Irène Heldgard
Feat EMILY KALDWIN de DISHONORED 2
26 Ans 12/12/1992 Sinnoh Féminin Co-directrice de "Le Distorsion" Nova
DéfautsFroideOutrecuidanteRevancharde
QualitésCurieuseObservatriceRéfléchie
DéfautsFroideOutrecuidanteRevancharde
Description
Irène est une femme venant de ce que l’on nomme « la haute société ». Et cela se voit généralement rapidement. Dans sa façon de se tenir, de vous regarder, de parler… Elle possède un visage anguleux, accentué par une peau assez pâle, qu’elle ne présente que rarement au soleil, ainsi que par une chevelure courte, d’une couleur proche de l’ébène. Mais si la jeune femme ne présente aucune cicatrice, et qu’elle prend le temps de cacher l’imperfection de sa peau sous un fond de teint qui accentue parfois la blancheur de sa peau, son regard ce veut étrange et sombre. Ses iris sont d’ailleurs coloré d’un brun proche du noir, qui s’illumine d’or lorsque la lumière s’y plonge.
Irène est une femme de taille moyenne, avoisinant les 1m63, pour un poids plus que convenable. Son corps ne montre d’ailleurs pas de trace de graisse -ni de cicatrice ou autre marque quelconque- et ce montre plutôt agile et rapide. Elle n’est cependant pas taillé pour la force pure, ou même pour les exercice les plus intenses.
Côté vestimentaire, Irène préfère rester dans les tons sombres, comme le bleu marine, le noir… Elle apprécie aussi le violet royal, qu’elle n’hésite pas à porter, ainsi que l’or qui décore la plupart de ses vêtements. Elle garde toujours sur elle, un foulard bleu et or, qu’elle ramène souvent sur son visage, pour venir cacher le bas de celui-ci… Irène porte aussi, à son auriculaire droit, une chevalière en or, arborant les armoiries de sa famille -représentant un Giratina- ainsi qu'un Altaria, pokemon la représentant.
Irène n’est pas quelqu’un que l’on apprécie. A dire vrai, cela l’arrange, puisqu’elle n’aime pas le reste du monde, considérant tout ces humains comme des parasites bon à détruire tout ce qu’ils touchent, tout ce qui se trouvent à leur porté. Cette façon de voir les choses, font qu’elle à tendance à vous regarder de haut, et à se penser bien supérieur à quiconque… Mais aussi à ne ressentir aucune empathie pour l’être humain. Du moins, pour l’instant. C’est aussi une personne froide, réfléchie, qui préfère observer la scène, et ses possibilités avant de se lancer. Cependant, elle n’a encore jamais vraiment eut à affronter une situation d’urgence, mais pense pouvoir gérer ça avec facilité, puisqu’on dit souvent d’elle, qu’elle possède un calme légendaire. Cependant, n’ayant que peu quitté sa zone de confort, elle n’a aucune expérience à ce niveau…
Irène ne supporte pas cette obscurité qui fait partie de la vie. Ou plutôt, toute ces choses qui peuvent se passer dans le monde, répandant malheur et destruction, et venant de la main de cette espèce qu’elle déteste tant. Elle ne sait pas pardonner, et a tendance à se souvenir de toute les mauvais choses qu’on a put lui faire. D’ailleurs, n’imaginez pas qu’elle vous laissera en paix si vous venez la piquer. Irène est revancharde, et apprécie l’adage « La vengeance est un plat que se mange froid ».
Introvertie, elle préfère rester dans son monde, dans son univers. Dans sa tête. Elle réfléchie parfois à voix haute d’ailleurs, et il n’est pas rare de l’entendre discuter toute seule. Même si à ces yeux, ce n’est pas le cas. Irène possède un ami imaginaire, qui a grandit avec elle, et qui lui sert beaucoup à réfléchir vis-à-vis de divers situation. Mais n’imaginez pas qu’il est impossible de discuter avec elle, bien au contraire. Généralement elle apprécie la discussion. Cela lui permet de se faire une idée sur la personne face à elle, mais aussi de mieux comprendre ce monde si sombre dans lequel elle vit. Elle ne déteste pas non plus tout le monde. Sa famille ayant une place particulièrement importante à ses yeux. Elle n’hésiterait d’ailleurs pas à se battre, si ça lui permettrait de les protéger. De ce fait, elle prend très a cœur son rôle d’héritière, de la famille Heldgard.
