insiste sur le vraie, car les mensonges et les tirade interminable me gonflaient déjà au début de toute. En même temps, il n’y avait pas de quoi se réjouir. D’autant plus que cette période se ponctuait d’une vie plus compliquée qu’en campagne. Que ce soit la mentalité ou le simple fait que je ne possédais pas de pokémon, j’avais comme l’impression d’être un peu une honte pour ma mère, et parfois même pour les autres qui me fréquentaient. Mon souhait et mon désir de n’en capturer aucun allait à l’encontre de ce que souhaitait mon père. Mais je me fiche de ce qu’il souhaitait au même titre que je me fichais que son idiote de femme m’impose des choix de vies affreux qui iraient à l’encontre du putain de bon sens. Mais je m’égare.

Un jour, il y avait un type. Vous savez, c’est ce type avec un chapeau en paille plus classe que la plupart des chapeaux en cuir, en chemise et accompagné d’un Absol plus beau que jamais, qui commence à se taire pour laisser les autres parler, et les écouter avec passion. Comme si soudainement, ma vie de future femme au foyer esclave d’une vie miséreuse allait s’arranger juste en parlant. Il était de passage à Volucité, et il passerait par la gare pour emprunter un ferry et rejoindre une île. Lumiris. Il me décrivait cet endroit comme le plus bel endroit où il pu aller, une sorte de région coupée du monde et des médias traditionnels, ces mêmes médias qui nous envahissent un peu plus dans notre quotidien et que se lient les uns aux autres. Un endroit où une harmonie certaine règne en maître et où même si les mœurs ne sont pas tant différentes, l’ambiance, quant à elle, est unique. Il nous bassina encore quelques heures sur des histoires de femmes et de quotidiens mouvementés. Il nous vendait une carte postale, avant de nous vendre un endroit où habiter. Au fond, j’étais triste. Je ne vivais rien de tout ça, et je ne vivais pas à un endroit qui me plaisait non plus.

Alors je suis partie. J’ai rassemblé mes affaires et j’ai tenté ma chance. Je ne dirai pas au revoir à me mère, je ne chercherai pas à la recontacter dans l’immédiat. Je ne sais même pas ce que j’ai cherché en arrivant là-bas. Alors j’ai juste cherché à me cacher.

Sur le pas de la porte, à l’heure du départ de cet homme, je ne le suivais pas immédiatement. Le Caphumain m’épiait, mais je n’avais que faire de ce qu’il pensait, ou de ce qu’il savait. Il avait un regard qui m’avait marqué, et qui pourtant, n’arrive pas à persister dans ma mémoire. J'aimerai parfois m'en souvenir. Sur l'instant, j'y pensais un peu, mais j'ai fait en sorte de l'oublier le plus rapidement possible, de le sortir de ma tête. Il le fallait, je n’avais pas à regretter un quelconque choix, et de quelques manière que ce soit, je trouverai peut-être une envie de vivre, une place, ou quelque chose d’un temps soit peu similaire. Quand la porte claqua, j’attendais un temps, peut-être moins d’un quart d’heure, puis je profitais que ma mère soit occupée. Puis je partis.

J’étais chaudement habillée pour la saison, et j’avais un énorme sac prêt à craquer. J’étais seule et personne ne se demandait ce que cette jeune adolescente faisait seule dans la rue. Ça courait les quartiers, des jeunes personnes comme moi en quête de badge et d’aventures, de concours de beauté ou que sais je. L’homme prit un train que je m’empressais de suivre. Le trajet fut long, et tout ce temps, je restais éveillé. Je ne sais pas si mon anxiété grandissante m’avait empêché de fermer l’œil de la nuit, ou si c’était l’excitation d’un nouveau départ, mais j’étais prête à affronter un semblant de vie pour m’aventurer à des endroits peut-être plus intéressant que cette mégalopole dégueulasse.

Après quelques heures de train assez inintéressante, nous arrivâmes à un port. Bien moins bondé de monde, je ne voulais pas que l’homme me reconnaisse. Alors je sortis un sweat et y enfila une capuche. Avec ma couleur de cheveux unique parmi les quelques personnes qui nous entouraient, il m’aurait sans doute reconnu, et je ne le souhaitais guère. Alors je me posais sur une bitte, et j’attendais. Je sortis un bouquin, et je me mis à lire. « Tueur d’âmes et de rêves », un bouquin policier mettant en scène un Ectoplasma assassin, avec une romance humaine au milieu de tout ça. De la lecture ennuyeuse, mais qui passe le temps. Un temps indéfiniment long. Il fallut attendre que l’ombre ait complètement changé de côté pour espérer voir un ferry arriver.

