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C'est joli, chez vous. Permettez... ? | feat. Suh-Joon Kim
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C'est joli, chez vous. Permettez… ?
Gareth est devant une porte. C'est celle d'un charmant logis, dans les marges de Kishika. Le voilà tout endimanché (c'est-à-dire qu'il a passé ses seuls vêtements au pressing ; allez savoir comment il fit le temps qu'ils se faisaient blanchir, en prenant le climat en compte, ainsi que les us naturistes), tel un témoin de Mewthree qui s'en viendrait frapper chez vous annoncer la bonne nouvelle (à seuls, ceux qui paieraient la dîme et vénéreraient Mewthree, cela va sans dire, bien sûr ; à eux, après le Jugement, un ravissement aura lieu qui les prendra à Arceus, et voici, ils atterriront chacun sur sa propre planète, où ils pourront donner naissance à Mewfour, à Mewfive, à des Mews jusqu'à l'infini).

Cette journée est ravissante. Gareth a tout l'air d'apprécier tout le flegme qui s'en dégage, à ne pas compter le journal qu'il écrabouille dans son dos avec sa main droite crispée. C'est celui qu'il lisait tantôt, dans un café de Port-Corail. Quelle ne fut pas sa surprise, entre quatre chiens écrasés et trois bottins sans intérêt, de voir deux clichés de lui-même en première de couverture, dans la section
« portraits banals » de la catégorie « artistes ». La description n'avait de cesse de louer le talent sans bornes de « l’amateur Johnny Soon-Kim », dont le pigiste proclamait le connaître, et même en personne, trouver son nom bourré de sens pour le sujet dont il traitait, selon une étymologie qu'il ne daignait pas préciser.

Il importe peu à Gareth toutes ces viles lècheries, ces promesses d'un gros salaire qui ne viendrait sans doute pas ; tout ce qu'il sait, c'est que cet homme a pris deux clichés clairs de lui, que plusieurs milliers de personnes ont vu, aujourd'hui, dans la presse. Précaution n'est pas parano ; aussi vint-il chez M. Kim, histoire de mieux le connaître, de découvrir ses intentions, si l'intérêt qu'il a pour lui n'en est vraiment qu'un d'anodin, et si...

Il serre dans sa poche un appareil électronique fait pour coller sous les tiroirs et dans les recoins les plus sombres. Sierra, sa fiable Sonistrelle, fait des rondes aux environs.

Gareth range enfin le journal et, enfin, il frappe à la porte.


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C'est joli, chez vous. Permettez... ?

— ft. Gareth Kreutznär

Complètement recru de fatigue et affamé, il ne parvenait même plus à bouger ne serait-ce qu'un doigt de pied. Cloué au lit, Suh-joon n'avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle il avait contracté telle maladie.

Avec Minki endormi, le calme qui régnait au sein du logis lui permettait en quelque sorte de lénifier son esprit. Malgré l'envie de s'écrouler et son état fiévreux, le jeune homme aux jambes flageolantes parvint à s'hisser jusqu'au plan de travail de sa cuisine, prenant murs et meubles à sa portée comme appui.

À présent confortablement installé au fond de son canapé, le riverain se baignait tranquillement au soleil de printemps, un bol de porridge dans les mains pour faire passer sa faim. Alors qu'il s'apprêtait à terminer les dernières bouchées de sa collation, quelqu'un se présenta à sa porte.

Tel un cabot surexcité lorsque l'on vient à sonner, le petit Griknot bondit hors de son lit et laissa cours à ses cris incoercibles. Devait-il recevoir du monde aujourd'hui ? Aucune idée, quelque peu étourdi, Suh-joon n'avait plus vraiment connaissance de son emploi du temps. La majeure partie du temps, le photographe en herbe ne recevait que très peu ses clients dans son logement - du fait que les commandes et les échanges se déroulaient principalement au travers d'internet -. Néanmoins, il lui arrivait d'en accueillir quelques-uns de temps en temps : comme ce fut le cas de cet éditeur d'un hebdomadaire de Port-Corail, il y a de ça une dizaine de jours.

Le jeune homme se retira de son sofa pour gagner son hall d'entrée, titubant et menaçant de s'effondrer à tout instant. Il passa rapidement l'œil à travers le judas de sa porte et décida de l'ouvrir sans trop y réfléchir : face à lui, un individu au visage dont il n'était pas familier.

B-bonjour, en quoi puis-je vous aider ?

Fatigué à l'idée de tenir une conversation sur ses deux jambes, il pivota sur ses talons et se mit à rejoindre son salon.

