Kyo Maiga
Feat Miya Chinen de SK8 the Infinity
20 ans
Étudiant-e en arts traditionnels
22.02.2002
Aucune Faction
Johto
Nemerya
Elle & Il
Pléiade
Affectueux-euse
Artistique
Énergique
Curieux-euse
Entêté-e
Sensible
Kyo, c’est quelqu’un de contradictoire, qui vit entre deux mondes. Qui ne sait pas où se placer, qui se fait passer pour un autre. D’un côté il y a la fille de sa mère, celle qui veut bien faire et rendre sa famille fière d’elle. De l’autre, il y a un gamin qui veut foutre le trouble, mettre le feu à la ville. Qui veut être différent, faire une différence. Ne vous trompez pas; elle n’est pas l’un, il n’est pas l’autre. Kyo, c’est les deux à la fois. Genderfluid, oui. Peut-être pas comme les autres; son genre fluctue selon les gens avec qui il / elle ait, comme un masque qu’on enfile pour prétendre.
C’est pas une tragédie. C’est comme ça, et puis c’est tout. Moins vous y penserez, mieux ce sera.
Kyo, c’est les secrets, aussi. Les mauvais coups. Artiste dans l’âme, Kyo ressent le besoin de s’exprimer à travers son art, que ce soit la danse ou bien alors le graffiti. C’est une personne qui fait énormément de sport, entre le Nihon Buyo, les danses traditionnelles et le skateboard; avoir un bon cardio, c’est parfait pour s’enfuir des flics après avec tagué un mur!
Elle, c’est la parfaite petite élève, sage comme une image. Pas un mot plus haut que l’autre, studieuse, appliquée. Lui, il est têtu, il parle en raccourcissant tous ses mots, il fait à sa tête. Dans tous les cas, avec Kyo, on ne s’ennuie jamais, mais ça fait un peu bizarre si vous avez l’occasion de la/le reconnaitre sous ses deux «identités» qu’il/elle tente de garder séparées.
Physiquement parlant, Kyo c’est 1m55 de haut et une baby face incorrigible; des cheveux noirs coupés courts qui ondulent un peu sur les tempes, qui tombent légèrement devant ses yeux, deux émeraudes perçantes qui vous observent en silence. Elle porte des kimono; lui des hoodies, des shorts, un t-shirt à manches longues, le tout dépareillé. Difficile de croire, parfois, que les deux sont la même personne, et ça lui va très bien comme ça!
C’est pas une tragédie. C’est comme ça, et puis c’est tout. Moins vous y penserez, mieux ce sera.
Kyo, c’est les secrets, aussi. Les mauvais coups. Artiste dans l’âme, Kyo ressent le besoin de s’exprimer à travers son art, que ce soit la danse ou bien alors le graffiti. C’est une personne qui fait énormément de sport, entre le Nihon Buyo, les danses traditionnelles et le skateboard; avoir un bon cardio, c’est parfait pour s’enfuir des flics après avec tagué un mur!
Elle, c’est la parfaite petite élève, sage comme une image. Pas un mot plus haut que l’autre, studieuse, appliquée. Lui, il est têtu, il parle en raccourcissant tous ses mots, il fait à sa tête. Dans tous les cas, avec Kyo, on ne s’ennuie jamais, mais ça fait un peu bizarre si vous avez l’occasion de la/le reconnaitre sous ses deux «identités» qu’il/elle tente de garder séparées.
Physiquement parlant, Kyo c’est 1m55 de haut et une baby face incorrigible; des cheveux noirs coupés courts qui ondulent un peu sur les tempes, qui tombent légèrement devant ses yeux, deux émeraudes perçantes qui vous observent en silence. Elle porte des kimono; lui des hoodies, des shorts, un t-shirt à manches longues, le tout dépareillé. Difficile de croire, parfois, que les deux sont la même personne, et ça lui va très bien comme ça!
Kabuki est un peu comme son maitre / sa maitresse; il aime jouer des tours, il aime les secrets, il aime semer la pagaille. C’est un pokémon qui a un bon fond, mais qui souvent exprime son affection de drôles de manière; parfois en volant un morceau de vos vêtements pour dormir avec, parfois en donnant l’illusion qu’il est votre pokémon pour obtenir des câlins, souvent en se mettant juste hors de portée pour que vous vous déplaciez pour lui faire des caresses -juste pour montrer que vous voulez vraiment lui donner de l’affection.
