Luxime Harcourt
Feat. Joker - Persona 5
21 ans
Étudiant & Explorateur
19 Février 2000
Aucune Faction
Kalos
Nemerya
Il
Éclipse
Attentif
Bienveillant
Sentimentale
Méfiant
Stoïque
Sarcastique
Luxime peut faire penser à bien des choses, surtout au vu de son apparence de premier de la classe ou encore de personne propre sur elle et sous tous rapports. Mais comme l’adage le précise, l’habit ne fait pas le curé. Luxime n’est pas aussi simplet que le laisse croire son physique.
L’étudiant est un être des plus attentif, son regard se porte toujours sur ce qui l’entoure. Il décortique la moindre chose se trouvant dans son champ de vision, faisant tourner à plein régime ses ménages en permanence. Sa profonde curiosité l’incite en permanence à agir de la sorte, espérant trouver quelque chose de nouveau, d’intriguant, de satisfaisant pour sa propre personne. Mais cette arme qui ne servait que sa curiosité s’est rapidement retrouvée détournée. Le fils Harcourt s’est retrouvé à devoir devenir aussi attentif à la moindre réaction humaine, le moindre agissement des autres, surtout lorsque ses dernières sont à son encontre.
Et cela dans le seul et unique but de pouvoir se prémunir du bon comportement à adapter, de la bonne expression à refléter, pour ne pas contrarier les autres. Les séquelles de l’éducation et des attentes de ses parents, il a fini par appliquer cela à n’importe quels humains. Il essaye d’arranger les choses depuis qu’il a quitté le domicile familial, mais les vieilles habitudes ont la vie dure. Ce petit défaut revenant souvent au galop, mais il espère pouvoir calmer cela avec le temps, ne plus faire carburer autant sa caboche et surtout partir loin dans ses interprétations et analyses. Il lui arrive donc souvent de faire perdre de son naturel aux conversations.
Ce fameux défaut n’est pas seul, il se trouve que ce dernier est plutôt bien accompagné. Un comparse du nom de méfiance, encore un vestige de sa famille d’un autre temps. Il est attentif, car il se méfie des autres, de leurs comportements à son égard, de la raison de parler, de faire telle ou telle chose. Sa famille s’étant montrée aussi rude ou changeante comme le climat. La joie pouvait les couvrir, mais à la moindre bavure ou même simplement écart, les conséquences n’étaient pas les mêmes. Luxime se montre donc méfiant pour se protéger, ayant érigé cette carapace pour sa propre sécurité. La seule ayant vraiment réussi à la percer et passer outre, c’est ça soeur, les deux partageants les blessures de leur famille.
En parlant de sa jumelle, celle-ci récolte souvent le sarcasme de Luxime, une des seules méthodes de communications qu’il maîtrise lorsqu’une personne arrive à vraiment effleurer ce qu’il est. Il serait quand même plus juste de nommer cela de l’amour vache. L’étudiant n’ayant jamais eu la chance d’apprendre comment réellement communiquer ce qu’il ressentait. Il le fait donc de cette façon maladroite, ce qui peut ne pas être forcément la plus agréable des façons de recevoir son amour et sa tendresse.
Car oui, Luxime est un grand sentimental, mais les émotions qui le composent sont un tourbillon informe enfermé dans une cocotte-minute, qui pourrait exploser sous une trop grosse pression. Le petit n’ayant eu que de rares occasions de montrer qui il était réellement, il est fébrile de démontrer ainsi ce qu’il est réellement, mais il ne demande que cela, ce qui le rend encore plus maladroit et sarcastique. Il adopte donc une autre méthode pour réussir à communiquer, il s’impose un fort contrôle à sa personne. Il paraît donc souvent stoïque, non pas par manque de sentiment, mais par surplus, ne sachant pas comment gérer la chose.
Malgré cette imposante carapace et sa façon de répondre souvent absente ou désarçonnante, Luxime ne dégage aucune malveillance. C’est même entièrement l’inverse, il possède le coeur sur la main et fait souvent son possible pour aider les autres quand il peut. Il suffit de le voir traiter son Pokemon pour comprendre toute la bienveillance en sa personne. Il est simplement un bon garçon bien maladroit pour les relations sociales, même s’il essaie petit à petit d’améliorer ce point sur sa personne.