Irène peut néanmoins se montrer particulièrement douce. Et cela se voit lorsqu’elle est en présence de pokemon. Il s’agit là des seuls êtres -en dehors de sa propre famille- qu’elle considère réellement. D’ailleurs, elle compte bien se façonner une équipe digne d’une Heldgard, afin d’avoir ses propres armes et protections. Elle les trouve bien plus efficace qu’une lame, ou une arme à feu, d’ailleurs…
Galileo
TyltonMâleGalileo est un cadeau d'anniversaire, qu'Irène reçue bien jeune. Il fut rapidement son meilleur ami, et à la manière d'un doudou, elle l'emmenait absolument partout où elle allait. Le duo à donc finit par se faire un lien particulièrement puissant. Galileo est un pokemon calme de ce fait, observateur aussi. Il se montre un peu narcissique parfois, et n'apprécie pas vraiment de se mêler aux autres, les considérant souvent comme des êtres inférieurs. Néanmoins, le pokemon ce montre bien plus tolérant envers les pokemons, qu'envers les humains, autres que sa propre dresseuse.
Histoire
Mon nom est Irène Heldgard. Je suis l’ainée d’une famille noble, installé sur Sinnoh. Une famille ancienne d’ailleurs, qui a toujours sut tirer son épingle du jeu, que ce soit à la lumière des projecteurs, que dans l’ombre du monde. Ma famille proche est composé de trois personnes. Mon père Oswald, ma mère Constance, ainsi que ma petite sœur, Louison. Nous sommes les derniers membres de cette dynastie d’ailleurs. En tant qu’ainée, mon rôle est de prendre le flambeau de mon père, lorsqu‘il sera trop vieux pour le faire, ou après sa mort. Mon rôle sera de préserver l’héritage des Heldgard, prendre les décisions pour le bien de tous, et protéger leur membre. Mais aussi de prendre la tête de ce journal, le Distorsion, qui permet de remplir les caisses de la famille, tout en « ouvrant » les yeux du « bas peuple », pour reprendre les mots de mon père.
J’ai vue le jour à la fin de l’année 1992, un peu avant Noël, et 9 mois après le mariage de mes parents. Une naissance de bonne augure aux yeux de ma famille, même si mon père n’avait pas était enthousiasmé, en apprenant que son héritier, était en réalité une fille. De ce sexe dit faible, dans la majorité des familles de cette caste. Il me semble d’ailleurs avoir entendu dire qu’il avait bien failli rompre le contrat -mes parents ne s’étant pas marié par amour, mais plutôt par intérêt- avant que ma mère ne finisse par trouver les bons mots pour l’apaiser.
Par la suite, mon enfance fut.. Particulière. Non pas qu’elle fut horrible, mais ce ne fut pas une période noyé dans le bonheur. J’étais en tout cas, une enfant innocente, souriante et naïve. Je riais et pleurais comme bon nombre d’entre nous. Néanmoins je souffrais de solitude. Mes parents étaient bien peu présent, chacun occupé dans leur tâche professionnel. Mon père en tant que directeur d’un journal -comme je le disais plus haut- et ma mère, en tant que secrétaire, de la même entreprise. Ma vie était donc rythmé avec les serviteurs de ma famille, mais aussi avec les Précepteurs, qui venaient au manoir pour mon apprentissage. Alors pour briser l’ennuie, je m’étais inventé un ami. Un enfant de mon âge, prénommé Artus.
