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Stick like toffee, sip like coffee | feat Oyaris
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Stick like toffee, sip like coffee
w/ Oyaris
Amoris niv.5
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Watchin' me ? I ain't watchin you. What you see ? I hope you like the view
Les vagues de la mer entourant Port-Corail frappant contre la terre-ferme ont raison de ta procrastination à te lever. Pourquoi rester coucher en sachant pertinemment que dormir n'est plus une option maintenant que la nature s'en est mêlée… et Amoris aussi. Tu l'entends gratter dans sa Pokéball qui est posée sur la table de chevet afin de la faire rouler assez pour qu'elle tombe au sol et ouvre. Et tel que prédit, quelques secondes plus tard, le bruit de la balle qui tombe, de son bouton qui se presse ainsi que d'Amoris qui baille te font comprendre que ses efforts ne sont pas vains. Quelle heure est-il ? 8h bien sûr, l'heure du goûter. Amoris ne manque jamais le goûter. Parfois, tu te demandes même si c'est sa seule raison de vivre, manger.  Te lançant un regard qui te fait comprendre qu'il faudrait penser à la nourrir bientôt pour éviter sa forme affamée, tu roules des yeux puis tu te lèves.

C'est bon, on y va. Parfois, tu peux vraiment être demandante, tu sais ?

Hochement de tête approbatif venant du rongeur, tu te rends bien vite compte que ton sermon poli n'a pas l'effet escompté, et que cette grotesque habitude n'est pas près d'être mise de côté. Poussant un soupir quelque peu exorbité, tu te rends jusqu'à la cuisine pour offrir à ton compagnon sa seul raison de vivre : ce bol de nourriture qui se remplit de 3 à 5 fois par jour, tout dépendant de son humeur. Une fois le bol rempli, tu fixes un instant le ciel à travers la fenêtre de ta chambre, admirant le soleil et les doux nuages qui emplissait le ciel coloré par la joie de l'été. Aujourd'hui, c'est ton jour de congé, et tu penses qu'il vaudrait mieux en profiter en allait faire le plein de vitamine D avec une bonne marche matinale. Tu attends que le son un peu dérangeant de ton Pokémon en train de s'empiffrer diminue avant de lui annoncer la charmante nouvelle.

Aujourd'hui, on va se promener Amoris. Il fait beau, il fait chaud… c'est l'heure d'en profiter.

Évidemment, marcher et être actif… ce n'est pas la force d'Amoris. Juste la simple mention d'une marche l'a fait frissonner au point où tu t'en es rendu compte et tu en as poussé un petit rire. Malgré tout, tu pars sous la douche et t'habiller bien rapidement et sobrement, un t-shirt blanc et des skinny jeans noir déchirés au niveau du genou… bref, un habit qui fait très décontracté. Tu prends ton sac en bandoulières contenant les essentiels avant de coiffer tes mèches rouges et noirs dans le miroir pour avoir l'air un minimum présentable. Lunettes de soleil sur le visage, tu sors enfin de l'appartement. Pour aller où ? Le Velvet Café, évidemment. Rien de mieux qu'un bon café glacé pour profiter du soleil et de ses rayons. Mirawen étant facilement rejoignable à partir de Port-Corail, y aller à la marche n'était pas un souci pour toi, mais un peu plus pour Amoris qui préfère te monter sur l'épaule pour se servir de toi comme un taxi. Tu roules des yeux une nouvelle fois avant de commencer à marcher, caressant le Pokémon malgré tout.

Le chemin se passe bien jusqu'à ce que vous arriviez près de l'établissement. L'odeur de la nourriture semble raviver ta Morpeko qui renifle l'air d'un air affamé. Sans vraiment t'y attendre, tu sens la désagréable sensation sur ton épaule, une sensation que tu connais trop bien : Amoris vient de changer. Pris d'un élan de faim, elle saute de son piédestal et fonce vers la porte directement au moment où quelqu'un en sort.

Amoris, attention !

