How to speedrun la vie
Ft. Maya
Blablabla
Aujourd’hui j’avais réussi à … quitter un peu Kishika !
Oui, c’était quelque chose qui était vraiment hors de ma zone de confort. J’étais là, à Nemerya, dans un atelier de plein, entouré de plein de gens inconnus.
Autant dire que … je restais très nerveux ! C’était rare que je quitte ma ville natale, surtout de mon plein gré, ainsi. Cependant … j’aimais toujours élargir un peu mes connaissances et mes compétences pour tout ce qui touchait à l’illustration, alors… oui, je m’étais inscrit tout seul, et j’étais venu tout seul, aussi !
Ça ne paressais sans doute pas être grand-chose, mais ça restait un victoire pour moi, qui était resté plusieurs années enfermé chez moi.
De nombreuses toiles, une pour chaque personne. Pinceaux et peintures étaient disséminées un peu partout dans la salle.
Et moi, j’étais debout, illustrant avec timidité et hésitation quelques plantes. Il y avait beaucoup de monde, quand même ! Des gens de tout horizon … des adolescents, tout comme des parents. Les publics étaient variés, en somme !
J’allais appliquais du jaune, pour peindre une jonquille, mais…
Ah, zut ! Il n’y en avait plus … plus sur ma palette, en tout cas.
Je regardais à droite, puis à gauche, à la recherche de cette couleur manquante. Enfin, j’aperçu un petit pot, sur une table.
Soulagé, je soupirais doucement avant de traverser la salle pour récupérer cette teinte. Ensuite, je retournais vers ma toile et ...
Il y avait quelques chose … qui c’était pris dans mes chaussures ! A moins que mes lacets fussent défaits ? Je n’en avait aucune idée !
Le résultat restait le même … une chute !
- A-Ah … !
Je me redressais un peu, les joues rouges comme une coquelicot venant de fleurir. Mais …. Et le pot de peinture ?!
Mes yeux se posèrent sur le sol, où quelques gouttes coulaient. Puis, je redressais le regard et …
…
Tout le contenu, ou en tout cas la grande majorité … était étalé sur le haut d’une jeune femme.
M-Mince !
Je me redressais vivement, j’avais l’impression que j’allais mourir de gêne !
Et, dans un geste plein d’humilité, je baissais un peu la tête.
- Je .. Je suis terriblement désolé !!-- …Je…Je…Je vais vous aidez à nettoyer !
Vite.. du…du papier ! Argh, je m’en voulais tellement !
Oui, c’était quelque chose qui était vraiment hors de ma zone de confort. J’étais là, à Nemerya, dans un atelier de plein, entouré de plein de gens inconnus.
Autant dire que … je restais très nerveux ! C’était rare que je quitte ma ville natale, surtout de mon plein gré, ainsi. Cependant … j’aimais toujours élargir un peu mes connaissances et mes compétences pour tout ce qui touchait à l’illustration, alors… oui, je m’étais inscrit tout seul, et j’étais venu tout seul, aussi !
Ça ne paressais sans doute pas être grand-chose, mais ça restait un victoire pour moi, qui était resté plusieurs années enfermé chez moi.
De nombreuses toiles, une pour chaque personne. Pinceaux et peintures étaient disséminées un peu partout dans la salle.
Et moi, j’étais debout, illustrant avec timidité et hésitation quelques plantes. Il y avait beaucoup de monde, quand même ! Des gens de tout horizon … des adolescents, tout comme des parents. Les publics étaient variés, en somme !
J’allais appliquais du jaune, pour peindre une jonquille, mais…
Ah, zut ! Il n’y en avait plus … plus sur ma palette, en tout cas.
Je regardais à droite, puis à gauche, à la recherche de cette couleur manquante. Enfin, j’aperçu un petit pot, sur une table.
Soulagé, je soupirais doucement avant de traverser la salle pour récupérer cette teinte. Ensuite, je retournais vers ma toile et ...
Il y avait quelques chose … qui c’était pris dans mes chaussures ! A moins que mes lacets fussent défaits ? Je n’en avait aucune idée !
Le résultat restait le même … une chute !
- A-Ah … !
Je me redressais un peu, les joues rouges comme une coquelicot venant de fleurir. Mais …. Et le pot de peinture ?!
Mes yeux se posèrent sur le sol, où quelques gouttes coulaient. Puis, je redressais le regard et …
…
Tout le contenu, ou en tout cas la grande majorité … était étalé sur le haut d’une jeune femme.
M-Mince !
Je me redressais vivement, j’avais l’impression que j’allais mourir de gêne !
Et, dans un geste plein d’humilité, je baissais un peu la tête.
- Je .. Je suis terriblement désolé !!-- …Je…Je…Je vais vous aidez à nettoyer !
Vite.. du…du papier ! Argh, je m’en voulais tellement !