Ambroise Louvet
Feat Ai Mikaze de Uta no Prince-sama
16 6 décembreSinnoh Masculin En recherche Eclipse
DéfautsCurieuxNaïfDistraitSusceptible
QualitésEnthousiasteJoueurSouriantRêveur
DéfautsCurieuxNaïfDistraitSusceptible
Description
Cachée sous l’eau, une paire d’yeux discrète observe ce qu’il se passe sur la berge. Le spectacle va bientôt commencer …
L’acteur principal entre en scène avec, en guise de lever de rideau, le lever du soleil. Il est venu très tôt, profiter du silence et du calme qui règne à cette heure-ci au bord de l’eau. Simplement vêtu d’un large sweat à capuche et d’un maillot à fleurs, il dépose son sac à dos sur la rive avant de se déshabiller, dévoilant une silhouette frêle et une peau claire comme la lune.
Comme chaque fois qu’il vient, cet étrange personnage s’avance alors dans l’eau fraîche. Ce n’est pas la première fois qu’il se rend dans ce petit coin de paradis à cette heure matinale pour admirer le soleil se lever et contempler l’eau se teinter de rose lorsque les premiers rayons du jour illuminent le ciel. Il apprécie ce contraste, la sensation mordante et pourtant savoureuse de l’eau froide, et celle réconfortante des rais lumineux qui réchauffent sa peau.
Le garçon n’est pas très âgé, il a encore un corps d’adolescent et une frimousse enfantine : deux yeux pétillants aux iris d’un turquoise aussi pur que celui de l’eau dans laquelle il se baigne. Ses pommettes sont souvent relevées par le sourire amical qu’il affiche dès qu’il croise quelqu’un. Pourtant, en ce moment, il arbore une expression bien différente : son visage est tourné vers le ciel, son regard perdu dans le vide et ses sourcils légèrement froncés. C’est l’un des rares moments où il affiche une mine aussi concentrée. Perdu dans ses rêveries, il prend une profonde inspiration et se couche un instant sur le dos, porté par les mouvements de l’eau. Ses longs cheveux azurs trempent alors dans l’eau, formant une large masse flottante à sa surface. Le temps semble figé alors qu’il mime l’étoile de mer.
Ses pensées évoluent autour de lui alors qu’il se laisse aller à faire une culbute dans l’eau avant de se relever. Il secoue la tête, sa chevelure projetant de l’eau partout autour de lui. Il laisse échapper un éclat de rire, amusé par sa propre action un peu puérile. Une mèche bleue retombe devant ses yeux alors que le reste de la masse retombe jusqu’à ses épaules.
L’unique spectateur se rapproche. Il avance, plus près que les fois précédente. Une fois à ses côté, il sort le museau, presque à portée de la main du baigneur. Pour la première fois, leurs regards se croisent vraiment. Un même éclat apparaît alors dans les pupilles de chacun, une lueur de défi, une furieuse envie de se prêter au plus simple de tous les jeux : « Attrape-moi si tu peux »
Rouchon
MustébouéeMâleCe Mustébouée, Rouchon de son petit surnom, est un pokémon jeune et fougueux. Curieux de nature, il a été intrigué par un garçon en qui il a vu un nouveau compagnon de jeu. À force de se retrouver à l’aube au bord d’une plage, ils ont fini par s’apprivoiser l’un et l’autre et passent aujourd'hui le plus clair de leur temps ensemble à explorer la moindre grotte ou le moindre lac à leur portée à la recherche d’une aventure palpitante.
Histoire
« Ton sac est prêt mon chéri ? »
Ah … Les mamans, vous savez comment c’est. On a beau être un grand garçon, elles veulent toujours veiller sur nous comme sur l’enfant que l'on a été autrefois. J’ai 16 ans maintenant et je m’apprête à partir à l’aventure, bien sûr que mon sac est prêt !