Kabuki
Zorua
Mâle
Illusion
雅舞 – Maiga
Ce n’est certes pas un nom qui fait trembler, celui-là; il s’écrit avec les kanji 舞 (mai), qui signifie danse, et 雅 (ga) qui signifie élégant. Un nom qui dit tout; dans leur famille, la tradition c’est la danse de mère en fille. Kyo n’y fera pas exception; elle est la troisième génération de danseuses à naître à Rosalia, Johto. Les femmes de la famille apprennent les divers arts traditionnels, pas jsute la danse; on ajoutera à la liste la peinture Ukiyo-e, l’art du thé et sa présentation, le Kitsuke, l’art du kimono, les travaux d’aiguille également. Chez les Maiga, rien n’est laissé au hasard et chaque seconde compte pour se perfectionner. Et les hommes, eux? Ils sont un peu éclipsés par leurs femmes, par leurs sœurs, par leurs mères. Les hommes de la famille Maiga sont absents; le père de Kyo n’y fera pas exception. Était-il même au courant de sa paternité? Un secret que sa mère emportera avec elle, surement.
La plus jeune d’une famille de sept filles, 桃 (Momo, qui signifie pêche) Maiga a toujours été la plus chouchoutée. On dit tout bas que c’est pour ça qu’elle a amené l’opprobe sur la famille en concevant avec un inconnu. Elle, elle rira; elle a l’habitude. Qu’elle avait hâte d’être maman, tout simplement. Que son bébé c’est toute sa vie, et qu’il vaut bien quelques murmures égarés à son égard.
杏 – Kyo
Kyo, c’est écrit avec un kanji qui veut dire abricot. Petit abricot, né-e de la petite pêche; c’était tout trouvé. C’est une drôle d’histoire, tout ça; sa maman c’est la plus jeune de ce qu’on appelait à Rosalia les sœur kimono, mais Kyo, c’était la première née de sa génération. Pas de papa en vue, mais ici, elle a tout l’amour et le soutient donc elle pourrait rêver; 6 tantes et une grand-mère (un peu pète-sèche, mais quand même pleine d’amour), en plus d’une maman qui n’a d’yeux que pour elle! C’est peut-être pour ça, au final, que ça lui a prit autant de temps reconnaitre, comprendre qu’elle était aussi un homme, parfois; les hommes dans la famille étaient plutôt effacés après tout. Ce n’étaient pas eux qui gardaient les traditions en vie, pas eux que grand-mère éduquaient avec minutie.
Kyo, enfant, elle ne faisait pas de bruit. Ses cousines et cousins suivirent rapidement, et dans le manoir familial, ça riait, ça pleurait -et parfois, même, ça courrait. On revenait avec des bleus parce qu’on était tombés d’un arbre, mais pas Kyo, comme si elle savait que c’était un luxe qu’elle ne pouvait pas se permettre, comme si elle savait qu’elle était toujours à ça du regard désapprobateur de mamie. Pourtant mamie n’était pas méchante avec elle, mais Kyo savait. C’était la plus vieille, elle devait montrer l’exemple. C’était la plus vieille, elle devait étudier un peu plus longtemps pour pouvoir assister les autres bambins dans leurs études. Et peut-être que si elle s’appliquait assez bien, elle ferait sourire grand-maman. Croyez-le, Kyo s’appliquait bien, longtemps, à s’en rendre malade; grand-maman souriait souvent.
Maman voyait bien; son petit abricot étouffait dans la demeure familiale, dans cette ville qui la connaissait depuis ses premiers pleurs. Alors maman partie pour Kanto; on avait de la famille, là-bas, et maman pourrait reprendre l’atelier de danse de sa tante qui se faisait vieille et dont l’arthrite empêchait la tenue des pratiques. Ici, ce serait différent, qu’elle s’était dit : elles pourraient vivre à leur propre rythme, mais c’était sans compter sur la ténacité d’enfant de Kyo, qui même lorsqu’elle n’avait pas pratique, et bien, se pratiquait. Momo n’allait pas aller contre les souhaits de sa progéniture -elle n’aurait pas pu de toute manière.
