Suite à sa rencontre avec Yokoss et son choix de garder Farfuret avec lui. Mizoku avait quitté Fort-des-Songes pour rentrer à Voltapolis. Il n’avait pu donner de nouvelle à sa famille depuis 1 an et il n’avait aucun téléphone pour les contacter et leur dire qu’il allait bien. Il avait donc décidé de prendre le premier bus dès qu’il fut remis sur pied, lui et son pokémon, et ils prirent la direction de Voltapolis, sa ville natale.
Durant tout le trajet, le jeune homme se demandait se qu’il allait dire à ses parents. Il ne pouvait quand même pas leur dire qu’il avait été capturé par des bandits durant 1 an complet avant de pouvoir s’enfuir! Sa mère ferait une crise cardiaque si elle l’apprenait. Bon, elle ferait sûrement une crise cardiaque tout court en le revoyant. Il se demandait s’ils avaient envoyé la police à sa recherche après la destruction de Windoria.
- J’espère seulement qu’il ne pense pas que je suis mort. Dit-il pour lui-même.
-Fuuu?
- Hm? Il ne s’attende pas à te voir non plus. Je n’ai jamais eu de pokémon avant aujourd’hui.
- Farfuret!
Mizoku déposa sa tête contre la vitre du bus et regardait le décor défilé devant lui. Il en avait encore pour quelques minutes avant de débarquer. Il espérait que ses parents n’aient pas déménagé depuis tout ce temps, sans quoi ils seraient difficiles à retrouver dans cette immense ville. Il laissa son esprit vagabonder pendant le reste du trajet.
Le bus repartit tandis que Mizoku et Farfuret était descendu à l’arrêt principal. Il jeta son sac derrière son dos et marcha nonchalamment jusqu’à la rue principale de Voltapolis. Il leva les yeux vers le ciel. Des pidgeys et poichigeons volaient dans le ciel et le soleil brillait de milles feux. Le duo se mit en marche vers la maison des Sawano qui se trouvaient dans un quartier résidentiel non loin de la station de bus. Personne ne faisait attention à lui. Personne ne semblait même pas le reconnaître. C’est vrai qu’il avait beaucoup changé en 1 an. Il avait l’air triste et distant. Son regard était perdu dans ses pensées et il n’avait plus la même prestance qu’avant. Ses cheveux étaient un peu plus long et il avait troqué sa chemise – cravate pour quelques choses de plus décontractés. Il avait l’air d’un fauteur de trouble bien qu’il n’en était pas un.
Il s’arrêta devant la maison de ses parents. Pendant un moment, il hésitait à aller sonner. Peut-être que ses parents l’avaient oublié? Peut-être même qu’ils avaient fait leur deuil de sa « mort »?
-Fuuu?
-Oui… Il faudrait bien que je me décide à y aller.
Le jeune homme soupira et s’avança vers la maison de ses parents. Devait-il sonner ou entrer directement? Après un moment d’hésitation, il décida finalement de sonner à la porte. Il entendit une voix féminine de l’autre côté de la porte. Mizoku déglutit. Il avait peur de la réaction de sa mère, bien qu’il se doute bien qu’elle n’allait pas être en colère de le revoir.
- Ou…
- Je suis rentré.
- Mi… Mizoku…
La jeune femme aux traits tirés se jeta dans les bras de son fils. Mizoku entoura lentement les épaules de sa mère qui pleurait contre lui. Aucune larme ne coula sur les joues du jeune homme, mais il était heureux de voir sa mère. Son père apparu dans l’embrasure de la porte en se demandant se qui se passait à l’entrée.
- Qui est-ce… Mizoku!
Son père eut du mal à retenir ses larmes en voyant son fils. Lui non plus ne s’attendait pas à le revoir après 1 an sans nouvelle. Farfuret restait légèrement en retrait, ne sachant pas comment réagir devant autant d’humains qui pleuraient à chaux de larme. Ils entrèrent ensuite dans la maison et ils prirent tous place autour de la grande table. Sa mère s’affairait à préparer du café. Pendant ce temps, un silence s’installa autour de la table. Personne ne savait pas quoi commencer. Sa mère brisa finalement le silence après avoir déposer les tasses chaudes.
