Maana Selenis
Feat. Yuuki Asuna - Sword Art Online
21 ans
Info-graphiste
04.04.2000
Aucune Faction
Batisques, Kalos
Habite Artiesta
Elle
Éclipse
Curieuse
Protectrice
Optimiste
Hautaine
Impulsive
Susceptible
Il n’y a pas d’homme dans cette famille. Il n’y en aura probablement plus. De toute manière, elles n’en ont pas besoin.
C’est Maana qui porte tout et tout le monde à bout de bras. Ses épaules ont l’air frêles et pourtant, elle ne vacille pas. Même lorsque, chargée de sacs de courses, elle doit passer à la pharmacie, puis récupérer sa petite sœur au collège, tout en réfléchissant déjà au prochain client qu’elle va devoir rappeler. Elle fait tout cela à la fois, le sourire aux lèvres, la conversation facile mais la plainte rare. Elle est comme un rayon de soleil, bienveillante, toujours positive ; pour elle, tout peut s’arranger. Et il ne sert à rien de s’apitoyer sur ce qui est déjà passé.
Rêveuse, elle peut passer des heures devant la lucarne de leur appartement, dernier étage, lorsqu’Elaïa dort. Elle observe la Lune, les étoiles, la nuit, douce et mystérieuse. Parfois, elle la dessine, jusqu’à ce que le sommeil la rattrape. Elle a toujours préféré la nuit, mais la plupart des humains vivent le jour, et elle se doit d’être là pour ses proches. Responsable et autonome, elle s’occupe d’elles trois comme si elle était la mère. Protectrice, presque maternelle, elle ne laisserait personne toucher à un seul cheveu de sa petite sœur, pour qui elle se bat, chaque jour qui passe. Parce que son but premier, c’est de lui offrir une meilleure enfance que la sienne. Qu’importe les efforts à fournir.
Les cheveux sable toujours détachés, libres, le visage peu ou pas maquillé, elle marche vite, dans la rue. Elle est souvent pressée ; elle a toujours quelque chose à faire. Elle ne s’arrête jamais. Sauf lorsqu’on la critique, elle, sa famille, ou ses choix. Plutôt susceptible, quelque peu hautaine également, elle ne supporte pas qu’on remette tout ça en question. Parce qu’elle a travaillé trop dur, souvent seule, pour obtenir cette vie. Elle est rarement distraite, parfois un peu dans la lune, parce qu’elle ne cesse de rajouter des petites touches d’imaginaire à la réalité. Oh, elle ne se voile pas la face, en vérité, elle est globalement très lucide. Ce n’est que pour protéger Elaïa. Au fond, elle ne fait que copier les tactiques de sa mère.
Très curieuse, libre et avide de nouvelles expériences, on ne l’attache nulle part. Elle aime vagabonder, explorer, quand elle a le temps. Elle part rarement seule, emmenant sa petite sœur dans ses aventures, parfois durant plusieurs semaines, mais toujours lorsqu’elle n’a pas école. Lorsqu’elle s’absente en solitaire, alors c’est souvent Oyaris qui s’occupe d’elle. Mais, même si elle a confiance en lui, Maana n’aime pas beaucoup faire cela. Elaïa est tout ce qu’elle a de plus précieux au monde, et se savoir loin d’elle lui serre le cœur.
C’est Maana qui porte tout et tout le monde à bout de bras. Ses épaules ont l’air frêles et pourtant, elle ne vacille pas. Même lorsque, chargée de sacs de courses, elle doit passer à la pharmacie, puis récupérer sa petite sœur au collège, tout en réfléchissant déjà au prochain client qu’elle va devoir rappeler. Elle fait tout cela à la fois, le sourire aux lèvres, la conversation facile mais la plainte rare. Elle est comme un rayon de soleil, bienveillante, toujours positive ; pour elle, tout peut s’arranger. Et il ne sert à rien de s’apitoyer sur ce qui est déjà passé.
Rêveuse, elle peut passer des heures devant la lucarne de leur appartement, dernier étage, lorsqu’Elaïa dort. Elle observe la Lune, les étoiles, la nuit, douce et mystérieuse. Parfois, elle la dessine, jusqu’à ce que le sommeil la rattrape. Elle a toujours préféré la nuit, mais la plupart des humains vivent le jour, et elle se doit d’être là pour ses proches. Responsable et autonome, elle s’occupe d’elles trois comme si elle était la mère. Protectrice, presque maternelle, elle ne laisserait personne toucher à un seul cheveu de sa petite sœur, pour qui elle se bat, chaque jour qui passe. Parce que son but premier, c’est de lui offrir une meilleure enfance que la sienne. Qu’importe les efforts à fournir.
