beautiful sunshine
loooove | beautiful life we're all in
La musique résonnait. Doucement, les premières notes s’étaient faites entendre en même temps que les lumières qui s’étaient éteintes. Aujourd’hui, c’étaient les premiers pas sur scène de Casper, première prestation avec ce Mimikyu aux couleurs particulières, flamboyantes. Avec toi, elle n’avait pas le choix de s’adapter ; tu étais un être vivant sur le devant de la scène et tu ne passais jamais inaperçu.
Un pas et les acclamations qui surviennent. Ton cœur qui bat au rythme de la mélodie. Tu n’avais jamais eu peur, tu n’avais jamais eu le trac. Tu ne connaissais pas l’angoisse d’avant-scène toi.
Quelques instants, tu fermes les yeux. Tu te laisses t’imprégner de l’ambiance et quand tu ouvres tes paupières, tu tends les bras vers Casper qui te suivait gentiment. Elle sauta dans les airs pour attraper tes mains – et le spectacle commençait.
La scène avait toujours été ton endroit – ton lieu. Là où tu brillais, tu rayonnais. Là où tu étais complet ; devant le regard des spectateurs et les yeux émerveillés des enfants, tu vivais. Tu étais un rayon de soleil qui suffisait à lui seul pour éclairer la pièce.
Tournoyer, tourner, sauter. En accord avec le pokémon – se mélanger ; devenir fusionnel. Quand tu attrapas Casper dans tes bras et que tu fis face au public pour la révérence, tu savais que ce n’était pas ta meilleure prestation. Non pas par stress de ta part, mais parce que Casper était intimidée par la foule qui assistait. Casper n’était pas habituée à être le centre de l’attention et dans tes bras, elle tremblait. Mais elle allait s’y faire, tu en étais persuadé. Tu avais confiance en ce pokémon qui partageait désormais ton existence. Souvent, tu faisais tes prestations avec Khione et le météno de ton frère.
Le rideau se ferme et tu souris. Le rideau se ferme et tu laisses Casper grimper pour se poser sur ta tête comme elle fait toujours, tremblante. « T’as bien fait ça Casp’ ! » ; ce n’était pas parfait, mais c’était authentique. T’avais jamais cherché la perfection, Oyaris. Ce n’était pas ton but – la finalité de ton existence. T’avais toujours accepté l’imperfection de ton existence. Vous étiez des orphelins vivant leur existence tant bien que mal, touchant au marché noir ; non vraiment, votre vie n’avait rien de parfaite. Mais elle était puissante, elle était profonde, elle était passionnée – elle était vivante et vibrante ; authentique et sincère, et c’était tout ce que tu avais toujours cherché.
Rapidement, tu t’étais dirigé vers ta loge et tu avais posé Casper sur ton siège. Pourquoi le prendrais-tu pour toi, hein ? T’avais tellement d’énergie à brûler que t’asseoir ne t’était pas utile. Tu t’étais mis à faire un peu de ménage dans la loge lorsque Vlinder et Zamas entrèrent en trombe, disant que le spectacle était magnifique et qu’ils étaient contents d’y avoir assisté et qu’ils étaient heureux que Casper ait réussi à être sur scène. Tu étais vraiment content. T’avais les jumeaux, tes pokémons.
Ta vie était réussie, totalement. Magnifique. Il manquait seulement tes parents au tableau et tout serait merveilleux. Mais même les miracles de Noël ne pouvaient pas ramener des personnes à la vie.
Un pas et les acclamations qui surviennent. Ton cœur qui bat au rythme de la mélodie. Tu n’avais jamais eu peur, tu n’avais jamais eu le trac. Tu ne connaissais pas l’angoisse d’avant-scène toi.
Quelques instants, tu fermes les yeux. Tu te laisses t’imprégner de l’ambiance et quand tu ouvres tes paupières, tu tends les bras vers Casper qui te suivait gentiment. Elle sauta dans les airs pour attraper tes mains – et le spectacle commençait.
La scène avait toujours été ton endroit – ton lieu. Là où tu brillais, tu rayonnais. Là où tu étais complet ; devant le regard des spectateurs et les yeux émerveillés des enfants, tu vivais. Tu étais un rayon de soleil qui suffisait à lui seul pour éclairer la pièce.
Tournoyer, tourner, sauter. En accord avec le pokémon – se mélanger ; devenir fusionnel. Quand tu attrapas Casper dans tes bras et que tu fis face au public pour la révérence, tu savais que ce n’était pas ta meilleure prestation. Non pas par stress de ta part, mais parce que Casper était intimidée par la foule qui assistait. Casper n’était pas habituée à être le centre de l’attention et dans tes bras, elle tremblait. Mais elle allait s’y faire, tu en étais persuadé. Tu avais confiance en ce pokémon qui partageait désormais ton existence. Souvent, tu faisais tes prestations avec Khione et le météno de ton frère.
Le rideau se ferme et tu souris. Le rideau se ferme et tu laisses Casper grimper pour se poser sur ta tête comme elle fait toujours, tremblante.
Rapidement, tu t’étais dirigé vers ta loge et tu avais posé Casper sur ton siège. Pourquoi le prendrais-tu pour toi, hein ? T’avais tellement d’énergie à brûler que t’asseoir ne t’était pas utile. Tu t’étais mis à faire un peu de ménage dans la loge lorsque Vlinder et Zamas entrèrent en trombe, disant que le spectacle était magnifique et qu’ils étaient contents d’y avoir assisté et qu’ils étaient heureux que Casper ait réussi à être sur scène. Tu étais vraiment content. T’avais les jumeaux, tes pokémons.
Ta vie était réussie, totalement. Magnifique. Il manquait seulement tes parents au tableau et tout serait merveilleux. Mais même les miracles de Noël ne pouvaient pas ramener des personnes à la vie.
(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)