- Pourquoi ne nous as-tu pas contactés après Windoria? Nous étions persuadés que tu … Les polices n’avaient rien trouvé sur les lieux… Nous pensions que tu étais …
- Je ne pouvais pas vous contactez, car je n’avais plus mon téléphone.
- Où étais-tu pendant tout ce temps?
Mizoku bu une gorgé de café pour tenter d’éviter la question, mais il savait qu’il n’aurait pas le choix que de répondre à son père. Sa mère aussi voudrait sûrement savoir où il était pendant cette longue année à se faire du sang d’encre pour leur fils.
-J’ai été capturé par des bandits …
-Oh mon dieu! S’écria sa mère.
-Ce farfuret m’a sauvé la vie à Windoria et aussi dans ce camp de bandit … Je suis parvenu à m’enfuir il y a quelques mois, mais je ne pouvais pas vous contacter. Je n’avais ni argent ni téléphone … J’ai atterri à Fort-des-Songes où j’ai été soigné.
- Fort-des-Songes! C’est à 1 heure d’autobus!
- Comment vas-tu?
- Ça va… si ça ne vous dérange pas, je vais aller me reposer… Merci pour le café maman.
- Ta chambre est toujours là si jamais… Prend le temps qu’il te faut mon grand.
Mizoku leur sourit franchement et après qu’il eut terminé son café et qu’il est nourri son pokémon avec des croquettes, il monta à l’étage pour se reposer. Il laissa son farfuret jouer avec le ponchiot de ses parents. Le Sawano se laissa tomber sur son lit. Il fixait le plafond, plaçant ses bras derrière sa tête. Il ne pu s’empêcher de repenser à ce qui s’était passé dernièrement et maintenant qu’il était de retour dans sa famille, il ne pu s’empêcher de laisser couler quelques larmes silencieuses. Sa carapace se fissurait maintenant qu’il se savait en lieu sur.
« J’ai si peur … peur de la suite… de l’avenir… qu’est-ce que je vais devenir… »
Suite à ses pensées, le jeune homme se laissait apporter dans les bras de Morphée. Il ne sentit pas son Farfuret le rejoindre sous les couvertures. Il n’eut même pas conscience que sa mère était venu le bordé malgré ses 24 ans.
- Mizoku! Le déjeuner est prêt!
Voyant que son fils ne répondait pas, la mère de Mizoku décida d’aller voir ce qu’il faisait. Elle cogna quelques coups à sa porte avant d’entrée dans la chambre du jeune homme. Celui-ci était en train de remplir son sac de voyage. Il tourna la tête pour voir sa mère avec un regard inquiet.
- Tu pars déjà? Dit-elle les larmes aux yeux.
- Oui … Excuse moi de ne pas rester plus longtemps. J’ai besoin de sortir … J’ai besoin de me retrouver. Je suis heureux de vous revoir et votre présence me fait du bien, mais …
- Je comprends… Je m’inquiète pour toi et je vois que tu n’es pas heureux … J’espère seulement que tu arriveras à trouver ce qui te rendra le sourire… c’est tout ce que je veux.
- Merci. Je vais prendre le temps de déjeuner et je partirais après-midi.
Mizoku prit le temps de se remplir le ventre et il s’occupa de ponchiot un moment. Il discuta un peu avec son père qui lui remit un téléphone pour qu’il puisse les contacter ou vice-versa. Il lui remit un peu de pokédollars pour commencer sa nouvelle aventure. Mizoku le remercia en lui donnant une accolade rapide. Son sac sur le dos, son pokémon avec lui, Mizoku quitta à nouveau la maison familiale. Il salua ses parents et leur promis qu’il les tiendrait au courant de son voyage à travers Lumiris. Il se promena un instant dans Voltapolis avant de reprendre la route vers l’inconnu. Il devait à tout prit se retrouver, trouver un but et reprendre goût à la vie. Son âme était fissurée. Il savait qu’il reviendrait quand les morceaux seraient recollés et qu’il aurait retrouvé un but à suivre. Cette fois, il n’était pas seul, il avait son Farfuret et ensemble ils allaient accomplir de grande chose!