Cette spirale étrange composant sa personnalité n’est pas l’unique chose composant le garçon. Il ne faut pas oublier sa curiosité des plus imposante. L’étudiant est d’un naturel lent et très doux, il ressemble au cours d’eau calme d’une rivière. Il a cet aspect apaisant par son rythme, le rendant même un peu feignant de temps en temps. Trait de caractère qui vient totalement s’envoler dès que l’on titille son intérêt. Il déborde d’énergie et il est dur de le suivre dans ce cas-là. C’est comme si l’on venait d’appuyer sur un interrupteur, son corps donnant l’impression de garder en réserve la moindre parcelle d’énergie pour ce genre de moment. Il faut donc prendre conscience que souvent le petit Luxime est en mode vieille.
Voilà de quoi dépeindre le petit explorateur en herbe, quelques nuances se cachant encore plus profondément, mais cela démontre bien que son physique et son caractère sont bien loin d’être complémentaire.
L’étudiant est un être des plus attentif, son regard se porte toujours sur ce qui l’entoure. Il décortique la moindre chose se trouvant dans son champ de vision, faisant tourner à plein régime ses ménages en permanence. Sa profonde curiosité l’incite en permanence à agir de la sorte, espérant trouver quelque chose de nouveau, d’intriguant, de satisfaisant pour sa propre personne. Mais cette arme qui ne servait que sa curiosité s’est rapidement retrouvée détournée. Le fils Harcourt s’est retrouvé à devoir devenir aussi attentif à la moindre réaction humaine, le moindre agissement des autres, surtout lorsque ses dernières sont à son encontre.
Et cela dans le seul et unique but de pouvoir se prémunir du bon comportement à adapter, de la bonne expression à refléter, pour ne pas contrarier les autres. Les séquelles de l’éducation et des attentes de ses parents, il a fini par appliquer cela à n’importe quels humains. Il essaye d’arranger les choses depuis qu’il a quitté le domicile familial, mais les vieilles habitudes ont la vie dure. Ce petit défaut revenant souvent au galop, mais il espère pouvoir calmer cela avec le temps, ne plus faire carburer autant sa caboche et surtout partir loin dans ses interprétations et analyses. Il lui arrive donc souvent de faire perdre de son naturel aux conversations.
Ce fameux défaut n’est pas seul, il se trouve que ce dernier est plutôt bien accompagné. Un comparse du nom de méfiance, encore un vestige de sa famille d’un autre temps. Il est attentif, car il se méfie des autres, de leurs comportements à son égard, de la raison de parler, de faire telle ou telle chose. Sa famille s’étant montrée aussi rude ou changeante comme le climat. La joie pouvait les couvrir, mais à la moindre bavure ou même simplement écart, les conséquences n’étaient pas les mêmes. Luxime se montre donc méfiant pour se protéger, ayant érigé cette carapace pour sa propre sécurité. La seule ayant vraiment réussi à la percer et passer outre, c’est ça soeur, les deux partageants les blessures de leur famille.
En parlant de sa jumelle, celle-ci récolte souvent le sarcasme de Luxime, une des seules méthodes de communications qu’il maîtrise lorsqu’une personne arrive à vraiment effleurer ce qu’il est. Il serait quand même plus juste de nommer cela de l’amour vache. L’étudiant n’ayant jamais eu la chance d’apprendre comment réellement communiquer ce qu’il ressentait. Il le fait donc de cette façon maladroite, ce qui peut ne pas être forcément la plus agréable des façons de recevoir son amour et sa tendresse.
Car oui, Luxime est un grand sentimental, mais les émotions qui le composent sont un tourbillon informe enfermé dans une cocotte-minute, qui pourrait exploser sous une trop grosse pression. Le petit n’ayant eu que de rares occasions de montrer qui il était réellement, il est fébrile de démontrer ainsi ce qu’il est réellement, mais il ne demande que cela, ce qui le rend encore plus maladroit et sarcastique. Il adopte donc une autre méthode pour réussir à communiquer, il s’impose un fort contrôle à sa personne. Il paraît donc souvent stoïque, non pas par manque de sentiment, mais par surplus, ne sachant pas comment gérer la chose.
Malgré cette imposante carapace et sa façon de répondre souvent absente ou désarçonnante, Luxime ne dégage aucune malveillance. C’est même entièrement l’inverse, il possède le coeur sur la main et fait souvent son possible pour aider les autres quand il peut. Il suffit de le voir traiter son Pokemon pour comprendre toute la bienveillance en sa personne. Il est simplement un bon garçon bien maladroit pour les relations sociales, même s’il essaie petit à petit d’améliorer ce point sur sa personne.
