Cid Freed
Haruhiro de GRIMGAR
19 ans 15 novembre Lumiris Homme Sans emploie, cependant on lui doit une bonne moitiée des graffitis qui couvrent les murs de la ville de Mirawen Pléiade
DéfautsFaignantInsolentCurieuxGourmandTétus
QualitésPassionéBlagueurSociablePartageurLoyal
DéfautsFaignantInsolentCurieuxGourmandTétus
Description
Bien qu’âgé de dix neuf années et mesurant dans les 1m70, le visage de Cid avait su garder cette douceur juvénile qui le caractériser tant, sans doute était-ce la raison pour laquelle on se sentais si facilement à l’aise à ses côtés. Pas très gros, on ne pouvait pas non plus dire qu’il était musclé, possédant un corps fin et élancés, d’une agilité prompte à toute sorte de fuite, il était plutôt quelconque. Sa tignasse brune couper court ainsi que ses deux pupilles d’une couleur similaire ne l’aidant pas beaucoup dans ce sens, ce qui ne dérangeait pas Cid pour qui passer inaperçus avait toujours était préférable.
Cotés vestimentaire ne vous attendez à rien d’extravaguant non plus. Souvent vêtu de noir ou de gris, il a tendance à privilégier les sweats à capuche, le genre de vêtement pratique lorsque l’on sort de nuit pour recouvrir les murs de dessins.
D’un naturel à rêvassait, rien ne plait plus à Cid que de lézardé au soleil, un calepin à la main, à imaginer sa prochaine œuvre. Car s’il y a bien une chose que le jeune homme fait mieux que dessiner, c’est d’échapper à ses responsabilités, c’est à cette aspect de sa personnalité que l’on lui doit sa ribambelle d’ancien « petit boulot » desquels il fini toujours par se faire virer. Mais si on arrive à passer outre cette image flemmarde et désintéressé, on découvre un jeune homme au grand cœur qui serrait prêts à tout pour ses amis et qui ne renonce devant rien pour obtenir ce qu’il veut. Parce que oui, en effet, lorsque Cid se décide enfin à se bouger ou à s’intéressé, il peut faire preuve d’un tempérament incroyablement têtu.
En fin de compte, ce que l’on retient de Cid, c’est cette désinvolture naturelle qui, lorsqu’on le connait, se change en un jeune homme blagueur qui n’a pas la langue dans sa poche, bien que ce ne soit jamais en mal. Très peu connaisse l’artiste qui se cache derrière les gigantesques fresques de pokemon, qui semble s’étire de nuit en nuit sur les murs de Mirawen.
Ayant grandie bercés par ses deux plus grandes passions : le dessin et les combats Pokémon à la télé, ce n’est que récemment qu’il se prit à s’imaginer de l’autre cotés de l’écran durant ses derniers.
Grosse Loque
RamolossFemellePendant des années l'homme et le pokémon eurent le même lieu de prédilection pour la procrastination, et au fil de ses années à partager le même caillou pour cuir au soleil, une amitié était née. Ce n'est que récemment que Cid avait réalisé que le Ramoloss le considérés comme son maitre, ou du moins comme son grand ami. Ainsi le pokémon qu'il s'était ironiquement mit à appeler "Grosse loque", car elle semblait si bien incarnée la feignantise qui les avait réunies, s'était mis à le suivre partout. Cid touché d'un tel geste n'avait jamais eu à faire connaitre l'intérieur d'une pokéball à sa si précieuse amie, même si à la vitesse avec laquelle elle trainait son corps la majeure partie du temps, obligée le jeune homme à la portée sur son dos.
Histoire
Vous voulez que je vous raconte ma vie ? Euh, si vous voulez. Par où commencer ?
