Au commencement, il n’y avait rien. Puis, l’univers explosa et naquit. Lors de la naissance de l’univers, 6 singularités ayant existé avant l’univers lui-même fut vendus, concentrés et moulé sous forme de gemme : les Pierres d’Infinités. Une fois réunie, elles donnent une force méga cosmique donnant le pouvoir à son utilisateur de réduire la moitié de l’univers d’un claquement de doigt et-

… Ah non désolé, c’est dans Avenger ça.

Mais oui, commençons par le début. Non. Avant même le début. Pas celui de l’univers. Mais de SON univers. Avant de vous conter l’histoire de celle que vous connaissez sous le nom de Rose Swan - parce qu’en même temps, c’est son vrai nom - je vais vous conter celle de son père. Alphonse Swan. Oui, ce sont aussi les dés qui ont décidé de son nom. Alphonse Swan était un descendant des natifs Lumiriens maudits. Oui. Vous avez bien lu, maudit. Non pas parce qu’il était de Lumiris, ce serait raciste. Alphonse Swan avait aimé la même personne, Elisabeth Scarlet. Ils eurent d’abord une première fille. Mais elle fut kidnappée alors qu’elle n’était qu’un bébé et personne n’avait réussi à la retrouver. Ni elle, ni son ravisseur. Alors qu’Alphonse se résigna à la perdre pour toujours, Elisabeth retomba à nouveau enceinte, deux ans plus tard. Une nouvelle fille. Alphonse se promit de veiller sur elle. Tout en gardant l’espoir de retrouver l’ainée, un jour. Malheureusement, alors qu’elle n’avait que cinq ans, la deuxième fille disparut à son tour. Non parce qu’elle avait été kidnappée, mais parce que la navette scolaire pour une sortie d’école eut un accident et personne n’avait pu retrouver son corps. Alphonse commençait à croire qu’il était maudit. Que jamais il pouvait avoir une famille heureuse.

Jusqu’à la naissance de la troisième. Une naissance qui apportait une lueur espoir pour Alphonse, mais qui fut tragique. Ce fut la naissance de l’héroïne de cette histoire. Mais, sa mère ne pu supporter l’accouchement, à cause de complication médical trop complexe à expliquer. Allez regarder un épisode de Dr House ou Good Doctor pour avoir une idée. Mais ça me dégoûterait que vous y alliez vraiment, car ça voudrait dire que l’histoire ne vous intéresse pas tant que ça. Bref, Alphonse avait perdu sa femme, mais se promit et se jura de toujours veiller sur le bébé. Il lui donna le nom de la fleur préférée de sa défunte épouse : Rose.

Et voilà. Maintenant nous pouvons passer au début de l’histoire. Nous allons commencer par la phrase le plus cliché et la plus simple pour conter des contes (oui parce qu’on ne conte pas des chameaux) :

Il était une fois.

Une gentille petite fille nommée Rose. Elle avait 7 ans, à l’époque. Elle vivait avec son père, Alphonse. Il la traitait comme sa petite princesse. Il était tout l’univers de Rose. Son meilleur ami. Il lui racontait souvent des histoires, l’emmenait voir les étoiles, les constellations… bref, vous l’aurez compris, Alphonse rendait Rose heureuse. Mais, les meilleurs souvenirs que Rose avait de son père, c’était lorsqu’il créait diverses inventions. Elle aimait le regarder faire. Et souhaitait être aussi brillant que lui. D’ailleurs, un jour, Alphonse lui fit un cadeau. Il lui avait fabriqué un pendentif avec une photo d’eux et qui jouait une mélodie. Une boîte à musique incrusté dans le pendentif.

Mais vous vous doutez bien à quel point je peux être cruelle et, qu’évidemment, ce bonheur ne durait pas pour toujours. Où serait le fun dans l’écriture et dans la lecture, sinon ?

Si Rose était heureuse avec son père, elle avait toujours souhaité que, un jour, il retomberait amoureux. Comme dans les contes qu’il lui racontait avant de dormir, le soir. Bon, il était vrai que souvent les belles mères étaient cruelles et méchantes parce que… Bah c’était la loi des contes. Mais Rose pensait déjà à cet âge là que les histoires n’étaient pas 100% vrais. Ce qui était véridique dans la vraie vie… Mais là, ce n’était pas la vraie vie. Du moins, pour vous, cher lecteur. Le souhait de Rose fut réalisé : Alphonse rencontra une femme qu’il épousa 6 mois plus tard : Isabelle. Non, les dés n’ont pas décidé de ce nom, mais ils auraient pu. Isabelle était une femme divorcée, ayant eu la charge de ses enfants : Katherine et Edward. Ces noms n’avaient pas été choisi par les dés, mais comme je les aimais bien, autant les réutiliser. Katherine et Edward étaient deux jumeaux, ayant le même âge que Rose.

