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Anatomie [PV Aly]
Trophéespassez la souris sur les icones | Tout les mois... C'est toujours la meme chose. TOUJOURS. Alors que tout fonctionne. bien en plus. Aucun souci avec son bras, c'est très surprenant d'ailleurs, elle avait peur que ca arrive a l'époque ou on lui a installé, mais mit a part un poids qu'elle a fini par appréhender et maitriser, il n'y a pas de souci. Elle a juste eu a faire du sport quoi.
Elle va en rendez-vous avec un Docteur en Bio-mecanique, basé a Voltapolis. C'est lui qu'elle doit aller voir tout le temps pour se faire observer, les rejets et compagnie, c'est plutôt fréquent, surtout pour des greffes mécaniques comme ca. Même si c'est de plus en plus rare avec les avancées technologiques.
Comme d'hab, rien de bien méchant, elle prend ses médocs, et elle s'occupe bien de son bras de facon a ce qu'il n'y ait pas de risque, que ca soit mécanique, ou humain. Le bras bouge bien dans tout les sens demandés. Les connexions aux nerfs sont excellentes et il ne semble pas y avoir de problèmes mécaniques grace aux maintenances effectuées toutes les semaines.
Elle sort du laboratoire et marche dans les couloirs. Elle laisse son Minidraco revenir et ressortir de la poche ou il dormait, s'installant autour du bras humain de sa maitresse, et s'y lovant en poussant un petit bruit de joie. Elle lui gratouille doucement le dessous du crane et passe une porte, pensant sortir... Elle finit dans un laboratoire. Elle etait trop concentrée sur son Pokemon pour faire gaffe aux portes.
- Oh ! Excusez moi, je me suis trompée de porte.
Elle rougit un peu génée et fait mine de reculer, jetant un coup d'oeil. Des squelettes de Pokémons et d'humain, elle se trouve dans quel labo... Deja que le bio mecanicien avait un bureau etrange... |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Une journée banale à Voltapolis. Tu as à peine dormi. Trois heures maximum. Tu es fatiguée. Cela fait deux semaines que tu dors à peine, à subir qui plus est le regard accusateur de 'Kark. Il refuse de t'accompagner au laboratoire ou de t'aider tant que tu ne dors pas. Il t'énerve. Une dispute a eu lieu ce matin avant de partir. Tant pis pour lui, il ne sait pas ce qu'il rate. En réalité, ton travail au laboratoire est peu passionnant. Après tout, tu n'es qu'une stagiaire. Rien de plus. Tu sers le café, range les bureaux, fais quelques calculs basiques et accueille les personnes. En soi, rien d’excitant bien au contraire. Tu gardes le sourire. Il faut faire façade. Sinon, tu ne dépasseras jamais ce simple stade de stagiaire. Tu n'as tout de même pas fait des études pour rien. Tu ranges des cartons. Tu jettes des coups d'oeil indiscrets aux ordinateurs. Tu vois leurs travaux. Ils vont dans la mauvaise direction. Toi, tu sais où aller. Enfin, pour toi. Tu t'essuies le front. Te mords la lèvre inférieure. Il fait chaud. Très chaud dans ce laboratoire. Forcément, avec tous ces ordinateurs. Tu en comptes une dizaine. Pour six scientifiques. Toi, tu n'en as pas. Tu dois te contenter de voguer sur les ordinateurs. Quelques squelettes agrémentent la salle. Un squelette humain et des squelettes de Pokémons. Plusieurs chariots remplis de matériel en tout genre. Un écran digital géant, avec des images de Pokémons dessus. Là, un Gobou et un Wailmer, pour les comparer. Tu poses un autre carton. Regarde les autres avec envie. Et sursaute. Quelqu'un vient d'entrer. Un, ou plutôt une, inconnue. Tu réprimes ta grimace de déplaisir pour un petit sourire. Tu t'avances. C'est à toi de jouer. - Bonjour ! Vous vous trouvez dans le laboratoire du professeur Wilson. Que cherch... Ta phrase reste en suspend. Les autres scientifiques vous jettent des regards suspicieux avant de retourner à leur travail. Tu ouvres de grands yeux et te précipité vers l'inconnue. Normalement, tu dois avoir du respect pour tes aînés. Mais, pas en cette occasion. Cette femme a une prothèse. Mécanique qui plus est. Tu reste bouche bée. Sans même demander son avis, tu prends son bras et le parcoures de tes doigts. Quel exploit. Cette rencontre n'est pas fortuite. C'est un signe. Et cette personne, tu dois l'étudier. Les idées germent dans ta tête. Il faudra avancer avec prudence. Mais, tu peux essayer. Oui, ça peut passer si tu gagnes sa confiance.- C'est... Magnifique. Extraordinaire... Veuillez m'excuser, vous voulez une chaise ? A vrai dire, vous ne vous êtes pas trompée, je vous attendais. Je suis assistante, je me dois d'étudier une telle prothèse. Avec-vous des remarques à me faire parvenir ? Sur la réaction corporelle, les sensations et surtout, le comportement des Pokémons à son égard. Ce ne sera pas long, mais ces données sont nécessaires pour d'autres transplantations.Tu dois la retenir. Tu dois l'étudier. Sous tous les angles. Tu regardes les autres scientifiques. Trop concentrés, ils ne t'entendent pas. Parfait. Tu feras une grande avance scientifique et pas eux. Il faut juste garder cette jeune femme auprès de toi le plus longtemps possible. Tu lui lâches un large sourire pour la mettre à l'aise. Elle n'a rien à craindre. Rien du tout. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Le petit Minidraco lui tourne doucement autour du coup tandis qu'un silence pesant et légèrement génant s'installe dans la pièce. On dirait le petit symbole de "veuillez patienter" lorsqu'on regarde une vidéo qui charge sur Pokétube. Ce petit traitre, il se moque totalement de moi en me tournant ainsi. Elle s'en rappellera bien.
Plein de scientifiques l'observent, beaucoup ont l'air particulièrement blasé. Elle ne saurait dire pourquoi? Elle les dérange peut être. Mais il y en a une, alors celle la, c'est une réaction inédite. Elle la regarde avec des yeux touuuuuut grand. Elle leve doucement les mains histoire de dire "je ne suis pas coupable, je n'ai pas pénétré dans le laboratoire pour voler quelque chose....... Et elle voit les yeux de la jeune femme suivre son bras en métal.