Cette spirale étrange composant sa personnalité n’est pas l’unique chose composant le garçon. Il ne faut pas oublier sa curiosité des plus imposante. L’étudiant est d’un naturel lent et très doux, il ressemble au cours d’eau calme d’une rivière. Il a cet aspect apaisant par son rythme, le rendant même un peu feignant de temps en temps. Trait de caractère qui vient totalement s’envoler dès que l’on titille son intérêt. Il déborde d’énergie et il est dur de le suivre dans ce cas-là. C’est comme si l’on venait d’appuyer sur un interrupteur, son corps donnant l’impression de garder en réserve la moindre parcelle d’énergie pour ce genre de moment. Il faut donc prendre conscience que souvent le petit Luxime est en mode vieille.
Voilà de quoi dépeindre le petit explorateur en herbe, quelques nuances se cachant encore plus profondément, mais cela démontre bien que son physique et son caractère sont bien loin d’être complémentaire.
Une rencontre des plus inattendues, dans un moment des plus délicats pour Luxime, mais qui marqua le profond lien entre Sieg et Lux.
Une sortie scolaire, un événement des plus classiques pour un enfant. Cependant, la curiosité prit rapidement le pas dans cette excursion, le détournant du reste du groupe. Ce qui devait être une visite de vestige dans une grotte se transforma en un labyrinthe de noirceur pour l’enfant des Harcourt. La peur prit rapidement le dessus, le laissant en boule dans un coin, pleurant à chaude larme, appelant à l’aide de tous son cœur.
Mais ce ne fut pas la personne escomptée qui répondit à l’appel. La faune locale fut bien plus réceptive pour le coup, un pokemon, un petit individu volant de la grotte se rapprocha de lui. L’être qui porterait bientôt le nom de Sieg. Les battements d’ailes de ce dernier et ses couinements parvinrent aux oreilles de Luxime, ne provoquant que plus de panique sur le moment. Le temps continua de s’écouler, la créature s’étant posé devant l’enfant qui ne distinguait qu’une ombre légère dans toute cette noirceur. Tétanisé, il ne bougeait pas, regardant les mouvements de l’être avec un regard paniqué.
Le pokemon lui, semblait curieux et d’une humeur plus que bonne, rien ne laissait présager une forme de sauvagerie chez lui. L’humain était une source de divertissement pour lui, il se colla même à ce dernier pour créer un contact. Provoquant sursaut et petit couinement chez un Luxime déjà au bord de la crise de panique. Pourtant, le contact doux et les cris tendre du Pokemon vinrent à calmer en quelques minutes le garçon. Surtout quand le petit Sonistrelle vint à se glisser entre les bras de l’enfant par amusement.
La paralysie du garçon disparus lentement, le laissant enlacer le Pokemon comme une peluche et en faire sa solution pour se calmer et retrouver espoir dans cette grotte. Une heure vint à passer, avant que le corps enseignant ne vienne à le retrouver. Découvrant Luxime enlaçant un Pokemon et semblant avoir oublié ce qui l’entourait. Dans la fin de panique des professeurs et de l’euphorie de le retrouver sain et sauf, tout en comptant sur l’obscurité du lieu, ils ne remarquèrent pas immédiatement le Pokemon.
Ainsi, Luxime et Sieg furent extraits de la grotte, toujours inséparable depuis cette étreinte. Ce n’est que lorsque le Pokemon émis un petit couinement que la conscience collective se rendit compte de sa présence. On demanda immédiatement à se dernier de relâcher le Pokemon, ne pouvant être aussi proche d’un Pokemon sauvage.
À contrecœur, le garçon relâcha son nouvel ami, qui battit des ailes pour flotter. Il aurait pu s’envoler loin, mais il préféra se poser sur la tête de l’élève et en faire son perchoir. Les professeurs avaient beau le décrocher, il faisait tout pour revenir. Le corps enseignant abandonnant cette idée, Luxime repartit ainsi avec ce qu’il pouvait considérer comme un ami d’enfance. Celui qu’il nomma Sieg et qui partage encore chaque instant de sa vie à présent. Ce dernier incapable de rester trop longtemps dans sa Pokéball.
Une sortie scolaire, un événement des plus classiques pour un enfant. Cependant, la curiosité prit rapidement le pas dans cette excursion, le détournant du reste du groupe. Ce qui devait être une visite de vestige dans une grotte se transforma en un labyrinthe de noirceur pour l’enfant des Harcourt. La peur prit rapidement le dessus, le laissant en boule dans un coin, pleurant à chaude larme, appelant à l’aide de tous son cœur.
