ALLAN ROCKWEN
Feat Monsieur Yugo de The Promised Neverland
35 ANS 04.05 UNYS MALE CHOMEUR METEORE
DéfautsMéprisantEnvieuxBlaséSolitaire
QualitésCréatifDébrouillardSensible
DéfautsMéprisantEnvieuxBlaséSolitaire
Description
Lorsqu’on le croise la première fois, on le croirait au bout de sa vie. Allan est un grand gaillard, fin, presque maigre. Il avance en traînant des pieds, le dos voûté. Il n’exulte pas la joie de vivre et semble nonchalant, mollasson, flasque. Il porte des couleurs sombres, marronnasses, qui ne font qu’accentuer son manque de vitalité et la tristesse qui se dégage de lui. Une vraie loque.
Ses cheveux noirs, courts, ne sont pas vraiment coiffés et une mèche tombe sur le côté droit de son visage. Ici et là, quelques cheveux blancs pointent déjà le bout de leur nez alors qu’Allan se trouve trop jeune pour en avoir. Il a du poil au menton, plus par flemme que par véritable envie de paraître viril. Ses ongles, il se les ronge. Ses yeux sont fins, soulignés de cernes et de sourcils souvent froncés. Peu de sourires étirent ses lèvres, il ne faut pas trop lui en demander. Sa voix est éraillée, parce qu’il fume et il ne fait rien pour arranger ça.
Et le pire dans tout ça ? C'est qu'il ressemble à son père. Physiquement, bien sûr, mais aussi moralement. A tellement le haïr, il est devenu le même genre de personne que lui : ingrat, désagréable, pourri.
La vie l'a rendu amer et s'il avait pu être un gentil garçon enthousiaste, ce gosse n'est plus qu'un lointain souvenir dans un album photo. Ses rires sont devenus sarcastiques, ses mots narquois. Allan est un adulte blasé, l’ombre de l’homme exceptionnel qu’il aurait pu devenir. Son cœur est lourd de rancœur, gorgé de remords. C’est un défaitiste, un pessimiste. Il ne sait plus voir le bon côté des choses, préférant s’attendre au pire pour ne plus être déçu de rien.
Il est le genre d’homme à clamer haut et fort qu’il n’a besoin de personne pour vivre, mais, au fond, il s’agit surtout d’une manière de se protéger. Le monde l’a déçu, les gens également. A quoi bon s’offrir à eux ? Mieux vaut être seul que mal accompagné, c’est ce qu’il se dit. S’il méprise les autres, c’est car il ne s’aime pas lui-même. Il porte en horreur les défauts des autres, qui ne font que lui rappeler les siens. Il juge les fautes d'autrui, à défaut d’accepter les siennes. Allan a tout foiré, il le sait, et se complaît dans son échec.
Il donne alors l’image d’un homme froid, désagréable. Impatient, également, car il estime que les autres n'ont rien à lui apporter, alors pourquoi les attendre ? N’ayant pas confiance en lui, il est par conséquent jaloux. Il envie les autres, eux et leurs belles vies. Et à les envier, il les hait eux aussi. Alors il se déteste. Alors il les envie. Alors il les hait. Un cercle vicieux dans lequel il tourne en rond. Encore et encore.
Pourtant, il y a du bon en lui. Il faut percer sa carapace, lui retirer son armure, mais Allan sait être sensible, voir tendre. Il aime les siens, plus qu'il n'ose vraiment le dire et serait prêt à de nombreux sacrifices pour eux. Il est mélancolique, sous cette couche de mépris et de je-m'en-foustime constant. Il regrette son enfance trop vite envolée, se berce dans de doux songes, espère un peu de bonheur dans sa triste vie. Même s’il se rabâche sans cesse qu’il ne le mérite pas.
BIDULE
MimitossMALERegardez moi ça, cette bouille, cette petite chose fragile... N'est-elle pas choupette, cette boule de poils et d'amour ? <3 Regardez ses grands yeux dégoulinant de tendresse <3 N'avez-vous pas envie de la câliner, de la couvrir de papouilles ?
