| Blind Date - Bismark & Serge
DuskPNJMessages : 14946
Née le : 09/03/2017
Age : 7
Région : Lumiris
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| Blind Date Bismark & Serge Le frisson de l’inconnu, la surprise d’une rencontre, le bonheur de découvrir l’autre. Il s’agit pour certains d’une angoisse qui les pousse à rester enfermés chez eux mais pour d’autres, c’est tout le sel de la vie. Empathique ou non, le lien social est un élément merveilleux de la société, mais bien souvent, on se retrouve bloqué. Bloqué par des aprioris, des impressions, des idées fausses ou par des jugements sociaux et de classes. Difficile, même avec beaucoup de volonté de dépasser tout ça. Et pour ça, un étrange café concept a ouvert ses portes pour un bref moment à Lumiris. Le restaurant voit ses fenêtres complètement obstruées. Impossible de voir à l’intérieur. Encore moins possible de voir à l’extérieur. La porte a double battant a aussi des vitres noires et on pénètre d’abord dans un petit sas, faiblement éclairé avec de beaux drapés rouges sur les murs et une nouvelle porte en bois, finement travaillée. Une fois entré, seul, une petite sonnette permet à un serveur de venir vous accueillir. On vous demande de fermer la porte extérieure puis on vous accueille sobrement. Les serveurs et serveuses vous accueillent et vous bandent les yeux pour un bref moment, vous guidant jusqu’à votre table. Dans la salle, il n’y a presque pas de bruit, rien qu’une ambiance feutrée, des chuchotis. La salle que vous ne voyez pas est parée de mur recouvert de mousse insonorisant, qui absorbe le bruit si bien que même en parlant fort, le son ne se propage que très mal. Sous vos semelles, une épaisse moquette vous invite presque à vous allonger. On vous installe à une table et retire le bandeau. Vous ne voyez rien, hormis le pied de deux verres, légèrement phosphorescent, l’un vert, l’autre rouge. C’est le seul moyen pour vous de repérer votre verre et cette faible lumière ne vous permet pas de voir quoi que ce soit d’autre. En regardant autour de vous, vous pouvez en apercevoir d’autres dans le lointain, mais tout est noir. Quelqu’un est en face de vous, vous pouvez l’entendre bouger. Voici donc votre mystérieuse rencontre. Intéressant. C’est le moment d’engager la conversation. Pas besoin de choisir le plat, vous avez déjà tout choisi au moment de la réservation. Quand aux boissons, le serveur saura vous aiguiller pour trouver ce qui vous plait. InformationsBienvenu dans le Blindate. Vous posterez en utilisant le compte Arbitre afin de garder votre personnage secret. La personne dont le pseudo apparait en premier dans le titre est la première a posté. Vous êtes libre de manger ou boire ce que vous voulez. Soyez juste respectueux des lieux, et de l’ambiance. Il fait noir et vous n’avez pas vos Pokémons. Les couverts pour la nourriture seront très légèrement luminescents tout comme l’assiette mais pas suffisamment pour vous éclairer. Voyez à rester RP avec vos personnages. Si votre personnage agit différemment de son habitude (l’anonymat change les gens #twitter) veuillez l’expliquer dans votre post. Vous pouvez camoufler votre écriture, mais pas le caractère de votre personnage. Comme le RP est anonyme, pensez à bien surveiller le sujet. Si la réponse tarde à venir (plus d’une semaine, soyez raisonnable), envoyer un MP avec le compte Arbitre à Capucine, sans mettre de lien ni d’information autre que « Bonjour, on peut avoir une petite relance générale ? » Alors je ferai une petite annonce subtile pour inviter les gens à revenir RP et à vous lire. Il n’y aura pas d’autres modérations. Cependant, une fois le RP clos, vous recevrez une récompense et pourrait le continuer avec vos propres comptes. Allez, la bise et bon jeu. |
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En voilà une activité intéressante. Une pure perte de temps, diraient certains. Difficile de leur donner tort, en vérité.
"Bismarck oui. C’est ça, c’est le bon nom. Oui, je vous suis. Profiter pas de me bander les yeux pour faire un truc bizarre."
Ce genre d’ambiance, de manière générale, ce n’est pas mon truc. Je comprends le concept - et il est efficace une fois que je suis installé. Il n’y a pas grand-chose à voir, c’est sur. J’allai dire quelque chose comme "c’est donc ça entre aveugles", mais on peut voir un verre, et discerner un peu la table. Tant que mon mojito arrive vite, je serai heureux.
"Il y a quelqu’un en face ? Pardon, je ne t’avais pas vu."
Il ou elle ne peut pas voir mon sourire, ma vanne me fait bien marrer au moins.