Les cheveux sable toujours détachés, libres, le visage peu ou pas maquillé, elle marche vite, dans la rue. Elle est souvent pressée ; elle a toujours quelque chose à faire. Elle ne s’arrête jamais. Sauf lorsqu’on la critique, elle, sa famille, ou ses choix. Plutôt susceptible, quelque peu hautaine également, elle ne supporte pas qu’on remette tout ça en question. Parce qu’elle a travaillé trop dur, souvent seule, pour obtenir cette vie. Elle est rarement distraite, parfois un peu dans la lune, parce qu’elle ne cesse de rajouter des petites touches d’imaginaire à la réalité. Oh, elle ne se voile pas la face, en vérité, elle est globalement très lucide. Ce n’est que pour protéger Elaïa. Au fond, elle ne fait que copier les tactiques de sa mère.
Très curieuse, libre et avide de nouvelles expériences, on ne l’attache nulle part. Elle aime vagabonder, explorer, quand elle a le temps. Elle part rarement seule, emmenant sa petite sœur dans ses aventures, parfois durant plusieurs semaines, mais toujours lorsqu’elle n’a pas école. Lorsqu’elle s’absente en solitaire, alors c’est souvent Oyaris qui s’occupe d’elle. Mais, même si elle a confiance en lui, Maana n’aime pas beaucoup faire cela. Elaïa est tout ce qu’elle a de plus précieux au monde, et se savoir loin d’elle lui serre le cœur.
Trouvé.e dans la nature peu après l'arrivée de Maana à Lumiris, Luna est un être encore mystérieux que la jeune peine souvent à comprendre. Lea Séléroc n’est pas un pokémon comme les autres ; certains disent qu’iels viendraient d’ailleurs, de l’espace. Peut-être même sont-iels lié.es à la véritable Lune qui veille sur eux depuis le ciel ? Maana n’en est pas certaine, cependant elle fait confiance à ce pokémon pour la guider et l’épauler. De toute manière, iel est bien lea seul.e à vouloir le faire.
En tout cas, elle a entendu parler de ses compétences psychiques, et n'attend qu'une chose : qu'iel puisse communiquer avec elle par la pensée.
En tout cas, elle a entendu parler de ses compétences psychiques, et n'attend qu'une chose : qu'iel puisse communiquer avec elle par la pensée.
Luna
Séléroc
Asexué
Lévitation
De Batisques, Maana se souvient surtout des cris et des pleurs. Certes, son enfance et son adolescence ne contiennent pas que ça, mais aujourd’hui, la jeune femme associe surtout la ville et cette période à cet homme brutal qui a fini par n’avoir plus que ses poings pour parler ; son père. Il est difficile de se rappeler du passé, plus ancien, de se dire qu’un jour tout allait bien. Il est difficile de se dire qu’il y eut des bons moments alors qu'aujourd'hui, la figure de cet homme prend toute la place dans le passé. Il impose son ombre à chaque souvenir, noircit chaque image, ravive la peur à chaque pensée. Même à des centaines de kilomètres de lui, Maana craint toujours qu’un jour, il les retrouve.
Au fond, l’histoire est presque banale. Maana et les siens ne sont pas une exception. Il y avait, au départ, un homme et une femme. Qui s’aimaient, ont décidé de vivre ensemble et de fonder une famille. Ils ont eu une petite fille puis, trois ans plus tard, un petit garçon. Maana ne se souvient plus de si ça criait déjà, mais elle vous dirait que son père n’a jamais été très à l’écoute. C’était lui d’abord, et c’était lui qui dirigeait cette petite famille. Un troisième enfant naquit en 2007, et Maana se dit qu’il aurait dû être fier de tout ça. Il lui reste une photo, datant de 2008 : le père a été masqué, mais on y voit clairement sa mère qui sourit, tenant par la main le petit William, cinq ans, et dans ses bras, Elaïa. Maana, à côté d’eux, regarde ailleurs, déjà dans la lune du haut de ses huit ans. Était-il satisfait, de tout ça ? Avait-il été un jour fier de la famille qu’ils formaient tous les cinq ?
