Lowenn venait tout juste d'arriver dans la grande ville de Voltapolis, incertain de savoir ce qu'il y faisait a vrai dire tout avait été l'oeuvre du hasard, se ramassant du jour au lendemain dans cette ville c'étant laisser guider par la route il avais du prendre le mauvais embranchement et c'était retrouvé ici. Face à l'entrée de la ville il hésitait à entré celle-ci débordait de vie, mais pas comme le port-corail ce n'était pas aussi chaleureux on avais une impression d’électronique, comme si tout ce qui vivait dans cette ville était électronique, on avais presque l'impression d'être dans un film futuriste.
C'était incertain qu'il c'était mise en marche afin de l'explorer, il s'arrêta en premier dans le quartier des affaires, légèrement apeuré par tout ces gens qui couraient dans tout les sens on aurait dit qu'ils avaient tous la rage d'un colossinge, parlant du pokémon, Salem était sur ses épaules à regarder les gens et grinçait à chaque fois qu'ils rencontrait une personne qui le bousculait, menaçant à lui tout seul de décimer une bonne dizaines de personne. C'était une chance que Lowenn avait pris l'habitude de le retenir, leur entraînement avais renforcer leur liens, si bien qu'il obéissait à son dresseur sans rouspété bien qu'il conservais son habitude de bagarreur invétéré.
Une fois le quartier des affaires passé c'était au tour de la place marchande, cette fois-ci les deux êtres s'empiffrèrent sans même regarder derrière passant de buffet en buffet pendant toute la journée, finissant la journée avec la centrale électrique, malheureusement celle-ci était fermée pour la nuit c'était donc en soirée qu'ils se promenait dans la rue qui était beaucoup plus calme désormais. Ils continuaient donc à visité le coin, l'un était équipé de grosse lunettes roses en forme d'Otaquin sur le nez et l'autre, salem, avec sa casquette pikachu que tout les deux s'était offert ces objets dans la place marchande.
Un long moment passa et les deux êtres était perdu, ils décidèrent donc de s'adresser au premier venu, une femme blonde de dos, Lowenn s'approchait
Excuse moi, madame, tu pourrais m'indiquer la route pour l'hôtel le plus près ?
Après plusieurs journées à chasser le Professeur Baobab, je me retrouve enfin dans ma ville natale, Voltapolis. J'ai d'ailleurs entendu parler d'une tentative de la SYLPHE de rendre nos plans publics afin d'attirer certains dresseurs naïfs prêts à dépenser des sommes astronomiques pour des prototypes qui n'ont pas 100% de chances d'être opérationnels. Après tout, l'argent, plus on en a, moins on sait l'utiliser.
J'avais passé la matinée aux côtés de Lola Greber, une jeune dresseuse qui m'avait tenu compagnie pendant une longue partie du chemin. Je prenais d'ailleurs une minute pour réfléchir et me rendre compte qu'au final, toutes les personnes que j'avais eu l'occasion de rencontrer étaient très jeunes à Nemerya, ce qui me changeait de la population majoritaire de Voltapolis. Du moins... ce que je pensais. Plus je songeais, plus je me rendais compte que ma notoriété n'était que professionnelle, raison pour laquelle je n'avais l'occasion de parler qu'à des personnes plus ou aussi âgées que moi. Ainsi, je secouais la tête pour me rendre compte que j'étais enfin arrivé à destination, à quelques pas de la centrale électrique, capitale interne et principal lieu touristique de la Ville Électrique. Je la trouvais belle, de nuit, lorsque toutes ses lumières électroniques scintillaient. Cependant, mon onirisme éveillé fut interrompu par une... petite voix nasillarde qui venait de me prendre pour une femme ?!
"Madame ?" lui envoyai-je d'une voix volontairement plus grave que naturellement, tout en me retournant et en le fusillant du regard. Il s'agissait d'un blondinet dont les vêtements n'étaient qu'une insulte à la mode; des lunettes horribles et une casquette à vomir. Comment ose-t-il seulement s'adresser à moi, en plus, en me prenant pour une femme ?
"L'hôtel le plus près se situe à moins d'une rue d'ici. Si tu as besoin d'aide, ce serait avec grand plaisir que je t'y enverrai d'un coup de pied au cul." lui expulsai-je cette fois d'un ton agressif et sifflant, prêt à tenir parole, ignorant complètement l'espèce de boule de fourrure qui l'accompagnait.