« Tiens je t’ai mis de quoi grignoter dans la poche de ton sac à dos… Et puis quelques paires de chaussettes dans ta valise, tu allais partir sans elles mon loulou ! »
Bon … mon sac était presque prêt... J’ai un peu tendance à être tête en l’air c’est vrai. Mais maintenant que j’ai le nécessaire pour ne pas avoir ni faim ni froid au pied, je suis vraiment prêt à prendre le large ! C’est aujourd’hui que je me rends sur Lumiris pour y vivre le plus fascinant de tous les voyages que je n’ai jamais entamé !
À vrai dire, l’ensemble de mes expéditions étaient décrites dans un petit carnet que j’avais commencé à noircir quand j’étais encore tout petit. Les premières pages y racontent avec quelques mots simples et une orthographe douteuse les aventures d’un petit garçon qui explore le jardin ou le grenier de la maison de ses grands parents. Au fur et à mesure des années, la zone d'observation s’élargit un peu plus loin, un peu partout dans le village, dans le parc puis dans la campagne aux alentours. À l’époque, je savais tout ce qu'un jeune garçon pouvait savoir sur les Pokemon insectes de la région. Et puis … Plus rien... Que des feuilles vierges. Tout s’est arrêté du jour au lendemain.
Mes parents et moi avions déménagé dans une grande ville et je détestais cet endroit ! Comme j’étais encore trop jeune, mes parents ne voulaient pas que j’aille me promener seul dans la cité. C’était pour mon bien mais lentement, mon entrain a laissé place à l’ennui. Je n’avais plus grand-chose à explorer maintenant que j’étais coincé dans ce petit appartement. Alors je laissais de côté mes observations pour passer mollement mon temps libre devant la télévision.
Voyant que la métropole avait transformé leur fils en une loque, mes parents m’ont proposé d’aller passer deux mois chez mes grands-parents, non loin de l’endroit où nous habitions avant. Sans une once d’hésitation j’ai accepté et foncé chez eux pour y retrouver mon terrain de jeu favori ! Je passais le plus clair de mon temps à aider mon grand-père et ma grand-mère pour les petites tâches du quotidien mais ces activités me laissaient tout de même suffisamment de temps libre que pour redécouvrir les beautés du monde qui m’entourait.
C’est lors de ces vacances que j’ai fini par apprivoiser « Rouchon », un Mustébouée un petit peu taquin. C’est là que j’ai retrouvé mon émerveillement pour le monde. À mon retour en ville, j’ai présenté mon nouvel ami à mes parents et cassé ma tirelire pour me payer un billet pour le bateau. La différence entre le triste petit garçon qu’ils avaient envoyé à la campagne et celui plein d’entrain qui était revenu plusieurs mois plus tard leur a bien prouvé qu’un nouveau voyage serait le meilleur moyen de le laisser s’épanouir.
C’est comme ça que je me retrouve à présent, sur le pont du ferry après un câlin étouffant et un bisou sur le front, probablement le dernier avant un bon moment. Je fais signe à mes parents au loin, alors que le bateau s’éloigne doucement. Mon père et ma mère deviennent de plus en plus petits, je les devine essuyer une petite larme. Moi aussi je suis ému… J’ai bien envie de prendre une petite photo des quais à l’horizon et, alors que je fouille dans mon sac à dos, je retrouve quelques biscuits et un joli carnet, à moitié rempli par les écritures d’un enfants avec des idées plein la tête. En le feuilletant le sourire aux lèvres, je découvre que deux personnes attentionnées se sont appropriées l'une des pages blanches pour y calligraphier ces magnifiques mots:
« À suivre, ... »
Ah … Les mamans, vous savez comment c’est. On a beau être un grand garçon, elles veulent toujours veiller sur nous comme sur l’enfant que l'on a été autrefois. J’ai 16 ans maintenant et je m’apprête à partir à l’aventure, bien sûr que mon sac est prêt !
