Dusk Lumiris

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Forget You Not | feat Mana'arii
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Forget You Not
w/ Mana'arii
Amoris niv.5
??? niv.0
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Oh baby, I'm a little hotter I know, but there's no fun being hot on your own
Un coup de main, mmh ? Soyons honnête… je ne crois pas que ça y changerait grand-chose, ce centre est sur le point de fer- mmh, oui. Non je comprends. Oui, non, pas de soucis, j'y serai sans faute.

Un soupir t'échappe alors que la tonalité de la fin de l'appel sonne. Quelle perte de temps… certains diront que tu es pessimiste, mais il faut voir la vérité en face : Voltapolis a perdue sa notoriété d'antan depuis les fameux évènements de la centrale. La population est en déclin, les Pokémons s'y font plus rares… alors comment le Centre Pokémon de la ville n'arrive-t-il pas à fournir ? Il ne doit pas être le plus occupé, ou il doit l'être bien moins que celui de Port-Corail. Depuis le retour de la championne eau, les soins sont de plus en plus en demande, et qui dit soins dit personnel. Ça, c'est ton boulot, l'embauche, la gestion des accidents de travail, les salaires… bref, tout ce qui a un lien de près ou de loin aux employés. Tu es aussi le lien entre eux et la direction, le premier recours.

Et ça vient souvent avec ce genre de tâche ingrate d'aller régler les problèmes non-résolus des autres centres de la région. En gros… tu es un peu le bouche-trou lorsque quelque chose comme ça se produit.

Un nouveau soupir, et quelques petits jurons plus tard, tu finis par te lever de ta chaise et à prendre quelques dossiers que tu avais préparé à l'avance lorsqu'on t'avait mentionné les problèmes des ressources humaines qui s'y étaient multipliés. Au moins, ton hébergement est payé dans l'hôtel le plus près, celui de Nemerya, et ça te fera une sorte de « vacances » de Port-Corail. Mais en même temps… pourquoi vouloir quitter Port-Corail pour aller dans cet endroit de plus en plus désert ? Ce n'est pas comme si tu avais le choix, finalement.

Il te reste quelques heures pour te préparer à partir, donc tu quittes l'établissement en saluant le personnel que tu croises en chemin. Un petit tour en taxi plus tard, tu es dans l'appartement en train de faire tes bagages sous l'œil curieux de ton Pokémon qui ne comprend pas trop pourquoi tu es déjà de retour du travail et encore moins pourquoi tu es en train de mettre des vêtements pour quelques jours dan une valise. Elle vient près de toi et tire sur ta manche, te tirant ainsi de ta concentration.

Oh, pardon Amor. Nous allons à Voltapolis pour quelques jours.

Moment surpris, puis paniqué. La rongeuse se jette vite en bas du lit et court vers la cuisine où elle agrippe gratte à la porte qu'elle connait trop bien : celle où se cache sa nourriture. Quand tu arrives dans la cuisine. Tu te frottes le front puis tu l'ouvres, en sortant le nécessaire pour les repas et fringales de la gourmande créature.

T'es vraiment pas croyable toi… j'te jure.

Une fois prêt pour le grand départ, tu as pris ton billet de bus en main et a rejoint l'arrêt le plus proche. Amoris est sur ton épaule, comme d'habitude, et regarde le paysage s'attrister de plus en plus en vous rapprochant de Voltapolis. Selon les instructions qui t'ont été données, tu devrais arrivée en début de soirée, ce qui te laisseras le temps de déposer tes choses à l'hôtel avant de partir manger. Quelques heures de bus plus tard, tu es déposé devant le Centre Pokémon pour pouvoir rencontrer la direction et les membres de l'endroit. Ces procédures ont pris quelques heures, et quand tu en sors, tu es déjà fatigué et affamé.