À peine un an plus tard, Will est tombé malade. Gravement malade. Au tout début, ses parents ont essayé de protéger Maana de la vérité, mais l’enfant avait besoin de comprendre. Comprendre où était passé son petit frère dont elle était assez proche, ce qu’il avait, pourquoi il n’était plus beaucoup à la maison. Alors ils ont fini par lui expliquer : la leucémie, le traitement, l’hôpital, ce qu’ils pouvaient. Déjà, la difficulté cristallisait les tensions ; à dix ans, Maana ne savait déjà plus trop comment réagir face à sa mère épuisée et terrifiée, son père irascible et peu présent — il fallait payer le traitement, argumentait-il — et sa petite sœur qui pleurait encore beaucoup. Will lui manquait, même quand il était là, il ne pouvait plus jouer comme avant. Alors Maana s’est rabattue sur la plus petite, plus timide et réservée que ses aînés mais plus bruyante aussi, parce qu’elle pleurait beaucoup. Mais elle, Maana pouvait encore la protéger.
Tout cela empira lorsque William eut besoin d'une greffe, et que l'on ne trouva aucun donneur compatible. Et la douleur du père ne s'exprima que par de la colère, notamment à l'intention de sa famille, et principalement sa femme. C'était elle qui l'avait mise au monde, c'était peut-être bien de sa faute s'il était malade. Le deuil embrasa les tensions, et recroquevilla sur elle-même et auprès de sa cadette une jeune Maana qui, en lieu et place du soutien dont elle aurait eu besoin, ne disposait que de peur, de cris, de coups, d'accusations. Maana vit sa mère dépérir, elle aussi, tout aussi mentalement que physiquement. Mais elle ne savait pas quoi faire. Elle n'était qu'une enfant, et elle ne savait pas jouer à l'adulte.
Maana devint une « adolescente difficile ». Elle apprit à fuguer, puis surtout à rester le plus longtemps possible hors de chez elle sans donner de raison de se prendre des coups par la suite. Même s'il n'y avait plus besoin de raison. On l'a dit effrontée, révoltée, insolente, pourtant le perron passé, elle ne disait plus rien. Elle s'attacha à raconter des histoires à sa petite sœur, occultant le plus dur, comme sa mère l'avait fait avec elle avant de sombrer dans la dépression. Elle dessinait, souvent, des êtres et des lieux paisibles. Le jour d'après, elle y esquissait un incendie.
Elle eut pourtant la force de garder le cap. De résister. Et d'être celle qui ferait bouger les choses. Ce fut elle qui finalement les tira de là, du haut de ses seize ans. Elle expliqua à sa mère qu'il fallait qu'elles partent, pour de bon, et impérativement. Il n'était plus temps de courber l'échine et de faire le dos rond devant les coups. Il fallait partir. Et c'est justement l'énergie, la volonté et la détermination de la fille qui tirèrent la mère de là. Et malgré les réticences de cette dernière, elles quittèrent Batisques et même Kalos, pour Artiesta, en Lumiris. Les souvenirs, le deuil et la violence restèrent à Batisques, tandis que Maana, goûtant à une liberté encore plus grande, découvrit la nocturne Artiesta.
Elle adora aussitôt la ville, pour sa vie nocturne, pour son atmosphère plutôt chaleureuse, pour les diverses personnes qu'elle y rencontra. À commencer par Oyaris et les jumeaux, avec qui elle se lia rapidement d'amitié. Pourquoi ? Parce que la vie est ainsi, tout simplement. Peut-être aussi parce qu'ils comprenaient ses difficultés et avaient une vision du monde bien à eux. Elle-même était souvent étrange aux yeux des autres.
À Artiesta, Maana acheva sa scolarité, repartit davantage en vadrouille, y trouva son premier pokémon, développa son goût pour l'art. C'était facile, là-bas, il y avait toujours quelque chose à aller admirer, écouter, regarder. Et Maana en profitait, parce qu'elle avait besoin de tout ça, sortir, bouger, danser, faire plein de choses en somme. Ne pas rester en place, surtout. Et vivre de toutes ses forces. Cependant, ce n'était pas vraiment le cas de sa mère, qui ne trouva en Lumiris qu'un renouveau éphémère. Et rapidement, Maana géra de plus en plus de choses à sa place, pour la soulager. Jusqu'à représenter seule l'adulte du foyer, épaulée seulement de son Séléroc. Qui ne faisait cependant pas grand chose, se contentant de flotter et, parfois, exprimer l’une ou l’autre émotion par ses grands carmins.
