Enfin, j'étais arrivé dans la province de Lumiris, où mon maitre m'avait promis moult découvertes uniques ainsi qu'un lieu idéal pour apprendre à de jeunes gens les arts que doivent maitrisé un vraie Chevalier. Mais d'abord, il fallait savoir qu'elle était ma place dans cette îles. Étais-je au niveau des autres maitres ou en deçà de ce que cette région faisaient. Pour cela, il fallait que j'accepte de rivaliser avec des maitres d'arts qui était important dans cette région, tout en mettant en avant les art que j'ai déjà appris. Par chance, mon maitre connaissait un homme de Lumiris, homme qu'il avait rencontré par le passé, alors qu'il était encore sur les routes. Cet homme avait un apprentie prometteur, un jeune homme nommé Velkias. Par respect de la tradition chevaleresque, je ne pouvais prendre en duel un maitre d'une autre école, étant donné que si je venais à le blesser par accident, je causerais alors du tort à l'école et à l'art en général. Si je voulais évaluer ma puissance, il me fallait rivaliser avec le protégé. Il faut avouer, cela manquait de chevalerie. Loin de moi de sous-estimé un adversaire avant de l'avoir combattu, mais j’avais le niveau d'un maitre dans mon art, raison de mon départ. Il était certes prometteur, mais il n'avait pas encore atteint l’excellence. Ce qui signifiait qu'une victoire de ma part ne me couvrirait pas plus d'honneur que moi, et pourrais même attirer la hantise des chalands. Je ne pouvais pas non plus me mettre un handicap, car ce serait non seulement dégradant pour lui, mais en plus je ne pourrais même pas montrer l'étendue de ma maitrise. Le plus important, c'était le combat qui nous attendait.

J'arrivais près du lieu qu'on m'avais indiqué. Azoth brulé d’impatience de sortir de son fourreaux, mais il devrait attendre. Je n'avais pas l'intention de me battre avec ce dernier aujourd'hui. Le lieu semblait désert, la cascade cachant tout potentiel bruit de vie. Mon maitre m'avais dit que le jours où je poserais pied sur l’île, je n'aurais plus qu'à attendre une lune pour rencontrer mon adversaire. Surement qu'il c'était arrangé avec son pair pour monter une rencontre. J'étais arrivé en avance, comme à mon habitude, donc je me mis en tailleur au milieu de la zone qui devait servir pour le duel. Là, je sortit Azoth de son fourreaux, et sortit un torchon imbibé d'une solution créer par mes soin. Je déposais délicatement le produit sur sa lame, prenant le temps de bien frotté, calmement.

Je dois avouer, j'étais assez intrigué de cette situation. Ce jeune homme dont on m'avais vanter les prouesse serait bientôt un adversaire. Peut-être même que nous deviendrons rival. Mon premier rival.

Un certain temps se passa, durant lequel je pris bien soin de m'occuper d'Azoth. Puis, j'ouïs le bruit usuel des pas d'un être sur le feuillage. Je ne cessais cependant pas mon assidue nettoyage. Le jouvenceau qui m'interpela semblait cependant assez réticent aux combats... Ou pet-être me sous-estimait-il ? Dans les deux cas, je savais que si nous lancions la bataille en cet instant, je n'aurais pas vraiment droit à sa véritable puissance. Ainsi, lorsqu'il commença à se mettre en position de combat, m'indiquant qu'il voulait que je porte le premier coup, je restait assis, en tailleur, lustrant toujours Azoth, en silence.

Au bout d'une longue minute, je repris enfin la parole.


Puis, tout en disant cela, je lâchais Azoth, dévoilant ainsi sa nature vivante. Il rejoint alors en flottant son fourreau dans mon dos, puis je commençais à me lever. Une fois toute ma hauteur dévoilé, je me tournait vers le jeune homme.


Tout en disant cela, je dirigeais mon corps en direction du jeune artiste martial, dévoilant alors le fait que depuis le début, j'étais déjà en garde et je n'ai jamais quitter ma garde. Comme tout vrai chevalier se doit de savoir, il n'y a pas un seul moment où le chevalier doit relâcher sa vigilance. On nous apprend à rester constamment dans une position de garde pouvant nous sortir de n'importe qu'elle embuscade. Même le sommeil ne nous empêche jamais d'être prêt. un vrai chevalier sait comment comment dormir d'un seul œil ou préserver son énergie pour ne pas à avoir à dormir trop longtemps et souvent.


Je sortie ma seconde lame aisi qu'une troisième donné par un de mes potentiel pupilles et les posés verticalement sur leurs gardes, entre deux branches assez proches.


Puis, je pris une grand inspiration. Je me mis à mon tour dans une position indiquant que j'étais prêt à attaquer.


Je fis un petit sautillement et me secouait les bras, puis prenant un regard extrêmement perçant.


Je m'élançais dans un coup de poing rapide puissant et précis en direction de son estomac.

Détournait la puissance du coup contre son adversaire. Une technique simple et efficace. Seulement, le jeune homme semblait sous-estimer mon entrainement assidue. Mais... je sentait qu'il voulait s'exprimer. Alors, au lieu d'utiliser le "Souffle du Chevalier" pour changer toute la direction de mon corps dans un puissant pivots qui aurait suffit à le surprendre, je me laissait poussait, non sans garder le contrôle de ma direction. J'écoutais alors ses mots, toujours sur une position défensives, n'essayant pas de le couper. On ne coupe jamais un adversaire qui parle lors d'un duel amical. J'entendis qu'il eu finit d'exposer ses arguments pour enfin le voir attaquer. Une technique étrange, qui semblait bien plus animale qu'humaine. Et surtout, elle semblait vraiment puissante. Je n'eu pas le choix : je placer mes bras en parallèle devant mon corps et alors que le coup vient me percuter, je lâcher enfin mon premier atout.