Bon, vous connaissez l’histoire de Cendrillon. Eh bien c’est pareil. Sauf que Rose ne deviendra pas une princesse, ne sera pas invitée à un bal qu’elle doit partir avant minuit et laisser tomber une pantoufle en verre pour que le beau prince la retrouve. Il n’y aura rien de tout cela. Mais, tout ce qui produisit un mois après le mariage devint flou. Cela restait une brume épaisse dans la vie de Rose. La disparition d’Alphonse Swan, et la fin de la vie de Rose Swan.

“QUOI ? ROSE SWAN EST MORTE ? A quoi sert cette histoire alors ?”

STOP ! Relax ! Take it easy comme disait Mika ! L’héroïne était toujours vivante, mais sous un autre nom : Emma Stark. Non rien à voir avec les noms que les dés n’ont pas choisi.. Si un peu. C’était toujours la même personne, mais avec un nom différent.

Après tout, qu’est-ce qu’un nom ? Une rose sous un autre nom sentirait toujours aussi bon. Oui, je devais la sortir celle-la et je suis fière d’avoir cité du Shakespear, je me sens plus cultivée

Pourquoi ce changement d’identité ? Eh bien, continuez à lire, vous le saurez peut-être.

Emma Cowell grandit avec sa belle famille à Cromlac’h, à Kalos. Là aussi, les dés du destin l’avaient décidé. Aussi loin dont elle se rappelle, elle avait toujours été nommé ainsi. Elle ne savait rien de ses parents. Elle ne s’en rappelait pas. Elle n’avait aucun objet leur appartenant. Le pendentif boite à musique de son père ? Disparu. Et Isabelle l’interdisait de lui poser des questions sur ses parents. Si Rose Swan avait vécu une vie heureuse auprès de son père, ce ne fut pas le cas pour Emma Cowell. La pauvre enfant dormait dans le grenier poussiéreux, était condamné à faire des corvées, cuisinier, nettoyer, laver et sécher le linge. Et les jumeaux se moquaient d’elle. Ils la malmenaient. La harcelaient. La persécutaient. Que ce soit à la maison ou à l’école. Mais que faisait donc l’assistance sociale ? Rien. Personne n’étaient au courant. Isabelle était aimée au village et les jumeaux étaient populaires. Qui croirait une moins que rien comme Emma ? Pourtant, même si elle était une élève modèle, avec d’excellente note, bonne sportive et bonne camarade, elle n’avait aucun ami.

Bref, une véritable Cendrillon, mais différente. Il n’y avait pas d’animaux - bon dans ce contexte, de Pokémon - pour remplir son quota de sociabilité. Emma se réfugiait dans les livres qu’elle trouvait, laissant son esprit être guidé par les contes et histoires enchantés. Et elle laissait sa créativité s’exprimer à travers des petites inventions fait à partir de bois et de petit truc qu’elle trouvait. Quand elle n’était encore qu’un enfant, elle fabriquait ses propres jouets. Puis elle grandissait, tout comme ses idées.

Elle avait vécu les tristes évènements de la Team Flare, alors qu’elle n’avait que 13 ans. Elle se rappelle de cette fleur cristallisée apparu au centre de la ville. A la place des trois menhirs qui faisaient la fierté de la ville. Elle se rappelle aussi de la Team Flare, qui avait envahit la ville. Elle se rappelait de la peur. Du choc émotionnel. Elle et sa famille avaient dû évacuer la ville, pendant cet évènement. Ce paragraphe sert juste à planter le lore de Pokémon X et Y, pour dire qu’elle avait assisté aux évènements. Evidemment, une fois la crise passée, elle était revenue en ville, avait subi les travaux pendant plusieurs… pendant très longtemps… Et voilà. Ce qu’elle avait retenu de cette expérience ? La méfiance envers les teams.  

Et là, on va passer de Cendrillon à la Belle et la Bête. Sans la Bête. Il n’y avait pas de château magique avec des objets vivants qui vous invite à faire La Fête, ni de salle de bal pour chanter une Histoire Éternelle. Par contre, il y avait bien une Rose maudite. Et j’aime ce jeu de mot.