Ce fut à l’âge de six ans, que mon père m’offrit mon premier pokemon, espérant surement faire disparaitre Artus. Un Tylton. Une créature duveteuse et fragile, mais qui, avec de l’entrainement et du temps, pouvait devenir un puissant allié. Outre le fait que d’obtenir un pokemon, je me souviendrais toujours de ce jour. Pour la simple raison que la petite créature était accompagné d’une carte -Une carte qui ne me quitte d‘ailleurs jamais- où furent marqué ces premiers vrais mots d‘encouragement à mon égard … « Les personnes gracieuse, à l’apparence fragile, peuvent devenir de redoutable adversaire. Tu seras à l’image de ce Tylton, ma fille. Lorsque tu seras grande, tu seras aussi belle que redoutable. »
A l’époque, je n’avais pas vraiment comprit l’importance de tout ça. Pourtant, j’avais pris grand soin de ranger cette carte, pour ne jamais l’oublier. Quand au Tylton, il fut nommé Galileo, et devint rapidement mon meilleur ami. Mon père avait ainsi gagné une bataille contre Artus. Mais c’était partie remise. Et quatre ans plus tard, ma petite sœur vit à son tour le jour. Louison était un véritable cadeau de la vie pour moi. Une futur camarade de jeux -même si je n’avais pas pris en compte cette différence d’âge qui nous séparait, a l‘époque. Néanmoins, je me souviens de la déception de mon paternel. Une deuxième fille ? Lui qui avait toujours espéré avoir un garçon ? Peut-être avait-il songé à en faire son véritable héritier, si elle n’avait pas eut les attribue féminin.
Au final, toute cette partie de ma vie ne fut pas des plus extraordinaire. Je grandit dans cet univers, jusqu’à l’âge où l’on commence à se faire ses propres opinions. C’est à mes 16 ans, que mon père décida de commencer à m’enseigner la façon de gérer la maison. Ou plutôt, la famille. C’est cette année là, qu’il m’a apprit ce qui m’attendait plus tard. Le Distorsion m’appartiendrait. Ce journal ferait parti de moi, comme il a toujours fait parti de l’âme de mes ancêtres. C’est aussi à cet époque que je commença a avoir un pied sur l’extérieur. Et quel monde !… Si j’était enthousiasmée à l’idée de découvrir toute ses choses, mon optimisme fut rapidement balayé, à grand coup de une divers et varié, comptant les méfaits de personne sans fois ni lois. Alors plus ces unes lugubres et alarmante passaient, plus je me disais que finalement, mon cocon était bien mieux, que ce monde était bien infâme. Ce fut d’ailleurs à cet époque, qu’Artus pointa de nouveau le bout du nez. Cet ami imaginaire, avec qui je pouvais parler.
Mon père m’offrit ma chevalière, aux armoiries de la famille, le jour de mes 18 ans. Et ce fut à la fin de mes études, qu’il m’ouvrit réellement les portes du Distorsion, ainsi que de ces réelles activités. J’appris ainsi qu’il faisait partie d’un groupe qui se répandait à Sinnoh. Ce groupe qui se faisait appeler « team Galaxie ». Rapidement donc, je me suis retrouvé à faire les liaisons entre le groupuscule et mon père. Pour quelle raison ? Et bien tout simplement parce que leur but premier était de « purifier » le monde. C’était en tout cas, ainsi que l’on m’avait présenté les choses. Et… Baigné d’actualité toutes plus sombres et immorale, je m’étais rapidement laissé charmé.
Les Heldgard n’étaient pas spécialement actif, au premier sens du terme, chez les galaxies. A dire vrai, nous nous contentions de leur fournir un soutient financier lorsqu’ils en avaient besoin, mais jamais plus. Ainsi, je m’étais contenté d’observer tout cela, du haut de mon piédestal, allant les voir pour donner notre accord sur divers projets -et ainsi débloquer les fonds-, tout en surveillant à côté, que le journal ne trahisse jamais notre affiliation. Et ce, jusqu’au jour ou le groupuscule fut ébranlé par l’intervention d’un gamin. Comment pouvait-on s’assurer qu’ils soient efficace, si un enfant, pouvait les mettre à mal ? J’appris aussi les véritables intentions de leur chef, ce qui en soit, finit par couper court à l’alliance qu’il y avait. Mon père fut réticent au départ, avant de finir par me donner raison. Était-il ravie ? Ou simplement déçu ? Je ne pu jamais le dire…
Quoi qu’il en soit, je reçu quelques temps plus tard, ma première mission en solitaire. Pour le journal soit disant, pour couvrir plus de terrain. Pour que j’apprenne à agir seul, à faire mes propres choix, à prendre mes propres décisions. Etrangement, il y avait comme un arrière gout de déception. Une chose étrange qui me donnait l’impression d’avoir été éloignée des affaires.