Durant tout le trajet, le jeune homme se demandait se qu’il allait dire à ses parents. Il ne pouvait quand même pas leur dire qu’il avait été capturé par des bandits durant 1 an complet avant de pouvoir s’enfuir! Sa mère ferait une crise cardiaque si elle l’apprenait. Bon, elle ferait sûrement une crise cardiaque tout court en le revoyant. Il se demandait s’ils avaient envoyé la police à sa recherche après la destruction de Windoria.
- J’espère seulement qu’il ne pense pas que je suis mort. Dit-il pour lui-même.
-Fuuu?
- Hm? Il ne s’attende pas à te voir non plus. Je n’ai jamais eu de pokémon avant aujourd’hui.
- Farfuret!
Mizoku déposa sa tête contre la vitre du bus et regardait le décor défilé devant lui. Il en avait encore pour quelques minutes avant de débarquer. Il espérait que ses parents n’aient pas déménagé depuis tout ce temps, sans quoi ils seraient difficiles à retrouver dans cette immense ville. Il laissa son esprit vagabonder pendant le reste du trajet.
Le bus repartit tandis que Mizoku et Farfuret était descendu à l’arrêt principal. Il jeta son sac derrière son dos et marcha nonchalamment jusqu’à la rue principale de Voltapolis. Il leva les yeux vers le ciel. Des pidgeys et poichigeons volaient dans le ciel et le soleil brillait de milles feux. Le duo se mit en marche vers la maison des Sawano qui se trouvaient dans un quartier résidentiel non loin de la station de bus. Personne ne faisait attention à lui. Personne ne semblait même pas le reconnaître. C’est vrai qu’il avait beaucoup changé en 1 an. Il avait l’air triste et distant. Son regard était perdu dans ses pensées et il n’avait plus la même prestance qu’avant. Ses cheveux étaient un peu plus long et il avait troqué sa chemise – cravate pour quelques choses de plus décontractés. Il avait l’air d’un fauteur de trouble bien qu’il n’en était pas un.
Il s’arrêta devant la maison de ses parents. Pendant un moment, il hésitait à aller sonner. Peut-être que ses parents l’avaient oublié? Peut-être même qu’ils avaient fait leur deuil de sa « mort »?
-Fuuu?
-Oui… Il faudrait bien que je me décide à y aller.
Le jeune homme soupira et s’avança vers la maison de ses parents. Devait-il sonner ou entrer directement? Après un moment d’hésitation, il décida finalement de sonner à la porte. Il entendit une voix féminine de l’autre côté de la porte. Mizoku déglutit. Il avait peur de la réaction de sa mère, bien qu’il se doute bien qu’elle n’allait pas être en colère de le revoir.
- Ou…
- Je suis rentré.
- Mi… Mizoku…
La jeune femme aux traits tirés se jeta dans les bras de son fils. Mizoku entoura lentement les épaules de sa mère qui pleurait contre lui. Aucune larme ne coula sur les joues du jeune homme, mais il était heureux de voir sa mère. Son père apparu dans l’embrasure de la porte en se demandant se qui se passait à l’entrée.
- Qui est-ce… Mizoku!
Son père eut du mal à retenir ses larmes en voyant son fils. Lui non plus ne s’attendait pas à le revoir après 1 an sans nouvelle. Farfuret restait légèrement en retrait, ne sachant pas comment réagir devant autant d’humains qui pleuraient à chaux de larme. Ils entrèrent ensuite dans la maison et ils prirent tous place autour de la grande table. Sa mère s’affairait à préparer du café. Pendant ce temps, un silence s’installa autour de la table. Personne ne savait pas quoi commencer. Sa mère brisa finalement le silence après avoir déposer les tasses chaudes.
