Du balais!
Cuisiner. C'est l'art le plus beau et le plus complet. Il engage nos cinq sens, plus un - le besoin de donner le meilleur de nous-mêmes
J’espérais que mes aventures à Lumiris allaient être palpitantes, que j’allais rencontrer des cuisiniers de renom et que j’allais intégrer une école prestigieuse, mais ce n’est pas du tout ça qui m’attendait malheureusement. L’homme qui m’hébergeait M. Yoshi était un homme bedonnant qui avait déjà eu de l’expérience en cuisine, mais à cause d’une vilaine blessure, il a dû mettre ses rêves de côté. Aujourd’hui, il était un homme à tout faire et il était engagé par diverse agence pour faire des tâches différentes. Moi qui aurais pensé pouvoir me trouver un emploi dans le domaine de la cuisine ou encore avoir le choix de mon emploi, je frappai un mur.
- Tenez. Vous avez tout ce qu’il vous faut ici pour nettoyer les graffitis.
Pourquoi devions-nous nettoyer une vieille centrale électrique abandonnée?! Notre employeur a sans doute lu dans mes pensées, car il tourna son regard fatigué sur moi.
- Nous avons l’intension de rouvrir la centrale électrique, mais pour ça, nous devons au moins la garder propre avant le grand jour. Vous recevrez votre argent à la fin de la journée.
L’homme fatigué me laissa moi et M. Yoshi devant l’immense édifice défraichi. Des graffitis avaient été dessinés sur les murs intérieurs et externes du bâtiment. Pourquoi je devais me taper ce genre de travail?! En plus, la paye était médiocre à la fin! Si seulement je pouvais convaincre M. Yoshi de me laisser trouver un emploi plus convenable, mais il avait une entente avec mon père : il acceptait de m’héberger à condition que je suis les règlements de sa demeure… Et l’un des règlements étaient inévitablement de l’accompagner à son travail. Cela n’allait rien m’apprendre d’utile!
- Je m’occupe des graffitis à l’intérieur du bâtiment. Occupe-toi du mur principal. Et n’essai pas de te défiler sinon je mets fin à l’entente avec ton père.
- Humpf… Grommèle-je.
Tandis que M. Yoshi entra dans le bâtiment, je poussais un soupir de découragement et récupéra le seau rempli d’eau ainsi qu’un produit suffisamment fort pour faire partir les graffitis, mais l’odeur était très forte et je n’imaginais pas ce que ça pourrait faire à mes mains si je ne portais pas de gants. Pour éviter de travailler seule, je sortis Aurore de sa pokéball pour qu’elle me tienne compagnie. Celle-ci était curieuse de me voir nettoyer des murs, elle me tournait autour et fixait d’un bon œil mon travail et lorsqu’elle voyait encore des traces, elle me faisait signe. Ce n’était peut-être pas une bonne idée finalement, car elle agissait comme un petit boss avec moi, mais je l’adorais quand même : comment détester une petite chose comme Bombydou.
- Tenez. Vous avez tout ce qu’il vous faut ici pour nettoyer les graffitis.
Pourquoi devions-nous nettoyer une vieille centrale électrique abandonnée?! Notre employeur a sans doute lu dans mes pensées, car il tourna son regard fatigué sur moi.
- Nous avons l’intension de rouvrir la centrale électrique, mais pour ça, nous devons au moins la garder propre avant le grand jour. Vous recevrez votre argent à la fin de la journée.
L’homme fatigué me laissa moi et M. Yoshi devant l’immense édifice défraichi. Des graffitis avaient été dessinés sur les murs intérieurs et externes du bâtiment. Pourquoi je devais me taper ce genre de travail?! En plus, la paye était médiocre à la fin! Si seulement je pouvais convaincre M. Yoshi de me laisser trouver un emploi plus convenable, mais il avait une entente avec mon père : il acceptait de m’héberger à condition que je suis les règlements de sa demeure… Et l’un des règlements étaient inévitablement de l’accompagner à son travail. Cela n’allait rien m’apprendre d’utile!
- Je m’occupe des graffitis à l’intérieur du bâtiment. Occupe-toi du mur principal. Et n’essai pas de te défiler sinon je mets fin à l’entente avec ton père.
- Humpf… Grommèle-je.
Tandis que M. Yoshi entra dans le bâtiment, je poussais un soupir de découragement et récupéra le seau rempli d’eau ainsi qu’un produit suffisamment fort pour faire partir les graffitis, mais l’odeur était très forte et je n’imaginais pas ce que ça pourrait faire à mes mains si je ne portais pas de gants. Pour éviter de travailler seule, je sortis Aurore de sa pokéball pour qu’elle me tienne compagnie. Celle-ci était curieuse de me voir nettoyer des murs, elle me tournait autour et fixait d’un bon œil mon travail et lorsqu’elle voyait encore des traces, elle me faisait signe. Ce n’était peut-être pas une bonne idée finalement, car elle agissait comme un petit boss avec moi, mais je l’adorais quand même : comment détester une petite chose comme Bombydou.
(c) TakeItEzy