âge 18 ans
née le 25/06
sexe Masculin
origine Mauville à Johto
groupe Nova
métier Étudient en Médecine Pokémon
Yuri Katsuki de Yuri on Ice.
Écouteurs dans les oreilles, veste à capuche sur le dos et baskets aux pieds, Virgil a tout de l’adolescent moyen. Son air décontracté et son regard lointain quand il se promène en rue, n’arrange en rien cet image qu’on peut avoir de lui. Cependant, il ne faut pas se fier à cet apparence débonnaire car sous celle-ci se cache un étudient déterminé à atteindre ses objectifs. Quand il vous parle de ses projets, vous pouvez voir une lueur briller au fond de ses yeux marrons. Dans ces moments-là, il a également tendance à jouer avec une de ses mèches noires qui sont d’habitude plaqué en arrière.
Virgil mesure environ un mètre septante-cinq, n’a pas une grande carrure et ne pèse pas plus de 65 kilos mais pourtant il arrive toujours à s’imposer quand il le veut. Ce n’est pas qu’il devient agressif ou quoi que ce soit d’autre mais plutôt ce qu’il dégage. Sa manière de se tenir, de parler ou même un petit je ne sais quoi qui fait qu’on l’écoute quand il parle. Cependant, il n’aime pas trop se faire remarquer et ne s’imposera pas plus que nécessaire. De ce fait, il sait écouter attentivement les gens, prendre en compte leurs remarques et appliquer les conseils s’il le faut.
Si Virgil peut se montrer déterminé, l’extrême est également possible. Une fois dans un projet, il ne s’arrêtera pas avant de l’avoir terminé et il peut se montrer très têtu. De plus, il est très souvent tête en l’air et s’il n’avait pas la tête accrochée à ses épaules, il l’oublierait.
surnom Maternel ou Mat
espèce Natu
sexe Femelle
nature Douce
talent Matinale
Maternel est, comme son nom l’indique, très maternel et ce pas seulement envers des bébés Pokémons mais avec tout le monde. Et surtout avec Virgil. Elle veut le surprotéger, parfois même plus que sa propre mère. Tout aussi douce que gentille, Mat voudra toujours aider ses amis et ceux qui en ont besoin même si le jeune dresseur n’est pas toujours d’accord. Cependant, la petite Natu n’est pas parfaite, et comme tout un chacun, elle a des défauts. Un en particulier. C’est sa gourmandise. Elle aime manger et parfois plus que nécessaire juste parce qu’elle aime ça.
Natu, regarde !
Je pointais du doigt, à travers le hublot de l’avion, la ville de Nemerya qui apparaissait sous les nuages. Mon Pokémon semblait tout aussi excité que moi en voyant la capitale de Lumiris grandir sous nos yeux ébahis. Après plusieurs heures de vol depuis Johto, nous allions enfin arriver à destination. Maternel sauta alors sur la tablette dépliée face à moi et me fixa avec son grand regard noir.
Je n’oublie pas, j’appelle maman dès que je descends de l’avion puis je me rends au laboratoire du professeur Baobab, déclarai-je sur un ton exaspéré.
Bien entendu, il nous fallut encore près d’une demi-heure avant d’arriver à l’aéroport et d’atterrir. Dès que j’eus mis le pied au sol, je me dirigeai vers le hall principal du bâtiment et y trouvai aisément un vidéophone pour contacter ma famille. Comme je m’y attendais ce fut ma maman qui décrocha et me harcela de question sur mon voyage. Elle me demanda également de l’appeler régulièrement et me passa le bonjour de mon père qui était au travail. Ainsi, une dizaine de minutes plus je quittais l’aéroport accompagné de Mat sur mon épaule droite et mon sac à dos. Prochaine destination : le laboratoire de Baobab !
Nemerya, capital de Lumiris. La ville était magnifique avec ses hauts gratte-ciels et ses bâtiments modernes. En tout cas, ils l’étaient plus que ceux de Mauville et sa vieille Tour Chétiflor. Dans un premier temps, je flânai au hasard dans les rue de la cité et je résistai tant bien que mal à toutes les tentations que je croisai : stands de glace, pâtisseries et autres sucreries. Ce n’est qu’au moment où mon estomac me cria qu’il avait faim que je craquai pour une immense barbe à papa que je partageai avec ma Natu. Quand nous eûmes fini de manger, je me rendis compte de quelque chose : nous étions perdus. Je ne savais pas du tout où nous étions et encore moins où était le laboratoire du professeur. Ma première réaction fut alors de chercher un plan ou quoi que ce soit d’autre qui me permettrait de retrouver mon chemin par moi-même. Sans aide extérieur. Cependant, je n’eus pas fait vingt mètres que Mat sauta devant et piailla à tout va.
