Louis De La Vergne
Feat Byakuya Togami de DanganrompaDescription de votre personnage
Me décrire... Fort bien. Je suis un homme, un jeune adulte, un individu de sexe masculin dans la vingtaine, de taille moyenne, de poids moyen faible. Les cheveux châtain clair, les yeux bruns, la moyenne quoi. Je viens de la haute de Kalos, parti de chez moi avec mon argent de poche seulement, c'est a dire de quoi vivre plusieurs années nourri logé blanchi dans un bon hôtel de Voltapolis. La moyenne quoi. Du coup, les vêtements suivent : rien d’exubérant ou de trop voyant, seulement des vêtements standards, mais d’excellente qualité. Chemises blanches, vestes, et pantalons noirs forment l’essentiel de ma garde robe, mais je garde aussi quelques tenues plus décontractées, pour les occasions les plus... Décontractées. Ma vue n'est pas la meilleure, aussi porté-je des lunettes, qui ne quittent JAMAIS mon nez en public, lubie qui peut paraître étrange.
Parlons donc de mon caractère : Élevé assez strictement mais dans des établissements d'enseignement publiques de Kalos, j'assume assez peu ma condition de "gosse de riche" devant les gens de mon âge. D'où mon obsession à rester "dans la moyenne". Pourtant, devant une personne qui m'irrite, je résiste rarement à la tentation de l'écraser de tout le poids de mon capital, décision que je regrette souvent après coup. Je déteste en effet assister à de tels comportements de la part de tiers. En règle générale, je reste donc discret sur mes l'état de mes comptes en banque, aussi bien avec les inconnus qu'avec mes amis, chose dont je manque encore un peu -beaucoup- à Lumiris.
Je vais même assez peu vers les gens, de peur qu'ils découvrent mon terrible secret et des conséquences qui s'en suivraient, comme au collège -brrrrhh-.
Pourtant, j'ai des qualités, je crois : dues à mon éducation d'abord, la fortune de ma famille s'étant basée sur les combats de pokemons illégaux -dans des caves- en premier lieu il y a plusieurs décennies, puis sur le développement d'une célèbre enseigne de fournitures pour éleveurs et dresseurs de pokemons -Hello Kicklee, pour ne pas la citer, je suis assez pointu dans le domaine du combat et des stratégies à employer pour gagner à coup sûr. Tout le monde aime les combats pokemons, hein ?
Cela dit, je suis presque aussi irritable que mon pokemon, Rochécorne. Sauf que mes coups de boule ne détruisent rien d'autre que mon front.
Une fois, j'ai lâchement abandonné mon Parecool récemment acquis à une jeune fille qui passait par là, avec un air revêche. Inintéressant d'un point du vue stratégique, et trop tire au flanc pour mon caractère entêté. Un choix que tout le monde aurait fait, non...?
histoire
"Pourquoi suis-je parti de Kalos ?" me demanderez vous. Question à laquelle je répond le plus souvent par "PARDON ? J'AI PAS ENTENDU !" ... La vérité, c'est que je suis parti sans véritable idée en tête, la vie monotone de riche héritier que je menais me lassant juste un peu plus qu'elle m'attirait. C'est en effet extrêmement facile de te dire que tu peux se reposer sur ses lauriers, que nos ancêtres ont déjà mérité à ta place la position que tu occupes. Ça l'est un peu moins quand tout tes prédécesseurs sont des dresseurs émérites, et toi un gamin sans expérience. On me l'a assez rappelé dans les différentes classes que j'ai traversé : Comment assumer pleinement mon héritage, si je ne m'en montre pas digne ? Mon unique objectif est donc de progresser en tant que dresseur, de me faire un nom pour que mon identité soit enfin autre que "le rejeton du clan De La Vergne".
C'est ainsi que je suis parti de la demeure familiale, avec bien sur accord et bénédiction parentaux, mais interdiction de révéler mon identité. "Vous imaginez, le fils des De La Vergne en goguette, quelle indignité...", aurait-on entendu dans les dîners mondains de Kalos. J'ai emporté mon Rhinocorne, le seul pokemon m'appartenant en propre, et mes fonds personnels. Toutefois, ne vous inquiétez pas pour le reste du clan, ils semblent étouffer l'affaire avec ce qui ressemble à un certain sens de l'habitude... C'est à Lumiris que j'ai choisi de poser mes valises, une contrée encore vierges de noms écrasants tels que les célébrés Red et Blue de Kanto.
Ma carrière de drésseurs semble pourtant bien mal entamée, le seul pokemon que j'ai acquis depuis étant un Parecool dont je me suis bien vite séparé, pour les raisons que l'on sait...
Pokemon d'ailleurs gagné à une loterie de Kalos, et livré sur le bateau en route pour Lumiris. À la vue du pokemon obtenu, et de la nonchalance du service clientèle qui m'avait pourtant promis un Grenousse, je ne pu contenir ma rage et du offir un bien triste spectacle à la jeune femme qui hérita du pauvre pokemon :
"-Diantre, n'avez vous donc aucun sens du bon goût? Un parecool ? Pour moi ? Mais pour qui me prenez vous! Je suis Louis de La Vergne moi! J'ai un sens de l'esthétisme développé! Non seulement ce pokémon est laid, mais en plus, il est presqu'aussi fainéant que les prolétaires de l'usine de papa! Non, décidemment, je ne le garde pas."
Je fis un geste rageur du bras, et le Parecool qui s'y trouvait fit un malencontreux vol plané, jusqu'au pieds d'une étrange jeune fille...
"-Du coup, pendant que vous y êtes, envoyez la pokéball avec, ça m'arrange!"
Je me tournais vers elle, et lui fit mon plus joli sourire.
"-Quelle jolie veste, un peu clinquante à mon goût, mais je suis sûr que vous faites des jaloux dans la cour du collège... Tenez, occupez vous bien de ce pauvre pokemon si vous y tenez vraiment." Sur ce, je lui lançais la pokéball, qu'elle attrapa au vol.
Nous arrivâmes peu après à Lumiris, où je cherchais un hôtel où poser mes affaires avant de commencer mon exploration de la contrée, et peut être la conquête de mon nom en tant que dresseur.