Trop tard, le mal est fait. La porte s'était ouverte sur un jeune homme avec son café glacé en main, et Amoris à foncé droit dessus, faisant ainsi glisser le café qu'il tenait entre les mains. Il tombe par terre et se vide sur le sol. Pendant que ton compagnon s'empiffre de la crème fouettée qui est tombée, tu t'empresses à rejoindre l'homme, ou garçon plus tôt, couvert de son café.
(c) TakeItEzy
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❝stick like toffee, sip like coffee
i have a name, but i've changed and now i can't stay the same

L’oubli est humain, dit-on. L’oubli se prolonge, se répercute - l’oubli est humain, dit-on. La fumée entourait ton corps alors que tu t’élançais pour rattraper Casper; l’oubli est dans la nature de votre espèce. Ce qui n’est pas écrit, inscrit, s’efface, s’étiole - et plus personne ne sera là pour en parler; pour perpétuer l’histoire. Dansaient autour de vous les feux follets, vous entraînant plus loin, là où la noirceur règnait et sur vous, les mâchoires se refermaient - laisser la poussière s’envoler sur la scène alors que le noir se faisait, tombait brusquement sur la scène. Tu étais à terre et quand le feu t’entoura de nouveau, que le grincement résonna, tu ramenas tes genoux tout contre toi.
Pour que la noirceur reprenne ; qu’ancune lumière ne revienne briser les ténèbres. Doucement, les spectateurs comprenaient que c’était ce qui signait la fin de ton spectacle. On disait de toi que tu étais lumineux, on disait de toi que tu faisais sourire, on disait de toi que tu étais audacieux - pourtant, certains spectacles résonnaient dans le vide qui pouvait t’envahir lorsque tu te rappelais que ce qui ne s’inscrivait pas dans l’histoire mourrait tôt ou tard. Oyaris, tu étais terrifié. Tu étais terrifié que ton souvenir s’efface, que plus personne ne vive un jour pour se rappeler de toi, de ce que tu avais fait, de ce que tu avais effectué - personne pour se souvenir de ta personne. L’oubli était ta plus grande peur, Oyaris, et si tu n’avais pas peur de ce qui composait la vie - si tu ne t’abaissais pas à craindre le vide, la mort, à craindre le danger; tu craignais l’oubli.

Les applaudissements résonnaient et tes yeux brillaient; pourtant, tu savais. Tu savais que même cette prestation, elle tomberait dans le vide - s’effaçerait des esprits, un jour, elle n’existerait plus et tu t’effacerais avec elle. Oyaris, tu voulais qu’on se souvienne de toi, tu voulais t’inscrire d’une manière ou d’une autre dans le monde qui t’entourait, dans cette histoire que vous appreniez, parfois mal, souvent même. Les rideaux qui s’étaient fermés s’ouvrent à nouveau, les lumières également - et tu pus effectuer ta révérence, laissant de nouveau les applaudissements mugir dans la salle alors que Pillar volait autour de toi. Récemment évolué, elle était davantage indépendant désormais et pouvait te suivre bien plus aisément, participer encore mieux aux spectacles et t’accompagner dans le ciel quand tu étais sur le fil. Pillar semblait être satisfaite de son évolution - et toi, tu étais fier. Parce qu’elle était forte, elle avait grandi, muri - elle avait pris en force dernièrement et tu étais bien content, tu étais fier - tu étais ravi.