Tu as raison, je vais demander à quelqu’un mon chemin plutôt que de tourner en rond, admis-je en baissant la tête pour fixer le Pokémon droit dans les yeux.
Contente, la Natu retourna se percher sur mon épaules d’un seul bond. Je me mis ensuite à la recherche de quelqu’un qui pourrait m’indiquer le chemin pour le laboratoire de Baobab. Heureusement, ce dernier était assez connu en ville et je trouvai rapidement quelqu’un pour m’aider. Finalement, je ne me trouvais qu’à quelques rues de ma destination et en pressant un peu le pas, j’y fus en un rien de temps. J’arrivai enfin devant l’entrée du laboratoire. Celui-ci était tout aussi moderne que le reste de la ville et quand je m’en approchai, deux portes coulissantes s’ouvrirent devant moi. Derechef, je me dirigeai vers la réception où une jeune femme pianotait à tout allure sur un ordinateur afin de lui demander si je pouvais rencontrer le professeur. Elle n’eut pas le temps de me montrer la direction que le principal concerné sortit de l’ascenseur :
Où est le jeune Virgil ? Ah te voilà mon garçon, ajouta-t-il en se dirigeant vers moi. Suis-moi, j’ai quelque chose pour toi…
Sans un mot de plus, nous montâmes tous les deux dans l’ascenseur et alors que nous montions, une vue magnifique s’offrit à moi. L’élévateur était entièrement vitré, ainsi je pus voir entièrement la ville bien plus facilement que depuis le hublot de l’avion. Une fois dans son bureau, Baobab prit place dans un grand fauteuil en cuir et me proposa de m’installer face à lui avant de me proposer à boire. Il nous versa alors à chacun un grand verre de jus de baie que je n’avais jamais goûté. Ce fut lui qui brisa le silence :
Avant d’aller plus loin, j’aimerais te poser une ou deux questions. Enfin si tu es d’accord ?
Bien sûr allez-y.
Très bien… En premier lieu, j’aimerais te demander comment tu as rencontré Maternel ? C’est bien comme ça qu’elle s’appelle ?
C’est bien ça et je l’ai rencontrée il y a une dizaine d’année, dis-je d’un ton hésitant. Comme vous devez le savoir, je viens de Mauville. En bordure de la ville il y a tout un tas d’ancienne ruine où j’aimais bien jouer avec mes amis. Puis un jour, nous avons voulu faire la course pour rentrer. Alors que nous courrions à travers les restes de ce qui devait être une maison, je trébuchai et bien entendu aucun de mes amis ne le remarqua. Je me mis alors à pleurer, peut-être pour attirer l’attention mais je n’en suis plus sûr. En tout cas, cela marcha car quelques minutes plus tard une petite Natu apparu derrière moi et m’approcha. Elle voulait me réconforter, comme une mère le faire à son enfant. C’est donc ensemble que nous rentrâmes à la maison, je ne vous dis pas la tête de mes parents quand ils ont vu Maternel mais depuis ce moment-là, on ne se quitte plus.
Intéressant, me dit-il l’air pensif, ah oui, voilà ma deuxième question. Je l’avais presqu’oubliée avec ton récit. J’aurais bien voulu savoir pourquoi tu veux parcourir Lumiris ?
En fait, c’est très simple. Si je veux parcourir le monde Pokémon, c’est pour apprendre à mieux connaître et comprendre ceux-ci afin de mieux les aider et les soigner. Et pour ça il n’y a rien de mieux que d’aller sur le terrain et d’entrainer soi-même des Pokémons. Un de mes plus grand rêve est de devenir médecin Pokémon. Et si j’ai choisi Lumiris, c’est à cause de sa géographie et de ses habitats très différents les uns des autres. Ainsi, je pourrai observer un maximum de Pokémons. Et puis j’ai des amis qui parcours aussi la région, peut-être que je les croiserai…
Très bien, j’ai tout ce qu’il me faut. Plus qu’une dernière petite question… Est-ce que tu aimes le thé ? Parce que j’en ai de l’excellent qui sera bientôt prêt.
Ainsi, nous bûmes du thé pendant que nous discutions un peu et qu’il me remettait quelques objets qui pourraient m’être utiles pendant mon voyage, comme un Pokédex et une carte de la région. Il me conseilla aussi de dormir en ville et de partir le lendemain aux aurores, ce que je comptais faire. Mais une chose était sûr, je me réjouissais de partir.
surnom Otonros
âge 19 ans
Comment as-tu découvert le forum ? Un peu par hasard x)
Ton pokémon préféré ? Il y en a plein xD mais j'aime bien Héricendre
Un dernier mot ? Cacahuète ! Et je suppose que ça se voit mais j'ai un petit problème de codage (tout est décalé...)