En grandissant, Emma devenait de plus en plus belle. Mais, malgré sa beauté, tout le monde la trouvait étrange. A cause de ses inventions et sa manie de rester plonger dans ses romans. Elle se faisait passer pour une snob pour les habitants de la ville. Et les jumeaux ne manquaient pas à appuyer cette rumeur. Cependant, malgré cela, alors qu’elle n’avait que 16 ans, un homme du nom de William - merci les générateurs de nom express - était attiré par la beauté d’Emma. William était le beau gosse du village, le plus fort, que ce ça soit physiquement ou dans le dressage Pokémon. Il avait comme Pokémon un Félinferno. Toutes les filles, Katherine y compris, désirait sortir avec lui. Edward aussi d’ailleurs. Oui, il était de ce côté de la rivière. Parfois il aimait nager dans la rivière. Bref. Emma ne succombait pas aux avances de William, ce qui le faisait tomber encore plus amoureux d’elle. Car oui, on est plus le rejet augmente l’attirance. Parce qu’elle n’était pas une proie facile. Pourquoi s’embêter à aller chasser des poules suicidaires alors qu’il y avait un cerf aussi blanc que la neige et pure qu’une colombe ? D’autant plus que William faisait la fierté du village. En effet, alors qu’il avait 10-11 ans, il avait voyagé dans tout Kalos et avait obtenu tous les badges de la région. Malheureusement, il ne trouva pas le courage d’aller affronter la Ligue, sa mère ayant été malade à ce moment-là. Et elle décéda de sa maladie… triste, non ?  

Les filles jalousaient Emma à cause de l’attirance que William avait pour elle. En plus de sa beauté. Mais, Emma s’en fichait, tout ce qui l’intéressait, c’était ses inventions, ses romans et, aussi, les Pokémons. Ah bah oui, on est quand même dans un univers Pokémon, je vous le rappelle. C’est pas une histoire de Disney mélangé ! Si elle n’avait pas d’ami humain, elle en avait des Pokémons. Quand elle n’était pas chez elle à tendre le linge ou à lire des livres à la bibliothèque ou inventer de nouvelles inventions, elle allait souvent sur les Routes 10 et 11 de Kalos pour parler aux Pokémons sauvages. Pas les plus dangereux, non, les plus inoffensifs et sympathiques. De plus, elle avait appris à analyser leur comportement. Elles faisaient des recherches sur eux à travers les bouquin et internet. Oui, elle était aussi passionnée par les Pokémon, mais par rapport aux jumeaux, elle n’avait pas le droit d’en posséder un.

Et évidemment, je vais vous conter le jour où elle en avait reçu son premier Pokémon. Magnifique transition, n’est-ce pas ? On va changer de Disney, tiens… Anastasia ! (Oui c’est considéré comme un Disney maintenant vu que la Fox a été racheté par Disney !)

C’était à 18 ans. Maintenant qu’elle était majeure, elle pouvait enfin quitter le domaine familial légalement. Si les jumeaux avaient été privilégiés quant à leur avenir, c’est-à-dire, avaient eu des travails de bureaux grâces aux relations d’Isabelle, Emma se vit offrir un emploi de poissonnière à Yantreizh. Pour cela, elle devait traverser la Grotte Miroitante. Elle n’était jamais allée aussi loin de Cromlac’h. Si Emma voulait consacrer sa vie à ses inventions et aux Pokémons, elle n’avait pas d’autres choix. Il lui fallait de l’argent pour vivre et elle n’avait pas d’autres issues. Sur le chemin, elle espérait que sa patronne serait moins cruelle que sa belle-mère. Mais le destin, et non les dés, en décida autrement.
Durant son parcours dans la Grotte Miroitante, elle rencontra un jolie Feunnec tout mignon. Je vous jure, dans ma tête, cette rencontre est très émouvante. La voir marcher, prendre son temps, priant qu’un signe apparaissent pour lui montrer qu’elle n’était pas sur le bon chemin, qu’elle devait faire demi-tour ou choisir une autre voie et Fennec était apparu. Il voulait jouer avec elle et elle, elle n’était pas pressée d’arriver à destination. Puis, soudain, pendant le jeu, le Feunnec trouva *roulement de tambours*… Le pendentif boite à musique d’Emma ! Ou plutôt de Rose ! Bref, de l’héroïne de cette histoire ! D’abord intriguée par cette petite invention, elle l’ouvrit et découvrit avec surprise la photo avec elle et un homme encore inconnu dans son esprit. Mais lorsqu’elle entendit la mélodie se jouer… Elle se rappela de tout.