Puis comme les années se succèdent sans s’arrêter, vinrent ses dix ans. Pour la peine, comme à chaque année, on était retourné à Johto pour fêter avec la famille étendue. Dans la famille, c’était la tradition, et la tradition était tout : à dix ans, on recevait son evoli, madame, monsieur. Quelle ne fût pas sa surprise quand, plutôt, à son anniversaire elle reçut un Zorua; une petite chose différente, coquine. Elle ne vit même pas l’air outré, mais résigné, de mamie; elle était juste trop contente, et le bonheur rend parfois aveugle. C’est probablement à ce moment là qu’elle se dit pour la première fois que sa maman savait. Savait qu’elle aimait sa famille, mais qu’elle était différente, pas comme les autres. Que la rébellion sommeillait en elle, et qu’elle gagnerait si on lui en laissait la chance. Elles se rapprochèrent beaucoup après ça; enfin, ça, c’était quand Kyo ne passait pas tout son temps libre avec Kabuki, le petit Zorua qui aimait prendre la forme d’un evoli. Comme quand elle prenait la forme de la petite fille parfaite; Kabuki et elle se comprenaient.
De retour à Kanto, maman rencontre quelqu’un, et Kyo finit par dire à sa mère d’arrêter de tourner autour du pot; elle prend la main de monsieur, la mets dans la main de maman, et lui dit très franchement qu’elle voudrait bien une petite sœur, ou même un petit frère, ou alors les deux. On rit, puis juste comme ça, on se marie et exauce le souhait de la petite fille : des jumeaux! Un frère, une sœur, quoi demander de mieux? Mais leur naissance, à ses treize ans, n’est pas le seul bouleversement familial : on quitte Kanto pour Lumiris. Maman veut y ouvrir une école d’arts traditionnels; papa n’y trouve pas d’objection, et on fait un long voyage en bateau.
Kyo pensait détester leur nouveau chez eux. Certes, elle avait déjà déménagé une fois, mais avant, c’était pour se rapprocher d’une autre partie de la famille; on n’avait pas tout recommencé à zéro. Mais, au final, c’était le fait d’être totalement inconnue dans la grande ville de Nemerya qui lui permit vraiment d’apprendre à se connaitre; à le connaitre lui, cette autre personne qui était en elle. Elles n’en parlèrent pas, mais Kyo était sûr que sa maman savait, comme elle savait tout sur elle. Fallait dire que tout ça n’était pas très subtil; le tissu acheté pour se coudre des vêtements, les brassées de lavages faites en catimini tôt le matin ou tard le soir pour qu’on ne voit pas ces habits bizarres qu’elle s’était concoctés. Les cheveux qu’on avait coupés courts, les éraflures qu’on essayait de cacher. Et que dire du skateboard judicieusement placé dans un buisson, acheté avec l’argent de poche?
À la maison, elle continuera d’être la petite fille studieuse; la grande sœur qui aime son frère et sa sœur, celle qui obtient des bonnes notes à l’école. Mais dans ses temps libres, c’est là qu’elle se sent revivre, avec pour seule maitresse le vent sous ses roues. On en fait, de drôles de rencontres, quand on est un garçon et qu’on a peur de rien ni personne. Il s’est fait des amis et vite, Kyo; pas toujours les bonnes personnes, mais ça fait parti des apprentissages de la vie. Il se joint rapidement à une bande de petits voyous qui aimait tagger les murs de la ville; rien de bien dangereux, mais c’était assez pour faire battre son cœur d’une passion qu’il allait, il le savait, vivre sans retenue.
Depuis peu, Kyo a 19 ans; sa sœur et son frère viennent tout juste de commencer l’école du quartier à 6 ans. Kyo continue de perfectionner son art auprès de maman, mais surtout à prendre la relève et pls4us de responsabilités à la maison comme à l’école de danse et d’arts traditionnels; c’est elle qui donne les cours pour les tout-petits, et avec sa mère elles offrent des spectacles pour les fins connaisseurs de la ville; elles sont même parfois appelées à performer en dehors de Nemerya.
Ce n’est certes pas un nom qui fait trembler, celui-là; il s’écrit avec les kanji 舞 (mai), qui signifie danse, et 雅 (ga) qui signifie élégant. Un nom qui dit tout; dans leur famille, la tradition c’est la danse de mère en fille. Kyo n’y fera pas exception; elle est la troisième génération de danseuses à naître à Rosalia, Johto. Les femmes de la famille apprennent les divers arts traditionnels, pas jsute la danse; on ajoutera à la liste la peinture Ukiyo-e, l’art du thé et sa présentation, le Kitsuke, l’art du kimono, les travaux d’aiguille également. Chez les Maiga, rien n’est laissé au hasard et chaque seconde compte pour se perfectionner. Et les hommes, eux? Ils sont un peu éclipsés par leurs femmes, par leurs sœurs, par leurs mères. Les hommes de la famille Maiga sont absents; le père de Kyo n’y fera pas exception. Était-il même au courant de sa paternité? Un secret que sa mère emportera avec elle, surement.
