Edwards Von Evans
Feat Trafalgar Law de One PieceDescription de votre personnage
Des pirates comme lui, vous n’avez pas dû en voir énormément. Quoique ses derniers temps, il n’est pas impossible que la piraterie en ait pris un coup. La première chose que vous remarquerez chez lui, c’est sa grande taille, puisque du haut de son mètre quatre-vingt-quinze, il avoisine les deux mètres, et est facilement reconnaissable dans une foule. Il reste malgré tout très filiforme, et peut donc passer pour quelqu’un d’assez faible, pourtant méfiez-vous car ce n’est pas le cas, et c’est même un maître en escrime.
Le plus grand problème d’Edwards depuis sa plus tendre enfance, c’est ses faux airs de ressemblance avec un pirate d’une famille ennemie, né un an avant lui. Dans la ville dont il est originaire, les clans de pirates ne sont pas rares, oh non loin de là, et c’est bien le problème. Lorsque vous comprenez qu’ils sont tous ennemis jurés ou presque, et que le rejeton de l’un des clans, ressemble beaucoup à celui d’un autre…. Bref, je ne vais pas vous faire un dessin... Si le doute est permis quant à sa véritable origine, ce n’est pourtant pas ce qui l’a empêché de s’intégrer à sa famille. Pourquoi ? Car il est très malin. Il n’en a pas forcément l’air, puisque avec ses cernes et ses tatouages, il fait plutôt peur au premier abord, et pourtant, il est doté d’un quotient intellectuel supérieur à la moyenne, si bien qu’étant enfant, son surnom était « le cerveau ». Non, l’autre véritable problème d’Edwards, c’est que tout comme son père, et son grand-père et son arrière-grand-père, et tous ses aïeux, il a… Le mal de mer. Et pour une famille de pirate qui vit depuis des décennies de la piraterie, et réside en partie sur un village sur l’eau… C’est fâcheux. Très fâcheux. D’autant que sa naupathie est bien plus avancée que celle de ses ancêtres…
Pour autant, le Von Evans est tout sauf le genre de type à se laisser impressionner, bien au contraire même. En effet, à cause du sentiment de supériorité que les Von Evans se donne, et lui ont encore plus transmit par rapport à sa grande taille et son intellect, il a commencé à développer de la vanité dès son plus jeune âge, et celui-ci ne l’a jamais abandonné. Et puis franchement, soyons honnête, lorsque vous regardez les héritiers des autres familles de la ville dont il est originaire, il n’a rien à leur envier, bien au contraire. Au final, Edwards est plutôt quelqu’un de détestable, mais s’en moque bien. Pour tout vous dire, tous ses défauts, il les connaît, et il les connait même très bien. Malgré cela, pour rien au monde il ne changerait. Pour lui, en ce monde, il n’y a que des envieux, et des jaloux, qui ne comprennent pas qui il est.
histoire
Edwards Von Evans est né le vingt-neuf février, un jour qui n’arrive que toutes les quatre années, ce qui marquait déjà sa naissance comme spéciale. Il y a à peine un an, son père est mort, et il est devenu le capitaine du navire de celui-ci à son plus grand désespoir. Incapable de tenir la barre à cause de son sempiternel mal de mer, c’est ses matelots qui font tout, lui il reste sur le pont, en général, à vomir, et donne les directives quand ses nécessaires. C’est d’ailleurs le plus souvent San, son fidèle Teddiursa qui s’occupe de tenir la barre avec l’un des matelots. Le seul avantage du Von Evans, c’est qu’il n’a jamais perdu un seul combat, car c’est quand il fait de l’escrime, que son mal de mer est le moins fort…
L’histoire d’Edwards et de San à Lumiris a débuté pas plus tard qu’avant-hier, lorsque le Von Evans a remarqué l’étrange manège de ses concurrents.
— Mais qu’est-ce qu’ils foutent ses abrutis !?
— Je ne sais pas mon Capitaine. J’ai l’impression qu’ils mettent les voiles.
Le brun jeta un regard nauséeux à la mer devant lui, alors qu’il était encore à quai.
— Oh bordel… Allez ! Qu’est-ce que tu attends, dis aux autres de préparer le navire, et va voir ce qu’il se trame !
La comédie avait commencé il y a suffisamment de temps pour que cela ait attisé l’esprit fin du Von Evans. C’était le Von Craite qui était partit en premier, suivi de près par Von Luckner. À ceux-là… Toujours à se courir après. C’est lorsque le Von Bans s’y était aussi mis qu’Edwards s’était inquiété, et rapidement Von Seimei lui aussi s’y était mis… Forcément, car ce n’était pas bon pour son business.
— Alors !? Tu as pu avoir des informations ?!
— Oui, répondit le marin la respiration coupée par sa course.
— Cesses de me faire perdre mon temps ! Ils foutent quoi ?!
— Ils partent… Ils partent tous de Pacifiville ! Ils vont dans la région de Lumiris d’après l’un des dockers…
— Lumiris hein…
Ce n’était pas vraiment la porte à côté. Non pas qu’ils auraient du mal à y aller… Mais le trajet allait être long. Edwards retînt une nausée. Rester ou partir ? Pourquoi changeaient-ils tous soudainement d’eau ? San tira sur la manche du brun, en lui faisant des signes. La relation était étrangement très complice entre ses deux-là, si bien que par des signes, l’ourson réussissait à se faire comprendre de son dresseur. Celui-ci hocha la tête. Il avait saisi l’idée de l’ourson. Un Von Evans ne pouvait pas se laisser devancer par autres Von. Au plus grand désespoir d’Edwards, il allait falloir larguer les amarres.
— Arg. Ils m’emmerdent ces cons ! On met les voiles, il faut qu’on les suive, ils ont un plan, ça c’est sûr.
L’inconnu devant soi et encore beaucoup de rejets gastriques en perspective. L’ancre était pourtant levée, et le navire, parti à la conquête des mers d’une toute autre région. Qu’allait-il advenir d’Edwards Von Evans ? Vous le saurez bien assez tôt… Croyez-moi.