D'accord, elle veut ca... Elle se rapproche et la blonde ne fuit pas, soyons gentille un peu. Elle hoche la tête a sa première question. S'il vous plait oui. Elle ne sourit pas tout de suite, un peu perturbée par la Vive-Attaque de la jeune stagiaire. Elle lui pose plein de questions pendant que le duo marche vers une chaise, sur tout ce qui est dans la partie sur son bras. Heureusement qu'elle a vu le docteur plus tot.
- Ca fait six mois que je le porte de manière vraiment quotidienne, et un an que j'ai eu la greffe. J'ai eu quelques mois de rééducation. Je n'ai pas eu de mauvaise réaction sur mon corps. Pour les sensations, c'est un peu lourd, l'été, c'est atroce car ca recupère vite la chaleur mais on finit par s'y faire, surtout en cas de bon entretien. Bien sur, il manque toujours toutes les sensations physiques d'un vrai bras humain quand on touche quelque chose... Et pour les Pokémons... Mon minidraco ne s'en plaint pas !
Le petit minidraco fait un petit cri et hoche la tête, avant de s'installer pour dormir, contre les epaules de sa maitresse. Elle a raconté certains trucs qu'elle a deja dit au docteur, et a rajouté des points de details pour la jeune femme. Elle a décidé de suivre le "jeu" de la curieuse. On sait jamais. On va pas lui briser le coeur a la scientifique...
Elle a une idée pour ne pas trop faire subir d'improvisation a la gamine. Certes, elle la suit, mais si elle dit un detail que la gamine comprend pas, ca serait horrible pour elle devant les autres scientifiques. Elle leve la main humaine pour attirer l'attention des scientifiques.
- Excusez moi, auriez vous un bureau ou nous pourrions aller parler, mademoiselle et moi? Ca pourrait eviter que vous soyez derangés par notre discussion. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Tu ne t'attendais pas à une telle réaction. Après tout, tu sais bien que ton attitude était excessive. Tu avais, bien évidemment, menti. Mais, une part de toi avait, sur le coup, été incapable de mentir. Comme si un élan naturel c'était emparé de ta personne. Tu examines avec soin le bras mécanique. Tu as à peine remarqué le minidraco qui, pourtant, est collée à sa dresseuse. Tu remontes tes lunettes tout en continuant à marmonner. Cette invention est prodigieuse. Néanmoins, tu ne dois pas le dire. Tu dois le garder pour toi. En effet, pourquoi cette femme resterait-elle avec quelqu'un d'incompétent qui ne sait même pas à quoi il a affaire ? Les mensonges ne te dérange pas, bien au contraire, ils t'aideront à atteindre ton but. Pourquoi cet idiot de 'Kark a-t-il tenu à rester au studio ? Il rate une occasion en or. Tu finis, peu à peu, par oublier la présence des autres scientifiques. En réalité, tu finis même par oublier que tu n'es qu'une simple stagiaire. Tu oublies même la présence humaine face à toi. Absorbée dans tes réflexions, tes divagations, tes plans. Tu penses aux expériences que tu pourrais mener. Aux progrès que tu pourrais faire. Il faudrait tenter une greffe sur un autre Pokémon possédant des bras. Puis, comparer les deux sujets. Tu relèves la tête. Les paroles de la jeune femme t'ont brusquement tirée de tes pensées. Pourquoi ce sujet s'adresse-t-il aux autres scientifiques ? Elle perturbe tous tes plans. Tes collègues vont la renvoyer et t'ordonner de reprendre ton stupide rangement. Il en est hors de question. Certains relèvent doucement leur tête de leur travail. Non non et non. D'un coup sec, tu prends le bras humain et tu tires la jeune femme. Il faut partir dans un endroit tranquille, loin d'eux. - Ne vous occupez pas de mes collègues, ils sont absorbés dans leurs travaux. Je sais où aller, je connais cet étage par cœur... Parfait, cet endroit nous conviendra à merveille.Vous arrivez devant une porte d'où aucune lumière ne provient. Un laboratoire rarement occupé. Tu tires ton badge autour du cou et le passes dans la fente dédiée à cet effet. Un cliquetis se fait entendre, et tu ouvres brusquement la porte. La salle est plongée dans l'obscurité. Un peu de poussière recouvre les étagères et les nombreux squelettes. Des cadavres de Pokémons disséqués se trouvent plus loin dans la pièce, dans l'ombre. Tu es déjà venu ici, y fouiner un peu. Tu ne connais pas le scientifique qui travaille ici mais son travail est passionnant. Sans attendre, tu prends deux chaises et les disposes face à face. Tu lances un nouveau sourire chaleureux. Tu te dois de la rassurer. - Bien. Cet endroit sera parfait, la laboratoire sera bientôt mien, je ne suis qu'assistante pour l'instant mais ma promotion arrivera dans le courant de la semaine prochaine j'ai donc de l'expérience ! Bien bien bien... De quoi vouliez-vous parlez ? Tout en parlant, tu ne peux t'empêcher de fixer le bras. A force, tu vas finir par le connaître par cœur. [/color] |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Elle se fait ausculter le bras tandis que plein de scientifiques en Pokémon tourne autour de leurs squelettes et leurs simulations, ou que sait-elle. Elle n'y connait rien. Elle connait que l'anatomie des véhicules qu'elle répare de toute facon. On lui demanderait de nommer tout les os d'un Gobou, elle serait bien incapable d'en dire un. Le crane a la rigueur. Tout le monde en a un. Comme un trou du cul. Y a même des Pokémons qui en ont plusieurs... Des cranes hein.
La gamine par contre, elle, elle ne pourrait pas définir. Elle zieuta vite fait le badge de la jeune femme. Elle espérait voir une info, mais elle ne voit que son nom et son prénom. Dommage. Elle aurait pu savoir a qui elle a a faire. Elle ne peut pas être une assistante du Docteur qu'elle a vu plus tôt. Sinon elle aurait été dans l'autre labo... Elle l'aurait vu. Elle réfléchit mais ne voit pas comme ca. Alyora Schuetz... Elle connait pas du tout. Inconnue au bataillon...
Et vient le moment ou son coté artiste a ses limites. Elle sait bien jouer un role... En photo. Mais elle n'est pas actrice. Viendra un moment ou si on l'interroge trop, elle va se planter, surtout quand elle est avec une jeune femme qui semble... Jeune pour etre une scientifique confirmée. Surtout en bio-mécanique. Ca cache quelque chose sans doute.