La plus jeune d’une famille de sept filles, 桃 (Momo, qui signifie pêche) Maiga a toujours été la plus chouchoutée. On dit tout bas que c’est pour ça qu’elle a amené l’opprobe sur la famille en concevant avec un inconnu. Elle, elle rira; elle a l’habitude. Qu’elle avait hâte d’être maman, tout simplement. Que son bébé c’est toute sa vie, et qu’il vaut bien quelques murmures égarés à son égard.
杏 – Kyo
Kyo, c’est écrit avec un kanji qui veut dire abricot. Petit abricot, né-e de la petite pêche; c’était tout trouvé. C’est une drôle d’histoire, tout ça; sa maman c’est la plus jeune de ce qu’on appelait à Rosalia les sœur kimono, mais Kyo, c’était la première née de sa génération. Pas de papa en vue, mais ici, elle a tout l’amour et le soutient donc elle pourrait rêver; 6 tantes et une grand-mère (un peu pète-sèche, mais quand même pleine d’amour), en plus d’une maman qui n’a d’yeux que pour elle! C’est peut-être pour ça, au final, que ça lui a prit autant de temps reconnaitre, comprendre qu’elle était aussi un homme, parfois; les hommes dans la famille étaient plutôt effacés après tout. Ce n’étaient pas eux qui gardaient les traditions en vie, pas eux que grand-mère éduquaient avec minutie.
Kyo, enfant, elle ne faisait pas de bruit. Ses cousines et cousins suivirent rapidement, et dans le manoir familial, ça riait, ça pleurait -et parfois, même, ça courrait. On revenait avec des bleus parce qu’on était tombés d’un arbre, mais pas Kyo, comme si elle savait que c’était un luxe qu’elle ne pouvait pas se permettre, comme si elle savait qu’elle était toujours à ça du regard désapprobateur de mamie. Pourtant mamie n’était pas méchante avec elle, mais Kyo savait. C’était la plus vieille, elle devait montrer l’exemple. C’était la plus vieille, elle devait étudier un peu plus longtemps pour pouvoir assister les autres bambins dans leurs études. Et peut-être que si elle s’appliquait assez bien, elle ferait sourire grand-maman. Croyez-le, Kyo s’appliquait bien, longtemps, à s’en rendre malade; grand-maman souriait souvent.
Maman voyait bien; son petit abricot étouffait dans la demeure familiale, dans cette ville qui la connaissait depuis ses premiers pleurs. Alors maman partie pour Kanto; on avait de la famille, là-bas, et maman pourrait reprendre l’atelier de danse de sa tante qui se faisait vieille et dont l’arthrite empêchait la tenue des pratiques. Ici, ce serait différent, qu’elle s’était dit : elles pourraient vivre à leur propre rythme, mais c’était sans compter sur la ténacité d’enfant de Kyo, qui même lorsqu’elle n’avait pas pratique, et bien, se pratiquait. Momo n’allait pas aller contre les souhaits de sa progéniture -elle n’aurait pas pu de toute manière.
Puis comme les années se succèdent sans s’arrêter, vinrent ses dix ans. Pour la peine, comme à chaque année, on était retourné à Johto pour fêter avec la famille étendue. Dans la famille, c’était la tradition, et la tradition était tout : à dix ans, on recevait son evoli, madame, monsieur. Quelle ne fût pas sa surprise quand, plutôt, à son anniversaire elle reçut un Zorua; une petite chose différente, coquine. Elle ne vit même pas l’air outré, mais résigné, de mamie; elle était juste trop contente, et le bonheur rend parfois aveugle. C’est probablement à ce moment là qu’elle se dit pour la première fois que sa maman savait. Savait qu’elle aimait sa famille, mais qu’elle était différente, pas comme les autres. Que la rébellion sommeillait en elle, et qu’elle gagnerait si on lui en laissait la chance. Elles se rapprochèrent beaucoup après ça; enfin, ça, c’était quand Kyo ne passait pas tout son temps libre avec Kabuki, le petit Zorua qui aimait prendre la forme d’un evoli. Comme quand elle prenait la forme de la petite fille parfaite; Kabuki et elle se comprenaient.