Son vrai nom était Rose Swan, fille de l’inventeur Alphonse Swan. Il était parti quand elle avait 7 ans pour une exposition de ses inventions. Mais, il n’était jamais revenu. Elle se rappelait d’un Neitram. Il lui avait tout effacé. Tout de son passé. Tout de son père. Pourquoi lui avait-on enlever tout son passé ? Elle devait avoir des réponses. Déterminée, elle fit demi-tour, suivit du Feunnec qui désirait rester avec elle. Elle retourna à Cromlac’h pour faire face à Isabella et lui montra le bijou, trouvant la force de lui sommer des explications à tout cela. Et voilà, TIN TIN TIN ! Les révélations, sponsorisés par la Dracoposte :

Isabelle révéla que son père était parti à Lumiris, mais qu’il avait disparu. On le croyait mort. Mais, dans le contrat de mariage, il était écrit que s’il devait arriver quelque chose à Alphonse, disparition, mort, maladie, toussa, toussa, Isabella se doit d’élever Rose comme sa fille. Mais, ne voulant pas s’encombrer d’une petite gamine pleurnicharde se morfondant sur la mort de son père, elle avait décidé de lui modifier la mémoire. Comme ça, la petite Emma Cowell pouvait s’occuper tranquillement de ses corvées. Tiré par les cheveux, n’est-ce pas ? Bah, Isabelle détestait Emma. Elle la méprisait. Elle voulait l’amour d’Alphonse, mais elle prenait toute l’attention d’Alphonse porté sur sa fille comme une preuve que l’inventeur n’avait jamais oublié Elisabeth. Surtout que Rose lui ressemblait. Oui, c’était la vraie raison de toute cette mascarade. Pouvoir rabaisser la fille d’Elisabeth, la voir souffrir, la réduire en esclavage était un délice pour Isabelle. Et savoir qu’elle allait passer sa vie dans une poissonnerie était la cerise sur le gâteau (Sans vouloir rabaisser les poissonniers). Mais, Rose/Emma refusait de croire que son père était mort. Et elle refusait de vivre une vie de poissonnière. Elle s’en alla, en silence, reprenant sa véritable identité, celle de Rose Swan.

Vous croyez que c’était fini ? Je vous avais parlé d’un William, non ? Evidemment qu’il va servir dans l’histoire ! Vous avez cru que c’était juste pour faire une référence à la Belle et la Bête que je l’avais intégré ? Je suis outrée par cette pensée ! Vraiment ! Faites-moi confiance !

Rose Swan arriva d’abord à Yantreizh, mais elle n’allait pas voir la poissonnière. Elle y resta une nuit pour se reposer avec le reste de l’argent de poche qui lui restait. Le lendemain, elle tomba sur William, qui avait tout plaqué pour vivre dans cette ville et lui demander de l’épouser. Lorsque Rose refusa, William se mit dans une colère noire et ordonna à Félinferno de l’attaquer. Ce qui était illégal. Mais, heureusement pour Rose, Feunnec, qui l’avait suivi, s’interposa, mais ne pouvait rien face à un Félinferno super bien entrainé. De plus, Cornélia, la championne d’arène de type combat de la ville, vit la scène et aida Rose, en attendant l’arrivé de la police qui arrêta William. Rose emmena Feunnec au Centre Pokémon pour le soigner et, une fois ceci fait, l’infirmière Joelle proposa à la jeune fille de garder le Pokémon, vu l’attachement qu’il avait pour elle. Après tout, c’était grâce à lui que Rose avait retrouvé sa mémoire et elle aimait bien sa compagnie. Elle lui donna donc le nom d’Agni !

Les deux compagnons rejoignirent Port-Tempère, où ils prirent un bateau en direction de Lumiris, à la recherche son père. Elle s’installa dans un château abandonné, non loin de Mirawen, car les dés l'ont décidé, où elle y implanta son atelier. Pendant un an, maintenant, elle travaillait en indépendance, proposant ses inventions à toute la région, tout en cherchant des informations sur son père.

Mais, arrivera-t-elle ? Ca, mes amis lecteurs, RPeur, posteurs, bref, titrez-vous comme vous voulez, les dés du destin (pour ne pas dire les dés du Discord) le décideront !