Mais ce ne fut pas la personne escomptée qui répondit à l’appel. La faune locale fut bien plus réceptive pour le coup, un pokemon, un petit individu volant de la grotte se rapprocha de lui. L’être qui porterait bientôt le nom de Sieg. Les battements d’ailes de ce dernier et ses couinements parvinrent aux oreilles de Luxime, ne provoquant que plus de panique sur le moment. Le temps continua de s’écouler, la créature s’étant posé devant l’enfant qui ne distinguait qu’une ombre légère dans toute cette noirceur. Tétanisé, il ne bougeait pas, regardant les mouvements de l’être avec un regard paniqué.
Le pokemon lui, semblait curieux et d’une humeur plus que bonne, rien ne laissait présager une forme de sauvagerie chez lui. L’humain était une source de divertissement pour lui, il se colla même à ce dernier pour créer un contact. Provoquant sursaut et petit couinement chez un Luxime déjà au bord de la crise de panique. Pourtant, le contact doux et les cris tendre du Pokemon vinrent à calmer en quelques minutes le garçon. Surtout quand le petit Sonistrelle vint à se glisser entre les bras de l’enfant par amusement.
La paralysie du garçon disparus lentement, le laissant enlacer le Pokemon comme une peluche et en faire sa solution pour se calmer et retrouver espoir dans cette grotte. Une heure vint à passer, avant que le corps enseignant ne vienne à le retrouver. Découvrant Luxime enlaçant un Pokemon et semblant avoir oublié ce qui l’entourait. Dans la fin de panique des professeurs et de l’euphorie de le retrouver sain et sauf, tout en comptant sur l’obscurité du lieu, ils ne remarquèrent pas immédiatement le Pokemon.
Ainsi, Luxime et Sieg furent extraits de la grotte, toujours inséparable depuis cette étreinte. Ce n’est que lorsque le Pokemon émis un petit couinement que la conscience collective se rendit compte de sa présence. On demanda immédiatement à se dernier de relâcher le Pokemon, ne pouvant être aussi proche d’un Pokemon sauvage.
À contrecœur, le garçon relâcha son nouvel ami, qui battit des ailes pour flotter. Il aurait pu s’envoler loin, mais il préféra se poser sur la tête de l’élève et en faire son perchoir. Les professeurs avaient beau le décrocher, il faisait tout pour revenir. Le corps enseignant abandonnant cette idée, Luxime repartit ainsi avec ce qu’il pouvait considérer comme un ami d’enfance. Celui qu’il nomma Sieg et qui partage encore chaque instant de sa vie à présent. Ce dernier incapable de rester trop longtemps dans sa Pokéball.
SIEG
Sonistrelle
Mâle
Infiltration
Une nuit d’hiver comme les autres pour la plupart, mais ce n’était clairement pas le cas pour la famille Harcourt. Les futurs descendants et déserteurs de cette noble famille allaient voir le jour. Des jumeaux, des faux, frère et soeur voyait enfin le jour en cette fin du 18 février 2000 et en ce début du 19. L’une venant à naître quelques minutes avant que ne sonne le glas, le deuxième faisant une arrivée plus tardive. C’est donc sur le plus jeune de ce duo que se concentre cette histoire. Et oui, le plus jeune, sa soeur ne s’embêtant jamais à lui rappeler qu’ils possèdent sur le papier, un jour d’écart et qu’il restera éternellement le petit frère. Des paroles, qui un temps, le mettaient hors de lui, vu le destin que la vie lui avait réservé.
Vive l’ancien temps, vive le patriarcat, cela sonnerait parfaitement comme devise de la famille Harcourt, surtout pour les parents du petit Luxime. Le destin des jumeaux était entièrement tracé dans cette famille aux moeurs ancienne. Simplement parce qu’il était né homme, il devait supporter le poids des attentes de sa famille, des obligations, de la réussite. Tous ce que l’on attendait d’un jeune homme de bonne famille. Et de l’autre côté, sa soeur, elle, subissait le manque de ses parents, l’attention et sans doute même la considération. Mais Luxime ignora rapidement ce genre de chose, une rancoeur venant à naître, une jalousie se mêlant à cela. À ses yeux, sa soeur n’était qu’une privilégiée du système, pouvant se la couler douce et faire ce qu’elle désirait le plus au monde. Comment les choses ont elles pu tourner ainsi ?