- Pourquoi ne nous as-tu pas contactés après Windoria? Nous étions persuadés que tu … Les polices n’avaient rien trouvé sur les lieux… Nous pensions que tu étais …
- Je ne pouvais pas vous contactez, car je n’avais plus mon téléphone.
- Où étais-tu pendant tout ce temps?
Mizoku bu une gorgé de café pour tenter d’éviter la question, mais il savait qu’il n’aurait pas le choix que de répondre à son père. Sa mère aussi voudrait sûrement savoir où il était pendant cette longue année à se faire du sang d’encre pour leur fils.
-J’ai été capturé par des bandits …
-Oh mon dieu! S’écria sa mère.
-Ce farfuret m’a sauvé la vie à Windoria et aussi dans ce camp de bandit … Je suis parvenu à m’enfuir il y a quelques mois, mais je ne pouvais pas vous contacter. Je n’avais ni argent ni téléphone … J’ai atterri à Fort-des-Songes où j’ai été soigné.
- Fort-des-Songes! C’est à 1 heure d’autobus!
- Comment vas-tu?
- Ça va… si ça ne vous dérange pas, je vais aller me reposer… Merci pour le café maman.
- Ta chambre est toujours là si jamais… Prend le temps qu’il te faut mon grand.
Mizoku leur sourit franchement et après qu’il eut terminé son café et qu’il est nourri son pokémon avec des croquettes, il monta à l’étage pour se reposer. Il laissa son farfuret jouer avec le ponchiot de ses parents. Le Sawano se laissa tomber sur son lit. Il fixait le plafond, plaçant ses bras derrière sa tête. Il ne pu s’empêcher de repenser à ce qui s’était passé dernièrement et maintenant qu’il était de retour dans sa famille, il ne pu s’empêcher de laisser couler quelques larmes silencieuses. Sa carapace se fissurait maintenant qu’il se savait en lieu sur.
« J’ai si peur … peur de la suite… de l’avenir… qu’est-ce que je vais devenir… »
Suite à ses pensées, le jeune homme se laissait apporter dans les bras de Morphée. Il ne sentit pas son Farfuret le rejoindre sous les couvertures. Il n’eut même pas conscience que sa mère était venu le bordé malgré ses 24 ans.
~ Quelques jours plus tard ~
- Mizoku! Le déjeuner est prêt!
Voyant que son fils ne répondait pas, la mère de Mizoku décida d’aller voir ce qu’il faisait. Elle cogna quelques coups à sa porte avant d’entrée dans la chambre du jeune homme. Celui-ci était en train de remplir son sac de voyage. Il tourna la tête pour voir sa mère avec un regard inquiet.
- Tu pars déjà? Dit-elle les larmes aux yeux.
- Oui … Excuse moi de ne pas rester plus longtemps. J’ai besoin de sortir … J’ai besoin de me retrouver. Je suis heureux de vous revoir et votre présence me fait du bien, mais …
- Je comprends… Je m’inquiète pour toi et je vois que tu n’es pas heureux … J’espère seulement que tu arriveras à trouver ce qui te rendra le sourire… c’est tout ce que je veux.
- Merci. Je vais prendre le temps de déjeuner et je partirais après-midi.
Mizoku prit le temps de se remplir le ventre et il s’occupa de ponchiot un moment. Il discuta un peu avec son père qui lui remit un téléphone pour qu’il puisse les contacter ou vice-versa. Il lui remit un peu de pokédollars pour commencer sa nouvelle aventure. Mizoku le remercia en lui donnant une accolade rapide. Son sac sur le dos, son pokémon avec lui, Mizoku quitta à nouveau la maison familiale. Il salua ses parents et leur promis qu’il les tiendrait au courant de son voyage à travers Lumiris. Il se promena un instant dans Voltapolis avant de reprendre la route vers l’inconnu. Il devait à tout prit se retrouver, trouver un but et reprendre goût à la vie. Son âme était fissurée. Il savait qu’il reviendrait quand les morceaux seraient recollés et qu’il aurait retrouvé un but à suivre. Cette fois, il n’était pas seul, il avait son Farfuret et ensemble ils allaient accomplir de grande chose!