De retour à Kanto, maman rencontre quelqu’un, et Kyo finit par dire à sa mère d’arrêter de tourner autour du pot; elle prend la main de monsieur, la mets dans la main de maman, et lui dit très franchement qu’elle voudrait bien une petite sœur, ou même un petit frère, ou alors les deux. On rit, puis juste comme ça, on se marie et exauce le souhait de la petite fille : des jumeaux! Un frère, une sœur, quoi demander de mieux? Mais leur naissance, à ses treize ans, n’est pas le seul bouleversement familial : on quitte Kanto pour Lumiris. Maman veut y ouvrir une école d’arts traditionnels; papa n’y trouve pas d’objection, et on fait un long voyage en bateau.
Kyo pensait détester leur nouveau chez eux. Certes, elle avait déjà déménagé une fois, mais avant, c’était pour se rapprocher d’une autre partie de la famille; on n’avait pas tout recommencé à zéro. Mais, au final, c’était le fait d’être totalement inconnue dans la grande ville de Nemerya qui lui permit vraiment d’apprendre à se connaitre; à le connaitre lui, cette autre personne qui était en elle. Elles n’en parlèrent pas, mais Kyo était sûr que sa maman savait, comme elle savait tout sur elle. Fallait dire que tout ça n’était pas très subtil; le tissu acheté pour se coudre des vêtements, les brassées de lavages faites en catimini tôt le matin ou tard le soir pour qu’on ne voit pas ces habits bizarres qu’elle s’était concoctés. Les cheveux qu’on avait coupés courts, les éraflures qu’on essayait de cacher. Et que dire du skateboard judicieusement placé dans un buisson, acheté avec l’argent de poche?
À la maison, elle continuera d’être la petite fille studieuse; la grande sœur qui aime son frère et sa sœur, celle qui obtient des bonnes notes à l’école. Mais dans ses temps libres, c’est là qu’elle se sent revivre, avec pour seule maitresse le vent sous ses roues. On en fait, de drôles de rencontres, quand on est un garçon et qu’on a peur de rien ni personne. Il s’est fait des amis et vite, Kyo; pas toujours les bonnes personnes, mais ça fait parti des apprentissages de la vie. Il se joint rapidement à une bande de petits voyous qui aimait tagger les murs de la ville; rien de bien dangereux, mais c’était assez pour faire battre son cœur d’une passion qu’il allait, il le savait, vivre sans retenue.
Depuis peu, Kyo a 19 ans; sa sœur et son frère viennent tout juste de commencer l’école du quartier à 6 ans. Kyo continue de perfectionner son art auprès de maman, mais surtout à prendre la relève et pls4us de responsabilités à la maison comme à l’école de danse et d’arts traditionnels; c’est elle qui donne les cours pour les tout-petits, et avec sa mère elles offrent des spectacles pour les fins connaisseurs de la ville; elles sont même parfois appelées à performer en dehors de Nemerya.
Pourquoi les Pléiades ?
C’est pas bien compliqué, Kyo respire de l’art du matin au soir; à la maison ce sont les arts traditionnels, en dehors ce sont les arts urbains. Deux expressions différentes, deux facettes de la même personne, Kyo trouve plus facile de s’exprimer ainsi qu’avec des mots. C’est ce qui met un sourire sur ses lèvres et qui rend la vie plus facile à vivre quand tout le reste va mal!
Pseudo(s): Doomed Cookie
Âge: 30 ans
Localisation: au Québec!
Pronom(s): Il / they
Âge: 30 ans
Localisation: au Québec!
Pronom(s): Il / they
Comment nous as-tu trouvé ? // via Damien!
Ton Pokémon préféré ? // ouf, grosse question, vite comme ça je dirais Beldeneige!
As-tu un parrain ? // Pour le coup, on va dire Damien~
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Juste du rp dans la bonne humeur!
Un dernier mot ? // Bien hâte de vous rejoindre pour rp!
Ton Pokémon préféré ? // ouf, grosse question, vite comme ça je dirais Beldeneige!
As-tu un parrain ? // Pour le coup, on va dire Damien~
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Juste du rp dans la bonne humeur!
Un dernier mot ? // Bien hâte de vous rejoindre pour rp!