Avec ce puissant cris, mes yeux semblèrent luire tandis que mes bras devinrent aussi solide que l'os qu'il dissimulé en leur sein. Et pour amortir encore plus le coup, je fit un saut, à peine perceptible, qui força une partie de l'énergie émises par le coup du jeune homme à se transformer en force de poussé, qui me fit reculer de quelques pas. Mais une fois le coup amorcé, je tendis la main en signe de pause.


Par chance, le "souffle l'avait protégé de la maille à l'intérieur de mon vêtement. Tout simplement parce que je n'avais pas renforcé ma peau, juste ma chair, pour ne pas qu'il perdit les mains contre la mailles. A la place, elle c'était enfoncé dans ma peau, causant ça et là des saignements. D'ailleurs, tandis que j'enlevais mon vêtement, comme si j'enlevais un simple habit, il put voir alors les fameuses marques laissé par son coups, ainsi que toutes les cicatrices que je portait, certaine encore profonde.


Tout en disant cela, je commençait à sautiller, étonnement haut, et à m'étirer un peu plus, toujours dans une position défensives avec mes poings, au cas où le jeune voudrais me couper.


Je sortie de mon sac, posé au pied d'un arbre, une paire de gant renforcé.


Je le posais sur le même arbre qu'une des épées.


Et sur ces mots, je me mis à sautiller de plus en plus haut, au rythme de ma respiration.


Et sur ces mots, je m'élançais dans les airs, m’accrochant à une branche au dessus de moi et, avec la finesse d'un trapéziste, je m'élançais vers un arbre derrière Velkias, me posant au milieu de son feuillage.


Et avec ces mots, je m'élançais dans un balais des plus étranges : je passais d'arbre en arbre avec rapidité et dès que je le pouvais, je sortais pendant quelque secondes pour frapper le jeune homme avec mon corps. Que se soit en utilisant mes jambes pour m'accrocher au tronc et asséner un coup ou bien, en me balançant à une branche et utilisant mes jambes, ou encore en passant d'arbre en arbre, en me servant du haut de son crânes comme "tremplin" au maximum.

Alors que Velkias continuer à s'expliquer, je pouvais sentir en lui un certain manque de confiance. Il ne semblait pas avoir saisi mes propos, et semblait vouloir me prouver qu'il était bien plus agile fort qu'il ne le laissait apparaitre. Et pour cela, il me rattrapa dans ma course, et tenta de m’asséner un coup. Il ne pouvait pas savoir que par le fait d'utiliser le "Souffle du Chevalier" il me suffit de raidir une de mes jambes pour changer ma directoire, comme une poupée de tissus poussé par le vent. Ces mots était remplie d'une forme d'amertume et de défie qui n'étais pas sain. Il essayé de me prouver quelque chose. Qu'il était fort, qu'il était mieux que ce que l'on disait que lui ? Peut-être le fait qu'on le nomme prodige lui mis un stress tel qu'il se met une pression énorme sur les épaules ? Ou peut-être même qu'il pensent que parce qu'on parle de lui en prodige, tout le monde pensent qu'il à tous obtenue sans entrainement. Pourtant, il ne pouvais savoir que chez moi aussi, j'avais le même titre, mais je savais aussi à quel point l'entrainement m'a porté où je suis aujourd'hui. Je descendit de l'arbre tranquillement.


J'allais saisir une des deux épée, celle offert par mon "élève" et je m'approchais du jeune homme, pointant ma lame vers lui.


Je commençais a respiré fortement, mon corps semblant presque se statufier, tandis que mes yeux et ma lames commençais à briller. Ma respiration était carré, ce qui veut dire qu'entre chaque inspiration et expiration se trouvait une pause de quelques secondes.


Ces mots sortie, je put enfin libéré toute l'énergie accumulé par cette inspiration. dans mon corps et ma lame.


Tout autour de moi, la puissance accumulé chaque jours durant par mes méditation, mes sieste énergétique et mes sommeil actif se libéré peu à peu en moi en même temps que je me concentré.


Tout autour de moi, le vent semblait de plus en plus fort, convergent sur ma position, tandis que de faible flash lumineux émanait de mon arme. Mon corps paraissait plus imposant, mon aura immense.


Une vague d'énergie imperceptible pour les non initié traversa la forêt, tandis que mon corps semblait regorgé de puissance.


Avec ses mots, je fis un violent saut en avant qui dura le temps d'un clignement d’œil, et donna un coup de pommeau exactement sur le cœur de Velkias. Cela aurait pour conséquence de le faire battre une fois de plus, causant par la même une réaction en chaine dans le corps qui résulterait par la sensation de s’être fait rouler dessus par un véhicule motorisé. Cette technique, Cœur Brisé est extrêmement dangereuse. Mal faite, elle pourrait tuer un Ursarig. Bien faite, elle peut causer malaise voir coma si la personne n'est pas prête physiquement. Et même, la douleur causé, celons les individue, est-t'elle, que parfois, elle peut même leur donné envie de mettre fin à leur jours. Ce n'est pas pour rien que c'est une technique "poison" de la puissante école de l'île de l'Armure. Par chance, je savais qu'il pourrait tenir cette technique, enfin, ne pas trop en mourir ou faire un malaise. Mais comme je l'eus dit plus tôt, je ne m’arrêtais pas à ça. Aussitôt le coups au cœur donné, je le saisis par les bras et le posais au sol avec une clé rapide et puissante. Cette fois-ci, je ne rigolait pas. Je lui montrait enfin pourquoi j'étais un Maitre-Chevalier. Et par la même, je lui prouvé que je ne me retenait plus du tout.