"C’est Bismarck mon petit nom pour ce soir. Utiliser des pseudonymes dans la vraie vie, il faut une première pour tout, pas vraie ?"
Pourtant je ne suis pas du genre discret habituellement.
"Enfin bon, bonjour, bonsoir, c’est comme tu veux, je m’adapte. Qu’est-ce qui t’amène ici ?"
Question con, mais on a tous des points de vue différents sur ce petit évènement, pas vrai ?
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| | | | De nouveaux concepts mènent à de nouvelles idées. Il serait tentant de fermer les yeux et de passer son chemin. Métaphoriquement. L'idée du lieu étant de ne rien voir, fermer les yeux offrait la moitié de l'expérience.
Sauf que cette expérience offrait tout de même plus que des yeux fermés. Il fallait rencontrer quelqu'un, un inconnu, dans le noir, sans le voir. Même la nourriture, serait difficile à voir. C'était là tout le piment de l'expérience. Perdre un sens pour un mystère. Perdre un sens et aussi son identité. L'autre ne sait pas à qui il a affaire et l'on n'en sait rien soit même.
L'accueil dans le lieu du mystère est déjà une excitation en soi. On ne sait rien de l'intérieur et le seul visage qu'on voit, le dernier peut-être de la soirée, et celle du serveur.
L'ambiance est calme, comme un dortoir. Un chuchote, on parle bas. C'est agréable et reposant. On s'installe à une table où deux verres brillent timidement. Au moins, ne mourra-t-on pas de soif. Encore un bruit discret puis une voix.
L'autre est arrivé. Mais sa présence ne semble pas lui plaire. A quoi bon venir en ces lieux si c'est pour ne pas vouloir être présent. Le plaisir de gâcher celui des autres peut-être.
La tentative d'humour tombe dans l'oreille d'un sourd. Pas un vrai sourd, évidemment, cela rendrait la soirée pour le moins terrible. Ne pas voir l'autre, ne pas l'entendre. Et pourquoi pas ne pas parler.
Bismarck, ainsi ce surnomme-t-il. Rien de bien reluisant. Tout comme le caractère qui semble franchir le ténèbres. Mais l'idée n'est finalement pas si mauvaise. Finalement, donner son nom, c'est se trahir en partie. Alors oui, va pour un pseudonyme. Mais que choisir, afin d'être unique.
La voix dans le noir ne semble pas se soucier de le savoir. Il se présente, mais n'a que faire de l'identité de son interlocuteur. Grand bien lui fasse, cela repousse le choix de l'identité à plus tard. On en trouvera une en temps voulu.
Enfin une question qui attend sa réponse. Mais elle brille par sa stupidité. Que vient-on faire dans un restaurant. C'est l'évidence. Manger. Mais dans un restaurant obscur, pas par manque de référence, mais bien de lumière, que vient-on y chercher. Comme dit plus haut, le mystère, le frisson de l'inconnu.
« Le plaisir des rencontres. »
C'est une voix d'un autre mode qui siffle dans le noir. On dirait du gravier qu'on frotte, ou une vieillarde. Peut-être même un fumeur dont le larynx est en fin de vie. Il n'y a rien de rassurant dans cette voix qu'on fait murmurer dans le noir.
« Et toi ? Tu n'as pas l'air satisfait d'être ici. Pourquoi es-tu là? »
On dirait la voix qui nous attend lors du dernier Jugement.
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"Alors, espérons tous les deux que celle-ci va être mutuellement plaisante."
C’était aussi simple que ça. Mais heureusement que j’ai une bonne ouïe, sinon il serait bien difficile d’entendre la... personne que j’ai devant moi. Je ne suis pas médecin, je vais me dire que c’est normal et que ledit quelqu’un utilise un transformateur de voix pour dissimuler son identité. Ça se tient, je présume. Je ne vais pas juger, déjà parce que ce n’est pas mon problème et ensuite parce que je n’ai pas que ça à faire.
"Pas satisfait serait exagéré. Disons que j’ai autant l’habitude de faire ce genre de chose que j’ai l’habitude de faire du water-polo."
C’est à dire environ deux fois dans ma vie. Ca n’est pas beaucoup il faut bien le dire.
"Quant à la raison de ma présence, je vais être feignant et utiliser ta réponse, car je la trouve assez représentative de la situation."
Mes amis disent que si je ne râle pas, c’est que je suis mort, mais ça ne veut pas dire que je ne sais pas apprécier un bon moment avec une bonne compagnie, bien au contraire.
Et ça, c’est la nourriture qui arrive.
"Bon appétit, charmante personne."
Yep, ça, c’est de la bonne qualité. La viande il n’y a que ça de vrai.