Mon dieu… j'ai si faim. Il doit bien avoir un resto quelque part pas loin…

Dis-tu en donnant à Amoris le dessert qu'elle attendait temps depuis que tu l'avais nourrie dans ton bureau temporaire. Tu as encore ton bagage avec toi, mais c'est le dernier de tes soucis en ce moment. Ton but ? Trouver un endroit où te nourrir, t'abreuver, et peut-être célébrer un peu, sait-on jamais. Il n'y a plus grand-chose à célébrer dans cette ville, mais…sait-on jamais. Tu commences à marcher dans les rues qui parcourent toujours l'endroit à la recherche d'un restaurant quand tes yeux rencontrent une silhouette familière. Ce teint basané, ces cheveux quelque peu dépeignés, ce regard d'un doré profond… tu le connais. Tu te souviens même de son nom.

Eh bien, je ne croyais pas te retrouver un jour à Lumiris Ehu-Kai. Tu t'ennuyais de moi, peut-être ?

Une ancienne conquête, c'est pour ça que tu connais le nom du jeune homme. La Morpeko penche sa tête sur le côté curieusement alors que tu avances avec ton sourire charmeur au coin, et que tu t'arrêtes devant l'homme en t'inclinant un peu. Tu ne sais pas s'il se souvient de toi –probablement pas- mais ça ne veut pas dire que tu ne peux pas le lui rappeler.

Je m'appelle Bradan, tu te souviens ? Que fais-tu si loin d'Alola ?

Demandes-tu sans grande gêne alors que ta Morpeko se penche pour sentir l'inconnu et lui sourit. Elle essayait surtout de savoir s'il avait de la nourriture sur lui, mais ça, il n'a pas besoin de le savoir. Pendant ce temps, tu replaces une de tes mèches colorées vers l'arrière.
(c) TakeItEzy
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❝ Forget you not
w/ Bradan E. Caslin
Il n’était pas l’un de ceux que l’effondrement de la centrale avait traumatisé…
Même si Mana’arii se souvenait parfaitement des hurlements de terreur d’une masse informe fuyant la ville, il ne gardait pas de cicatrice de l’attentat.
Lui qui avait pourtant aidé à l’évacuation des civils alors que sa petite sœur combattait au cœur même de l’attaque conservait surtout le silence de Damien et les maux d’Ethan comme souvenir. Pas les colonnes de fumée ni les corps ensevelis… Peut-être était-il réellement trop naïf pour comprendre la gravité de ce qui s’était déroulé, après tout.

Déambulant machinalement dans les artères de la ville fantôme, l’insulaire laisse son regard caresser les restes fumants d’une Voltapolis qui avait tant été aimée…
Contrairement à Windoria, les gens avaient fuit les lieux et déserté les rues. Plutôt que de l’aider à briller de nouveau, ils l’avaient abandonnée à son triste sort, l’avait condamné au nom de tous les fantômes qui la hantaient. Désormais, elle n’était plus que le repère des malfamés.
Ses ruelles étaient déconseillées et même son célèbre marché n’était plus autant apprécié.
Oui. Voltapolis, dans toute sa splendeur d’antan, n’était plus que l’ombre d’elle-même… Et c’était une réalité à laquelle Mana’arii était longtemps demeuré étranger. Il ne s’était jamais questionné, ne s’était jamais arrêté suffisamment longtemps pour se demander ce que la ville était devenue une fois Hyouga derrière les barreaux.
Maintenant, il avait une réponse… Qu’il aurait sans doute préféré ignorer.

Reste alerte Ako, s’il-te-plait... Il n’était pas un couillard. Bon ok, juste un peu. Mais les restes de la cité ne lui inspiraient pas confiance. Au moindre mouvement suspect, tu as mon ok pour attaquer.
De nouveau, il préfère la violence à toute autre solution pacifiste… Mais la cité n’est pas régit pas les mêmes règles que le reste de l’archipel.
Ou peut-être a-t-il une vision déformée des lieux.
La peur, même dans le déni, avait de bien drôles de propriétés…

Pourquoi était-il là? Lui-même se cessait de se questionner.
On lui avait dit qu’il y aurait peut-être un pokémon pour lui dans les environs… Lui-même n’y croyait plus. On l’avait clairement fait marcher, mener en bateau, mais dans quel but?

