Evrard Rosenbach
Feat Shokudairi Mitsutada de Touken RanbuDescription de votre personnage
Toujours si présent pour autrui, tu ne penses guère à la fatigue. Tu es là. Pilier d'une famille désormais détruite, tu fais de ton mieux. Tu ne te plains pas. Tu es à l'écoute. Tu sais comment réagir, qu'importe la situation. Tu réfléchis vite pour qu'aucun de tes proches ne souffre. Qu'importe les méthodes au final. Il vaut mieux que ce soit toi qui te salisses les mains plutôt qu'eux. Oui. Qu'importe ta saleté, tant qu'ils restent éblouissant. Et pourtant. On ne la voit pas, ta saleté. On voit seulement que tu es fort. Courageux. Battant. Oui, tu n'abandonnes pas, qu'importe les difficultés. C'est ainsi. Tu es l'homme de la famille. Tu es celui qui porte le blason défiguré.
Tu es doué. On te le dit, te le répète, on t'admire. Tu en es fier, bien sur. Fier de pouvoir te dire que tes années d'efforts ont payer. Si fier qu'on n'ose te dire ce qu'on pense tout bas. Tu le sais, bien sur car tu sais tout ou presque. Mais tu ne fais guère attention aux mauvaises langues. Car ce sont ces mêmes langues qui ont tuer ton père à petit feux. Oui. Toi, tu t'ai forger une armure épaisse. Si épaisse que rien ne peut t'atteindre.
Néanmoins, tu ne seras jamais une victime. Si jamais on tente de marcher sur tes plates-bandes, sur tes pieds, tu sors les griffes. Les crocs. Sans insulter, jamais, tu es respectueux en toute situation. Même tes insultes n'en sont pas. Non. Toi, ce que tu fais, c'est résoudre l'énigme et regarder les jaloux en abordant un sourire. C'est la chose la plus exquise qui soit. De voir leurs visages parsemé d'haine ou bien de déception. De n'avoir su résoudre ce qui est si simple pour toi.
Et pour les autres, ceux qui n'osent te dirent que tu peux être prétentieux. Pour ceux qui ne sont pas jaloux mais n'osent te dire la vérité. Et bien, tu n'es pas devin. On se dit que tu es impressionnant. Tu n'es qu'un homme qui as dû prendre tout sur ses épaules. Tu pourrais comprendre et essayer d'agir en conséquence. Mais on ne le fait pas. Alors, tu ne le fais pas.
Il ne faut pas chercher le loup solitaire. Il peut très bien se débrouiller sans meute. Cependant, au fond, tu n'es pas contre un peu de compagnie. Si on ose se frotter à toi, si on prêt à la vérité pure et dure. Une vérité qui blesse mais beaucoup moins que le mensonge.
Tu regrettes. Ton ancien toi. Celui qui pouvait sourire aussi aisément. Aujourd'hui, il n'est destiné qu'à ta famille. Qui est souvent divisé. Tu le sais. Que ta sœur, ta jumelle, ton âme, ne s'entend guère avec les deux derniers. Wolfe & Evangelyne. Mais tu ne prends aucun parti. Sauf si l'un dépasse la frontière invisible. Au contraire. Tu aimes tout le monde. Tu aimerais tellement que ta famille finissent par se reconstruire et devenir unis. Rêve illusoire. Bien sur. Tu le sais mais cela ne t'empêche pas d'espérer. Ainsi est l'homme. Tu offres sans compter. Cadeaux, aide, amour & soutien. Tu ne peux faire que cela. Car rien ne remplaceras jamais un père.
Car les Rosenbach n'ont plus l'arbre père. Qu'importe ce que tu fais, tu n'es qu'une jeune pousse qui soutient beaucoup trop pour ses fines branches. Tu souffres en silence pour ceux que tu aiment plus que ta propre vie.
Oui. Si tu pouvais échanger ta vie contre celle de l'être qui est parti, tu le ferais sans hésiter. Ne pensant surement pas à la douleur que tu procurerais. Tu es ainsi. Tu passes après les autres, pensant que tu peux être remplacer. Tu es unique.
histoire
Accenderat super his incitatum propositum ad nocendum aliqua mulier vilis, quae ad palatium ut poposcerat intromissa insidias ei latenter obtendi prodiderat a militibus obscurissimis. quam Constantina exultans ut in tuto iam locata mariti salute muneratam vehiculoque inpositam per regiae ianuas emisit in publicum, ut his inlecebris alios quoque ad indicanda proliceret paria vel maiora.
Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt. Restabat ut Caesar post haec properaret accitus et abstergendae causa suspicionis sororem suam, eius uxorem, Constantius ad se tandem desideratam venire multis fictisque blanditiis hortabatur. quae licet ambigeret metuens saepe cruentum, spe tamen quod eum lenire poterit ut germanum profecta, cum Bithyniam introisset, in statione quae Caenos Gallicanos appellatur, absumpta est vi febrium repentina. cuius post obitum maritus contemplans cecidisse fiduciam qua se fultum existimabat, anxia cogitatione, quid moliretur haerebat.