Elle fait des rotations de poignets avec son bras, dans la limite que son bras lui permet, c'est a dire des limites humaines. La main ne peut pas faire des tours sur elle même. Et c'est bien dommage d'ailleurs. Elle a fait sa demande a un laborantin, et c'est "OBJECTION" de la part de la gamine. Affaire reglée. Elle se fait attraper la main et emmener dans un autre bureau, vide celui la, sans lumière.
Mais... Elles sont ou les cordes dans un kidnapping comme ca? Amatrice... Ah, c'est pas un kidnapping, la lumière est allumée, et on lui propose une chaise, sur laquelle elle ne s'assied pas. Elle croise les bras contre sa généreuse poitrine et regarde avec un air légèrement courroucé la jeune femme, maintenant que le duo est isolé, elle peut se permettre d'être moins... conciliante et sauve-cul.
- Pour commencer, j'aimerais savoir qui vous êtes, mademoiselle Schuetz. Et pourquoi m'avoir sauté dessus comme ca. Je peux imaginer la raison pour laquelle je suis dans cette pièce, si ca a un rapport avec vos collègues de bureau, mais sinon, j'aurais besoin de legerement plus d'information.
Avec sa main mecanique, elle tapote sur son bras gauche, doigts après doigts, de l'index a l'auriculaire, comme si on jouait une suite de quatre notes. Et elle repete ces quatres notes silencieuses en attendant une réponse. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Les yeux étaient toujours rivés sur le bras métallique. Tu étais perdue dans tes nombreuses pensées. Un bouillonnement intellectuel effectivement. Étrangement, cette jeune femme ne semble pas partager tes idées, ton enthousiasme. Il va falloir redoubler d'efforts et de ruses. Premièrement, elle est moins décontractée. Deuxièmement, elle ne s'assoit pas. Et troisièmement, elle doute. Tu te mords la lèvre inférieure. Ton cerveau fonctionne rapidement. Tes neurones chauffent. Il faut approfondir le mensonge tout en gardant une grande crédibilité. Elle ne semble pas idiote contrairement à d'autres personnes que tu as connues. Tu toussotes légèrement, comme pour dissiper une gêne tout en souriant largement. Imperturbable, c'est le mot. En rien tu n'es déstabilisée, tu as encore de la ressource. Tu ne paniques pas. A vrai dire, tu paniques très rarement. Tu te lèves et te mets face à la jeune femme. Tu dois lever un peu la tête. Elle est un peu plus grande que toi. Non pas que tu sois petite. Bien loin de là. Tu retiens tes yeux, tes doigts d'approcher ne serait-ce de quelques centimètres le bras métallique, cette magnifique prothèse. Tu remontes tes lunettes rouges, mettant en valeur tes yeux marrons qui pétillent. - Je ne vous ferai pas de mal vous savez, j'ai bien mieux à faire. En réalité, le docteur qui vous suit, bien évidemment j'ai oublié son nom, il y en a trop, j'oublie même ceux de mes collègues... Enfin bref, le docteur voulait que vous passiez nous voir et vous voilà ! J'en ai donc profité et j'ai sauté sur l'occasion, j'espère que vous ne m'en voulez pas trop.Tu mens totalement. Sur toute la longueur. Rien de tout cela n'est vrai. Si ce n'est que tu as sauté sur l'occasion. Tu relâches le sourire. Il faut sourire, mais pas trop. Ce n'est pas bien sinon, le sourire paraît trop forcé. Sans plus de cérémonie, tu vas te rasseoir sur le tabouret. Tu sors ce qui pourrait s'apparenter à un portable et l'utilise un peu. Tu ne fais que tenir à jour un journal de recherches. Et, aujourd'hui, elles pourraient faire un bond en avant. Tu balances tes pieds, bien qu'ils touchent le sol. Du bruit se fait entendre dans le couloir. Tu fronces les sourcils tout en sautant debout. D'un pas rapide tu te diriges vers la porte que tu ouvres pour y passer ta tête enfantine. Les deux scientifiques qui parlaient sont partis. Tant mieux. Tu fermes à nouveau la porte. Et discrètement, tu la verrouilles. - Excusez-moi, je viens tout juste de contacter un collègue qui, justement, était dans mon laboratoire. Je pensais que c'était lui, mais ça n'est pas le cas. Cela ne vous dérange pas si l'on reprend ? Nous avons du boulot... [/color] |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Mais qu'est ce qu'elle lui raconte comme connerie l'assistante... Elle arrive pas a totalement la cerner, mais une chose est sure, la gamine s'y croit. Elle ne lui inspire pas du tout confiance. Elle parle pour ne rien dire. Elle ne se présente pas. Et bon, elle s'excuse de loin. Elle a interet a être irreprochable la gamine, ou elle va se prendre une gifle de métal.
Elle accepte de s'asseoir et la voit utiliser son téléphone. Elle hausse un sourcil, dommage qu'elle ne puisse pas voir ce qu'il y a sur le téléphone, mais bon, elle n'a pas un oeil bionique, c'est le bras qui l'est. Elle a pas une loupe dans son bras? Elle croit pas. Dommage, elle devrait investir dedans un jour...
Ah, la gamine se lève, y a du bruit dehors. La délivrance? Elle va pas crier a l'aide de toute facon, enfin, pas tant qu'elle ne se sent pas en danger, ou qu'elle n'est pas dans une position le necessitant. Pourquoi le faire après tout, elles sont assises l'une en face de l'autre de toute facon. C'est pas comme si elle était entourée de 25 armes.
Elle ne remarque pas du tout le verouillage, pas une seule seconde, elle examine juste son bras elle même et fait des rotations de poignets, c'est une habitude chez elle et attend qu'elle revienne, l'ecoutant parler.