Soupirant, il raffermit la présence de son pull sur ses épaules. Il n’aimait pas cet endroit aux allées vibrantes de malveillance…  
Mana’arii n’avait jamais été une racaille. Il ne faisait pas le poids contre la colère des plus imposants ni contre leur indicible violence. Si quelqu’un décidait que son porte-feuille était suffisamment intéressant pour être volé – bien qu’il soit complètement fauché, pourrait-il l’en empêcher? Ne laisse rien passer.
Dans une autre vie, il aurait sans doute adoré Voltapolis… Ses souvenirs de la ville, de sa version antérieure, tranchaient avec la réalité qui l’assaillait désormais.
Ils étaient vibrants de couleur, vivant du ricanement des enfants… La ville lumière, dans ses beaux jours, aurait sans doute pu être son plus grand rêve. Alors pourquoi?
Pourquoi l’avait-on réduit à… ça?

Attristé, l’Ehu-kai sent ses épaules s’affaisser lorsqu’une voix familière traverse le silence de son droit de passage. Fronçant légèrement les sourcils, il étire brusquement sa main devant Ako’vahta afin d’éviter une attaque exceptionnellement non-désirée.
Pour autant, il ne peut étouffer le sifflement menaçant qui s’échappe de ses mandibules. Le message est clair : l’inconnu n’a pas intérêt à les approcher. Conformément aux ordres de son maître, le galvantula est prêt à attaquer.

C’est alors que, dans ce début de soirée, la silhouette particulière d’un fantôme du passé ne tarde pas à se détacher de la pénombre, arrachant à Mana’arii un indicible frisson d’étonnement.
Son amour de l’être humain l’empêchait d’oublier les gens qui avaient un jour compté… Même si les chemins s’étaient séparés, même si leur présence avait été de courte durée : Mana’arii se rappelait de tout. De la douceur de la chevelure, du parfum de la peau, de l’unicité des mimiques.
Ils comptaient. Tout aussi nombreux qu’ils étaient.

Si je ne te connaissais pas, je croirais presque que tu sous-estimes ma mémoire… Bradan. Voix aux intonations taquines, comme s’ils se connaissaient depuis toujours; comme si leur existence respective n’avait jamais appartenu aux abysses d’un passé enterré.
En réalité, Mana’arii ne connaissait pas Bradan. Il connaissait une version de lui que les années avaient sans doute altérée et sur laquelle il ne pouvait pas se reposer… Mais n’était-ce pas réciproque, après tout? C’est bon Ako. On est probablement tombés sur la seule personne inoffensive de la ville, tu peux te calmer.
Et même si elle darde le Morpeko du regard, la mygale finit néanmoins par obtempérer malgré ses réticences. Tu as un peu de retard sur les nouvelles… Ça fait presque un an que j’ai déménagé à Sunyra. J’avais… besoin de changer d’air.

Besoin de trouver un sens à ma vie.

Mais toi… Tu n’habites pas ici, n’est-ce pas? Je peux pas croire qu’un mec comme toi puisse vivre au travers la mauvaise herbe. Tu vaux mieux que ça.

Ou du moins, c’est l’impression que tu me donnais… avant.
(c) TakeItEzy & Ellumya
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Oh baby, I'm a little hotter I know, but there's no fun being hot on your own
Revoir le jeune homme ici est un peu surprenant à tes yeux. Le basané avait, pendant le peu de temps que tu l’avais côtoyé, fait comprendre que le soleil d’Alola et les gens de ce coin étaient un de ses endroits préférés, et c’est pourquoi un an plus tard, tu es curieux de savoir ce qui a pu causer un tel revirement de situation dans la vie du jeune homme. Problèmes familiaux ? Problèmes liés au travail ? Plusieurs raisons possibles, et pourtant, tu ne saurais dire sans le lui demander. Maintenant que tu y penses… ça ne serait pas très approprié pour toi de le demander, donc autant prendre juste ce temps pour profiter de la présence de cette personne que tu connais, car on ne va pas se mentir, un peu de compagnie n’a jamais fait de torts lorsqu’il est question d’aller manger au restaurant. Invitation que tu donneras probablement un peu plus tard dans la conversation. Le ton de voix de Mana te laisse comprendre que tu es encore quelque part dans sa mémoire, ce qui fait élargir le petit sourire installé au coin de tes lèvres.