Elle flottait autour de toi alors que Casper grimpait sur le dessus de ta tête - et toi, tu quittais. Tu quittais cette loge. Les jumeaux n’avaient pas pu te rejoindre aujourd’hui et ce n’était pas grave, tu avais simplement décidé que tu allais te chercher un café froid pour célébrer - ou … bon, d’accord. Tu n’avais pas exactement besoin d’une raison pour aller te chercher un café, tu faisais simplement t’en chercher une. Mais ce n’était pas grave. Personne n’allait le savoir. Seulement toi.
Le café n’était pas trop loin - Pillar s’amusait à pouvoir te suivre, Casper restait sagement sur ta tête et tous les autres pokémons dormaient dans leur pokéball, toutes dans ton sac à dos que tu traînais toujours avec toi. Tu entras dans le café avec ton énergie habituelle - commandas et attendis sagement - pas vraiment, tu sautillais, parlais avec les barisatas - qu’on finisse de préparer ton café qu’on te rendit. Tu leur souhaitas une bonne journée tout en te demandant ce que tu allais bien pouvoir faire du reste de ta journée, tu n’avais strictement rien de prévu. Tu pourrais peut-être essayer de te trouver de nouveau un travail. Mais ce n’était pas très intéressant comme idée. Tu espérais trouver mieux en rentrant.

Le flot de tes pensées fut brusquement interrompu par… quoi ? Bon. Ce n’était pas un pokémon feu, alors tu ne le connaissais pas du coup. Mais du coup, ton café se retrouvait par terre. C’était triste un peu, ça. Mais le pokémon semblait approuver tes goûts. Tu te demandas un petit instant si ce n’était pas trop sucré pour les pokémons. « Oooh, tu approuves hein ? C’est bon ! Je suis totalement d’accord. Bon, à la base, c’était le mien… mais visiblement, t’as décidé autrement. Amo-quoi ? Je me souviens pas trop, j’étais pas vraiment attentif. C’est un frappucinno moka avec morceaux de biscuits et ajout de sirop de chocolat et crème fouettée évidemment ! C’est pour ça que c’est aussi sucré. » Puis, quand tu eus fini de t’adresser au pokémon qui s’empiffrait de la crème fouettée, tu pus remarquer qu’un jeune homme était arrivé tout près de toi. « C’est votre pokémon ? C’est quoi comme pokémon ? Je me souviens pas de son nom. Il a de l’énergie. Moi, c’est Oyaris ! » Oui, bon, tu étais un peu mal placé pour parler d’énergie.

(c) TakeItEzy (Ezekiel Fitzgerald)
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Watchin' me ? I ain't watchin you. What you see ? I hope you like the view
Passer une journée tranquille, ne serait-ce trop demander ? Une seule journée où les pulsions gourmande d'Amoris ne te mettent ni dans l'embarras, ni dans la misère de devoir trouver rapidement quelque chose pour satisfaire ses caprices de princesse, c'est tout ce que tu demandes... mais non. Elle vient littéralement de renverser un café clairement trop sucré pour ne pas rendre l'autre inconfortablement collant. C'est d'ailleurs étonnant d'entendre le début du jeune homme face à toi qui parle sans arrêt à ton Pokémon qui n'écoute même pas un seul mot de ce qu'il lui dit. Évidemment qu'elle n'écoute rien celle-là, en train de s'empiffrer comme si tu la nourrissais mal. Un soupir t'échappe, puis tu roules des yeux avant d'approcher un peu de la scène en ayant pour but premier de t'excuser auprès de l'inconnu.

Excusez-moi pour son comportement. Je ne suis pas le plus doué avec les Pokémon, et elle est le seul que j'ai. Je n'oses même pas imaginer ce que ça donnerait si j'en avais d'autres.

Tu es doué avec les gens, mais pas avec les Pokémon, tes parents le savent et tes collègues aussi. Malgré tout, tu avais décidé de garder ce Morpeko avec toi, car il était le résultat d'un travail acharné que tes parents avaient accompli pour te l'offrir. La moindre des choses était de faire l'honneur de t'occuper de lui comme il se doit, pour montrer que toi aussi tu sais faire des efforts s'ils te le demandent. Bref, bien rapidement, tu saisis le petit bipède qui termine de se lécher les l;vres. Elle a retrouvé sa couleur jaune et noir, ce qui te rassure, ainsi que son petit sourire mignon qu'elle fait è chaque fois qu'elle sait qu'elle vient de te mettre dans une situation précaire.

Toi, fais-attention à ce que tu manges, tu vas te rendre malade à force.

