Kiana Ehu-Kai
Feat Seychelles de Hetalia
18 ans 14 mai Alola Femelle Etudiante Nova
DéfautsMaladroiteMalchanceuseNaïveButée
QualitésViveOptimisteSourianteAltruiste
DéfautsMaladroiteMalchanceuseNaïveButée
Description
Le sel dans les cheveux et des étoiles dans les yeux, des heures à vivre, un coeur à vif.
Pour Kiana la vie c’est un battement rapide, son corps en action et son esprit papillonnant (vive enfant que rien n’arrêtait). C’est courir escalader un arbre, trouver un nid, redescendre la tête la première. Se faire mal mais rire.
Elle aime rire aux éclats, et tous les prétextes sont bons.
Aventurière, téméraire, elle n’a jamais été du genre peureuse. Ce serait même plutôt le contraire : Kiana adore le frisson. Comme elle adore les pokémons, le monde, tout ce qui est mignon, chanter, danser, respirer (tomber amoureuse de chaque instant).
Mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est l’océan. Son autre maison, sa seconde nature.
(Kiana était sans doute un poisson dans une vie antérieure)
S’il y a une chose qu’elle redoute, c’est le regard des autres. Kiana ne veut pas être jugée sur des critères purement matériels. Et elle en a marre, elle n’en peut plus d’avoir honte de tout jusqu’à sa famille ; c’est une culpabilité qui la ronge.
C’est pour ça qu’elle a essayé de devenir une autre. Mais si Kiana aime prendre soin d’elle et mettre de jolis accessoires, elle aime tout autant ruiner ses vêtements en savourant le présent. Et surtout elle n’est pas de ces filles qui minaudent devant les autres pour mieux leur cracher sur le dos, ce que font ses camarades de lycée.
Kiana est honnête envers les autres (si seulement elle pouvait l’être envers elle-même)
(se retrouver)
Au fond c’est encore une enfant, qui aurait préféré ne jamais savoir que le monde n’est pas tel qu’elle l’imagine.
☆
Physiquement, Kiana rentre dans la catégorie poids léger du haut de son mètre 59. Ses origines lui confèrent une peau mate, qu'elle a en plus gorgée de soleil durant des années en passant plus de temps à l'extérieur que chez elle. La jeune femme possède de longs cheveux bruns ondulés dont elle prend soin, ainsi que des yeux émeraude.
Ne vous fiez pas à son air menu, elle a toujours été très tonique et sportive. D'ailleurs quand elle ne fait pas attention, ses manières peuvent être un peu brusques.
Makana
HypotrempeMâleMakana c'est son petit cadeau à elle, son premier allié, son confident. Ils ont toujours été très proches et protecteurs l'un envers l'autre. L'hypotrempe a un caractère bien trempé mais sait se montrer patient (pas le choix quand on a Kiana comme dresseuse). Il est très amical envers les autres pokémon, sauf les braisillon (il a failli mourir à cause de l'un d'entre eux il y a des années de cela)(heureusement Kiana l'a sauvé).
Histoire
Il était une fois.
(Tous les contes de fée commencent par là, non ?)
Une jeune et jolie princesse (une enfant ô combien naïve) qui vivait dans un château rempli d'histoire avec sa grande famille (onze enfants dans une maisonnée de fortune, au toit usé par les regards désabusés, mais chaque trace sur le mur était prétexte à s'évader), au bord de la mer (vaste étendue qui l’a toujours attirée).
Et ils étaient heureux.
(bénis soient les simples d’esprit)
Elle était innocente, Kiana. Innocente, heureuse, naïve. Son rire léger comme l’air (malheureusement) et son regard pétillant (malicieusement) la rendaient ô combien lumineuse. Elle était comme un oisillon curieux de quitter son nid, un joli bouton de fleur.
Mais les oisillons les plus téméraires sont ceux qui se brisent les ailes ; et les plus jolies fleurs sont les premières que l’on cueille.
Kiana avait beaucoup d’amis, en primaire. Élèves comme professeurs l’appréciaient pour sa pureté et son énergie. Mais ils ne la connaissaient que dans les salles de classe, la cour de récré et la plage où ils allaient tous jouer après l’école (elle mettait des pâtées à la nage aux garçons de son âge).
C’est durant ses jeunes années qu’elle a rencontré Makana, son tout premier pokémon : le jeune hypotrempe était inconscient sur le sable, Kiana l’a sauvé.
Quand elle a démarré le collège (une école plus grande et plus éloignée), elle s’est aussi fait plein d’amis. Mais les enfants sont bêtes à cet âge-ci, méchants aussi.
Et Kiana était toujours aussi candide.
Un jour, elle a cru bon de ramener quelques camarades dans son château (sa maisonnée de fortune) pour leur montrer son incroyable (pitoyable) intérieur et sa vue imprenable.
Un jour, le sort s’est brisé.
(désenchantée)
Quand ses camarades ont commencé à se moquer d’elle à cause de sa pauvreté, Kiana n’a pas compris. Sa maison avait une longue histoire, sa famille était incroyable, elle vivait près de la plage, où était le mal ?
Le mal, il était dans le regard des autres. Dans la cruauté d’enfants qui la disaient répugnante. Ils se moquaient d’elle, la taquinaient, la bousculaient ; Kiana ne s’est pas laissée faire au début, mais plus ça allait, plus ils gagnaient.