Une enfance classique et calme n’existe pas dans la famille Harcourt, du moins lorsque l’on est un homme. Sur le papier, on peut avoir l’impression que le petit Luxime vivait entouré de l’amour de ses parents, mais le sentiment filial existait-il vraiment ? Il lui aura fallu du temps pour s’en rendre compte, mais le garçon était une poupée d’argile entre les doigts fins de ses géniteurs. Il se faisait modelé, bourré le crâne pour rentrer dans un moule, celui du parfait héritier, pour reprendre l’entreprise familiale. Et ce n’est pas de son jeune âge qu’il se serait rendu compte de ce genre de chose. Il ne doit son salut actuel qu’à deux élément. Sa curiosité, le faisant déborder des sentiers battus et lui évitant de devenir un enfant-chien bien obéissant à sa famille toxique. Et l’autre, ce fut sa soeur, un point de vue différent de ce que la vie aurait pu lui réserver.
Dans un premier temps, elle était la personne avec qui il s’amusait et pouvait souffler un peu, mais avec les années passantes, un poison insidieux s’installait entre les deux. L’un voyant sa liberté, l’autre pouvant voir le pseudo amour qu’il recevait de sa famille. Chacun d’eux avait leur point de vue, provoquant cet amour vache entre les deux. L’une piquant l’autre, tandis que Luxime se laissait lentement dévorer par une jalousie profonde pour sa soeur.
Et cela ne fit que s’accentuer lors de l’adolescence. L’adulte en devenir se cherchait, malgré les coups de bâton de ses parents pour essayer de le remettre dans le droit chemin. Essayer de lui faire suivre la route parfaite, pour simplement réaliser les desseins de sa famille. Il n’avait pas sa propre volonté, il était enfermé dans une cage dorée, comme ça soeur. Mais leur paysage était différent, ce qui provoquait autant de tumultes entre les deux.
Luxime rêvait d’histoire, de connaître le passé de ce monde, ses secrets, ce que le futur pourrait en tirer. Il voulait explorer les vestiges d’une époque, voir autre chose que des chiffres, des principes économiques et bien d’autres choses barbantes pour un adolescent. À défaut de pouvoir voyager, il se plongeait dans les ouvrages, la bibliothèque de sa famille étant la seule chose encore intéressante à ses yeux. Le seul privilège de faire partit d’une telle famille. Dire qu’à cette époque les ouvrages étaient ses seuls amis, en plus de Sieg, n’est pas un pléonasme. Le garçon de la famille Harcourt désirait partir, loin de cet environnement. Pourtant, quelque chose venait l’empêcher de franchir ce pas. Celui du conditionnement familial, il ne connaissait rien à la vie en dehors du cadre que l’on avait établi pour sa personne. Et se retrouver sans rien, pour survivre, sans argent, voilà quelque chose d’horrible.
Il lui fallait de l’argent pour partir. Il devait mettre de côté, économisé pour avoir un pécule, si un jour le courage de sortir du cocon viendrait se prendre pour lui. Cette petite idée de liberté était une flamme pour le guider. Il devait prolonger les choses, ne pas s’arrêter à sa condition. Il pouvait encore s’en sortir. Il avait encore cet espoir en lui, mais il oubliait simplement le regard perfide que sa famille pouvait porter sur sa personne, quelque chose qui le ferait couler lentement. Le lycée approchait de la fin et il était temps pour lui d’avoir un avenir. La logique voudrait qu’il prenne directement un poste dans l’entreprise familiale. Cependant, les choses se présentèrent différemment.
On lui proposa de faire des études supérieures, d’avoir un diplôme universitaire. La flamme de l’espoir venait s’intensifier pour se faire souffler dessus rapidement. Il n’aurait pas le choix de son apprentissage, ses parents avaient déjà entièrement décidé de son parcours. Il dut ravaler ses envies et le reste de fierté qu’il avait devant cela. Il aurait aimé suivre une licence d’histoire, apprendre toujours plus de chose. Mais il devait faire face à cela, la tête haute et offrir un sourire de remerciement à ses parents pour cette superbe opportunité. Ce qui le dégoutait de l’intérieur. Et le fait de voir sa soeur, faire quelque chose qui semblait lui plaire énormément ne faisait qu’ajouter de ce sentiment abject dans son coeur.
Il entrait donc en première année de fac, sans aucune motivation et réelle envie d’agir ainsi. Il suivait les premiers jours paisiblement, comprenant alors qu’il était encore possible de changer de voix en ce début d’année. Un sentiment de rébellion commença alors lentement à naître dans son esprit. Et si, il changeait de cursus en faisant en sorte que sa famille ne soit au courant de rien ? Cela lui laisserait le temps d’obtenir ce dont il avait besoin et il pourrait même prétendre à un autre métier plus tard. Et enfin quitter cette famille. Du moins, s’il en avait le courage un jour. Heureusement pour lui, en cette période, il vint à obtenir une goutte de courage, lui faisant commettre ce changement partir en licence d’histoire.