Jamais, Mana’arii. Sans oublier que je ne suis pas la personne qui soit la plus facilement oubliable, si tu veux mon avis. Que ce soit pour ces mèches colorées dans mes cheveux, ou… ce que tu veux d’autre.

Petit clin d’œil à l’appui, tu ne te caches pas que c’est toujours agréable de flirter avec quelqu’un avec qui tu as fricoté par le passé. Ça te donne un petit sentiment de déjà-vu, de quelque chose que tu connais et que tu sais que ça ne passe pas aucune limite. S’il y a bien une chose de certaine, c’est que le Ehu’kai sait mettre ses limites, et que si par inadvertance tu dépasses ces dernières, il n’hésitera pas à t’en faire part. Portant ton attention sur la mygale qui accompagne le jeune homme, tu penches la tête devant une telle méfiance de la part du Pokémon face au Morpeko.

Si ça peut te rassurer, tu es clairement plus fort qu’Amoris.

Ça te vaut une belle petite morsure agacée de la part de la souris électrique qui pousse un petit son énervé. Tu frottes ta main récemment mordue avec un petit sifflement agacé, plaçant l’autre sur la tête de la petite créature que tu tentes de rassurer en disant :

Ce n’est pas méchant Amoris, c’est un fait. Tu es encore toute jeune…

Oui, c’est évident que tu n’es pas la meilleure personne pour consoler, mais ça semble faire l’affaire puisque le rongeur finit quand même par pousser sa tête contre ta main pour que tu puisses passer tes doigts dans sa douce fourrure. Réconciliation presqu’immédiate, ce qui te convient, sinon tu n’aurais pas trop su quoi faire comme tu ne connais rien aux sentiments des Pokémons. Portant ton attention sur l’homme des îles lorsqu’il parle de nouveau, tu pouffes de rire alors qu’il te parle de Voltapolis comme étant ton éventuelle habitation.

Oh mais non, je suis venu ici pour pouvoir donner un coup de main au Centre Pokémon de Voltapolis, un centre qui n’en a pas pour longtemps, si tu veux mon avis. Reste que Lumiris est ma terre natale, si c’était ça la question, mais j’habite en réalité à Port-Corail. La température et l’ambiance me rappelle un peu Alola… manquerait plus que tu y passes plus souvent pour venir me voir.

Nouveau sourire en coin qui suit un mouvement de main vers ta chevelure que tu replaces. Une chose est sûre, il va falloir aller manger bientôt, parce que ton ventre gargouille et Amoris commence à s’agiter un peu sur ton épaule. Tu relèves tes prunelles vertes sur le jeune homme face à toi, regardant un peu autour de vous avant de te rapprocher.

Maintenant, si tu le veux bien, je peux te kidnapper quelques heures pour qu’on puisse manger quelque chose ensemble ?  Disons qu’être seul dans cette partie autrefois tant vivante de Lumiris n’est pas une idée bien alléchante, et j’aimerais bien pouvoir rattraper un peu de temps perdu, prendre de tes nouvelles et apprécier une nouvelle fois ta compagnie. Enfin, disons de te parler plus que la dernière fois que l’on s’est vu.

Car al dernière fois que vous vous êtes vus, disons que parler n’était pas votre priorité et que tu en a plus appris sur le corps de Mana’arii que sur sa vie ou lui en tant que personne. Pourtant, il est le genre de personne avec qui tu as tendances à bien t’entendre, donc autant profiter de ce moment ou le destin vous à réunis. Tu ne crois pas trop à ce genre de chose comme c’est un concept un peu moins rationnel, mais tu es de ceux qui pensent que chaque occasion mérite d’être prise. Tu joues distraitement avec tes cheveux, attendant une réponse de la part de ton vis-à-vis que tu espères positive.
(c) TakeItEzy
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