Il faisait nuit, pour une raison un peu débile, je ne me trouvais pas au centre pokémon de Nemerya mais bien au Parc du saule à Sunrya, la ville d’à coter. Le parc était seulement illuminé par la lune et les étoiles. Aucun lampadaire n’avait sa place aux seins du parc qui se voulait à l’état naturel le plus possible. On pouvait entendre le bruissement des feuilles des arbres et des buissons causés par le vent frais. Je n’avais pas prévue passer la nuit dehors, alors j’étais légèrement habillée, short et t-shirt court avec une simple chemise et mes baskets. Bien que le vent était légèrement froid et que j’avais grandit dans une région chaude, le froid ne m’importunais pas. Il soulageait même la brulure que je ressentais en permanence sur mon bras.

Pour me garder réveiller, je sortie un café en cannette que j’avais pris dans une machine distributrice plus tôt durant la journée. Ryuki et Hélios eux dormais bien au chaud dans leur pokéball, après tout, ils étaient des pokémons diurne. Je préférais également vivre le jour, mais comme l’occasion d’observer la nature de nuit se présentait à moi, alors j’en profitais pour me balader et profitais également de ce moment de solitude. Je pensais être seule, mais une voix me sorti de mes pensées.

- Garde là, tu en auras plus besoin que moi.

La voix masculine était douce et très proche, le ciel étoilé était pleinement illuminé, mais les feuilles dans les arbres laissait passé faiblement sa lumière, je ne m’étais pas aperçu qu’il y avait quelqu’un de si proche. Je ne m’attendais pas à rencontré quelqu’un ici, il ne semblait pas m’avoir remarqué non plus. C’était un jeune homme qui semblait être en compagnie d’un petit pokémon, le sien? Je n’étais pas sur. Quelque instant après je vis le jeune homme sortir une pokéball et invité le pokémon à y rentrée. Ne voulant pas troubler leur rencontre, j’observais donc la scène, cacher derrière un arbre.

Un coup vent passa et fit bouger les feuilles des arbres, laissant passer les rayons de lumière provenant des étoiles et de la lune. Je reconnu alors le jeune homme, il s’agissait de Maxim et le pokémon à ses coté était un petit Pachirisu. On ne c’était pas reparler depuis qu’il m’avait aidé au centre pokémon de Nemerya, le lendemain, je l’avais laissé dormir et moi j’étais déjà repartie.

J’étais captiver par la scène, Maxim démontrait tant de douceur envers ce petit pokémon curieux et craintif à la fois. Je me penchais légèrement pour en voir plus,  mais mes pas écrasaient les feuilles au sol, signalant ma présence. Le bruit avait interrompu leur moment de tendresse.  Maxim et Pachirisu avaient retourné leur regard vers moi, dans la noirceur, Maxim ne pouvait pas me reconnaitre.

-Qui est là?

Sa voix était ni douce, ni sévère, mais il avait parlé bien fort, le rongeur c’était caché derrière ses jambes laissant sortir sa tête pour voir ce qui ce passait. On m’avait remarqué, je ne pouvais plus rester caché et je ne pouvais pas m’enfuir non plus, ou plutôt je ne me voyais pas m’enfuir (encore).  Je sorti tranquillement de ma cachette, je ne voulais pas faire de geste brusque. Je m’avançais vers le rayon de lune qui passait à travers les arbres pour qu’ils puissent bien me voir.  Une bourrasque de vent souffla au même moment laissant mes cheveux flotté derrière moi. Avec le vent froid, j’avais boutonné ma chemise, étant plus longue que mon short, on aurait dit que je ne portais rien en dessous. J’affichais un sourire à demi gêner.

-Salut, je ne voulais pas vous faire peur, ni vous interrompre.

En me montrant, l’expression de Maxim changea, mais je ne pouvais deviner laquelle vue la faible luminosité. La surprise peut-être, j’étais loin de me douter que j’allais le rencontrer ici en plein nuit et il ne pouvait pas s’en douter non plus. C’était un drôle de hasard.