- D'accord je vois, tu t'es levé tellement vite en même temps, j'ai presque cru que tu partais. Remarque, j'aurais pu en profiter pour m'eclipser Elle hausse les épaules avec un sourire, avant de tourner la tête vers elle. Reprenons, si tu veux. Ca sera reglé vite au moins... Qu'est ce que tu veux savoir exactement? Ca sera plus simple déjà. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Intérieurement, tu bouillonnes. Un volcan remplace peu à peu ton estomac. Une boule dans le ventre. Tu as peur de perdre cette occasion en or. Tu seras capable de tout. Absolument tout. Tu te mords à nouveau la lèvre inférieure. Tu refais quelques pas rapides et vient t'asseoir, à nouveau, sur le tabouret. Il est peu confortable mais il fera largement l'affaire. Tu La détailles à nouveau ton regard. Au fur et à mesure que le temps passe, bien qu'elle ne s'en rendre pas compte, elle devient ton sujet d'expérimentations. Il n'y a qu'un pas à parler de cobaye même si, tu ne l'as pas encore touchée. Tu te demandes si tout le corps a réagi à la prothèse. Tu remontes tes lunettes et prends en notes les paroles de la jeune fille. Elle te tutoie. Un peu de familiarité, pourquoi pas après tout. Tu remontes ton pull rose qui, doucement, descendant le long de tes épaules. Effectivement, tu n'as même pas le droit à une blouse blanche comme les autres scientifiques. Il te trouve trop insignifiante pour cela. Ce n'est pas grave, la blouse ne fait pas le savant. Bien au contraire. Tu toussotes et ressort à nouveau ton portable. Bien, comme tu n'as pas l'un de tes carnets, ton portable les remplacera durant cette expérimentation. Tu relèves la tête, fixant droit dans les yeux la jeune fille. Silencieuse, tu te lèves et tournes autour de celle-ci tout en la détaillant du regard, de haut en bas. Son corps semble, de ce que tu vois, en assez bon état. Bien. Très bien même. Rapidement, tu notes ces détails sur ton téléphone. Après une minute passée dans ce long silence, tu te plantes à nouveau face à elle. - Bien. Nous allons procéder aux informations basiques : nom, prénom, âge, taille, poids et problèmes de santé. Pour les problèmes de santé, merci de détailler s'ils ont survenu avant ou après la perte du bras et la greffe.Tu lui lances un léger sourire, comme pour apporter un peu de chaleur humaine dans ce protocole qui pourrait lui paraître froid. Au fond, tu n'en as que faire. Tu veux juste l'étudier, faire des expérimentations. Des bruits de pas dans le couloir. Tu te mordilles la lèvre inférieure. Tu espères sincèrement qu'il n'entrera pas aujourd'hui ce satané scientifique. Ni même que quiconque verra la lumière allumée. Tu la regardes à nouveau et, avant même qu'elle ne puisse répondre, remontes tes lunettes et continues ton protocole.- Ensuite, je vous demanderai de manipuler votre bras avant que je fasse de même. Pour plus de précautions, j'irai chercher du désinfectant. Une fois le bras étudié, le buste devra être étudié. Cela vous convient-il madame ? |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Machinalement, elle joue avec la manche de son bras mécanique, la rabaissant jusqu'a sous le coude, voir plus loin. Elle n'est pas totalement a l'aise dans cette situation. Elle se mordille le pouce humain et réfléchit. Comment pourrait-elle échapper a cette situation? Elle a déjà subi un rendez vous avec un expert, maintenant, c'est quoi ce deuxieme rendez vous, une passionnée de bras robot, c'est tout?
Elle la regarde s'occuper de son pull, elle se met a l'aise apparement, elle. Tant mieux cela dit. Faut bien qu'il y en ait une qui s'eclate au moins. Elle lui pose des questions de Docteur... Elle devrait penser a la "recommander" a son Bio-mécaniste habituel tiens... Comme assistante pour le café. Oui, la Blonde est un peu remontée contre cette scene. Ca va lui passer.
- Stella Leijon, 25 ans, un metre soixainte-treize, soixante kilos sans mon bras droit, soixante-six avec. Pas de problème de santé avant ou après, a part des règles régulières, mais ca, c'est des problèmes de femmes non? Elle lui adresse un regard l'air de dire "ca t'apprendra a me questionner", levant les sourcils pour appuyer son regard. Autre chose?
Elle ecoute "l'autre chose" en question et a cru qu'elle allait lui mettre une patate sur la toute fin. Elle s'est contenue sans bouger et se contente de poser une question a la place
- Pour etudier le buste, grosso-modo, je dois me mettre en soutien gorge, c'est ca?
Elle retire sa veste pendant ce temps et reste en t-shirt. Son bras est enfin dévoilé totalement. Une base, gréffée grace a l'opération, avec plein de cicatrices aux alentours, dus a l'opération ou aux morsures du Sharpédo. Le bras est bien placé sur la base et permet la connexion afin que les nerfs puisse communiquer leurs ordres au bras de métal. Elle rapproche sa chaise de la jeune femme, collant presque leurs genoux l'une a l'autre histoire que la gamine soit proche d'elle. Elle lui dit, non sans un certain ton acide.
- Tu as prévu de me retirer moi même mon haut pour tes recherches, ou je dois le faire moi même? Vu comme la gamine a parlé de son buste, elle s'attendait presque a la voir lui sauter dessus... |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Consciencieuse, tu écoutes attentivement tout ce que Stella te dit. Tu n'aimes pas ce prénom mais passons. Tu hoches la tête en signe d'approbation et notes toutes ces informations dans ton portable. Qu'est-ce que tu aurais aimé avoir un réel carnet... C'est beaucoup plus pratique et cela est fait aussi beaucoup plus professionnel. Ton regarde passe sur tout le corps de la Leijon, encore. Tu passes dans les moindres détails tout ce que tu peux voir. Parfait, elle retire sa veste. Tu reviens au niveau du bras. Tu t'approches. Encore. Encore. Tu as presque le nez collé dessus, ça en devient ridicule. Si tu ne fais pas attention, ton petit jeu tombera à l'eau. A cause de tes réactions trop passionnées. Silencieuse, tu regardes Stella manier son bras. Tu remontes tes lunettes. Tu fronces les sourcils en écoutant les paroles de la jeune femme. Serait-elle irritée ? Devras-tu la rassurer ? Tu as bien autre chose à faire, ce serait une perte de temps. Est-ce trop demandé de juste d'obéir ? Pour le bien de la science. L'espace d'une seconde, tu penses à ignorer ses questions et ses remarques. Elles sont déplacées et viennent d'une novice. Mais, cela n'arrangerait en rien la situation. Il faut tenter de prédire ses réactions mathématiquement. - Oui, il sera nécessaire de retirer le haut. Le soutien-gorge, vous pouvez le garder, pour l'instant. Je vous laisse le retirer, j'ai des informations à noter.Tu as parlé sèchement, abandonnant ton sourire enfantine si hypocrite. Tes pensées dominent tout. Tu as du mal à jouer la comédie, à être hypocrite. Ta soif de savoir est trop grande. A ce rythme, Stella sera la première personne à voir ton vrai visage. Malheureusement pour elle. Sans crier gare, tu te saisis du bras de la Leijon et fis glisser tes doigts dessus. Froid, bien évidemment. Tu le tritures dans tous les sens. Que ça lui fasse mal ou pas, tu n'en as que faire. Ton étude part de l'épaule pour arriver jusqu'à la main. Tu passes même la tête en dessous du bras, comme s'il cachait quelque chose. Tu ne cesses de remonter tes lunettes et de claquer ta langue sur ton palais. Tu es plongée dans tes réflexions. Tu réfléchis à toutes les éventualités. Toutes les possibilités. Tu lâches ton portable, entre tes deux jambes. Tu saisis le bras à deux mains et le tritures à nouveau. C'est exceptionnel. Époustouflant. Tu en es presque bouche bée. - Le métal est de grande qualité, cela doit forcément jouer sur la présence ou non de réactions corporelles, voire même un éventuel rejet. Il faudrait tester avec d'autres matériaux. J'en apporterai d'autres, oui... Paradoxalement, tu oublies presque la présence de Stella puisque tu ne fais que parler pour toi-même. Jamais tu n'as eu envie d'entamer une conversation avec elle. Elle, en tant que personne, ne t'intéresse pas. A présent, tes doigts arrivent au niveau des doigts métalliques. Et tu t'apprêtes à les bouger dans tous les sens. Peu importe la réaction et les ressentis de Stella. Tu dois l'étudier. Elle et son bras. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | - Oui, il sera nécessaire de retirer le haut. Le soutien-gorge, vous pouvez le garder, pour l'instant. Je vous laisse le retirer, j'ai des informations à noter.