Eh ben moi non. C’est un parasite, une petite [CENSURE] qui me colle partout où je vais, qui fout ses poils dans mon pieu et qui me CASSE LES [CENSURE].
J’ai jamais voulu de lui, en vrai.
Et pourtant, j'arrive pas à m'en débarrasser.
Eh ben moi non. C’est un parasite, une petite [CENSURE] qui me colle partout où je vais, qui fout ses poils dans mon pieu et qui me CASSE LES [CENSURE].
J’ai jamais voulu de lui, en vrai.
Et pourtant, j'arrive pas à m'en débarrasser.
Histoire
Je veux être le meilleur de tous les dresseurs, sans aucun répit je relèverai les défis ♪ Combien de gosses ont chanté ce truc-là ? Combien de gamins ont rêvé depuis leur plus jeune âge de quitter leur famille pour voyager à travers le pays pour ramasser des Pokémons et devenir le meilleur ? Beaucoup trop, vous en connaissez tous au moins un.
Et Allan n’en fait pas parti.
Pourtant, il est le cadet d’une famille de dresseurs. Papa, maman, grand-frère, pépé, arrière-mémé et j’en passe ont été des dresseurs ! C’est une tradition familiale, un héritage dont ils sont tous fiers et qu’ils transmettent aux générations suivantes avec passion… Alors, à mépriser les Pokémons, Allan se sent un peu comme un OVNI.
Cela a toujours été le cas. Enfant déjà, Allan ne comprenait pas cette fascination qu’avait le monde entier pour ces petites créatures aux milles couleurs. Allan ne comprenait pas les gens, ni même les Pokémons. Un animal était un animal, à ses yeux, et il n’arrivait pas à éprouver de l’affection ou de l’empathie pour ces bestioles. C’était déjà bien compliqué avec les gens, alors avec des animaux... Sa mère le bassinait au sujet de la Protection des Pokémons, son père exhibait ses coupes et trophées et son frère aîné se vantait d’avoir un avenir tout aussi glorieux dans le domaine. Allan, lui, n’en avait rien à faire.
Au fil des années, ce qui aurait dû rester un simple manque d’intérêt se mua en un profond mépris. Bien évidemment, cette haine ne naquit pas de nulle part et elle fut la conséquence de nombreuses choses... A commencer par la peur.
Dans le noir de sa chambre se glissait souvent une ombre sinistre. De grands yeux rouges brillaient, le fixaient dans son sommeil, comme pour dévorer son âme : Valak, l'Ectoplasma de son père. Cette espiègle créature s'amusait à terroriser les enfants de la maisonnée et, quoi de plus amusant que de s'en prendre au plus faible ? Allan était une cible de choix, d'autant plus que son père usait de son Pokémon comme moyen de pression sur ses gosses. La moindre erreur, la moindre mauvaise note ou la moindre bêtise se retrouvait soldée par une visite de Valak une fois la nuit tombée et Allan vivait dans la peur d'échouer.
En grandissant, cette peur se mua en haine.
Alors, à haïr ce Pokémon, Allan se mit à haïr son Dresseur. Son père. Une figure d'autorité tout ce qu'il y avait de plus injuste et qu'il ne pouvait pas contester. L'homme le terrifiait, autant que ses infâmes Pokémons spectres. On dit souvent qu'un animal ressemble à son maître, c’est le cas ici aussi. Dans la mémoire d'Allan, son père est un homme sinistre, presque fantomatique. Terrifiant. Une ombre rôdant dans son dos, pour le juger, le rabaisser. Un spectre dont il sent encore aujourd'hui le regard sur lui.
Alors, à haïr son père, Allan se mit à haïr les autres dresseurs. Et leurs Pokémons. Ces bestioles lui apparurent soudain comme des parasites et la vérité s’imposa d’elle-même : il y en a partout, le monde grouille de Pokémon. Sa mère est bien placé pour lui en parler, elle les étudie, elle les protège. Plus que son propre enfant, c'est dire. Alors il s'est mit à les jalouser. A vouloir les voir disparaître. S’il n’y a plus de Pokémons, il n’y a plus de peur, plus de jalousie, n’est-ce pas ?