-Qu’est-ce que tu fais ici? À une heure aussi tardive.

Je regrettais presque aussitôt ma question, ma présence à cette heure était tout aussi anormale. Je détournai le regard, gêné, comme si on m’avait pris en flagrant délit. J’esquivais la question que je lui avais posée en a posant une autre.

-Je ne m’attendais pas à rencontré quelqu’un ici, encore moins tombé sur toi. Comment ça va depuis la dernière fois?

Un nouveau bruit suspect ce fit entendre, le craquement d’une branche, comme si l’on venait de l’écraser. Le bruit ne venait ni de moi, ni de Maxim.

Maxim était venu profiter de la tranquillité de la nuit et changer d’air. Je pouvais le comprendre, j’aime bien la solitude lorsque c’est moi qui la choisit, mais je n’étais pas venu pour « changer d’air », ca je l’avais fais en partant de ma région d’origine.

J’étais heureuse d’apprendre qu’il allait bien, ainsi que son pokémon. Physiquement il allait bien, mais un sourire qui semblait forcer était apparu sur son visage, ce qui me fit penser le contraire pour ce qui est du mental. Ca et son envi de changer d’air.

-Mes pokémons dorment aussi, normalement moi aussi, mais j’ai loupé de couvre-feu imposé par le centre pokémon pour ceux qu’il y héberge. J’ai préféré faire une balade nocturne. Du coup, pour mes vêtements, ils ne sont pas adaptés à la température, mais la fraîcheur me fait du bien.

En réalité, j’avais chaud en permanence, un des effets secondaire de ma brulure sur le bras, elle ne fait pas que me brûler en permanence, mais elle diffuse également toute sa chaleur en moi. Je ressens le froid, mais il n’est jamais pénible, contrairement à la chaleur saisonnière.

-Je vais bien, mais ton visage et tes propos démontre l’inverse...

Un craquement retentît, Pachirisu monta sur l’épaule de Maxim pour plus de sécurité. Et celui-ci lui caressa la joue du bout de son doigt. Je n’étais pas rassurer non plus par le bruit, je me rapprochai de Maxim pour me mettre à ses côtés. Je savais, de notre rencontre du début, qu’il ne me laisserait pas tomber si on venait à se faire attaquer. En me tournant vers le bruit on pouvait finalement, mais faiblement y voir un rattata tout noir qui mangeait bruyamment et un petit spododo qui lui était toujours endormi malgré le bruit infernal des dents du rattata sur son repas.

Maintenant rassurer de savoir ce qu’était le bruit, je me retournai vers Maxim et fini ma phrase qui avait été interrompue par les deux pokémons sauvages.

-Si tu ne veux pas en parler, je te forcerais pas, je n’aime pas non plus que l’on me pose trop de question sur ma vie, surtout sur ce qui touche le passer et ses épreuve difficile.

Décidemment, on attirait les curieux de nuit, je pouvais voir deux ombres se rapprocher de nous, dos à Maxim.

-On dirait qu’on va avoir une autre visite!Que je rajoutais en pointant les deux ombres venir vers nous.

Maxim sourit lorsque je lui dit qu’il n’était pas obligé de parler de ce qui le rendait… triste? Je voyais dans son regard il s’éloignait dans ses pensés. Son nouveau pokémon sembla le remarquer et se frotta les joues contre les siennes pour le ramener parmi nous. Je souris en voyant ce petit moment de tendresse, peut-être le Pachirisu allait-il l’aider à passer à travers cette mauvaise passe. Ou pas, car lorsque je lui mentionnais l’approche de deux autres pokémons, Maxim avait été trop dur en disant qu’il n’espérait pas être autant déranger par eux.