Aussi loin que je me souvienne j’ai toujours habité à Mirawen, le bruit de la foule et l’odeur ambiante de café rythmant mes journées. Mes premières années j’eut la chance de bénéficier d’une vie d’insouciance entouré de mes deux parents aimants. Très vite mon père me transmis la passion des combats pokemon et déjà petit je scrutais à la télé confortablement installer sur ses genoux. Puis vint la réalité, lorsqu’âgé de quatorze ans, mon père archéologue partie pour l’une de ses excursions pour ne jamais en revenir…
Il y eu de longue recherche, mais jamais on eut de réponse, et bientôt ma vie commença à changer. Ma mère, qui pleurait un époux, s’éloigna quelque peu du petit garçon que j’étais, Il y eu de longues recherches, mais jamais on eut de réponse, bientôt ma mère, pleurant la perte d’un marie, s’éloigna quelque peu de son fils qui aurait eu besoin plus que jamais d’être encadrés. Ainsi commença ma longue liste de journée à séchés les cours. Avec recul je pense qu’à cette époque c’était ma manière de fuir. Fuir quoi ? Tout ! Très vite je pris l’habitude de partir me refugier au bord du lac, un calepin à la main pour donner une substance à ce que je ressentais. De cet exutoire, naquit une passion. De représentation abstraite de sentiment, je passai bien vite à des images plus concrètes de pokémon ou d’autre inspiration, découvrant ainsi une passion pour le dessin. Et quand vint l’envie pour moi de le manifester… Un kaiminus géant apparut un beau matin, dessinés sur l’hôtel de ville ; mon tout premier taggue. Rien à voir avec une envie de détérioré mon entourage, simplement nés d’une envie de partageais. Qu’elle joie ce fut de voir les gens s’extasier sur son dessin. Depuis les pokémon se répande de nuit en nuit sur les murs de la ville, parfois restant une journée, parfois trente.
Au fils des années je gardai donc cette habitude, celle de quitter toute responsabilités pour me réfugier au bord du lac. Le petit garçon revanchard s’était déjà changé en l’individus rêveur que j’étais aujourd’hui, lorsque je fis une rencontre qui finirait par changer ma vie : sous la forme d’un ramoloss, qui à force de se laissais portée par l’eau, fini par s’échouer sur le rocher où j’étais installé. Amusé d’une telle apparition, et alors âgés de seize ans, je pris plaisir à partager mon repas avec le Pokémon avant de l’imités dans une sieste bienvenue. Ce jour-là, j’était loin de me douter que cela aller devenir un rituel.
A partir de là je commençai à voir la ramoloss de plus en plus souvent. D’abord de temps à autres, en quelque mois à peine je ne pus plus venir sur mon rocher sans d’abord l’apercevoir déjà occuper à m’attendre. Le pokemon que j’avais ironiquement nommer « Grosse loque » devint ainsi mon plus proche ami, prévoyant même de la nourriture pour elle à chacune de mes apparitions. Les années défilèrent, jusqu’au jour où après m’être levée pour rentrer j’eut la surprise de voir la ramoloss me suivre. Je l’en empêchai la première fois, mais je la retrouvai devant la porte mon appartement le lendemain matin. Touché par un tel geste, elle dormi chaque nuit qui suivie avec mon dans mon lit. Maintenant je me rends compte qu’elle me voyait déjà comme son maitre à cette époque, et pourtant il me fallut attendre quelques années, jusqu’il y a seulement quelque mois de maintenant, pour véritablement le reconnaitre. C’est lorsqu’en blaguant sur notre rocher, je lui avais un jour sous-entendus qu’un certain arbre bloquer le paysage, que j’avais put faire l’étonnante constations de voir le dit arbre éclater sous une attaque charge.
Ne sachant pas comment le prendre au début, je réalisai bientôt après plusieurs essaie, que ma Loque avait une pleine confiance en moi, suffisamment pour suivre mes ordres. Et pour la première fois je repensa aux combats pokémon que j’affectionnais tant, et commença à m’imaginer de l’autre côtés de la télé…
A présent je vie seule, ma mère ayant déménagé à Kanto avec son nouveau compagnon et n’ayant pas voulut la suivre. Enfin seul… Ma grosse loque et toujours présente elle, et ceux que je flemmarde devant la télé ou que je me fasse virée d’un énième job. Mais la tête plein de rêve, j'ai récemment fait l'acquisition de quelque pokéball.
