June Evans
Feat. Tetsuya Kuroko - Kuroko's Basket
18 ans
Dessinateur itinérant
04.07.2002
Aucune Faction
Kanto
Habite un peu partout
Il
Pléiades
Doux
Rêveur
Bienveillant
Lunatique
Timide
Naïf
Depuis toujours, les gens me voient comme quelqu’un d’idiot, c’est un fait qui ne m’a jamais vraiment dérangé, à chaque fois qu’on me parle ou que je dois faire un truc sérieux, mon esprit se met à divaguer, je suis incapable de tenir une conversation sans penser à autre chose. La concentration et moi, ce n’est pas une histoire d’amour, néanmoins, lorsque je me mets à dessiner là j’y arrive, va savoir pourquoi, peut-être parce que ça me passionne tandis que parler avec les autres c’est quelqu’un chose de moins captivant ? Bonne question.
C’est à cause de ces absences, que je suis quelqu’un d’assez solitaire, ce n’est pas parce que je n’aime pas les gens, loin de moi cette idée, mais je les repousse un peu par mon côté lunatique, alors je les évite pour ne vexer personne. Je suis quelqu’un qui a bon fond, jamais une parole ou un mot ne sort pour vexer les gens, néanmoins, je suis assez maladroit dans mes paroles, je ne sais jamais comment exprimer ce que je veux dire alors je le tourne différemment et ça peut créer des conflits.
Je suis assez naïf, si on me dit quelque chose, je vais très certainement le croire, c’est plus fort que moi, je ne vois pas pourquoi on me mentirait, je pense souvent que les gens sont tous adorables et gentils, ça me rend extrêmement manipulable car je donne souvent ma confiance au premier venu, c’est peut-être mieux que je ne sois pas sociable et que je reste dans mon coin.
Je ne suis pas vraiment susceptible, les remarques je m’en fiche un peu, ça glisse sur moi, je ne porte pas vraiment d’intérêt à ce que les gens peuvent penser de moi, c’est un peu leur problème, j’en ai déjà assez à gérer comme ça. Je reste délicat dans mes gestes et mon attitude en général, je parle toujours assez bas, j’aime pas crier ni parler fort, ça me donne l’impression d’ordonner et donc, de ressembler à ma famille ce que je voulais absolument éviter.
C’est à cause de ces absences, que je suis quelqu’un d’assez solitaire, ce n’est pas parce que je n’aime pas les gens, loin de moi cette idée, mais je les repousse un peu par mon côté lunatique, alors je les évite pour ne vexer personne. Je suis quelqu’un qui a bon fond, jamais une parole ou un mot ne sort pour vexer les gens, néanmoins, je suis assez maladroit dans mes paroles, je ne sais jamais comment exprimer ce que je veux dire alors je le tourne différemment et ça peut créer des conflits.
Je suis assez naïf, si on me dit quelque chose, je vais très certainement le croire, c’est plus fort que moi, je ne vois pas pourquoi on me mentirait, je pense souvent que les gens sont tous adorables et gentils, ça me rend extrêmement manipulable car je donne souvent ma confiance au premier venu, c’est peut-être mieux que je ne sois pas sociable et que je reste dans mon coin.
Je ne suis pas vraiment susceptible, les remarques je m’en fiche un peu, ça glisse sur moi, je ne porte pas vraiment d’intérêt à ce que les gens peuvent penser de moi, c’est un peu leur problème, j’en ai déjà assez à gérer comme ça. Je reste délicat dans mes gestes et mon attitude en général, je parle toujours assez bas, j’aime pas crier ni parler fort, ça me donne l’impression d’ordonner et donc, de ressembler à ma famille ce que je voulais absolument éviter.
Bubulle a été trouvé dans un étang, très farceur il adore mettre June dans des situations où il ne pourra pas gérer, comme aller embêter des inconnus pour aller le forcer à parler à des gens. Il est très attaché à June et l’aide au quotidien, quand il a faim il roule sur lui-même et fonce sur June pour lui faire comprendre. De plus, à chaque fois que June se perd dans ses pensées pendant une discussion il lui envoie de l’eau pour le "réveiller".
Bubulle
Ptitard
Mâle
Absorbe-eau
Ma naissance aurait dû être un jour heureux, mes parents étaient des riches, nés avec une cuillère en argent dans la bouche, ils ont toujours été élitiste et malheureusement j’étais un accident, à l’origine, ils ne voulaient qu’un seul enfant, mon grand frère Sebastian, toujours gâté, fier de lui, l’idolâtrant même, ils s’étaient mis en tête qu’au moins ils auraient une fille, malheureusement je n’en étais pas une. Ils décidèrent quand-même de garder le prénom qu’ils avaient choisi, June.
Déçus, ils pensèrent quand même que je serai digne de mon frère, toute ma vie, ils m’ont comparé à lui, me demandant d’exceller de viser toujours plus haut, au début j’avais essayé, mais j’étais incapable de me concentrer sur quoi que ce soit, je devenais vite la honte de la famille, au point que parfois ils ne voulaient même pas m’adresser la parole.