Elle a noté les informations qu'elle lui a donné, docilement. Même l'information sur ses règles. Ouais, elle note n'importe quoi surement... Rah, elle devrait arreter d'être aussi méfiante. Elle n'a l'air que d'une passionnée après tout. Tu laisse la gamine avoir son petit fantasme de pouvoir avoir un bras robot entre les mains, elle sera contente, et tout ira bien, elle aura le droit de sortir... Normalement?
La jeune femme en face d'elle lui confirme ce qu'elle a demandé plus tôt. On retire le haut. Elle leve discretement les yeux au ciel et retire son haut au passage, le posant sur son dossier. Devant les yeux de la jeune femme, un soutien gorge mauve, sa couleur préféré, couvrant une poitrine ma foi fort classe et bien proportionnée (et rebondie qui plus est. Bouing). Elle en est fier de sa poitrine bizarrement, et puis, ses amants et amantes ne s'en sont jamais plaint...
La gamine lui parle sechement cela dit. Tiens, la passionnée commence a s'enerver. Interessant. Elle a un petit sourire. La gamine laisse tomber le masque? Ou son comportement l'enerve. On va voir... Elle va "suivre" pour le moment. Enfin, suivre de loin, mais suivre quand même.
- Le métal est de grande qualité, cela doit forcément jouer sur la présence ou non de réactions corporelles, voire même un éventuel rejet. Il faudrait tester avec d'autres matériaux. J'en apporterai d'autres, oui...
Elle hausse les sourcils. Elle s'en bat les couilles de son existence on dirait... Bon, on va être une sacré connasse du coup. Elle se frotte doucement les doigts de sa main humaine entre eux, pouce index, pouce majeur, pousse auriculaire, pouce annulaire. Pas les mains moites. Très bien.
Elle leva doucement la main, discretement, vers le crane de la miss, et claqua des doigts vers son oreille, pour la faire sursauter et lui rappeler son existence. Et surtout pour qu'elle arrete de serrer autant sa main et de la manipuler. Puis elle rebaissa le bras aussi sec.
- Oh, excusez moi, je me degourdissais l'autre main, mais j'ai peut être claqué des doigts un peu trop fort. La maitresse du mal parlé en personne messieurs-dames. Sans insulter, elle est quand même une sacré garce. Ca apprendra a la gamine a ne pas trop se la jouer.
- D'autres matériaux? Non merci, le métal me convient bien, c'est déjà assez cher.
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| | Trophéespassez la souris sur les icones | Tu relèves la tête. Comment a-t-elle osé ? Pour qui se prend-elle, cette Stella ? Quelle impolitesse et quel sadisme. Elle ose te tirer de tes réflexion. Tu as envie de la remettre à sa place. Enfin, physiquement, tu serais désavantagée bien sûr. Il suffit qu'elle te donne un coup de poing avec son bras métallique et tu es bonne à rester deux jours à l'hôpital. Voire plus. Tu soupires. Tu ne peux, malgré tous tes efforts, t'empêcher de la foudroyer du regard. De quel droit ose-t-elle faire ça ? Et en plus, elle réplique de manière déplacée. Et en plus, elle ne veut pas coopérer. Apparemment, tout ton plan tombe à l'eau. Tu grognes, tel un petit animal gêné et frustré. Tu peux te révéler capricieuse pas moment. Néanmoins, tu te raisonnes et finis, peu à peu, par te calmer. Ce n'est pas ainsi que tu arriveras à mener une réelle étude de ce bras. Il faut en tirer tout ce que tu peux. Et tu es bien loin d'abandonner. Tu toussotes et lâches le bras métallique. La portable sorti, tu écris encore dessus. Encore et toujours des notes. Tu finis par rediriger ton attention vers Stella. Elle ne sortira pas d'ici. Quoi qu'il arrive. Tu reprends, sans plus de cérémonie, le bras de ta main droite comme s'il t'appartenait. - Pourtant, il faut bien faire des expériences. Je veux dire... La science n'avance pas toute seule vous savez. Je payerai moi-même les matériaux, je gagne bien comme assistante. Puis, je serai bientôt une véritable scientifique de toute manière. On peut essayer le bois et le plastique. Le consentement ? Quel concept obscur que tu ne comprends pas. Tu ne l'as jamais saisi à vrai dire. Tu es trop bornée, trop fanatique pour cela. Tu ne connais aucune barrière quand il s'agit de faire avancer le progrès. Aucune. Et cette Stella ne sera pas un obstacle. De toute manière, tu passes par dessus tous les obstacles. D'autres bruits de pas dans le couloir se font entendre. Des voix se rapprochent. Quelqu'un s'arrête devant la porte. Et essaye de l'ouvrir. Mince. Il ne devait pas être là. Personne ne devait venir. Tu bouillonnes intérieurement mais ne montre rien. En effet, il ne faudrait pas que la Leijon voit ton petit stratagème. La personne tente à nouveau d'ouvrir. On l'entend grogner d'ici. Ce n'est pas possible. Tu regardes Stella droit dans les yeux. Un regard noir. Si elle tente quoi que ce soit, si elle dit quoi que ce soit, elle aura affaire à toi. Tu te lèves, et prends, toujours sans plus de cérémonie, son bras. Humain bien sûr, il ne faudrait pas abîmer la prothèse. Il vous faut emprunter une porte au fond à gauche du laboratoire. Sincèrement, tu ne sais pas où elle mène. Tu es debout, tenant la main de Stella tandis qu'une voix grave se fait entendre derrière la porte.- Il y a quelqu'un ? C'est le docteur Ironwood, je voudrai chercher du matériel dans ce laboratoire.Inconnu au bataillon ce scientifique. Vous voilà dans de beaux draps, enfermées dans une pièce dont la seule issue mène vers un endroit inconnu. Deux jeunes filles qui ne semblent pas en très bon termes qui plus est. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Sa petite strategie a marché. Le claquage de doigt puissant l'a fait reagir. Nyark. Ca lui apprendra a la gamine. Elle avait qu'a ne pas oublier son existence. Nan mais oh. Elle veut bien accepter que ce soit une scientifique et que les scientifiques aient des us et coutumes differents du commun des mortels, mais bon, elle, sa coutume, c'est de faire attention aux gens.