Lowenn reculait d'un pas le regard apeuré, la femme c'était transformée en homme efféminé au long cheveux blond c'Était une drôle de rencontre dans la vie du jeune homme rare était ceux qui portait la tignasse au fesses. Le caractère salé de l'individu cependant laissait le garçon sur sa soif de gentillesse, certes il avait une erreur mais c'était pas la peine pour le menacer de le renvoyer a coup de pied dans les fesses .
Salem s'excitait sur les épaules du jeune homme, il voulais refaire le portrait de la dame a la mâchoire carrée. Lowenn le retint du mieux qu'il peut afin de ne pas perdre l'équilibre vers l'arrière. Rétorquant vexé.
Oh madame, y'avais pas à en faire tout un plat, c'pas de ma faute si la nature vous as pas gâté. Et avec cette pomme d'adam tu passe pour un travelo faut faire gaffe tu vas te faire insulter par des mecs.
Il souriait niait, c'était bien fait pour lui, ce genre de personne devait tenir à leur physique comme a la prunelle de leur yeux. S'il voulait être méchant c'était pas Lowenn qui fallait voir, ce gamin pouvait être chiant par moment, très chiant.
Il insistait. Il insistait, avec une forme d'entêtement qui me dérangeait vraiment; le pire dans tout ça étant qu'il le faisait exprès. Alors, je décidais de prendre une décision qui le remettrait à sa place. Je m'approchais lentement du jeune garçon, le dévisageant dans un premier temps avant de remonter mon regard jusqu'au colossinge qu'il porte sur ses épaules. Je n'avais fait qu'observer les deux antagonistes, mais cette étape semblait paraître une éternité. Alors, j'expirai un long soupir de lassitude.
Puis, j'offrais une claque sèche contre la joue du garçon, conservant mon mouvement de gifle après l'impact. Je pouvais observer le Colossinge devenir incontrôlable, avant de m'adresser directement à son Pokémon.
"Sache que ta boule de fourrure n'est qu'un Pokémon. La Centrale est barricadée de caméras de sécurité, si jamais ton camarade tente quoi que ce soit contre moi, je m'assurerai qu'il se fasse euthanasier comme un vulgaire chien enragé. Compris, gamin ?", envoyai-je avec un ton effroyablement froid. Alors, je perforais le regard du touriste de nouveau, quittant le Colossinge des yeux.
"Pour te rendre à l'hôtel le plus proche, il te faut emprunter la rue qui est derrière toi. Par la suite, seconde à droite. Ne te perd pas en route, je ne viendrai pas à ta rescousse si tu mets les mains sur un grillage électrique; Voltapolis en est rempli."
L'échange était court, froid mais intense; je savais que si je devais revoir ce gamin, ça se finirait bien plus mal que ce soir. J'espérais simplement n'avoir qu'à le considérer comme un touriste que je ne reverrai jamais. Sincèrement, je l'espérais.
La gifle ramenait le petit homme à ses esprits, réalisant qu'il venait peut-être de touché des cordes sensibles d'une personne au bon fond et qui n'aimais peut-être pas comment elle ressemblais et faisait du mieux qu'il pouvais pour changer. C'est les larmes au yeux, ému par la réaction contre tous de l'inconnu qu'il allais s'excuser avant de réaliser qu'il insultait littéralement Salem, le menaçant de se faire euthanasier s'il le frappait.
Ouais, non , c'était qu'un salaud de première finalement, comme on dit la première impression est toujours la bonne surtout dans ce genre de cas. Lowenn retenait le colossinge qui tentait de sauter sur l'individu, un peu plus et Lowenn le laissait faire mais l'idée de le voir mourir lui fit un frissons jusqu'au bas du dos. Il posait le pokémon au sol. Prenant une grande inspiration en n'écoutant pas vraiment ce que le mec disait, il se contentait de regarder Salem.
Tu sais, quand les pokémons ne peuvent pas prendre soin des humains, on les laisses faire. Et quand tu fais face à ce genre de personne qui n'hésite pas à être méchante avec toi pour un rien. Et bah, il faut prendre les grands moyen.
Et l'impact se fût, tel un gamin, le jeune homme s'élançait et venait asséné un coup de pied direct entre les deux jambes du travelo de Voltapolis.
Oh merde, c'est que t'as vraiment des couilles en fait.
Il mit la main devant sa bouche prenant un air faussement étonné avant de fuir avec Salem dans les dédales de la ville, le pokémon combat rigolant à pleine gorge, il n'espérait pas du tout recroiser cet homme dans les rues de la ville, car il était du genre effrayant et après ce qu'il venait de faire c'était certain qu'il voudrais sa peau.