Aussi loin que je me souvienne j’ai toujours habité à Mirawen, le bruit de la foule et l’odeur ambiante de café rythmant mes journées. Mes premières années j’eut la chance de bénéficier d’une vie d’insouciance entouré de mes deux parents aimants. Très vite mon père me transmis la passion des combats pokemon et déjà petit je scrutais à la télé confortablement installer sur ses genoux. Puis vint la réalité, lorsqu’âgé de quatorze ans, mon père archéologue partie pour l’une de ses excursions pour ne jamais en revenir…
Il y eu de longue recherche, mais jamais on eut de réponse, et bientôt ma vie commença à changer. Ma mère, qui pleurait un époux, s’éloigna quelque peu du petit garçon que j’étais, Il y eu de longues recherches, mais jamais on eut de réponse, bientôt ma mère, pleurant la perte d’un marie, s’éloigna quelque peu de son fils qui aurait eu besoin plus que jamais d’être encadrés. Ainsi commença ma longue liste de journée à séchés les cours. Avec recul je pense qu’à cette époque c’était ma manière de fuir. Fuir quoi ? Tout ! Très vite je pris l’habitude de partir me refugier au bord du lac, un calepin à la main pour donner une substance à ce que je ressentais. De cet exutoire, naquit une passion. De représentation abstraite de sentiment, je passai bien vite à des images plus concrètes de pokémon ou d’autre inspiration, découvrant ainsi une passion pour le dessin. Et quand vint l’envie pour moi de le manifester… Un kaiminus géant apparut un beau matin, dessinés sur l’hôtel de ville ; mon tout premier taggue. Rien à voir avec une envie de détérioré mon entourage, simplement nés d’une envie de partageais. Qu’elle joie ce fut de voir les gens s’extasier sur son dessin. Depuis les pokémon se répande de nuit en nuit sur les murs de la ville, parfois restant une journée, parfois trente.
Au fils des années je gardai donc cette habitude, celle de quitter toute responsabilités pour me réfugier au bord du lac. Le petit garçon revanchard s’était déjà changé en l’individus rêveur que j’étais aujourd’hui, lorsque je fis une rencontre qui finirait par changer ma vie : sous la forme d’un ramoloss, qui à force de se laissais portée par l’eau, fini par s’échouer sur le rocher où j’étais installé. Amusé d’une telle apparition, et alors âgés de seize ans, je pris plaisir à partager mon repas avec le Pokémon avant de l’imités dans une sieste bienvenue. Ce jour-là, j’était loin de me douter que cela aller devenir un rituel.
A partir de là je commençai à voir la ramoloss de plus en plus souvent. D’abord de temps à autres, en quelque mois à peine je ne pus plus venir sur mon rocher sans d’abord l’apercevoir déjà occuper à m’attendre. Le pokemon que j’avais ironiquement nommer « Grosse loque » devint ainsi mon plus proche ami, prévoyant même de la nourriture pour elle à chacune de mes apparitions. Les années défilèrent, jusqu’au jour où après m’être levée pour rentrer j’eut la surprise de voir la ramoloss me suivre. Je l’en empêchai la première fois, mais je la retrouvai devant la porte mon appartement le lendemain matin. Touché par un tel geste, elle dormi chaque nuit qui suivie avec mon dans mon lit. Maintenant je me rends compte qu’elle me voyait déjà comme son maitre à cette époque, et pourtant il me fallut attendre quelques années, jusqu’il y a seulement quelque mois de maintenant, pour véritablement le reconnaitre. C’est lorsqu’en blaguant sur notre rocher, je lui avais un jour sous-entendus qu’un certain arbre bloquer le paysage, que j’avais put faire l’étonnante constations de voir le dit arbre éclater sous une attaque charge.
Ne sachant pas comment le prendre au début, je réalisai bientôt après plusieurs essaie, que ma Loque avait une pleine confiance en moi, suffisamment pour suivre mes ordres. Et pour la première fois je repensa aux combats pokémon que j’affectionnais tant, et commença à m’imaginer de l’autre côtés de la télé…
A présent je vie seule, ma mère ayant déménagé à Kanto avec son nouveau compagnon et n’ayant pas voulut la suivre. Enfin seul… Ma grosse loque et toujours présente elle, et ceux que je flemmarde devant la télé ou que je me fasse virée d’un énième job. Mais la tête plein de rêve, j'ai récemment fait l'acquisition de quelque pokéball.
Pourquoi pléiade?
Il ne faut pas se laisser berner par la nature de Cid à fuir les responsabilités, car dans le fond, c'est bien une âme passionnée et pleine de créativités qui habite ce jeune homme. Ayant très vite découvert le dessin puis ses diverses évolutions, bientôt le jeune artiste commença à répandre ce qu'il appelait lui-même : ses "Œuvre d‘art". Ne voyais pas dans ses graffitis une simple volonté de détériorés le bien public, mais bien le besoin profond de partagés son art. D'ailleurs, nombre de ses dessins son rester durant des périodes inexplicablement longues, les concernés ayant sans doute jugée que cela embellissait la rue.
Nrax ou Space Monkey 27 Homme France Chaudronnier
Comment a-tu découvert le forum ? Top siteTon pokémon préféré : Il y en à trop :D <3As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Moi tout seul, comme un grand !Un dernier mot ? Mot ?