Elle repart encore sur sa lubie des autres materiaux. Bordel de... Faut il qu'elle soit completement idiote pour vouloir absolument modifier son bras ainsi. Elle a qu'a s'acheter un bras robot sur lequel faire des tests. Mais le sien, c'est nyet. Elle refuse de la laisser faire des modifications dessus.
- Mettez vous en contact avec des docteurs en biomecanique... Ca serait plus utile que vos petites experiences en solitaire je pense.
Un bruit se fait entendre. Quelqu'un veut rentrer. Qu'est ce que? La porte est verouillee? Elle regarde la gamine avec un air furieux, comment elle a osé. Elle degage sa main robot de l'etreinte de la gamine et prend son elan, prete a lui mettre un coup de poing. Elle s'interromp dans son mouvement en entendant une voix familiere. Sur le coup de la surprise, elle oublia presque de la frapper. Son Docteur. Le docteur Ironwood. Un moyen de s'echapper sans avoir a risquer de se faire arreter pour coups et blessures?
Elle s'appreta a se lever lorsqu'elle sent que c'est son autre main qui est prise. Suivi d'un regard lourd de menaces. Son bras robot est plus fort et plus facile a degager, son bras etant entrainé a le porter, il a la force qui suit, l'autre, moins. Elle tente de se degager avec ce bras la, voulant s'eloigner de la gamine pour ouvrir la porte au Docteur. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Au plus les minutes passent, au plus la situation empire pour toi. Stella coopère encore moins, ton petit jeu s'effondre, un scientifique cherche absolument à rentrer. Tu ne lâches pas ton sujet d'études. Elle résiste peu à vrai dire. Tu as compris son point fort. Qui se révèle être son point faible. A trop compter sur son bras mécanique, elle en a oublié le reste de son corps, parfaitement humain. Ainsi, elle n'es pas forcément très musclée du bras humain. Tu pourrais, avec un peu d'effort, prendre le dessus. Il n'est pas encore question d'utiliser la force. Mais si tu dois en venir à une telle situation, tu seras prête. Il faut toujours se préparer à toutes les éventualités. Derrière la porte, le docteur s'impatiente. Il frappe de plus en plus fort, passe encore et toujours sa carte dans le lecteur. Seule toi peut ouvrir la porte. Tu connais le code. Un code très complexe puisqu'il suffit de passer ta carte dans le lecteur. L'heure n'est pas à réfléchir à cela. Tu tiens encore Stella. Elle commence à se débattre. Voilà qui est mauvais. Très mauvais. Tu soupires. D'un geste vif, tu te penches pour récupérer les habits de la Leijon, tout en resserrant ta prise sur elle bien évidemment. Tu la regardes. Et tu gardes les habits, avec un grand sourire narquois. Elle n'oserait pas sortir torse nue. Personne n'oserait. Tu fais un pas vers le fond du laboratoire tout en tirant son bras humain. Tu la serres fort. Encore un peu et tu plantes tes ongles dans sa peau. - On doit partir. Je connais ce docteur, il ferait pire que moi. Il y a de sales histoires sur son compte... Peut-être avez-vous déjà eu affaire à lui, vous n'avez alors encore rien vu. On part dans une autre pièce.Il n'est, bien évidemment, pas question de négocier. Tu imposes, elle obéit. Les choses sont simples. Tu la tires davantage, resserrant à chaque pas ton emprise tout en gardant dans l'autre main les habits, collés contre ton torse. Elle ne les récupérera pas si facilement. Pourtant, tu ne le sens pas. Elle peut encore partir. Ton emprise n'est pas assez forte. - Un seul mot, un seul mouvement suspect et je vous assomme avec ça. Je ne suis pas sûr que l'on puisse trouver une prothèse pour la tête...Tu fais un signe de tête vers une barre en fer, relativement grande et imposante qui trône sur un bureau. Normalement, elle aurait dû servir à bloquer l'armoire vitrée qui se trouve juste à côté. Mais, voilà qu'elle est à disposition. Tu es en position de force. Et ton sujet d'études ne partira pas. Tu as encore tellement d'expériences à faire... |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Elle est pas bien partie pour fuir. C'est garanti, elle est dans une galère innommable... Pourquoi il a fallu qu'elle accompagne cette gamine plus tôt. Elle aurait pas juste pu partir vite quand elle l'a rencontré? Nooooon, bien sur que non enfin... Elle a été curieuse, et ca la met dans les emmerdes maintenants. C'est malin. Très malin.
La gamine lui tient le poignet fermement, et pire que tout, elle récupère maintenant ses habits. Elle ne peut pas fuir en soutien gorge et pantalon, ca serait un coup a se faire arreter... Elle a autre chose a faire que porter plainte après avoir subi une amende pour exhibitionnisme... Ca serait une perte de temps incommensurable.
Aie ! Elle lui plante les ongles dans la peau. Ca fait super mal, quelle salope celle la... Elle se tortille et ne l'ecoute même pas parler. Apparement ca critique son Docteur. Quel dommage, elle le connait assez. Mais bon, comme elle a pas trop ecouté, elle peut pas trop répondre a ce sujet. Tsss, quelle erreur... Elle remue son poignet dans la main de la femme, mais se fait quand même entrainer par elle.
- Un seul mot, un seul mouvement suspect et je vous assomme avec ça. Je ne suis pas sûr que l'on puisse trouver une prothèse pour la tête...
- Tss..