Entrez je vous en prie, n'oubliez pas de fermer derrière vous...
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C'est joli, chez vous. Permettez… ?
Gareth ne se fait pas prier. Il ferme la porte derrière lui et l'éphèbe décharné. « Vous avez l’air plutôt patraque. » constate-t-il d’un air inquiet. « Vous préféreriez peut-être que je revienne un autre jour… ? »

Gareth n'a aucune intention de reporter cette visite, mais à voir l'état de son homme, il juge bon de lénifier plus encore sa vigilance par quelques tons de courtoisie, estimant que, dans tous les cas, lorsqu'on tient à peine debout, diminué par la maladie, on est porté à obéir à quiconque vous parlerait aussi doucement qu'un soignant. Il dit : « M. Kim, je présume ? » mais il a déjà sa réponse : une politesse de plus pour mettre le bougre en confiance, qui, du reste, ne répond rien, acquiesce à peine sans rien dire.

Gareth scanne alors le salon, à la recherche, notamment, de recoins jamais nettoyés. Ce n'est qu'alors qu'il s'aperçoit de la présence d'un Griknot, qu'il s'agira de prendre en compte au moment de passer à l'acte. S'il ne lui saute pas au cou, à la gorge ou la jugulaire, le Terrequin aux airs de chien n'est pas d'humeur neutre pour lui. Gareth devine dans ses yeux la méfiance qu'a le molosse envers qui vient troubler son maître, a fortiori quand celui-ci est diminué par quelque mal. Mais ses quenottes, occupées à vous ravager le ménage, comme on le devine courant à voir l'état de la commode et de tous les meubles à pieds, et les macchabs de capiton qu'on balaya à la va-vite sous les tapis de la maison pour enterrer le triste sort de braves peluches bourrées, finiraient par être distraites et par lui laisser le champ libre. Par la fenêtre du salon, il aperçoit sa Sonistrelle, qui n'a toujours rien émis à l'autre appareil qu'il transporte, qui ferait un son distinctif si la voie n'était plus libre. Gareth prend place auprès de l'homme, à qui il montre le journal.

« S’il est peut-être un peu froissé, on reconnaît qui y figure. Vous reconnaissez vos clichés, n’est-ce pas, très cher M. Kim ? Je me suis trouvé honoré d’avoir été pris pour sujet par quelqu’un de votre talent. Je suis très bien, sur ce portrait (c’est vous que je flatte, pas moi) et, d’avoir vu jaillir votre art, j’en ai voulu vous rencontrer, et dans les délais les plus brefs. Je voudrais tout savoir sur vous. Oh ! Mais, ne vous dérangez pas. Je vais nous apporter à boire. Votre cuisine, c’est par là… ? »


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C'est joli, chez vous. Permettez... ?

— ft. Gareth Kreutznär

Il laissa son corps dolent, ulcéré, retomber en arrière dans le canapé. Bercé par les babillages du vent dans le feuillage, emmitouflé dans un plaid quelque peu usé, Suh-joon était tenté de sombrer à nouveau dans le sommeil. La maladie l'avait effectivement amoindri, et ça, son visiteur l'avait bien relevé.

Certainement pas d'humeur à sociabiliser, mais en considération quant au trajet que cet inconnu avait bien pu parcourir pour le retrouver : son mal en patience, il fit l'effort de ne pas le faire déguerpir et secoua ainsi sa tête de droite à gauche pour répondre à son interlocuteur.

Avec son maître affaibli, Minki s'était glissé sous sa couverture - sans aucun doute pour tirer profit de la chaleur corporelle de celui-ci -. L'une de ses nombreuses peluches défigurées dans sa mâchoire, il accordait plus d'attention au peu de rembourrage de cette dernière que les faits et gestes de l'homme en quête d'une théière.

La faculté d'une personne lambda à plus ou moins discerner les esprits malévoles, Suh-joon l'avait perdue. Tête en l'air par nature, la maladie l'avait rendu encore moins soucieux de son environnement. 「M.Kim」— le jeune homme n'avait pas souvenir de le connaître, peut-être avait-il appris son prénom par l'intermédiaire de sa boîte aux lettres ? Et voilà qu'on lui tendit un journal au nez, quelque peu chiffonné : l'hebdomadaire de la ville portuaire. Les clichés qu'il avait produits pour l'un des articles lui étaient montrés du doigt, deux photos : Suh-joon s'était posté en hauteur pour les prendre, sur une terrasse sur pilotis, lui semblait-il. On y reconnaissait clairement son présent visiteur parmi la multitude de personnes au pied des quelques immeubles qui se dressaient face au port maritime.

En temps normal, de telles louanges l'auraient évidemment flatté ; mais en son état actuel, il en demeurait taciturne, haussait les épaules sans plus.

En apprendre plus sur moi ?

Suh-joon leva les sourcils d'incompréhension, avala la dernière bouchée de sa collation et se racla la gorge pour éclaircir sa voix.