"Je vais faire mon curieux : c’est normal ta voix ? Ca n’est pas pour me moquer ou quelque chose dans le genre, je présume que tu as tes raisons et qu’elles sont toutes valables. Bien sûr tu n’es pas obligé de répondre."
Il ou elle ne peut pas me voir hausser les épaules. Si je n’ai pas de réponse, je n’ai pas de réponse, tout simplement.
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| | | | Voilà bien des paroles qui sonnent comme autant de mensonges. On peut difficilement croire une voix dans le noir quand tout ce qu’on sait d’elle n’est que le son de sa voix, un son qui transpire l’ennui, l’envie d’être ailleurs et d’être ici par hasard. Il est tellement facile de répondre à une question par la réponse de l’autre, mais ça n’en fait pas une réponse honnête.
La soirée ne s’annonçait pas spécialement plaisante. Quand on s’attend à de l’exotisme, il est toujours décevant de se retrouver avec tonton grincheux, qui râle de ne pas trouver les mêmes choses qu’à la maison, lors de son voyage à l’autre bout du monde. On retient cependant un soupir, pour ne pas que cet oncle ne devienne encore plus pénible en interprétant ce soupir comme un acquiescement.
Il n’y a rien à répondre à ça. Et l’entame de ne donne pas envie de relancer la conversation. Alors on laisse le silence s’installer. On laisse passer le temps, en espérant que la prochaine fois, ce sera mieux. Malgré l’obscurité, le regard vagabonde à la recherche d’un point d’encrage, mais il n’y a rien à voir, alors on essaye d’imaginer la personne derrière la voix. Une grosse moustache, un regard bovin certainement. Du surpoids sans aucun doute. On remercie le ciel d’être dans le noir, mais on le maudit aussi de ne pas avoir eu le droit de choisir son interlocuteur.
Et finalement, précédé par l’odeur, la première assiette arrive sous la forme d’une légère lueur. On devine mal ce qu’il y a dans l’assiette. Bien sûr, on connait la commande, mais ne pas voir sa nourriture est bien ce qu’il y a eu de plus intéressant depuis l’arrivée du compagnon de la soirée. C’était triste à dire.
L’autre prise le silence, ses paroles parcourant la nuit jusqu’à des oreilles inquiètes. Mais il n’y a rien de désagréable en dehors de la question dont on n’est pas obligé de répondre. Alors on liasse flotter un court silence avant de répondre.
« Je ne sais pas. C’est ma voix. »
Il n’y a pas à avoir de bonnes ou de mauvaises raisons. Le grincement de souffles poussiéreux qui forment des sons est tel qu’il est.
« Tu n’es pas une personne très intéressante, ni très polie. »
Ce n’est pas une question. C’est un fait. Un avis tranché et bien pesé. Quand on n’aime pas une personne, on ne l’aime pas. Et cette fois, ce n’est pas physique. Il y a quelque chose dans la façon de parler, de poser les questions, de se comporter qui répulsent et pour cette soirée, toutes les cases sont cochées.
Alors autant se concentrer sur l’assiette, la dernière source de plaisir de la soirée. Là, au moins, ce n’est pas décevant. Du confit, avec des pommes de terre et de petits légumes, c’est là un plat difficile à rater, mais dans ce restaurant, il était plus que réussi. Pas d’inquiétude concernant un os, puisque tout est pensé pour manger sans les yeux. Chaque bouchée est une surprise : pomme de terre ou viande ou légume. Tout est fait pour assurer l’inattendu. Chaque morceau est un délice et procure un frisson d’exaltation. Et le silence en est le meilleur compagnon. Le silence et le verre de vin rouge, choisi pour accompagner ce plat spécifiquement.
Peut-être est-ce là la solution pour une bonne soirée. De la bonne nourriture et de l’alcool. Ce serait dommage de devoir en arriver là. |
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"Je te rassure, ça n’était pas une critique. Je préfère simplement m’assurer que la personne avec qui je converse ne clamse pas au milieu de la discussion."
Ça serait dommage, et je m’en voudrais un peu. Donc si jamais l’autre a besoin de ménager sa voix, qu’il fasse. Au finalement, ça n’est pas vraiment mon problème. Tant que l’autre se sent à l’aise, c’est le plus important. Bah tiens, en parlant de ça, ça n’est visiblement pas le cas pour l’instant.
"Ni l’un ni l’autre ne sont mes points forts. Ta voix est remarquable et différente, c’est un fait. Ça n’est pas forcément négatif, par contre, mais je doute que tu me croies."
C’est un fait, tout simplement. Je ne vais pas juger l’autre sur sa simple voix.