Peu ambitieux, et transportant à peine une poignée de personnes, il eut fallu être de mauvaise foi pour oser dire qu’il n’était pas de bonne facture. Les sièges semblaient confortable, l’intérieur agréable et spacieux, et bien que le trajet semblait quelque peu long, il n’en était pas pour autant excessivement cher. Les quelques derniers sous sortis de la poche de ma mère me serviraient pour tenir une fois sur place.

Je n’avais encore jamais traversé l’océan. C’était étrange. Que ce soit les nageurs perdus au milieu des îles, les bateaux qui naviguaient… Tout semblait respirer la liberté. Et c’est sous cette liberté et ce léger soleil, qu’une fois posée à l’extérieur, mes paupières montraient leurs premiers signes de faiblesse. La tension et la fatigue avaient prit le dessus, mon corps ne demandait que du repos. Mes ambitions et mes envies de découvertes avaient fini par se faire rattraper par le stress du départ. Par le stress de fuir, d’oublier un passé banal et presque mystique, tant il me hantait, pour partir seule à l’aventure. Sans pokémon, sans rien.

Et entre l’amarrage du ferry et mon premier pied sur terre, il a dû s’écouler une dizaine de secondes, dans ma tête. C’est vrai que ça semblait dingue, de se dire qu’on partait sans aucune base, sans rien. Est-ce-qu’une auberge m’accepterait sans pokémon ? Une fois les pieds posés sur les quais, l’ambiance était différente. En tous points. Certes les gens semblaient épanouis et heureux, mais je n’oubliais pas non plus que les gens ne montrent qu’une facette de ce qui les arrange. Et surtout, je me souvenais avant tout que j’étais partie, et qu’ici, je ne vaudrai pas plus qu’une parfaite étrangère. Les derniers sous me servirent à acheter quelques conserves, et deux ou trois pokéball. De quoi ramasser un pokémon si jamais je réussissais à en capturer un et paraître plus crédible aux yeux des autres, bien que je ne comptais clairement pas dessus. Alors j’ai commencé une longue année, où je dormais dans la forêt, grâce à une vieille tente qui, si elle n’avait pas été abandonnée, a dû être volée par mes soins. Je me cachais loin de la civilisation, et je me faisais discrète. Je ne sortais pas ou peu, et je cherchais des petites offres d’emploi, des métiers discrets, simple, qui ne demande pas à ce que j’ai fait des études, car après tout, rien ne me passionnait dans l’idée de gratter du papier. J’ai d’abord commencé ma vie de travailleuse entourée de Mackogneurs et de Charpentis, à suivre les directives d’un chef qui nous faisait travailler jusqu’à des heures intenables. Et ce pendant un an. Mon quotidien n’était pas des plus appréciable.

Un soir en rentrant, un petit groupe de Lixy s’était amusé à ravager mon semblant de chez moi. Je gardais les sous que j’avais pour rendre ma tente un peu plus vivable, surtout pour les saisons froides. Puis petit à petit, je commençais à réfléchir à l’idée de prendre un appartement. Mais là c’était la chose qui m’a poussé à en prendre un : ma tente était ravagée, et surtout, ces salopards se battaient entre eux, sur mon territoire, en en laissant un à moitié pour mort. Je l’ai écarté et j’ai commencé à remballer un peu le merdier qu’ils avaient foutu. Au oins, ils n'auront pas cherché à m'agresser moi. Je m’approchais donc du pokémon en question, qui s’était fait passer à tabac, et j’essayais de le réveiller doucement, tout doucement. Il semblait méfiant, mais il ne bougeait pas de sa position. Simplement, il me repoussait. Il n’avait pas spécialement envie que quelqu’un l’approche et je n’avais pas spécialement non plus envie de me prendre un coup de jus. Je me préparais simplement à manger avec mon réchaud. J’irais me laver au lac plus tard. La journée avait beau être éprouvante, le lendemain serait un jour où beaucoup de choses bougeraient, et où ma condition changerait un peu.