Il pensait avoir tous réussis, intercepter le courrier à destination de ses parents, se couvrir, mais il ne connaissait pas encore toute l’étendue de sa cage dorée. Lui qui pensait avoir trouvé la première clé, se trouvait pris au piège dans une cage simplement plus grande. La plupart des professeurs de son cursus initiale et même certaines personnes de l’administration étaient des amis de ses parents, sans qu’il n’en sache rien. Sa supercherie ne dura qu’un semestre, ses parents le mettant devant le fait accomplis et enfermant de nouveau leur étreinte abjecte sur sa personne. Une de ses portes de sortie s’arrachait à lui. Il fut retiré de l’université et déjà mis en place dans l’entreprise, on lui condamnait les possibles voies d’une Happy End pour sa personne.
Cela le plongea dans un profond désespoir, une dépression le rongeant petit à petit. Il ne faisait que travailler pour finalement s’enfermer dans la maison et dévorer la seule chose qui lui faisait du bien, l’histoire. C’était encore son seul moyen de profiter d’un rêve qui ne fut qu’éphémère. Il remercie tout de même cette période pour une seule chose, c’est à cette époque qu’il vint à prendre conscience que sa jalousie pour sa soeur n’avait aucun fondement. Il avait compris qu’elle n’était qu’un objet de décoration aux yeux de ses géniteurs. Les deux étaient la facette d’une même pièce, une véritable pièce de merde.
Luxime ne faisait plus attention à rien, il vivait sa vie comme une machine en mode automatique, le comportement de ses parents venant détruire la dernière braise de courage dans sa carcasse. Il travaillait, rentrait, lisait, s’occupait de Sieg et répétait les choses indéfiniment. Il n’était que l’ombre de lui-même, il n’aurait jamais pu s’en sortir seul et cela ne faisait qu’ajouter une couche de noirceur à sa vie voilée par la dépression.
Cependant, il n’était pas seul ou du moins, il ne l’était plus. Il avait oublié une chose importante, sa soeur, sa jumelle qui était partagée par les mêmes envies d’échappatoire. Et ce fut elle, qui lui apporta ce dont il avait le plus besoin en ce moment funeste. Du courage, ainsi qu’un sublime coup de pied dans le derrière.
Sans prévenir, elle débarqua dans sa bulle de dépression et avec sa délicatesse légendaire vint à faire un trou béant dedans. Si Luxime manquait encore de volonté pour se reprendre en main, elle lui faisait faire de force le premier pas, le faire sortir et alimenter son courage. Ainsi, ils désertèrent leur famille, pour partir à l’autre bout du monde, voyager ailleurs, profiter de leur argent d’une manière ou d’une autre, mais pour vivre une vie meilleure. Lumiris serait leur destination et Luxime n’en croyait pas ses yeux, son corps, ses pensées. Il tremblait de peur et d’excitation, commençant le premier voyage pour arriver à son objectif. Il allait reprendre ses études, voyager dans cette région et surtout pouvoir enfin commencer à faire ce qu’il désirait le plus, explorer le monde.
Vive l’ancien temps, vive le patriarcat, cela sonnerait parfaitement comme devise de la famille Harcourt, surtout pour les parents du petit Luxime. Le destin des jumeaux était entièrement tracé dans cette famille aux moeurs ancienne. Simplement parce qu’il était né homme, il devait supporter le poids des attentes de sa famille, des obligations, de la réussite. Tous ce que l’on attendait d’un jeune homme de bonne famille. Et de l’autre côté, sa soeur, elle, subissait le manque de ses parents, l’attention et sans doute même la considération. Mais Luxime ignora rapidement ce genre de chose, une rancoeur venant à naître, une jalousie se mêlant à cela. À ses yeux, sa soeur n’était qu’une privilégiée du système, pouvant se la couler douce et faire ce qu’elle désirait le plus au monde. Comment les choses ont elles pu tourner ainsi ?