J-je ne pense pas être très intéressant... Que cherchez-vous à savoir à mon propos ?
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C’est joli, chez vous. Permettez… ?
Gareth est pris au dépourvu. Réponds. Un peu de répartie. Quelque chose. N’importe quoi.

Avec le recul du moment, force est de devoir constater qu’il est peu de choses à dire qui ne le fassent pas passer soit pour un fan injustifié en manque immense d’attention, soit pour un fâcheux qui voudrait faire valoir soit droit d’image. Si son homme avait été mieux, il aurait simplement roulé sur son amour-propre repu ; or, amenuisé comme il est, le photographe n’est d’humeur qu’à aller droit au but. Que faire… ?

Le Griknot qu’il croyait alerte semble l’ignorer à présent. « J’ai dû me tromper sur son compte », se dit Gareth à part lui-même. Le son des arbres éventés par Éole et Morphée unis fait son effet sur le fiévreux, sis sous un tartan éraillé et donnant l’air, à tout instant, d’être tenté de s’allonger. « Je peux procéder. En avant. »

Tout en adressant des regards réguliers à son hôte pâle pour s’assurer que celui-ci frôle bien la somnolence, Gareth couvre le son qu’il fait à farfouiller par-ci, par-là, en jacassant avec lenteur : « Oh ! « Je veux tout savoir sur vous », c’est une façon de parler. C’est un ami qui m’a montré ce journal par hasard, voyez ? Moi, je le lis très rarement. Et bien, cet ami-là m’a dit que j’étais très… photogénique. Je ne connaissais pas ce mot, « photogénique ». Étonnant, non ? »

Bingo. Un tiroir de console contient tout un tas de clichés, dont celui qui gêne Gareth, qui semble être l’original. Il ne se rend compte qu’alors qu’il doit avoir numérisé cette photo, pour l’envoyer. Autant l’emporter tout de même. Gareth aurait porté l’audace jusqu’à voler l’ordinateur du jeune homme, si… et puis, zut : il le garderait pour la fin, mais il s’en emparerait bien, ainsi que de son téléphone. Le moment est bien trop propice, au vu du double nonchaloir du proprio et sa bestiole. Ce brave homme lui a tout l’air de ne pas rouler sur de l’or, mais sa vie est peut-être en jeu, si ce numéro de journal tombait entre les griffes de…

Gareth, soudain, s’immobilise, et a arrêté de parler. Que fabrique-t-il donc ici ? Et ceux qu’il craint à la folie, que fabriqueraient-ils par-là ? Il ne se rend même pas compte qu’il manipule le mouchard et manque de bien le coller ; l’objet s’abat sur le parquet pile au pire angle imaginable et se casse avec un gros bruit. « Pardon, j’ai fait tomber le sucre. » Gareth ramasse les morceaux et les enfonce dans sa poche. Il se relève et se retrouve juste en face de la théière. Sans réfléchir, il fait bouillir un litre d’eau et va chercher les infusions dans un tiroir. « Pour répondre à votre question, parlez-moi donc de vos projets, de votre succès jusqu’ici… d’accord… je vois… ah, oui… c’est ça… vous avez besoin d’un modèle ? Si c’est le cas, je peux peut-être… »

Tu perds la tête, mon Gareth. Tu dois faire à peine la taille qu’ils veulent pour les mannequins. Et puis, le problème est ailleurs : on est là pour annihiler toute trace de ton passage dans les environs à la source. Pourquoi, donc, s’en prendre à cet homme, au lieu des maisons d’éditions, au lieu d’attaquer le journal ? Et même cela n'irait pas, n'arrangerait point nos affaires. Ta position est intenable. Tu ne le sais que trop bien : c’est du cinéma, tes magouilles, du grand guignol illégitime. On te connaît bien, dans le coin, depuis le temps que tu t’y trouves. Même si tu n’as pas donné ton nom à un homme sur dix, tous ceux que tu as assistés ont parlé de toi à leurs potes. Mec, tu as un réseau tout prêt, que tu repousses sans arrêt. Et tu prétends vouloir te battre pour t’intégrer au corps social ? Que perdons-nous tout notre temps à fuir ce que nous poursuivons ? C’est un paradoxe puéril que celui où tu te renfermes. L’ermitage t’est confortable. En jouant les agents secrets au nom, quoi ? d’une appartenance aux Rocket dans une autre vie ? Tu t’inventes de faux tracas que tu pourrais ne pas avoir. Dis la vérité à cet homme. Ou mieux : ne lui dis rien du tout, et laisse-le se reposer.