Elle fit des études de type court, en infographie, sans vouloir faire trop compliqué ou s'enfermer encore trop longtemps dans un nouveau cursus scolaire. D'ailleurs, elle a choisi une voie de liberté, peut-être pas la plus stable qui soit en termes de salaire, mais suffisamment demandée pour avoir de quoi subvenir à leurs besoins. Mais surtout, elle est libre. Libre de refuser un contrat si artistiquement ou éthiquement parlant ça ne lui convient pas, libre de choisir ses heures, libre de prendre le temps de vadrouiller dans la nature ou d'apprendre à comprendre son pokémon, qui l'intrigue probablement tout autant que ses trouvailles.
Au fond, l’histoire est presque banale. Maana et les siens ne sont pas une exception. Il y avait, au départ, un homme et une femme. Qui s’aimaient, ont décidé de vivre ensemble et de fonder une famille. Ils ont eu une petite fille puis, trois ans plus tard, un petit garçon. Maana ne se souvient plus de si ça criait déjà, mais elle vous dirait que son père n’a jamais été très à l’écoute. C’était lui d’abord, et c’était lui qui dirigeait cette petite famille. Un troisième enfant naquit en 2007, et Maana se dit qu’il aurait dû être fier de tout ça. Il lui reste une photo, datant de 2008 : le père a été masqué, mais on y voit clairement sa mère qui sourit, tenant par la main le petit William, cinq ans, et dans ses bras, Elaïa. Maana, à côté d’eux, regarde ailleurs, déjà dans la lune du haut de ses huit ans. Était-il satisfait, de tout ça ? Avait-il été un jour fier de la famille qu’ils formaient tous les cinq ?
À peine un an plus tard, Will est tombé malade. Gravement malade. Au tout début, ses parents ont essayé de protéger Maana de la vérité, mais l’enfant avait besoin de comprendre. Comprendre où était passé son petit frère dont elle était assez proche, ce qu’il avait, pourquoi il n’était plus beaucoup à la maison. Alors ils ont fini par lui expliquer : la leucémie, le traitement, l’hôpital, ce qu’ils pouvaient. Déjà, la difficulté cristallisait les tensions ; à dix ans, Maana ne savait déjà plus trop comment réagir face à sa mère épuisée et terrifiée, son père irascible et peu présent — il fallait payer le traitement, argumentait-il — et sa petite sœur qui pleurait encore beaucoup. Will lui manquait, même quand il était là, il ne pouvait plus jouer comme avant. Alors Maana s’est rabattue sur la plus petite, plus timide et réservée que ses aînés mais plus bruyante aussi, parce qu’elle pleurait beaucoup. Mais elle, Maana pouvait encore la protéger.
Tout cela empira lorsque William eut besoin d'une greffe, et que l'on ne trouva aucun donneur compatible. Et la douleur du père ne s'exprima que par de la colère, notamment à l'intention de sa famille, et principalement sa femme. C'était elle qui l'avait mise au monde, c'était peut-être bien de sa faute s'il était malade. Le deuil embrasa les tensions, et recroquevilla sur elle-même et auprès de sa cadette une jeune Maana qui, en lieu et place du soutien dont elle aurait eu besoin, ne disposait que de peur, de cris, de coups, d'accusations. Maana vit sa mère dépérir, elle aussi, tout aussi mentalement que physiquement. Mais elle ne savait pas quoi faire. Elle n'était qu'une enfant, et elle ne savait pas jouer à l'adulte.
Maana devint une « adolescente difficile ». Elle apprit à fuguer, puis surtout à rester le plus longtemps possible hors de chez elle sans donner de raison de se prendre des coups par la suite. Même s'il n'y avait plus besoin de raison. On l'a dit effrontée, révoltée, insolente, pourtant le perron passé, elle ne disait plus rien. Elle s'attacha à raconter des histoires à sa petite sœur, occultant le plus dur, comme sa mère l'avait fait avec elle avant de sombrer dans la dépression. Elle dessinait, souvent, des êtres et des lieux paisibles. Le jour d'après, elle y esquissait un incendie.