Elle finit par se laisser entrainer, sous la contraite, dans une nouvelle salle, totalement dédiée a l'anatomie humaine cette fois. La porte derriere elles se fait fermer, apparement, c'est un laboratoire vide depuis un bail, il y a de la poussière qui s'accumule. Les scientifiques doivent être en vacances. On trouve plein de différents matos pour tout usage.
Même du matos non scientifiques, pour les réparations rapides, ou pour accrocher des trucs. Ah, un squelette en plastique pendu au plafond avec une corde. Je connais un scientifique qui s'est dit que tester les mouvements de balancier est une bonne idée. Ou alors il préparait Halloween... Definitivement Halloween, le squelette est orange. Pendant ce temps, la jeune femme remuait toujours son bras.
- Qu'est ce qui t'arrive putain, ca t'amuse d'enlever les gens comme ca? |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Parfait. Ici, vous allez être tranquilles. Toi et ton sujet d'expériences. Au loin, la voix du scientifique se fait encore entendre. Son ton baisse. Il a fini par abandonner. Il a certainement dû penser que la lumière allumée était un oubli de son collègue. Et la porte devait avoir quelques problèmes. Rien de plus. Il ne pouvait pas s'imaginer, qu'en ce moment même, tu séquestrais - il faut utiliser les bons termes - une jeune femme pour une simple prothèse métallique au bras. Tu soupires un peu et relèves la tête. La pièce est minuscule. Mal éclairée, poussiéreuse. D'un coup sec, tu appuies sur l'interrupteur. La lumière est faible, son intensité augmente doucement. Tu devras faire avec. Bien évidemment, tu as fermé la porte derrière toi. Tu regardes vers le fond de la pièce où se trouve le mur qui jouxte le couloir. Bien, il n'y a pas de porte. Cette remise t'a sauvé la vie. Tu as de la chance. Stella garde ses habits près d'elle. A-t-elle froid ? Tu aimerais bien tester les différences de températures sur la prothèse. Tu as tellement d'idées, ton cerveau est en pleine ébullition. Il ne s'arrêtera pas. Tu avances rapidement vers ton cobaye. Tu lui tournes autour. Tu fronces les sourcils, murmures un peu - rien d'intéressant, juste des hypothèses sur l'anatomie de Stella - et t'approches à nouveau d'elle. J'espère que vous n'êtes pas pudique. Bien, laissez moi examiner la zone qui fait la jonction entre la prothèse et la peau. J'aimerai aussi examiner votre plaie et vos éventuelles cicatrices. Merci.Tu fais, bien entendu, semblant de lui demander son accord. Peu importe sa réponse, tu agis comme tu le souhaites. Elle n'est qu'un sujet d'expérimentations après tout. Sans aucune pudeur, tu parcoures le début de la prothèse et la peau au niveau de l'épaule. Tu la pinces. Il faut tester sa résistance à la douleur. Tu la pinces à nouveau, un peu plus fort. Sans prévenir, tu la mords. Tu viens de lui mordre la peau, juste au-dessus de la prothèse. Aucune délicatesse. Et, tu n'en as que faire des réactions de ton cobaye. Il doit se taire et rester immobile, c'est tout. D'ailleurs, elle ne s'échappera pas. Tes mains, attachées à elle, gardent une forte emprise. Il est temps de passer à la prochaine étape... |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | C'est qu'elle tient fermement, cette satané petite... Elle essaye toujours de se defaire de l'etreinte de la garnement, continuant de se faire entrainer. Pas qu'elle veuille la suivre, elle n'a juste pas le choix. Et ca l'enerve au plus haut point. Mais bon, elle n'a pas le choix, donc a un moment, il faut bien se laisser faire... Ou dans le pire des cas, juste ne pas trop lutter et attendre le meilleur moment pour fuir peut etre.
Elle remue encore, pendant qu'elle est au milieu de tout ce matos. Pendant que la gamine continue de lui caresser le metal, elle observe autour. Elle pourrait utiliser le rouleau de scotch a la rigueur. Ouais, ca serait une bonne idée... Pour peu qu'elle soit assez rapide, elle pourrait lui bloquer les mains, et s'assurer une fuite rapide... Mains bloquées dans le dos, le temps de remettre son haut, et d'ouvrir la porte, elle pourrait fuir.
Elle sortit de ses strategie en sursautant. Aie ! Elle lui pince le bras! AIE ! ELLE LUI MORD LE BRAS ! MAIS ELLE EST MALADE CETTE FILLE? Elle se debat un peu
- Ca va pas de mordre comme ca?
Elle le dit en haussant un peu le ton mais sans crier, essayant toujours de liberer ses deux mains, elle met un peu plus de force sur le bras robot cela dit, avec un peu de chance, elle pourra se liberer. Elle n'aime pas être dans une telle situation, elle le deteste totalement. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Au fond, tu n'es guère étonnée par la texture de la blessure, mais ta blessure a permis d'en savoir plus sur ce sujet d'expérience. En parlant de celui-ci, voilà qu'il tente de se débattre. Il essaye même de se libérer de ton emprise. Que croit-il faire ainsi ? C'est ton sujet d'expérience. Rien qu'à toi. Tu te recules un peu, et tu le dévisages totalement, tout en serrant sa main humaine pour ne pas desserrer ton emprise. Bien. Tes recherches avanceront bien, tu en es certaine. Tu ne lâches plus de sourire. Tu as cessé de jouer depuis longtemps. Tu montres réellement qui tu es. Peu importe, Stella ne dira rien à personne. Ces expériences resteront secrète, un temps. Puis, tu devras les dévoiler le moment voulu. Quand tes découvertes seront mondialement connues, que tu devras en informer tous les autres scientifiques. Tu sens une force venir du bras mécanique. La Leijon essaye de partir. De faire faiblir. Que pense-t-elle faire ainsi ? Elle se trompe largement. Tu lui dis non de la tête, avant d'esquisser un sourire. Non pas ce joli sourire de jeune fille innocente et naïve. Ce sourire sadique. Ton réel sadique. Peu à peu, la luminosité a augmenté. Parfait. Tu distingues encore mieux les objets présents. Bien. Trois tabourets. Quelques outils rudimentaires. Des ficelles.- Il est temps d'enlever cette prothèse, et je sais que vous n'allez pas coopérer. Laissez moi donc vous forcer à coopérer.Tu ne lui laisses aucune occasion, aucune fenêtre de tir que des ficelles entourent ses bras autour de sa taille. Puis ses chevilles. Elle est ligotée. Comme un saucisson. Tu es satisfaite oui, oui tu es satisfaite. Ton sourire sadique s'étire sur ton visage. Tu commences à triturer le bras. Tu n'y arriveras pas. Alors, tu prends le tabouret le plus proche. Et ce qui ressemble à un cutter. Le plus important est que cet outil découpe.- Asseyez-vous si vous voulez garder des parties intactes.Tu t'approches du bras, le couteau - il s'agit bien plus d'un couteau que d'un cutter - frôle les branchements métalliques. Disposé à l'interstice entre la peau et le métal, il est prêt à couper. Couper un gros saucisson, pas une jeune femme charmante voyons. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Son corps remue, elle ne veut que de l'aide. Elle veut partir. Elle ne veut plus rester au même endroit que cette folledingue. Elle va pas bien ou quoi? Pour un simple bras mécanique, elle agit ainsi? Quelle connasse... Elle merite juste un coup de poing. Avec quelques chicos qui volent. Ouais, ca serait un bon plan ca.