Puis, tournant ton attention vers le jeune homme, tu réponds à sa question.

Ça, c'est un Morpeko, un Pokémon originaire de la région de Galar. J'ai lu à son sujet quand l'œuf qui contenant Amoris a éclot, et… en gros, s'il a faim, il devient cette bête incontrôlable. C'est… assez spécial, parfois.

Avec le temps, on s'habitue, mais quelqu'un qui n'a jamais vu ce phénomène de ses propres yeux auraient du mal à y croire. Te syeux à toi divaguent plutôt sur le corps frêle de ton vis-à-vis, et tu détectes assez rapidement une sorte d'animosité, ou du moins ue débordante énergie qui semble prête à partir en éruption, tel un volcan. Ce jeune homme te rappelle plusieurs gens que tu peux voir passer dans ton bureau en entrevue, le genre qui essaie de montrer que tout va bien et que le cœur y est à cent-pour-cent. Tu n'arrives cependant pas à déterminer s'il s'agit d'une façade ou d'un réel trait de caractère, tu le décideras sûrement avec le temps, car oui, maintenant tu dois lui offrir un nouveau breuvage.

Moi c'est Bradan, enchanté.

C'est important de se présenter à quelqu'un qui se présente à toi, sinon, ça peut paraître impoli ou snob, deux qualitatifs qui ne te ressemblent pas du tout. Tu prends l'autre par le poignet et tu l'entraîne à l'intérieur du café à nouveau. Tu salues les employés qui te reconnaissent d'un signe de tête avant de ramener Oyaris devant le comptoir.

Vous pouvez recommander votre dessert, je vais l'ajouter à ma facture.

Le but d'appeler le breuvage d'Oyaris dessert n'est pas de l'insulter, c'est juste une façon de voir la chose. Quand tu as entendu la recette un peu plus tôt, tu as voulu comparer la quantité de sucre versus la quantité de café dans ce breuvage, et le sucre gagne. On trouve du sucre en grande quantité dans les desserts, donc ça pourrait être le cas pour le jeune homme après tout. Une simple question de perspective. Bref, tu attends que l'autre ait fini de commander avant de commander à ton tour.

Je vais ajouter un thé vert avec un peu de miel et citron s'il-vous-pla- outch !

Amoris te pince la joue pour que tu lui donnes l'attention qu'elle demande depuis que tu as commencé à commander. Elle pointe le croissant qui passe sur l'écran qui montre le menu derrière le caissier et tu ne peux t'empêcher de soupirer à nouveau.

Et un croissant au beurre réchauffé, visiblement…

Ah là là. Semblerait que même en congé, tu ne puisses pas réellement te reposer, surtout avec la petite créature qui s'éprend de chaque morceau de nourriture qu'elle voit dans une journée. Tu te demandes comment elle peut rester aussi petite malgré tout ce qu'Amoris peut manger dans une journée. Sucreries, baies, croissants… juste l'idée de manger autant te donne la nausée. Avant de laisser l'autre homme rouspeter, tu as déjà sorti ta carte de crédit afin de payer le total de la commande, le bip sonore de l'argent qui s'ajoute à ton relevé mensuel résonnant à vos oreilles. Te tournant ensuite vers Oyaris, tu te déplaces dans la zone d'attente de la commande, et tant qu'à être là, autant essayer de discuter un peu pour en apprendre plus sur cet inconnu. Vos chemins se sont croisés, autant en profiter un peu, et tu es toujours curieux de psychanalyser les gens que tu rencontres.

Dites-moi, Oyaris, vous habitez dans le coin ? Je ne vous ai jamais vu ici avant. En même temps, j'y viens quand j'ai du temps libre, ce qui veut dire peu souvent mais assez pour qu'on me reconnaisse parfois que j'entre.

Le ton de ta voix se présente intéressé et curieux. Tu penches la tête légèrement sur le côté, en attente d'une réponse qui saura satisfaire ta curiosité.
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