« Tiens je t’ai mis de quoi grignoter dans la poche de ton sac à dos… Et puis quelques paires de chaussettes dans ta valise, tu allais partir sans elles mon loulou ! »
Bon … mon sac était presque prêt... J’ai un peu tendance à être tête en l’air c’est vrai. Mais maintenant que j’ai le nécessaire pour ne pas avoir ni faim ni froid au pied, je suis vraiment prêt à prendre le large ! C’est aujourd’hui que je me rends sur Lumiris pour y vivre le plus fascinant de tous les voyages que je n’ai jamais entamé !
À vrai dire, l’ensemble de mes expéditions étaient décrites dans un petit carnet que j’avais commencé à noircir quand j’étais encore tout petit. Les premières pages y racontent avec quelques mots simples et une orthographe douteuse les aventures d’un petit garçon qui explore le jardin ou le grenier de la maison de ses grands parents. Au fur et à mesure des années, la zone d'observation s’élargit un peu plus loin, un peu partout dans le village, dans le parc puis dans la campagne aux alentours. À l’époque, je savais tout ce qu'un jeune garçon pouvait savoir sur les Pokemon insectes de la région. Et puis … Plus rien... Que des feuilles vierges. Tout s’est arrêté du jour au lendemain.
Mes parents et moi avions déménagé dans une grande ville et je détestais cet endroit ! Comme j’étais encore trop jeune, mes parents ne voulaient pas que j’aille me promener seul dans la cité. C’était pour mon bien mais lentement, mon entrain a laissé place à l’ennui. Je n’avais plus grand-chose à explorer maintenant que j’étais coincé dans ce petit appartement. Alors je laissais de côté mes observations pour passer mollement mon temps libre devant la télévision.
Voyant que la métropole avait transformé leur fils en une loque, mes parents m’ont proposé d’aller passer deux mois chez mes grands-parents, non loin de l’endroit où nous habitions avant. Sans une once d’hésitation j’ai accepté et foncé chez eux pour y retrouver mon terrain de jeu favori ! Je passais le plus clair de mon temps à aider mon grand-père et ma grand-mère pour les petites tâches du quotidien mais ces activités me laissaient tout de même suffisamment de temps libre que pour redécouvrir les beautés du monde qui m’entourait.
C’est lors de ces vacances que j’ai fini par apprivoiser « Rouchon », un Mustébouée un petit peu taquin. C’est là que j’ai retrouvé mon émerveillement pour le monde. À mon retour en ville, j’ai présenté mon nouvel ami à mes parents et cassé ma tirelire pour me payer un billet pour le bateau. La différence entre le triste petit garçon qu’ils avaient envoyé à la campagne et celui plein d’entrain qui était revenu plusieurs mois plus tard leur a bien prouvé qu’un nouveau voyage serait le meilleur moyen de le laisser s’épanouir.
C’est comme ça que je me retrouve à présent, sur le pont du ferry après un câlin étouffant et un bisou sur le front, probablement le dernier avant un bon moment. Je fais signe à mes parents au loin, alors que le bateau s’éloigne doucement. Mon père et ma mère deviennent de plus en plus petits, je les devine essuyer une petite larme. Moi aussi je suis ému… J’ai bien envie de prendre une petite photo des quais à l’horizon et, alors que je fouille dans mon sac à dos, je retrouve quelques biscuits et un joli carnet, à moitié rempli par les écritures d’un enfants avec des idées plein la tête. En le feuilletant le sourire aux lèvres, je découvre que deux personnes attentionnées se sont appropriées l'une des pages blanches pour y calligraphier ces magnifiques mots:
« À suivre, ... »
Sonakhiin 21 ans Masculin Belgique Étudiant
Comment a-tu découvert le forum ? InterforumTon Pokémon préféré : Héricendre (et le duo Latios/Latias)As-tu un parrain ? Iris Lindley (Henkaku)Un dernier mot ? (Euh ? Mortadelle ?) Un coucou et un cookie aux joueurs qui m'ont fait découvrir le forum aux interfofos