Au réveil, le Lixy était toujours là. L’interrogeant sur ce qu’il lui était arrivé, il grommela simplement. Évidemment, je ne comprend pas un foutu mot de ce que ces bestioles racontent. J’hésitais à poser ma main sur sa tête, avec comme seule pensée que dans le pire des cas, je me prendrai une châtaigne. Il se laissa faire, plus intrigué que méfiant, puis je préparais un sac, et me mit à partir en ville, à la recherche d’un endroit où aller vivre d’une manière un peu plus sereine. Bien sûr, la ville me débectait, mais si je voulais être à la fois efficace au travail, proche des bars, des magasins, et que je ne ternissais nullement à ma réputation d’être humain, c’était encore là que j’avais le plus de chance de passer le temps inaperçue, le temps d’accumuler assez pour m’offrir une jolie petite maison en campagne.

Puis une fois en ville, je me suis souvenue que toutes les grandes villes se ressemblent. Que ce soit de la mairie, à la place centrale, en passant par des rues commerçantes et un peu excentrée, une zone artisanale et industrielle, tout semblait similaire. Évidemment, à l’avenir des choses dramatiques allaient se passer, et pour ne pas avoir l’air de sortir du lot, je m’offusquerai pour des choses dont je ne comprendrai même pas les tenants et les aboutissants. Tant pis. D’ailleurs, le Lixy, il m’a servi à justifier d’une chose, auprès d’une agence, que j’étais un dresseur. Sur le papier. Je n’avais aucune envie de ramener ce pokémon, et il serait une porte d’entrée pour une vie un peu plus normale. D’ailleurs, vous savez quoi ? Cet idiot m’attendait assis à ma tente. Il a passé ma dernière semaine de vie rustique à mes côtés. Une semaine sans se lever, et il se collait à moi. Je n’ai jamais compris pourquoi. Alors du coup je lui donnais un peu de ce que je mangeais. Des fois je fondais en larmes sans raisons et il m’écoutait, mais je suis presque persuadée qu’il ne comprenait pas un mot de tout ce que je lui racontais. Pourquoi je pleurais, moi déjà ?

Puis à l’aube du dernier jour, je l’entendais à son tour pleurer. Il n’aimait pas l’idée qu’il pouvait se faire que je parte, il s’était bien entendu attaché à moi, et moi je commençais à bien l’aimer. Je ne m’étais pas encore servie des pokéballs achetées en ville. Je les regardais en me demandant si c’était vraiment la meilleure des choses à faire pour une bestiole libre comme celle-ci. J’ai vraiment hésité un moment.

Arrivé dans mon nouvel appartement, au dernier étage d’un immeuble, j’avais le droit à un espèce de taudis presque miséreux, sous toiture, avec un trou au niveau du plafond de la cuisine que le syndic de copropriété avait promit de reboucher il y a apparemment déjà de cela plusieurs mois, au moment où j’emménageais. Résultat, quand il pleuvait, un parapluie était coincé et dépassait du toit, pendant que le Lixy prenait ses marques. Car oui, au final, je l’ai pris. Il m’a suivi sagement, n’a opposé aucune résistance, et il ne va presque jamais dans sa pokéball. La plupart du temps, il dort à la maison, et quand je sors, il sort avec moi. Et cela fait quelques années maintenant, que - déjà le trou de la cuisine est rebouché, et surtout que je travaille de nuit à l’usine. Je suis entouré de Magnetis, et je fais des raccordement électriques pour des boîtiers tous moins utiles les uns que les autres. Parfois c’est des montres, mais c’est pas mieux, quand on voit que l’heure est affichée de partout, aujourd’hui.

Par contre, outre ma fugue, j’espère que vous ne vous attendiez à rien de grandiloquent, ma vie n’est pas excitante au possible. Non il n’y a pas de rebondissement, ou quoi. Je suis juste une lambda qui trime comme une lambda, accompagnée d’un pokémon lambda (que j’aime, certes, mais ça ne change rien au problème de fond), avec un travail moins lambda, parce que travailler de nuit, tout de même, ça paye bien. Désolé. Je suis chiante et banale à en crever. Mais bon, je reviens d’un an de vie en forêt, plaine et lac à peu vagabonder et surtout à travailler. Et vous savez c’est quoi le point culminant de ma vie, aujourd’hui ?

J’ai une putain de baignoire.

Pourquoi nebuleuse ?

Pour des raisons simples. Déjà, parce que plus paumée que Jóna qui - en plus de n’avoir aucune confiance en elle, n’a aucune confiance aux gens et a du mal à comprendre le monde qui l’entoure tant il lui paraît être blindé d’incohérence, et que dans sa tête, très très loin, ça hurle à la révolution, j’admets avoir retrouvé quelques caractéristique mentales chez elle qui me permettent d’affirmer que ce groupe lui correspond au mieux.
Quentin Cafetière 22 ansLà maintenant ? Savoie. Dessinateur Projeteur.