"Quant à être inintéressant, je passe. De mémoire ma vie n’est pas énormément trépidante. Boulot, moto, dodo comme dirait certains."
C’est un peu exagéré, mais au final, c’est l’idée.
"Mais tu piques mon intérêt : qu’est-ce qui rend une personne intéressante à tes yeux ? Et indirectement, qu’est-ce qui fait que tu es digne d’intérêt ?"
Car si je ne suis pas très intéressant, en face ça n’est pas très agréable. Sur ce point-là, nous nous sommes bien trouvés.
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| | | | Quand on ressent le besoin de préciser une chose, c’est que la chose est sous-entendue tout de même. Si l’ombre dans les ténèbres ne voulait pas critiquer, elle n’aurait pas soulevé le problème avec si peu de subtilité. Et on ne parle pas de décès à table, avec autant de légèreté. Ainsi, le silence fut la seule réponse à sa remarque.
Et ce silence se maintint, à mesure qu’il parlait. On ne voyait aucun intérêt à lui répondre. Tout ce qu’on entendait, c’était des mensonges. La voix n’avait rien de remarquable, si ce n’était sa laideur, son originalité et cette douleur qu’elle transpirait avec abondance. Différente était un euphémisme et c’était négatif. Une voix comme celle-là, n’était pas de celle qu’on utilise pour rassurer les gens mais pour leur faire fuir.
Heureusement, cette voix n’avait pas besoin de servir ce soir. L’autre entretenait sa propre conversation, aussi médiocre que lui, songea-t-on en ne l’écoutant qu’à peine, savourant ce repas aux textures originales, et aux goûts toujours surprenants. C’était la seule bonne chose de la soirée.
Jusqu’à la question. Ou les questions. Le mouvement de la fourchette s’arrête un bref moment puis finit sa course. Ce n’est pas une question simple et ce n’est pas une discussion agréable. Mais il faut jouer le jeu, sinon, ce n’est pas la peine de venir. On prend le temps de savourer sa bouchée tout de même. Hors de question de bâcler un repas aussi délicieux pour satisfaire un être aussi peu intéressant.
Après déglutition, la voix caverneuse se fait de nouveau entendre.
"Je n’ai jamais dit être digne d’intérêt. Mais la rudesse n’est pas un signe d’intérêt. Venir ici pour se comporter comme un sauvage non plus. On peut aussi sentir que vous n’êtes pas en train de jouer un personnage. Ce qui gâche fortement les effets. Vous êtes là, parce que vous n’avez pas pensé à l’intérêt de la chose. En vous croisant dans la rue, je pourrais vous reconnaitre sans problème. C’est inintéressant."
Ce n’était que des faits. Prononcés sans intonations. Un adulte qui explique à un enfant. Ou un dieu à un fidèle, si on garde la sonorité de la voix. Une petite pause ponctue la réponse. Peut-être boit-on un peu d’eau avant de reprendre.
"L’intérêt réside dans le mystère. L’inconnu, l’invisible et l’inexploré. Lorsqu’en une phrase, on provoque deux questions. Lorsqu’un son en provoque plus encore. Avec le moindre effort, inspirer la curiosité. "
C’était là, l’exercice réussit du soir. L’autre avait tenu une discussion sans intérêt, éloignant même l’envie d’en savoir plus par des banalités et des phrases trop directes. Il ne suffisait pourtant de pas grand-chose, pour qu’il se demande pourquoi on était là, ou son avis sur quelque chose. Rien de sorcier.
La fourchette reprend ses voyages. |
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Parfois je me demande pourquoi je fais certaines choses, et maintenant je me dis que je n’ai pas eu de chance. Car il en faut pour tomber sur une personne aussi désagréable. D’accord, je ne suis pas forcément la personne la plus sympa de l’univers, mais tout de même. Au moins la bouffe est bonne. C’est toujours ça. On ne peut pas tout avoir dans la vie, diraient certains.
"Disons que je m’adapte à mon interlocuteur. Et si nous sommes tous deux sans intérêt, ceci nous fait un point commun."
Un bon point commun ? Je passe. Chacun sa vision des choses. La situation est aussi étrange qu’amusante.
"À quoi bon se donner un rôle et jouer à être quelqu’un d’autre quand être soit même est bien mieux intéressant ? Je respecte ton point de vue et je le comprends, ça n’est juste pas ma tasse de thé."
C’est intéressant, c’est sur, mais a quoi bon faire semblant ?
"Mais tu n’as pas vraiment de la chance, les mystères ne me rendent pas forcément plus curieux. Mais je vais jouer à ce jeu. Mis à part les devinettes, tentent de me faire deviner tes centres d’intérêt."
La discussion va devenir intéressante... ou pas.
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