Une enfance classique et calme n’existe pas dans la famille Harcourt, du moins lorsque l’on est un homme. Sur le papier, on peut avoir l’impression que le petit Luxime vivait entouré de l’amour de ses parents, mais le sentiment filial existait-il vraiment ? Il lui aura fallu du temps pour s’en rendre compte, mais le garçon était une poupée d’argile entre les doigts fins de ses géniteurs. Il se faisait modelé, bourré le crâne pour rentrer dans un moule, celui du parfait héritier, pour reprendre l’entreprise familiale. Et ce n’est pas de son jeune âge qu’il se serait rendu compte de ce genre de chose. Il ne doit son salut actuel qu’à deux élément. Sa curiosité, le faisant déborder des sentiers battus et lui évitant de devenir un enfant-chien bien obéissant à sa famille toxique. Et l’autre, ce fut sa soeur, un point de vue différent de ce que la vie aurait pu lui réserver.
Dans un premier temps, elle était la personne avec qui il s’amusait et pouvait souffler un peu, mais avec les années passantes, un poison insidieux s’installait entre les deux. L’un voyant sa liberté, l’autre pouvant voir le pseudo amour qu’il recevait de sa famille. Chacun d’eux avait leur point de vue, provoquant cet amour vache entre les deux. L’une piquant l’autre, tandis que Luxime se laissait lentement dévorer par une jalousie profonde pour sa soeur.
Et cela ne fit que s’accentuer lors de l’adolescence. L’adulte en devenir se cherchait, malgré les coups de bâton de ses parents pour essayer de le remettre dans le droit chemin. Essayer de lui faire suivre la route parfaite, pour simplement réaliser les desseins de sa famille. Il n’avait pas sa propre volonté, il était enfermé dans une cage dorée, comme ça soeur. Mais leur paysage était différent, ce qui provoquait autant de tumultes entre les deux.
Luxime rêvait d’histoire, de connaître le passé de ce monde, ses secrets, ce que le futur pourrait en tirer. Il voulait explorer les vestiges d’une époque, voir autre chose que des chiffres, des principes économiques et bien d’autres choses barbantes pour un adolescent. À défaut de pouvoir voyager, il se plongeait dans les ouvrages, la bibliothèque de sa famille étant la seule chose encore intéressante à ses yeux. Le seul privilège de faire partit d’une telle famille. Dire qu’à cette époque les ouvrages étaient ses seuls amis, en plus de Sieg, n’est pas un pléonasme. Le garçon de la famille Harcourt désirait partir, loin de cet environnement. Pourtant, quelque chose venait l’empêcher de franchir ce pas. Celui du conditionnement familial, il ne connaissait rien à la vie en dehors du cadre que l’on avait établi pour sa personne. Et se retrouver sans rien, pour survivre, sans argent, voilà quelque chose d’horrible.
Il lui fallait de l’argent pour partir. Il devait mettre de côté, économisé pour avoir un pécule, si un jour le courage de sortir du cocon viendrait se prendre pour lui. Cette petite idée de liberté était une flamme pour le guider. Il devait prolonger les choses, ne pas s’arrêter à sa condition. Il pouvait encore s’en sortir. Il avait encore cet espoir en lui, mais il oubliait simplement le regard perfide que sa famille pouvait porter sur sa personne, quelque chose qui le ferait couler lentement. Le lycée approchait de la fin et il était temps pour lui d’avoir un avenir. La logique voudrait qu’il prenne directement un poste dans l’entreprise familiale. Cependant, les choses se présentèrent différemment.
On lui proposa de faire des études supérieures, d’avoir un diplôme universitaire. La flamme de l’espoir venait s’intensifier pour se faire souffler dessus rapidement. Il n’aurait pas le choix de son apprentissage, ses parents avaient déjà entièrement décidé de son parcours. Il dut ravaler ses envies et le reste de fierté qu’il avait devant cela. Il aurait aimé suivre une licence d’histoire, apprendre toujours plus de chose. Mais il devait faire face à cela, la tête haute et offrir un sourire de remerciement à ses parents pour cette superbe opportunité. Ce qui le dégoutait de l’intérieur. Et le fait de voir sa soeur, faire quelque chose qui semblait lui plaire énormément ne faisait qu’ajouter de ce sentiment abject dans son coeur.
Il entrait donc en première année de fac, sans aucune motivation et réelle envie d’agir ainsi. Il suivait les premiers jours paisiblement, comprenant alors qu’il était encore possible de changer de voix en ce début d’année. Un sentiment de rébellion commença alors lentement à naître dans son esprit. Et si, il changeait de cursus en faisant en sorte que sa famille ne soit au courant de rien ? Cela lui laisserait le temps d’obtenir ce dont il avait besoin et il pourrait même prétendre à un autre métier plus tard. Et enfin quitter cette famille. Du moins, s’il en avait le courage un jour. Heureusement pour lui, en cette période, il vint à obtenir une goutte de courage, lui faisant commettre ce changement partir en licence d’histoire.