« Saviez-vous que votre éditeur avait écorché votre nom ? En arrivant devant chez vous, j’avais cru que j’aurais affaire à un certain « Johnny Soon-Kim », mais ce n’est qu’en posant les yeux sur le nom sur la boîte aux lettres que j’ai lu qu’en fait, vous étiez M. Suh-Joon Kim. Non, vraiment, ces patrons pourraient bien daigner avoir un peu plus de respect. »

Gareth sert le thé et le pose sur la table devant Johnny. Par réflexe, il était tout prêt à emporter la grande assiette dans laquelle il avait mangé, cet alité hospitalier, avant que de se rendre compte qu’elle était à peine entamée, tant le malade avait du mal à avaler quoi que ce soit. M. Kim avait dû avoir l’impression d’un festin de roi, alors qu’il était à grand jeun. Gareth sirote alors sa tasse dans un silence sépulcral, comme un moine atteint de la peste prend sa dernière eucharistie en s’adressant à la camarde. Puis, il se lève brusquement. Le récepteur qu’il transportait sonne tout comme un téléphone. Sierra a vu quelqu’un venir et il est temps de déguerpir.

« Bon, dormez. Je repasserai. »

Gareth s’apprête à disparaître sans demander rien ni son reste, puis s’arrête devant la porte, voit que M. Kim et son chien ne lui prêtent pas attention, prend la photo qu’il désirait, un ordinateur, un portable, et se taille avec son butin. Il referme tant bien que mal la porte avec ses mains trop pleines et n’a plus le temps d’hésiter : il voit au loin se profiler la silhouette d’un policier. Il se jette dans les fourrées et carapate vers son camp, la boule au ventre, qui n’a rien d’un point de côté, rien du tout.



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— ft. Gareth Kreutznär

Pris de vertiges, il ouvrit les paupières dans son salon. La fièvre à présent passée et les maux de tête estompés, Suh-joon se releva sur le rebord de son sofa. Le jeune homme prit le temps de collecter ses souvenirs, bien que quelque peu flous. Que s'était-il passé hier ?

Minki ronflait à ses côtés, à la manière d'un atelier de maréchal-ferrant - comment pouvait-il être aussi bruyant ? -. Suh-joon eut le réflexe d'enfoncer ses mains dans les poches de son falzar afin d'en ressortir son portable... qu'est-ce que ? Son téléphone ne s'y trouvait pas, peut-être l'avait-il laissé traîner sur son bureau ou reposer dans un tiroir.

En pénétrant dans sa chambre, quelque chose attira de suite son regard : la disparition de son ordinateur. Suh-joon ne bougeait que rarement son outil de travail, et s'il lui arrivait de le déplacer, ce n'était que pour dépoussiérer sa table de travail avant de le repositionner.

Un premier tiroir, un second, puis un troisième... Le riverain retourna la maison de fond en comble : mais toujours rien, pas de téléphone ou d'ordinateur en vue. Sa collection d'appareils photo n'avaient pas bougé ni même la pile de disque dur externe dissimulée dans un carton au fond de sa garde-robe.

Bien que son jeune ami ait une fâcheuse tendance destructrice, il n'allait jamais toucher aux effets personnels que son maître chérissait - avoir des meubles neufs ne serait pas de refus, mais bon s'il faut choisir hein... -. Quelqu'un l'avait rendu visite la veille, quelqu'un en effet. Le jeune homme ne parvenait pas à poser de nom sur le visage qui lui venait en tête, un inconnu, qui pouvait-il bien être ? Un agent de surveillance de la voie publique était également venu frapper à sa porte : le même flic qui l'avait rendu visite plus tôt cette semaine. Néanmoins ce dernier n'avait pas pénétré dans son domicile. Le policier n'était venu que pour saluer le voisinage et prendre des nouvelles du pauvre Johnny, souffrant depuis ces derniers jours.

Il n'y avait pas besoin de chercher bien loin : le coupable d'un tel cambriolage n'était nul autre que cet inconnu, conclut-il après une demi-heure de réflexion. Comment pouvait-il le retrouver ? Suh-joon ne disposait d'aucune piste. En y réfléchissant, les clichés que le photographe en herbe avait pris avaient été le centre de la discussion durant un court instant. L'image d'un journal fripé apparut vaguement dans son esprit... Port-Corail ? Le jeune homme se souvint avoir fourni des photos à un hebdomadaire de la ville portuaire, peut-être devait-il commencer par enquêter sur ladite publication ?

Il lui fallait un cellulaire pour contacter l'éditeur afin de se le procurer, ou bien lui fallait-il s'y rendre sur place afin d'y obtenir un exemplaire ? Pour l'instant, l'heure n'était pas à de tels tracas : le bordel qu'il avait produit, quelqu'un se devait bien de le ranger.

Aah... Qu'est-ce que j'ai faim...
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