L'amour vint se mêler à la haine et si Elle aurait pu lui donner goût à la chasse aux Pokémons, à leur étude ou simplement à leur contemplation, elle eut l'effet inverse. Elle était jolie pourtant, elle était jeune et lui aussi. Elle avait de belles paroles, elle était douce. Il lui fallut du temps, mais elle prouva à Allan que tous les Pokémons n'étaient pas des monstres, que tous les humains n'étaient pas des monstres. Elle fut sa Lumière dans le noir, elle apaisa la fureur qui brûlait en lui. Avec pudeur, à voix basse, ils se disaient être amoureux. A onze ans, on est encore loin de toutes ses préoccupations de grands. On se tient la main, on se sourit tendrement et on se fait des bisous sur la joue. Ça donne des papillons dans le ventre, ça rend heureux. Allan était heureux. Mais elle a tout gâché. Tout ce qu'elle avait bâti, elle l'a réduit en miettes. Elle qui l’avait élevé si haut, elle le poussa dans l'abîme du désespoir.
Il aurait tout fait pour elle, ou presque. Une seule chose lui paraissait inconcevable : quitter Unys. Quitter sa maison du jour au lendemain, pour partir capturer des bestioles. Désobéir à ce père tyrannique. Mais elle, avec son Ponyta, elle voulait être coordinatrice. A quinze ans, elle décida de partir. Il ne voulait que son bonheur, il ne pouvait pas la retenir, alors ils se firent des promesses. Des rêveries d'enfants qui pensent pouvoir vaincre le monde, être plus fort que tout le reste.
« Tu m’attendras ? »
Bien sûr. Mais elle n’est jamais revenu, cette petite garce. Allan l’a attendu, encore et encore. Il a espéré son retour, à s’en laisser crever. Il ne compte plus les heures passés à la fenêtre, au bord de la route. Les heures à attendre son retour, à n’attendre que cette silhouette familière se détachant de l’horizon. Il l’a attendu. Il a rêvé son nom, il s’est imaginer leurs retrouvailles. Mais elle n’est jamais revenu. Petite garce.
Vingt ans qu'il l'attend. Dix-sept ans qu'il essaye de l'oublier. Mais c'est impossible, ya Bidule, là, qui lui rappelle sans cesse son absence. Cette boule de poil violacée, cette créature faible et pathétique qui le colle comme un vieux chewing-gum sous sa semelle. Un cadeau qu'elle lui a fait avant de partir, une autre promesse qu'il lui a faite. Il a essayé de donner ce fichu Mimitoss, de le vendre, de l'abandonner au bord d'un chemin, de le perdre en forêt. Mais il revient, sans cesse. Et quand ce n'est pas lui qui retrouve la route de la maison, c'est Allan qui va le chercher. Parce qu'elle lui manque, cette petite chose.
Et dans le triste tableau de la vie d'Allan, il ne reste plus qu'à peindre un portrait, celui du fils prodige. Gabriel Rockwen est son grand-frère et si, dans sa jeunesse, Allan fut assez stupide pour l'idolâtrer, il se mit rapidement à le détester, lui aussi. Après tout, Gabriel est parfait, en tout point. Il fait tout mieux que lui, Allan le sait, et Gabriel s’en vante constamment. Il n’est pourtant pas plus intelligent qu’un autre -c’est même un gros con, comme on dit- mais il réussit dans la vie et ses échecs, leur père n'en tient pas rigueur. Il est l'héritier Rockwen, celui qui rend papa fier. Il a une femme -et tant pis si ce n'est pas un couple solide, il a une fille -ou un fils, c’est compliqué ces conneries de genre, une belle maison, un beau métier. Et lui, au moins, il aime les Pokémons. Lui, au moins, c'est un vrai Rockwen.