Il pensait avoir tous réussis, intercepter le courrier à destination de ses parents, se couvrir, mais il ne connaissait pas encore toute l’étendue de sa cage dorée. Lui qui pensait avoir trouvé la première clé, se trouvait pris au piège dans une cage simplement plus grande. La plupart des professeurs de son cursus initiale et même certaines personnes de l’administration étaient des amis de ses parents, sans qu’il n’en sache rien. Sa supercherie ne dura qu’un semestre, ses parents le mettant devant le fait accomplis et enfermant de nouveau leur étreinte abjecte sur sa personne. Une de ses portes de sortie s’arrachait à lui. Il fut retiré de l’université et déjà mis en place dans l’entreprise, on lui condamnait les possibles voies d’une Happy End pour sa personne.
Cela le plongea dans un profond désespoir, une dépression le rongeant petit à petit. Il ne faisait que travailler pour finalement s’enfermer dans la maison et dévorer la seule chose qui lui faisait du bien, l’histoire. C’était encore son seul moyen de profiter d’un rêve qui ne fut qu’éphémère. Il remercie tout de même cette période pour une seule chose, c’est à cette époque qu’il vint à prendre conscience que sa jalousie pour sa soeur n’avait aucun fondement. Il avait compris qu’elle n’était qu’un objet de décoration aux yeux de ses géniteurs. Les deux étaient la facette d’une même pièce, une véritable pièce de merde.
Luxime ne faisait plus attention à rien, il vivait sa vie comme une machine en mode automatique, le comportement de ses parents venant détruire la dernière braise de courage dans sa carcasse. Il travaillait, rentrait, lisait, s’occupait de Sieg et répétait les choses indéfiniment. Il n’était que l’ombre de lui-même, il n’aurait jamais pu s’en sortir seul et cela ne faisait qu’ajouter une couche de noirceur à sa vie voilée par la dépression.
Cependant, il n’était pas seul ou du moins, il ne l’était plus. Il avait oublié une chose importante, sa soeur, sa jumelle qui était partagée par les mêmes envies d’échappatoire. Et ce fut elle, qui lui apporta ce dont il avait le plus besoin en ce moment funeste. Du courage, ainsi qu’un sublime coup de pied dans le derrière.
Sans prévenir, elle débarqua dans sa bulle de dépression et avec sa délicatesse légendaire vint à faire un trou béant dedans. Si Luxime manquait encore de volonté pour se reprendre en main, elle lui faisait faire de force le premier pas, le faire sortir et alimenter son courage. Ainsi, ils désertèrent leur famille, pour partir à l’autre bout du monde, voyager ailleurs, profiter de leur argent d’une manière ou d’une autre, mais pour vivre une vie meilleure. Lumiris serait leur destination et Luxime n’en croyait pas ses yeux, son corps, ses pensées. Il tremblait de peur et d’excitation, commençant le premier voyage pour arriver à son objectif. Il allait reprendre ses études, voyager dans cette région et surtout pouvoir enfin commencer à faire ce qu’il désirait le plus, explorer le monde.
Pourquoi les Éclipses ?
Luxime derrière son côté très studieux et calme, se relève d’une curiosité débordante lorsqu’un sujet porte sur l’histoire ou la culture d’un lieu/évènement. Pour cela qu’il étudie l’histoire et profite de chaque seconde de son temps libre pour partir en exploration. Il aime étancher sa soif de savoir et voudrait accumuler le plus de connaissance possible.
Pseudo(s): Baka
Âge: 25 ans
Localisation: Quelque part en France
Pronom(s): Il
Âge: 25 ans
Localisation: Quelque part en France
Pronom(s): Il
Comment nous as-tu trouvé ? // Google a été notre amis
Ton Pokémon préféré ? // Question difficile x_x On va dire Ronflex, Noadkoko(ses deux formes) et Scarhino... Je vais me limiter à trois, sinon ce n'est pas finit
As-tu un parrain ? // Non
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Trouver un endroit sympathique pour faire des Rp sans prise de tête et dans un univers passionnant.
Un dernier mot ? // Pensez à manger 5 cookies par jour
Ton Pokémon préféré ? // Question difficile x_x On va dire Ronflex, Noadkoko(ses deux formes) et Scarhino... Je vais me limiter à trois, sinon ce n'est pas finit
As-tu un parrain ? // Non
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Trouver un endroit sympathique pour faire des Rp sans prise de tête et dans un univers passionnant.
Un dernier mot ? // Pensez à manger 5 cookies par jour