C’était vraiment dur, chaque jour, j’allais à l’école et j’essayais d’avoir des notes mais ça ne suffisait jamais, j’avais donc abandonné, me mettant à dessiner pendant les cours, j’étais doué, je ne pensais même pas être doué pour quoique ce soit. Le soir même je m’étais empressé de montrer les croquis que j’avais fait à ma famille, ma mère me regarda de haut et déchira le dessin, pendant que mon père me hurlait dessus que ce ne serait pas comme ça que je réussirai ma vie.
On me donna des leçons de piano, car tout bon enfant de bonne famille de bourgeois devait jouer d’un instrument, la dame qui me donnait des cours était aussi froide qu’un glacier, à la moindre erreur, j’avais des coups de règles sur les mains pour que je n’en refasse plus jamais. Je n’étais pas spécialement talentueux, honnêtement, je préférais le dessin. Mes parents me demandaient toujours de leur montrer mes mains pour voir à quel point j’étais mauvais, soit je me faisais encore engueuler, soit ils se moquaient de moi.
Le quotidien était affreux, je n’avais personne à qui me confier, mon frère se sentait tellement supérieur à moi qu’il en profitait lui aussi pour me dénigrer, j’ai réussi à vivre 16 ans avec eux, un soir, je craquais, je réunissais tout ce que j’avais dans un gros sac que je prenais et je sortais pas la fenêtre de ma chambre en pleine nuit, laissant un mot rapide sur mon lit « Adieu, désolé d’avoir été une honte pour vous », je n’avais pas besoin de leur dire de ne pas me chercher, je savais qu’ils ne le feraient pas.
Me voilà donc seul, avec quelques fringues, un paquet de chips des cahiers remplis de pages blanches et des crayons en tout genre, pas tellement exceptionnel pour la survie, heureusement, je n’étais pas trop idiot, j’avais pensé à fouiller les portefeuilles et me prendre pas mal de billets, je fuyais donc vers une route, personne ne pourrait m’importuner ici, il y avait un petit coin d’eau tranquille et reculé, je m’asseyais donc et je regardais l’eau si calme pendant un long moment.
Je finissais donc par m’endormir dans le calme, la nuit fut tranquille loin de cet univers toxique, je fus réveillé par l’apparition d’un Ptitard qui s’amusait à me lancer de l’eau, j’haussais un sourcil en penchant la tête ne comprenant pas ce qui me valait cette eau en pleine figure, je finissais par comprendre qu’il voulait juste s’amuser, je m’approchais donc de lui mais il avait fui automatiquement.
Je restais un moment auprès de ce coin d’eau, le Ptitard m’observait, ça me fit sourire, automatiquement, je me mettais à le dessiner, refaisant chaque trait. Je posais le dessin au sol et je reculais pour le laisser regarder. Il regarda le dessin, puis moi, puis à nouveau le dessin et commença à marcher vers moi pour se poser sur ma jambe, automatiquement, je me mettais à le porter pour lui faire un câlin, il me balança un peu d’eau pour rire mais je m’allongeais et il finissait par se poser avec moi.
Le jour où je devais partir il me suivit du début à la fin, je finissais par le prendre dans mes bras et je me mettais à marcher avec. Je savais que tôt ou tard je voulais avoir des pokémons mais je ne voulais pas les contraindre à vivre avec moi, je voulais que ce soit eux qui choisissent de vivre avec moi et pas l’inverse.
Donc, j’avais décidé d’adopter ce Ptitard trop adorable, je lui avais même trouvé un nom, bubulles, il était fan quand je lui avais dit, c’était mignon comme tout. Je décidais donc de passer un moment à vivre sur les routes, j’avais acheté ce qu’il me fallait pour vivre dans la nature, il ne me restait plus grand-chose de ce que j’avais volé à ma famille mais ce n’était pas trop grave.
Le reste me servit à payer un ticket de ferry pour un archipel, j’avais besoin de m’évader, de trouver un nouveau coin. Une fois arrivé sur cette île, je me mis en tête de me balader et au bout de quelques heures de balade, j’arrivais déjà à me perdre, ça va pas être facile de retrouver mon chemin. Je m'étais mis en tête de faire le portrait des gens sur les marchés et d'économiser pour pouvoir me trouver un logement.
Déçus, ils pensèrent quand même que je serai digne de mon frère, toute ma vie, ils m’ont comparé à lui, me demandant d’exceller de viser toujours plus haut, au début j’avais essayé, mais j’étais incapable de me concentrer sur quoi que ce soit, je devenais vite la honte de la famille, au point que parfois ils ne voulaient même pas m’adresser la parole.