Alors, arrivé à trente-cinq ans, Allan fit ce qu'il aurait du faire depuis longtemps : il quitta Unys. Peut-être trouvera-t'il un travail ailleurs, quelque chose de mieux que ces petits boulots d'intérimaire à la con ? Peut-être qu'il la retrouvera, par delà les routes ? Peut-être pas.
Ou peut-être qu'il vivra. Enfin.
Et Allan n’en fait pas parti.
Pourtant, il est le cadet d’une famille de dresseurs. Papa, maman, grand-frère, pépé, arrière-mémé et j’en passe ont été des dresseurs ! C’est une tradition familiale, un héritage dont ils sont tous fiers et qu’ils transmettent aux générations suivantes avec passion… Alors, à mépriser les Pokémons, Allan se sent un peu comme un OVNI.
Cela a toujours été le cas. Enfant déjà, Allan ne comprenait pas cette fascination qu’avait le monde entier pour ces petites créatures aux milles couleurs. Allan ne comprenait pas les gens, ni même les Pokémons. Un animal était un animal, à ses yeux, et il n’arrivait pas à éprouver de l’affection ou de l’empathie pour ces bestioles. C’était déjà bien compliqué avec les gens, alors avec des animaux... Sa mère le bassinait au sujet de la Protection des Pokémons, son père exhibait ses coupes et trophées et son frère aîné se vantait d’avoir un avenir tout aussi glorieux dans le domaine. Allan, lui, n’en avait rien à faire.
Au fil des années, ce qui aurait dû rester un simple manque d’intérêt se mua en un profond mépris. Bien évidemment, cette haine ne naquit pas de nulle part et elle fut la conséquence de nombreuses choses... A commencer par la peur.
Dans le noir de sa chambre se glissait souvent une ombre sinistre. De grands yeux rouges brillaient, le fixaient dans son sommeil, comme pour dévorer son âme : Valak, l'Ectoplasma de son père. Cette espiègle créature s'amusait à terroriser les enfants de la maisonnée et, quoi de plus amusant que de s'en prendre au plus faible ? Allan était une cible de choix, d'autant plus que son père usait de son Pokémon comme moyen de pression sur ses gosses. La moindre erreur, la moindre mauvaise note ou la moindre bêtise se retrouvait soldée par une visite de Valak une fois la nuit tombée et Allan vivait dans la peur d'échouer.
En grandissant, cette peur se mua en haine.
Alors, à haïr ce Pokémon, Allan se mit à haïr son Dresseur. Son père. Une figure d'autorité tout ce qu'il y avait de plus injuste et qu'il ne pouvait pas contester. L'homme le terrifiait, autant que ses infâmes Pokémons spectres. On dit souvent qu'un animal ressemble à son maître, c’est le cas ici aussi. Dans la mémoire d'Allan, son père est un homme sinistre, presque fantomatique. Terrifiant. Une ombre rôdant dans son dos, pour le juger, le rabaisser. Un spectre dont il sent encore aujourd'hui le regard sur lui.
Alors, à haïr son père, Allan se mit à haïr les autres dresseurs. Et leurs Pokémons. Ces bestioles lui apparurent soudain comme des parasites et la vérité s’imposa d’elle-même : il y en a partout, le monde grouille de Pokémon. Sa mère est bien placé pour lui en parler, elle les étudie, elle les protège. Plus que son propre enfant, c'est dire. Alors il s'est mit à les jalouser. A vouloir les voir disparaître. S’il n’y a plus de Pokémons, il n’y a plus de peur, plus de jalousie, n’est-ce pas ?
L'amour vint se mêler à la haine et si Elle aurait pu lui donner goût à la chasse aux Pokémons, à leur étude ou simplement à leur contemplation, elle eut l'effet inverse. Elle était jolie pourtant, elle était jeune et lui aussi. Elle avait de belles paroles, elle était douce. Il lui fallut du temps, mais elle prouva à Allan que tous les Pokémons n'étaient pas des monstres, que tous les humains n'étaient pas des monstres. Elle fut sa Lumière dans le noir, elle apaisa la fureur qui brûlait en lui. Avec pudeur, à voix basse, ils se disaient être amoureux. A onze ans, on est encore loin de toutes ses préoccupations de grands. On se tient la main, on se sourit tendrement et on se fait des bisous sur la joue. Ça donne des papillons dans le ventre, ça rend heureux. Allan était heureux. Mais elle a tout gâché. Tout ce qu'elle avait bâti, elle l'a réduit en miettes. Elle qui l’avait élevé si haut, elle le poussa dans l'abîme du désespoir.