C’est donc ainsi que je me suis retrouvé en Lumiris. Dans cette région mystérieuse, et jeune, où se jouait une bataille violente et sans merci entre protecteur de la région, et une team aux dessins qui m’étaient encore inconnu.
Mais cela m’importe que peu. A présent, je peux profiter de la particularité de la région, pour m’entourer au mieux. Ainsi que pour me renforcer. Il était temps à présent. Temps que le dragon atteigne sa forme finale, Afin qu’il puisse purifier ce monde comme il se doit.
J’ai vue le jour à la fin de l’année 1992, un peu avant Noël, et 9 mois après le mariage de mes parents. Une naissance de bonne augure aux yeux de ma famille, même si mon père n’avait pas était enthousiasmé, en apprenant que son héritier, était en réalité une fille. De ce sexe dit faible, dans la majorité des familles de cette caste. Il me semble d’ailleurs avoir entendu dire qu’il avait bien failli rompre le contrat -mes parents ne s’étant pas marié par amour, mais plutôt par intérêt- avant que ma mère ne finisse par trouver les bons mots pour l’apaiser.
Par la suite, mon enfance fut.. Particulière. Non pas qu’elle fut horrible, mais ce ne fut pas une période noyé dans le bonheur. J’étais en tout cas, une enfant innocente, souriante et naïve. Je riais et pleurais comme bon nombre d’entre nous. Néanmoins je souffrais de solitude. Mes parents étaient bien peu présent, chacun occupé dans leur tâche professionnel. Mon père en tant que directeur d’un journal -comme je le disais plus haut- et ma mère, en tant que secrétaire, de la même entreprise. Ma vie était donc rythmé avec les serviteurs de ma famille, mais aussi avec les Précepteurs, qui venaient au manoir pour mon apprentissage. Alors pour briser l’ennuie, je m’étais inventé un ami. Un enfant de mon âge, prénommé Artus.
Ce fut à l’âge de six ans, que mon père m’offrit mon premier pokemon, espérant surement faire disparaitre Artus. Un Tylton. Une créature duveteuse et fragile, mais qui, avec de l’entrainement et du temps, pouvait devenir un puissant allié. Outre le fait que d’obtenir un pokemon, je me souviendrais toujours de ce jour. Pour la simple raison que la petite créature était accompagné d’une carte -Une carte qui ne me quitte d‘ailleurs jamais- où furent marqué ces premiers vrais mots d‘encouragement à mon égard … « Les personnes gracieuse, à l’apparence fragile, peuvent devenir de redoutable adversaire. Tu seras à l’image de ce Tylton, ma fille. Lorsque tu seras grande, tu seras aussi belle que redoutable. »
A l’époque, je n’avais pas vraiment comprit l’importance de tout ça. Pourtant, j’avais pris grand soin de ranger cette carte, pour ne jamais l’oublier. Quand au Tylton, il fut nommé Galileo, et devint rapidement mon meilleur ami. Mon père avait ainsi gagné une bataille contre Artus. Mais c’était partie remise. Et quatre ans plus tard, ma petite sœur vit à son tour le jour. Louison était un véritable cadeau de la vie pour moi. Une futur camarade de jeux -même si je n’avais pas pris en compte cette différence d’âge qui nous séparait, a l‘époque. Néanmoins, je me souviens de la déception de mon paternel. Une deuxième fille ? Lui qui avait toujours espéré avoir un garçon ? Peut-être avait-il songé à en faire son véritable héritier, si elle n’avait pas eut les attribue féminin.