Comment a-tu découvert le forum ? Pas grâce à Google.Ton pokémon préféré : Gobou.As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Petite Arya devenue grande.Un dernier mot ? Bah j'ai pas compris, du coup, Adèle elle est morte ? Ou c'est autre chose ? - Bref plus sérieusement, je tiens à m’excuser pour cette écriture aussi moyenne, je tiens par avance à préciser que cela fait plus d’un an que j’ai pas prit le temps d’écrire et que je promets de pas tenter de réécrire six fois une histoire pour au final vous offrir quelque chose de pas trop potable. Donc encore une fois, milles excuses. (Également, il n'est pas improbable que des fautes vous sautent aux yeux, je laisse toujours des coquilles, même quand je me relis... pardon également pour cela.)
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Alois Muller
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Alois Muller
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Capucine Alambra
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Dresseuse Pulsar, Championne d'Arène, Membre Mistral & Modérateur
Capucine Alambra
Identité du dresseur
Messages : 2133
Née le : 10/07/1999
Age : 24
Région : Kanto - Celadopole
Pokédollars : 6624
Stardust : 9611
Stardust utilisés : 9241
Equipe pokemon : Vulca
Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_037_XY
Equipe Glace
Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_038_Alola_SLJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_091_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_460_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_461_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_087_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_362_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_473_XY
Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_873_EBJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_554_Galar_EBJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_613_EBJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_478_EBJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_238_EB
Equipe Poison
Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_094_XY Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_034_XYJóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Miniature_048_XY
Icone : Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Carrzo10
Trophée Activité - Argent
Trophée Groupe - Or
Trophée Ancienneté - Or
Trophée Pokémon - Argent
Trophée Aventures - Bronze
Trophée Chromatique - Bronze
Trophée Arènes - Bronze
Trophée Événement - Argent
Trophée Capacités - Bronze
blanc
Trophée Boutique - Argent
blanc
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Trophée Ancienneté - Or
Trophée Pokémon - Argent
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Trophée Chromatique - Bronze
Trophée Arènes - Bronze
Trophée Événement - Argent
Trophée Capacités - Bronze
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Trophée Boutique - Argent
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Ooooooh bienvenu!!!

J'adore ton personnage, ta fiche et ton écriture.

Hésite pas à nous dire quand tu as fini.
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Invité
Invité
Anonymous
Identité du dresseur
Trophéespassez la souris sur les icones
Merci à vous ! Et oh, autant pour moi, je n'ai pas mit d'indicatif, mais je l'ai posté terminée :)
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Invité
Invité
Anonymous
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Trophéespassez la souris sur les icones
Coucou ! J'en profite pour te souhaiter la bienvenue officiellement sur ta fiche Gros yeux
Alors, alors... la lecture m'a captivée. Je te dois de l'admettre - Jona s'acharne à affirmer sa banalité et pourtant, c'est une mélancolie qui prend au coeur, sa fiche - son histoire, son descriptif.
C'est une envie de la serrer dans nos bras, de ne pas lui reprocher sa violence, de lui dire que tout va bien aller.

Sans repères à Lumiris, elle a trouvé comme survivre, bravo à elle ! J'espère vraiment que tu vas te plaire à jouer avec elle et ce petit Lixy adorable qui contraste beaucoup avec son caractère vis à vis celui de sa dresseuse ! Amuse-toi bien sur Lumiris Gros yeux
Je reviens sur l'émotion que dégage la fiche, mais vraiment, bravo ! La mélancolie - voulue ou pas - rythme chaque phrase, chaque description, et cette délicatesse qui en ressort nous fait prendre d'affection pour Jona malgré tout.


Bienvenue sur Dusk Lumiris
Tu es officiellement validé(e), félicitations !

Tu peux aller créer ta T-Card, ton journal de bord, et rejoindre le serveur Discord ! Regarde le message ci-dessous pour savoir si ton starter est chromatique. S'il l'est, tu peux modifier sa couleur comme bon te semble. Pour commencer ton aventure, tu reçois ton starter, 5 stardusts, 500 pokédollars et 5 pokéballs !

Bon jeu à toi ! Si tu as des questions, n'hésite pas.
 
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https://dusk-lumiris.forumactif.com
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Icone : Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé 994x
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Le membre 'Lys Aiden' a effectué l'action suivante : Modération


'Chromatique' :
Jóna Hulda - L'excluante banalité. - Terminé Qr9h
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