Elle eut pourtant la force de garder le cap. De résister. Et d'être celle qui ferait bouger les choses. Ce fut elle qui finalement les tira de là, du haut de ses seize ans. Elle expliqua à sa mère qu'il fallait qu'elles partent, pour de bon, et impérativement. Il n'était plus temps de courber l'échine et de faire le dos rond devant les coups. Il fallait partir. Et c'est justement l'énergie, la volonté et la détermination de la fille qui tirèrent la mère de là. Et malgré les réticences de cette dernière, elles quittèrent Batisques et même Kalos, pour Artiesta, en Lumiris. Les souvenirs, le deuil et la violence restèrent à Batisques, tandis que Maana, goûtant à une liberté encore plus grande, découvrit la nocturne Artiesta.
Elle adora aussitôt la ville, pour sa vie nocturne, pour son atmosphère plutôt chaleureuse, pour les diverses personnes qu'elle y rencontra. À commencer par Oyaris et les jumeaux, avec qui elle se lia rapidement d'amitié. Pourquoi ? Parce que la vie est ainsi, tout simplement. Peut-être aussi parce qu'ils comprenaient ses difficultés et avaient une vision du monde bien à eux. Elle-même était souvent étrange aux yeux des autres.
À Artiesta, Maana acheva sa scolarité, repartit davantage en vadrouille, y trouva son premier pokémon, développa son goût pour l'art. C'était facile, là-bas, il y avait toujours quelque chose à aller admirer, écouter, regarder. Et Maana en profitait, parce qu'elle avait besoin de tout ça, sortir, bouger, danser, faire plein de choses en somme. Ne pas rester en place, surtout. Et vivre de toutes ses forces. Cependant, ce n'était pas vraiment le cas de sa mère, qui ne trouva en Lumiris qu'un renouveau éphémère. Et rapidement, Maana géra de plus en plus de choses à sa place, pour la soulager. Jusqu'à représenter seule l'adulte du foyer, épaulée seulement de son Séléroc. Qui ne faisait cependant pas grand chose, se contentant de flotter et, parfois, exprimer l’une ou l’autre émotion par ses grands carmins.
Elle fit des études de type court, en infographie, sans vouloir faire trop compliqué ou s'enfermer encore trop longtemps dans un nouveau cursus scolaire. D'ailleurs, elle a choisi une voie de liberté, peut-être pas la plus stable qui soit en termes de salaire, mais suffisamment demandée pour avoir de quoi subvenir à leurs besoins. Mais surtout, elle est libre. Libre de refuser un contrat si artistiquement ou éthiquement parlant ça ne lui convient pas, libre de choisir ses heures, libre de prendre le temps de vadrouiller dans la nature ou d'apprendre à comprendre son pokémon, qui l'intrigue probablement tout autant que ses trouvailles.
Pourquoi les Éclipses ?
Maana est une Éclipse dans sa liberté, son besoin incessant de bouger et de découvrir de nouvelles choses. Certes, j'ai hésité avec les Pléiades, mais elle n'est pas faite pour être sur le devant de la scène, être en avant et produire quelque chose qui vient d'elle-même pour un public. Ses dessins ne sont pas destinés à être partagés, et si elle aime baigner dans le monde de l'art, elle préfère être du côté spectateur ou lecteur que créateur, même si ça ne l'empêche pas de produire quelque chose qui a sans aucun doute une certaine valeur artistique, dans le cadre de son travail. Mais elle est mieux dehors, les mains dans la terre et les sens en éveil. Et l'envie de nouveauté, la curiosité sont probablement ses moteurs premiers.
Pseudo(s): Sun
Âge: 22 ans déjà
Localisation: Bruxelles, Belgique
Pronom(s): Elle
Âge: 22 ans déjà
Localisation: Bruxelles, Belgique
Pronom(s): Elle
Comment nous as-tu trouvé ? // C'est pas la première fois que je viens (honte à moi d'avoir disparu, d'ailleurs). Mais ce sont Oyaris, Zamas et Vlinder qui m'ont ramenée
Ton Pokémon préféré ? // Météno
As-tu un parrain ? // Lys
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // De pouvoir faire évoluer ma petite Maana avec tout son entourage
Un dernier mot ? // Contente de voir que le forum est toujours aussi beau et actif **
Ton Pokémon préféré ? // Météno
As-tu un parrain ? // Lys
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // De pouvoir faire évoluer ma petite Maana avec tout son entourage
Un dernier mot ? // Contente de voir que le forum est toujours aussi beau et actif **