Le Pachirisu semblait triste, après tout il l’avait lui aussi ‘’déranger’’ dans son moment de solitude. Le Maxim chaleureux que j’avais rencontré la première fois n’était plus là, il avait laissé place à un Maxim froid et distant. Comme pour lui laisser un peu d’espace, j’allais vers les deux pokémon qui étaient arrivé vers nous. Un Spinda avait trébuché sur quelque chose, où plutôt sur quelqu’un, un pokémon. Lorsque j’allais vers lui pour l’aider à ce relevé, je remarquais le deuxième pokémon.

-Tu es mignon toi, viens là, debout, juste une petite chute sur… ohh un carabing.

Dans cette presque noirceur total, pas évident de le remarquer. Il était bien camoufler dans les herbes, seul sa petite couleur bleu le trahissait. Je m’assis sur le gazon et pris mon sac et sorti deux baies Oran, une pour chacun d’eux. Je gardais Spinda sur mes genoux, on dirait une petite peluche avec ses taches rouges.

-Tu es tout doux et mignon, tu veux bien qu’on devienne amie?

Maxim c’était rapproché les mains dans les poches. Il s’excusa pour sa mauvaise humeur. Il semblait avoir retrouvé son calme. Pachirisu était de retour sur ses épaules se laissant caresser la tête. Spinda sur mes genoux, je lui souris chaleureusement. Le ciel couvert par les étoiles me rendait plus compréhensive et d’avantage patiente malgré la fatigue de la journée accumulée. J’étais également déjà passé par des phases difficiles où je me perdais dans mes pensée et devenait exécrable.

-Excuse accepté, mais ne recommence pas, pour eux, pas pour moi, je peux en prendre, les pokémons y sont pour rien!

Maxim caressa la tête du Spinda et se pencha pour chercher le petit insecte, il avait du mal à voir le Carabing, il était pourtant très proche, voir même à quelque centimètre de son visage.

Il se figea quelque seconde avant de pousser un cri de surprise et de tomber à la renverse. Devant la situation je ne pu m’empêcher de pouffer de rire, la tension était retombé. Une pokéball c’étais détaché de sa ceinture et avait roulé jusqu’au pokémon. Contre toute attente, il resta dans la pokéball. Je regardais le visage surpris de Maxim.

-Tu n’avais pas prévue ça? Avoue! Ta mélancolie attire les pokémons!

J’avais un sourire en coins et un regard espiègle, la situation m’amusait. Je regardais Spinda manger la baie que je lui avais donnée. J’essayais de le capturé, mais il ressortit aussitôt de la pokéball. Il était resté sur moi et continuais de manger sa baie, comme si je n’avais rien tenté. C’est comme si il n’avait rien remarqué de ma tentative de capture ou de la réaction de Maxim devant le Carabing.

-J’ai l’impression d’avoir un ramolosse sur moi, au lieu d’un Spinda. Tu y vas vraiment à ton rythme! Je te laisse finir ta baie et on réessaye?

Le Spinda me regardais et penchais la tête sur le coté, il ne semblait pas comprendre ce que je voulais dire.

Je rougissais devant tant de réparti, bon, surtout devant son regard et son sourire, personne ne pouvait rester insensible à ça. Je ne m’attendais pas à ça, mais je ne voulais pas le laisser paraitre, même si mon visage me trahissait.

-Si t’arrives à sortir une telle phrase c’est que tu vas mieux.

J’avais retourné mon attention sur Spinda en le traitant de ramolosse, affectueusement bien sur. Maxim lui éclatait de rire devant ma remarque et fini par porté son attention sur l’herbe à ses pieds. Il jouait avec l’herbe entre ses doigts. Un petit silence gêner c’était installer entre nous deux. J’en avais profité pour ressortir une pokéball pour essayer d’y faire entré Spinda, il y était rentré et n’était pas ressortit.

Je n’osais plus répliquer de peur qu’il me sorte une autre phrase à me faire rougir d’avantage. Ce n’étais pas la première fois que je me faisais dragué, mais il battait les records du ‘’rentre dedans’’ qu’on m’avait déjà fais. Finalement, c’est lui qui brisa le silence, le regard toujours concentré sur l’herbe devant lui.