Pendant qu'elle réfléchissait en forcant un peu, elle sent la resistance faiblir d'un coup sec, elle est un peu prise par surprise et se fait avoir, se retrouvant avec des cordes autour de sa taille, bloquant ses bras, et des cordes a ses pieds, l'empechant de fuir.
Elle tombe sur le siege le plus proche, se tortillant. Elle grogne. Elle remue ses bras dans tout les sens, ses poignets sont retenus par une corde bien sérré, elle peut juste les faire bouger tout autour de son corps mais pas les sortir. Elle se retrouve de temps en temps avec les mains jointes devant ou derriere, mais essaye de se liberer. Elle se tortille aussi aux chevilles. Elle se place assise et voit le cutter se rapprocher, au niveau de la base de son bras.
- MAIS TU ES MALADE? ARRETE !
Elle se debat et essaye d'eloigner son bras le plus possible du cutter, se tortillant un peu plus, elle paniquerait presque, elle criera si la lame se rapproche plus encore. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Stella tente de résister. Ce n'est guère surprenant après tout. N'importe quel humain doué d'un minimum d'intelligence ferait de même. A vrai dire, elle vient tout juste de te casser les tympans. Tu espères que personne n'a entendu son cri strident. Dans ces moments, tu regrettes de ne pas avoir de Pokémon connaissant la capacité Berceuse. Elle aurait bien été utile. Au moins, Stella n'aurait pas eu à résister. Elle aurait eu moins mal. Doucement, tu rapproches le couteau. Et sans rien dire, concentrée, tu commences à vouloir sectionner un fil. La cobaye ne t'aide pas. Elle ne se laisse pas faire du tout. Bien au contraire. A vrai dire, tu as beaucoup de mal à être précise. A force, tu lui couperas l'épaule. Ce qui n'est pas conforme à ton plan. Mais alors, pas du tout. Tu tentes de maîtriser la jeune femme par ta main gauche. En vain, elle est plus forte que toi. Tu soupires et remets tes lunettes en place. Un peu de transpiration sur ton front. Cette opération est délicate. Or, la cobaye ne comprend pas vraiment cela. Voilà qui est dommage pour elle. Tu tentes à nouveau de la contenir, tu as failli tomber à terre puisqu'elle ne cesse de bouger ses pieds.- tais-toi et arrête de bouger ! Tu ne comprends donc pas que cette expérience est cruciale ? Si tu continues, je vais chercher un anesthésiant et resserrer les liens.Voilà. Ces mots devraient la calmer. En théorie. Et tu l'espères. Tu déglutis et reprends ton geste. La fil se rapproche. Plus que quelques centimètres. Des millimètres à présent. Tu commences doucement à sectionner quand un grand bruit se fait entendre. Quelqu'un vient d'entrer dans la pièce voisine. Non non non et non. Ce n'est pas possible... Apparemment, le scientifique propriétaire de ces deux pièces vient d'arriver et, sans nul doute qu'il n'aimera pas voir cette scène. D'ailleurs, tu l'entends siffler. Puis il râle. Aïe, il a remarqué que quelque chose n'allait pas. Tu ne bouges plus. Tu ne dis plus rien. Des bruits de pas. Puis, le silence. D'un pas rapide tu te diriges vers la seule porte de cette réserve et l'entre'ouvre. Le scientifique en question est parti. Mais, la porte du laboratoire est grande ouverte, la lumière toujours allumée. Il reviendra. Toujours silencieuse, tu reviens vers ton cobaye. Alors, tu défais ses liens et saisis son bras humain, de peur d'abîmer l'autre. Tu la relèves et la foudroies du regard.- Pas un seul mot, c'est compris ? On part d'ici. Suis-moi.Bien évidemment, elle te suivra. Loin d'ici. Tenant toujours la main humaine de Stella, tu te diriges vers la sortie de la réserve. Le scientifique n'est pas encore arrivé, il est encore temps de partir. Il faut poursuivre cette expérience. A tout prix. |
| | Trophéespassez la souris sur les icones | Elle se tortille, ralant enormement. Quelle connasse cette gamine. Elle ne va pas se retenir lorsqu'elle aura les mains libres. Ca c'est sur. Elle grogne un peu et essaye autant que possible de ne pas crier plus. De toute facon, elle sait comment ca va finir si elle crie. Plutot remuer, c'est mieux. Elle sursaute lorsqu'elle la menace de sortir un anesthesiant. Ah ouais, elle va sur ce terrain la? Elle la menace physiquement de plus en plus.
Elle tire une grimace. Elle va definitivement lui mettre un coup de poing. Misere. Deuxieme sursaut lorsqu'elle entend du bruit. Oh merde. Elle avec un bras qui va changer de cable d'ici peu. La gamine qui lui attaque le bras et qui l'attache. Putain de bordel de...
Un silence. Plus rien. Et la femme qui lui detache les bras et la retient par son bras humain. Bien. Parfait. Son bras robot est libre. C'est parti pour mettre en marche le plan de la libération. Elle n'hesite pas cette fois, et met le plus de force possible dans un coup de poing droit dans la joue de la jeune femme qui l'a séquestré. La premiere fois, elle a été prise par surprise par le toc toc toc précédent. Mais la, ca part. Et sans interruption. Paf. Poing contre joue molle.
Elle en profite pour degager son bras, recupère ses habits et court en remettant son haut, sa veste et ses gants. Elle a du mal cela dit. Après toute la coupure sur le fil, des disfonctionnements se font ressentir, et le bras s'immobilise droit. Bon ben elle demandera des réparations au docteur... Elle trouvera une excuse. Elle va pas punir plus la gamine en lui collant une plainte. Un coup de poing ca suffira. Surtout vu la force du coup. |
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