Il aurait tout fait pour elle, ou presque. Une seule chose lui paraissait inconcevable : quitter Unys. Quitter sa maison du jour au lendemain, pour partir capturer des bestioles. Désobéir à ce père tyrannique. Mais elle, avec son Ponyta, elle voulait être coordinatrice. A quinze ans, elle décida de partir. Il ne voulait que son bonheur, il ne pouvait pas la retenir, alors ils se firent des promesses. Des rêveries d'enfants qui pensent pouvoir vaincre le monde, être plus fort que tout le reste.
« Tu m’attendras ? »
Bien sûr. Mais elle n’est jamais revenu, cette petite garce. Allan l’a attendu, encore et encore. Il a espéré son retour, à s’en laisser crever. Il ne compte plus les heures passés à la fenêtre, au bord de la route. Les heures à attendre son retour, à n’attendre que cette silhouette familière se détachant de l’horizon. Il l’a attendu. Il a rêvé son nom, il s’est imaginer leurs retrouvailles. Mais elle n’est jamais revenu. Petite garce.
Vingt ans qu'il l'attend. Dix-sept ans qu'il essaye de l'oublier. Mais c'est impossible, ya Bidule, là, qui lui rappelle sans cesse son absence. Cette boule de poil violacée, cette créature faible et pathétique qui le colle comme un vieux chewing-gum sous sa semelle. Un cadeau qu'elle lui a fait avant de partir, une autre promesse qu'il lui a faite. Il a essayé de donner ce fichu Mimitoss, de le vendre, de l'abandonner au bord d'un chemin, de le perdre en forêt. Mais il revient, sans cesse. Et quand ce n'est pas lui qui retrouve la route de la maison, c'est Allan qui va le chercher. Parce qu'elle lui manque, cette petite chose.
Et dans le triste tableau de la vie d'Allan, il ne reste plus qu'à peindre un portrait, celui du fils prodige. Gabriel Rockwen est son grand-frère et si, dans sa jeunesse, Allan fut assez stupide pour l'idolâtrer, il se mit rapidement à le détester, lui aussi. Après tout, Gabriel est parfait, en tout point. Il fait tout mieux que lui, Allan le sait, et Gabriel s’en vante constamment. Il n’est pourtant pas plus intelligent qu’un autre -c’est même un gros con, comme on dit- mais il réussit dans la vie et ses échecs, leur père n'en tient pas rigueur. Il est l'héritier Rockwen, celui qui rend papa fier. Il a une femme -et tant pis si ce n'est pas un couple solide, il a une fille -ou un fils, c’est compliqué ces conneries de genre, une belle maison, un beau métier. Et lui, au moins, il aime les Pokémons. Lui, au moins, c'est un vrai Rockwen.
Alors, arrivé à trente-cinq ans, Allan fit ce qu'il aurait du faire depuis longtemps : il quitta Unys. Peut-être trouvera-t'il un travail ailleurs, quelque chose de mieux que ces petits boulots d'intérimaire à la con ? Peut-être qu'il la retrouvera, par delà les routes ? Peut-être pas.
Ou peut-être qu'il vivra. Enfin.
Loki Loki ¼ de siècle Girl FRANCE Chercheur (d’emploi)
Comment a-tu découvert le forum ? On m’a filé le lien ~Ton pokémon préféré : Dracaufeu <3As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : Kali Rockwen, vous l'aurez facilement deviné. Mais si je peux avoir un vrai parrain pour m'aider, je dis pas non XDUn dernier mot ? J’ai jamais fait de RP pokémon, j’ai jamais vraiment joué aux jeux. Je collectionne les cartes et je regardais le dessin animé petite XD