La mélancolie dans sa voix avait attiré l’attention de sa nouvelle amie. La Pachirisu qui était toujours sur son épaule sauta au sol et allai gentiment y toucher la main. Je n’avais toujours pas su quoi répondre à Maxim. Pourtant c’est une question si simple. Je le regardais cherchant quoi dire. Il avait sourit a son petit écureuil, puis releva la tête. Nos regard c’étais croisé et il me demandait subitement et le plus sérieusement du monde si j’avais un petit ami.

Sa questions me surpris… plus direct tu meurs! J’étais nouvellement célibataire depuis que j’avais quitté le port de Cramois-ile, puisque le pauvre, je l’avais largué par texto juste avant de partir. Il ne m’a d’ailleurs jamais répondu, je ne devais pas tant compter pour lui aussi. Toutes les relations que j’avais entretenues m’avaient simplement servi de bouée de sauvetage et à comblé un sentiment de solitude. Je n’étais jamais tombé amoureuse, sous le charme oui, mais éprouver des sentiments forts d’attachement, non, seul Ryuki y a eu droit. Et c’est ce qui mettait fin à mes relations le plus souvent, pas de connexion psychique, je ne m’ouvrais pas assez à l’autre, c’était seulement… physique.

-Je… Oui, je suis venue changer d’air. L’ambiance à la maison était glaciale et vide… Alors… non je n’ai pas de petit ami, j’ai tout laissé derrière moi.

À me poser la question aussi directement, il ne devait pas avoir ce genre de personne dans sa vie non plus. Je marquais une pause et pensais aux hommes qui me pourchassaient. En partant loin de Kanto, j’avais espérer qu’ils ne me suivent pas aussi loin, mais j’avais eu tord. J’avais en plus embarqué un innocent la dedans. Je poussais un léger soupir.

-Désoler pour ça… et j’y tiens vraiment, si tu pense à un truc qui te ferait plaisir, pour m’excuser et te remercier en même temps, n’hésites pas.

Je ne sais pas si sa question ce voulais pour entreprendre une relation ''plus sérieuse'' ou alors juste de passage pour ''s’amuser'' ou encore simplement de la curiosité de sa part. Je mentirais si je disais qu’il ne m’attirait pas. Depuis mon arrivé, je me laissais porté par les évènements. Je verrais bien où cela me mènera. Je repris alors un sourire espiègle et lui fit un clin d’œil.

-Évite de mal interpréter mes propos cette fois!

C’est avec une certaine froideur que j’avais dit avoir tout laissé derrière moi. Lorsque je parle de ma vie d’avant, de mes sentiments, de ce que je ressens, j’ai tendance à me déconnecter de mon esprit. Je ne dis pas que ma vie était que remplis de malheur, mais les bons moments ce faisait éphémère et les évènements dur prenait toute la place. Alors lorsque Maxim posais froidement comme commentaire comme si ma rupture ne m’avait rien fait et qu’il me demanda si je l’avais vraiment aimé, j’ai figé. Je repliais mes jambes allongé devant moi contre ma poitrine et les entourais de mes bras. Je posais ensuite la tête contre mes genoux et regardais en direction de Maxim. Je fermais les yeux puis les rouvraient avant de prendre un grand respire.

-Je ne sais pas si je l’aimais, mais je l’appréciais…? Pas assez pour que ça m’empêche de partir et il n’a pas essayé de me garder non plus, il ne m’a pas réécrit. Tu as peut-être l’impression que j’en parle comme si de rien n’étais, mais ce n’est pas le cas. Comme si c’étais facile de partir en laissant tout, les seules choses que je connais de ce monde ce trouvait sur cette petite ile.