Elle a fini par avoir honte. De son taudis, de sa famille, d’elle-même. Kiana ne voulait plus être la princesse de ce faux conte. Elle voulait pouvoir marcher la tête haute, sans craindre le regard des autres.
Arrivée au lycée, sa décision était prise. Elle s’est inscrite dans un établissement éloigné pour fuir ses anciens camarades (s’essayer à une autre vie). Fini les vêtements usés, les cheveux en bataille, les rires insouciants ; Kiana est devenue un exemple de jeune fille moderne qui prend soin d’elle, au rire mesuré (malheureusement).
Elle pensait que sa transformation avait payé, quand elle s’est faite de nouvelles amies (plus de toc que d’or). Mais un an et une infinité de gloussements plus tard, rien de tout cela n’était encore naturel (pas sans le murmure des vagues, les embruns sur sa peau, la joie de vivre).
Kiana ressentait de nouveau le besoin de fuir.
Alors quand elle a surpris sa mère en train de s’interroger sur le devenir de certains enfants, elle a sauté sur l’occasion.
“Si tu t’inquiètes pour eux, je peux aller voir comment ils vont !”
L’idée était folle, vraiment, mais Kiana a toujours su convaincre ses parents.
Et ainsi la voilà, sur un nouveau continent : Lumiris.
(Tous les contes de fée commencent par là, non ?)
Une jeune et jolie princesse (une enfant ô combien naïve) qui vivait dans un château rempli d'histoire avec sa grande famille (onze enfants dans une maisonnée de fortune, au toit usé par les regards désabusés, mais chaque trace sur le mur était prétexte à s'évader), au bord de la mer (vaste étendue qui l’a toujours attirée).
Et ils étaient heureux.
(bénis soient les simples d’esprit)
Elle était innocente, Kiana. Innocente, heureuse, naïve. Son rire léger comme l’air (malheureusement) et son regard pétillant (malicieusement) la rendaient ô combien lumineuse. Elle était comme un oisillon curieux de quitter son nid, un joli bouton de fleur.
Mais les oisillons les plus téméraires sont ceux qui se brisent les ailes ; et les plus jolies fleurs sont les premières que l’on cueille.
Kiana avait beaucoup d’amis, en primaire. Élèves comme professeurs l’appréciaient pour sa pureté et son énergie. Mais ils ne la connaissaient que dans les salles de classe, la cour de récré et la plage où ils allaient tous jouer après l’école (elle mettait des pâtées à la nage aux garçons de son âge).
C’est durant ses jeunes années qu’elle a rencontré Makana, son tout premier pokémon : le jeune hypotrempe était inconscient sur le sable, Kiana l’a sauvé.
Quand elle a démarré le collège (une école plus grande et plus éloignée), elle s’est aussi fait plein d’amis. Mais les enfants sont bêtes à cet âge-ci, méchants aussi.
Et Kiana était toujours aussi candide.
Un jour, elle a cru bon de ramener quelques camarades dans son château (sa maisonnée de fortune) pour leur montrer son incroyable (pitoyable) intérieur et sa vue imprenable.
Un jour, le sort s’est brisé.
(désenchantée)
Quand ses camarades ont commencé à se moquer d’elle à cause de sa pauvreté, Kiana n’a pas compris. Sa maison avait une longue histoire, sa famille était incroyable, elle vivait près de la plage, où était le mal ?
Le mal, il était dans le regard des autres. Dans la cruauté d’enfants qui la disaient répugnante. Ils se moquaient d’elle, la taquinaient, la bousculaient ; Kiana ne s’est pas laissée faire au début, mais plus ça allait, plus ils gagnaient.
Elle a fini par avoir honte. De son taudis, de sa famille, d’elle-même. Kiana ne voulait plus être la princesse de ce faux conte. Elle voulait pouvoir marcher la tête haute, sans craindre le regard des autres.
Arrivée au lycée, sa décision était prise. Elle s’est inscrite dans un établissement éloigné pour fuir ses anciens camarades (s’essayer à une autre vie). Fini les vêtements usés, les cheveux en bataille, les rires insouciants ; Kiana est devenue un exemple de jeune fille moderne qui prend soin d’elle, au rire mesuré (malheureusement).
Elle pensait que sa transformation avait payé, quand elle s’est faite de nouvelles amies (plus de toc que d’or). Mais un an et une infinité de gloussements plus tard, rien de tout cela n’était encore naturel (pas sans le murmure des vagues, les embruns sur sa peau, la joie de vivre).
Kiana ressentait de nouveau le besoin de fuir.
Alors quand elle a surpris sa mère en train de s’interroger sur le devenir de certains enfants, elle a sauté sur l’occasion.
“Si tu t’inquiètes pour eux, je peux aller voir comment ils vont !”
L’idée était folle, vraiment, mais Kiana a toujours su convaincre ses parents.
Et ainsi la voilà, sur un nouveau continent : Lumiris.
Bunny 25 ans Femme Ile de France 8)
Comment a-tu découvert le forum ? La coupable c'est Hazel :/Ton pokémon préféré : DRACAUFEU A LA VIE A LA MORTAs-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Hazel et Ele'i aussi du coup-Un dernier mot ? OOOOH I WANNA DANCE WITH SOMEBODY