Voltapolis n’est pas très sûre. N’est plus très sûre. J’ai eu des menaces pour qu’on laisse Voltapolis sombrer dans le chaos, dans le je ne sais pas trop quoi. La police ne fait pas son boulot, mais bon, je ne les aime pas. Je les trouve incompétents, inutiles, désagréables et mesquins. Je refuse de changer d’avis malgré les actes répétés qui montre que j’ai tort. Je suis comme ça : têtue, et peu réfléchie.
Quoi qu’il en soit, la petite police de Lumiris n’est pas équipée pour faire face à un tel évènement. La Centrale l’a bien montré. Lumiris est une petite île, peu peuplé, avec finalement assez peu de grosse criminalité. Et puis, il y a eu Mistral et leur terrorisme. Manque de recul, de réflexion, de réaction, un peu de tout de la part du doyen et le pays se retrouve sous une menace sans aucun moyen pour l’affronter correctement. Résultat : assassinat du Doyen et destruction de la Central. Voltapolis se retrouve à l’abandon, zone de non-droit où les pires crevures ne se sentent pas menacés. Jusqu’à ce qu’elles el soient et là, elles essayent de régler le problème à leur manière.
C’est mon cas. Je suis un problème pour eux. Ils ne l’ont pas encore vu, mais j’ai déjà commencé à nettoyer les rues de la ville à ma manière. Par la violence, la force et l’exemple. J’ai aussi mis une école en place et bientôt, une arène. Il faut la présence d’une personne forte. Qui ralliera d’autres personnes. Et ça ne plait pas. Je suis allé voir le chantier et sur les murs, il y avait des menaces peintes. Au début, je n’y ai pas prêté attention. Parce que je ne sais pas très bien lire. Et parce que je m’en fous. C’est des gars du chantier qui me l’ont dit. Ils s’inquiétaient pour eux, pensant se faire attaquer. Je les ai rassurés et assurés que ce ne serait bientôt plus de problème.
Mais avant de régler ce problème, il faut que je mette à l’abri Ange, le temps que l’école soit terminée, et prête à protéger mon bébé. Alors, je vais faire payer des dettes à Yokoss. Pour les fois où elle m’a laissé ses gamins sans prévenir. Je me rends donc à Kishika, à la pension de la championne Insecte. C’est ridicule comme titre. Son type est peut-être puissant mais c’est ridicule.
J’arrive donc à son immense pension. Avec l’arène et tout. Ça n’a aucun sens mais bon. Au moins ange sera à l’abri le temps que je m’occupe de sécuriser notre future maison.
Je sonne donc et j’attends. Pas de réponse. Je me rends donc à la pension pour voir où elle est. Je porte ange, Vulca et Héphaïs sont à mes côtés et un gros sac dans mon dos, avec toutes ses affaires. C’est lourd et ça me scie les épaules. Et je ne peux pas crier sinon ça va réveiller Ange. Pour le transport, j’ai réussi à mettre son maudit Funécire dans une boite pour éviter qu’il me touche. Je n’en reviens pas que j’autorise encore ce monstre à vivre.
Quoi qu’il en soit, la petite police de Lumiris n’est pas équipée pour faire face à un tel évènement. La Centrale l’a bien montré. Lumiris est une petite île, peu peuplé, avec finalement assez peu de grosse criminalité. Et puis, il y a eu Mistral et leur terrorisme. Manque de recul, de réflexion, de réaction, un peu de tout de la part du doyen et le pays se retrouve sous une menace sans aucun moyen pour l’affronter correctement. Résultat : assassinat du Doyen et destruction de la Central. Voltapolis se retrouve à l’abandon, zone de non-droit où les pires crevures ne se sentent pas menacés. Jusqu’à ce qu’elles el soient et là, elles essayent de régler le problème à leur manière.
C’est mon cas. Je suis un problème pour eux. Ils ne l’ont pas encore vu, mais j’ai déjà commencé à nettoyer les rues de la ville à ma manière. Par la violence, la force et l’exemple. J’ai aussi mis une école en place et bientôt, une arène. Il faut la présence d’une personne forte. Qui ralliera d’autres personnes. Et ça ne plait pas. Je suis allé voir le chantier et sur les murs, il y avait des menaces peintes. Au début, je n’y ai pas prêté attention. Parce que je ne sais pas très bien lire. Et parce que je m’en fous. C’est des gars du chantier qui me l’ont dit. Ils s’inquiétaient pour eux, pensant se faire attaquer. Je les ai rassurés et assurés que ce ne serait bientôt plus de problème.
Mais avant de régler ce problème, il faut que je mette à l’abri Ange, le temps que l’école soit terminée, et prête à protéger mon bébé. Alors, je vais faire payer des dettes à Yokoss. Pour les fois où elle m’a laissé ses gamins sans prévenir. Je me rends donc à Kishika, à la pension de la championne Insecte. C’est ridicule comme titre. Son type est peut-être puissant mais c’est ridicule.
J’arrive donc à son immense pension. Avec l’arène et tout. Ça n’a aucun sens mais bon. Au moins ange sera à l’abri le temps que je m’occupe de sécuriser notre future maison.
Je sonne donc et j’attends. Pas de réponse. Je me rends donc à la pension pour voir où elle est. Je porte ange, Vulca et Héphaïs sont à mes côtés et un gros sac dans mon dos, avec toutes ses affaires. C’est lourd et ça me scie les épaules. Et je ne peux pas crier sinon ça va réveiller Ange. Pour le transport, j’ai réussi à mettre son maudit Funécire dans une boite pour éviter qu’il me touche. Je n’en reviens pas que j’autorise encore ce monstre à vivre.