C’est difficile de décrire ses sentiments, ce l’est aussi de les laissés aller, surtout quand le premier vous les as piétiné. Il y a deux sorte de gars, ceux qui parle beaucoup, des beaux parleurs, il te dise ce que tu veux entendre pour mieux te manipuler et t’offre toute sorte de cadeau en échange d’une chose, mais lorsque tu essai de communiquer avec eux, il te laisse. Les émotions et le bien être mental de leur compagne, trop dure à géré! J’ai eu la malchance de m’attacher à ce genre de gars en premier.

Du coup quand le deuxième type arrive. Lui, il veut apprendre à te connaitre, avoir une relations sérieuse. Mais face à la difficulté à s’ouvrir, il perde patience et finisse par te laisser eu aussi. J’ai du mal à m’ouvrir à cause du premier. J’ai alors ‘’jonglé’’ entre ses deux type d’hommes, sans savoir les différencier et manquant ma chance de tomber amoureuse. Je suis assez patiente alors je m’attends peut-être naïvement à ce que l’autre le sois aussi.

La petite Pachirisu venait poser ses pattes sur les mains de Maxim, il lui sourit. Lorsque je lui proposais de le remercier, il avait levé les yeux du sol pour me regarder, il me souriait aussi chaleureusement. Maxim finit par répondre qu’il ne voulait rien, ou plutôt qu’il ne voulait qu’une chose, apprendre à me connaitre. En me répondant, il c’était redresser et approcher de moi. Sa main c’était délicatement posé sur ma joue, le vent balayait mes cheveux et les siens, puis nos yeux étaient restés accrocher l’un à l’autre. Le temps c’était figé, excepter une larme qui roula sur la joue de Maxim.

Sa réponse me surpris et son geste également. Sa main était chaude et rempli de douceur. La façon dont il avait dit vouloir apprendre à mieux me connaitre se voulait d’une sincérité sans pareil. Je n’avais jamais vue ça, un homme verser une larme. J’étais toujours recroqueviller sur moi-même la tête sur mes genoux. Mon corps bougea tout seul, je relevais la tête et dépliait mes membres, la main de Maxim sur ma joue suivait le mouvement et nos yeux ne se lâchais pas. Je me retrouvais face à lui, à genoux. Je tendis ma main droite pour aller essuyer sa larme du revers de ma manche. Ma main gauche était allée chercher la sienne placer sur ma joue et je ne la lâchais plus.  Je le regardais avec mon sourire le plus doux.

-J’aimerais bien aussi apprendre à mieux te connaitre.

Je me rassis par la suite à ses cotés nos bras coller l’un contre l’autre ma main toujours dans la sienne. J’avais allongé mes jambes et cognais doucement mes pieds l’un contre l’autre. Mon regard se posait désormais sur nos mains liées.

-Je ne sais juste pas par quoi commencer.

Je relevais la tête pour regarder son visage à nouveau et je résumais ce qu’il savait déjà, plus ou moins.

-Je m’appelle Dalia, mais tu le sais déjà. Je ris légèrement. J’ai 20 ans et j’ai grandi sur l’ile de Cramois-ile à Kanto. Je suis venue ici pour changer d’air, plus précisément, fuir ma famille, l’ambiance à la maison est trop froide et lourde. Je ne m’y suis jamais plus. Mes rapports avec les autres on toujours été un peu chaotique. Je veux repartir de zéro. J’ai rencontré ma petite carpe, j’adore l’appeler comme ça, vers mes 12 ans et comme tu le sais, ça a attiré des braconniers. C’est la cause principale de tension dans la famille, mais surement pas de la façon que tu crois… mais avant d’en dire plus et toi?

Je crois bien que j’avais fait un effort suffisant, je ne m’étais pas complètement refermer sur moi-même. J’avais l’habitude de toujours être trop vague, j’espère que ça brisera la glace. Je ne voulais pas trop en déballer avant d’en savoir plus sur Maxim également. J’attendais de voir comment il allait réagir.