C’était vraiment dur, chaque jour, j’allais à l’école et j’essayais d’avoir des notes mais ça ne suffisait jamais, j’avais donc abandonné, me mettant à dessiner pendant les cours, j’étais doué, je ne pensais même pas être doué pour quoique ce soit. Le soir même je m’étais empressé de montrer les croquis que j’avais fait à ma famille, ma mère me regarda de haut et déchira le dessin, pendant que mon père me hurlait dessus que ce ne serait pas comme ça que je réussirai ma vie.
On me donna des leçons de piano, car tout bon enfant de bonne famille de bourgeois devait jouer d’un instrument, la dame qui me donnait des cours était aussi froide qu’un glacier, à la moindre erreur, j’avais des coups de règles sur les mains pour que je n’en refasse plus jamais. Je n’étais pas spécialement talentueux, honnêtement, je préférais le dessin. Mes parents me demandaient toujours de leur montrer mes mains pour voir à quel point j’étais mauvais, soit je me faisais encore engueuler, soit ils se moquaient de moi.
Le quotidien était affreux, je n’avais personne à qui me confier, mon frère se sentait tellement supérieur à moi qu’il en profitait lui aussi pour me dénigrer, j’ai réussi à vivre 16 ans avec eux, un soir, je craquais, je réunissais tout ce que j’avais dans un gros sac que je prenais et je sortais pas la fenêtre de ma chambre en pleine nuit, laissant un mot rapide sur mon lit « Adieu, désolé d’avoir été une honte pour vous », je n’avais pas besoin de leur dire de ne pas me chercher, je savais qu’ils ne le feraient pas.
Me voilà donc seul, avec quelques fringues, un paquet de chips des cahiers remplis de pages blanches et des crayons en tout genre, pas tellement exceptionnel pour la survie, heureusement, je n’étais pas trop idiot, j’avais pensé à fouiller les portefeuilles et me prendre pas mal de billets, je fuyais donc vers une route, personne ne pourrait m’importuner ici, il y avait un petit coin d’eau tranquille et reculé, je m’asseyais donc et je regardais l’eau si calme pendant un long moment.
Je finissais donc par m’endormir dans le calme, la nuit fut tranquille loin de cet univers toxique, je fus réveillé par l’apparition d’un Ptitard qui s’amusait à me lancer de l’eau, j’haussais un sourcil en penchant la tête ne comprenant pas ce qui me valait cette eau en pleine figure, je finissais par comprendre qu’il voulait juste s’amuser, je m’approchais donc de lui mais il avait fui automatiquement.
Je restais un moment auprès de ce coin d’eau, le Ptitard m’observait, ça me fit sourire, automatiquement, je me mettais à le dessiner, refaisant chaque trait. Je posais le dessin au sol et je reculais pour le laisser regarder. Il regarda le dessin, puis moi, puis à nouveau le dessin et commença à marcher vers moi pour se poser sur ma jambe, automatiquement, je me mettais à le porter pour lui faire un câlin, il me balança un peu d’eau pour rire mais je m’allongeais et il finissait par se poser avec moi.
Le jour où je devais partir il me suivit du début à la fin, je finissais par le prendre dans mes bras et je me mettais à marcher avec. Je savais que tôt ou tard je voulais avoir des pokémons mais je ne voulais pas les contraindre à vivre avec moi, je voulais que ce soit eux qui choisissent de vivre avec moi et pas l’inverse.
Donc, j’avais décidé d’adopter ce Ptitard trop adorable, je lui avais même trouvé un nom, bubulles, il était fan quand je lui avais dit, c’était mignon comme tout. Je décidais donc de passer un moment à vivre sur les routes, j’avais acheté ce qu’il me fallait pour vivre dans la nature, il ne me restait plus grand-chose de ce que j’avais volé à ma famille mais ce n’était pas trop grave.
Le reste me servit à payer un ticket de ferry pour un archipel, j’avais besoin de m’évader, de trouver un nouveau coin. Une fois arrivé sur cette île, je me mis en tête de me balader et au bout de quelques heures de balade, j’arrivais déjà à me perdre, ça va pas être facile de retrouver mon chemin. Je m'étais mis en tête de faire le portrait des gens sur les marchés et d'économiser pour pouvoir me trouver un logement.
Pourquoi les Pléiades ?
Depuis toujours, j'adore l'art, le dessin c'est une des raisons qui m'a fait partir, faire des portraits, de pokémons, de personnes... C'est surement une énième raison qui fait que ma famille me hait, j'ai beau ne pas être à l'aise avec les gens et être l'inverse d'excentrique, j'aimerai pouvoir vivre seulement de ça, d'amour d'eau fraîche et de dessins.
Pseudo(s): Peter / Belleteyne
Âge: 18 ans
Localisation: Le Nord
Pronom(s): Il
Âge: 18 ans
Localisation: Le Nord
Pronom(s): Il
On m'a parlé d'un forum Pokémon je n'ai pas su résister
Ton Pokémon préféré ? // Rondoudou
As-tu un parrain ? // Sasha (coeur sur toi)
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Des cookies (beaucoup)
Un dernier mot ? // Mangez 5 fruits et légumes par jour
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