Au final, toute cette partie de ma vie ne fut pas des plus extraordinaire. Je grandit dans cet univers, jusqu’à l’âge où l’on commence à se faire ses propres opinions. C’est à mes 16 ans, que mon père décida de commencer à m’enseigner la façon de gérer la maison. Ou plutôt, la famille. C’est cette année là, qu’il m’a apprit ce qui m’attendait plus tard. Le Distorsion m’appartiendrait. Ce journal ferait parti de moi, comme il a toujours fait parti de l’âme de mes ancêtres. C’est aussi à cet époque que je commença a avoir un pied sur l’extérieur. Et quel monde !… Si j’était enthousiasmée à l’idée de découvrir toute ses choses, mon optimisme fut rapidement balayé, à grand coup de une divers et varié, comptant les méfaits de personne sans fois ni lois. Alors plus ces unes lugubres et alarmante passaient, plus je me disais que finalement, mon cocon était bien mieux, que ce monde était bien infâme. Ce fut d’ailleurs à cet époque, qu’Artus pointa de nouveau le bout du nez. Cet ami imaginaire, avec qui je pouvais parler.
Mon père m’offrit ma chevalière, aux armoiries de la famille, le jour de mes 18 ans. Et ce fut à la fin de mes études, qu’il m’ouvrit réellement les portes du Distorsion, ainsi que de ces réelles activités. J’appris ainsi qu’il faisait partie d’un groupe qui se répandait à Sinnoh. Ce groupe qui se faisait appeler « team Galaxie ». Rapidement donc, je me suis retrouvé à faire les liaisons entre le groupuscule et mon père. Pour quelle raison ? Et bien tout simplement parce que leur but premier était de « purifier » le monde. C’était en tout cas, ainsi que l’on m’avait présenté les choses. Et… Baigné d’actualité toutes plus sombres et immorale, je m’étais rapidement laissé charmé.
Les Heldgard n’étaient pas spécialement actif, au premier sens du terme, chez les galaxies. A dire vrai, nous nous contentions de leur fournir un soutient financier lorsqu’ils en avaient besoin, mais jamais plus. Ainsi, je m’étais contenté d’observer tout cela, du haut de mon piédestal, allant les voir pour donner notre accord sur divers projets -et ainsi débloquer les fonds-, tout en surveillant à côté, que le journal ne trahisse jamais notre affiliation. Et ce, jusqu’au jour ou le groupuscule fut ébranlé par l’intervention d’un gamin. Comment pouvait-on s’assurer qu’ils soient efficace, si un enfant, pouvait les mettre à mal ? J’appris aussi les véritables intentions de leur chef, ce qui en soit, finit par couper court à l’alliance qu’il y avait. Mon père fut réticent au départ, avant de finir par me donner raison. Était-il ravie ? Ou simplement déçu ? Je ne pu jamais le dire…
Quoi qu’il en soit, je reçu quelques temps plus tard, ma première mission en solitaire. Pour le journal soit disant, pour couvrir plus de terrain. Pour que j’apprenne à agir seul, à faire mes propres choix, à prendre mes propres décisions. Etrangement, il y avait comme un arrière gout de déception. Une chose étrange qui me donnait l’impression d’avoir été éloignée des affaires.
C’est donc ainsi que je me suis retrouvé en Lumiris. Dans cette région mystérieuse, et jeune, où se jouait une bataille violente et sans merci entre protecteur de la région, et une team aux dessins qui m’étaient encore inconnu.
Mais cela m’importe que peu. A présent, je peux profiter de la particularité de la région, pour m’entourer au mieux. Ainsi que pour me renforcer. Il était temps à présent. Temps que le dragon atteigne sa forme finale, Afin qu’il puisse purifier ce monde comme il se doit.
Ocylan 31 ans Féminin (j'crois) Le NORD Maître du monde
Comment a-tu découvert le forum ? Via un interforum à l'époqueTon pokémon préféré : Toujours Dracaufeu c:<3As-tu un parrain ? : NopUn dernier mot ? Merci à Lauriane pour "Le Distorsion" c: (TC de Mikhail donc)