Mirabella de LaFleur
Feat Fubuki de One Punch Man
27 ans 13 août Volucité - Unys Féminin Scientifique Eclipse
DéfautsAutoritaireRéservéeImpatiente
QualitésRéfléchieJusteIndépendante
DéfautsAutoritaireRéservéeImpatiente
Description
raffinée; réservée; indépendante; autonome; sérieuse; froide; juste; curieuse; sérieuse; orgueilleuse; calme; réfléchie; autoritaire; peu bavarde; égoïste; méfiante; impatiente; jalouse; douce; exigeante; rationnelle; introvertie.
Elle n’est pas toujours facile à cerner, Mirabella. Quand on la regarde, on voit une belle femme, les cheveux coupés nets sous les oreilles, un maquillage discret, des vêtements toujours élégants et un parfum agréable, jamais agressif. Bien paraître, c’est important pour elle. Certains ont tendance à croire qu’elle est prétentieuse, mais c’est un jugement trop facile. Lorsqu’on vient d’un milieu modeste et qu’on a été pris de haut, il est normal de porter attention à ce que l’on projette. Et elle ne supporte pas de ne pas être pris au sérieux, même si elle a consciente de ses limites. Elle n’en est pas superficielle pour autant, au contraire. S’il y a bien quelque chose à laquelle elle porte peu d’importance, c’est les biens matériels, on ne peut l’attendrir avec des cadeaux.
Mirabella est tout de même de nature assez calme et sérieuse, elle n’est pas particulièrement avenante ou chaleureuse. On perçoit une certaine douceur dans ses propos et ses manières, elle n’est jamais impolie ou grossière, ni même intentionnellement méchante. Sans être désagréable, il n’en reste pas moins qu’elle manque un peu d’intérêt envers les autres. Introvertie et solitaire, la vie sociale n’est pas sa priorité, et cela se perçoit dans sa manière d’être. Habituée de travailler seule, elle a développée autonomie et discipline, mais également un certain niveau d’exigence pour ce qu’elle fait, d’où son côté parfois autoritaire : elle aime que les choses soient faites à sa façon. Mais sous cette sévérité, Mirabella cache sa sensibilité et son manque de confiance en elle-même et c’est pour cela qu’elle se dévoile peu.
La majorité du temps, vous pourrez la trouver dans son atelier, concentrée sur l’étude de ses fleurs, ou dans la nature à dessiner des pokémons, mais rarement très éloignée de la ville. Si elle n’a jamais apprécié le béton de Volucité, elle n’est pas non plus tellement aventurière. La tranquillité et le confort, c’est dans cet environnement qu’elle se sent le mieux. Du moins, ce l’était avant de rencontrer Liam. Avec lui, ce qu’elle pensait connaître d’elle-même n’est plus aussi sûr.
Beryl
TritoxFemelleCe tritox avait été transféré d'Alola à l'intention du professeur Baobab à des fins de recherches, mais elle s'est attachée à Mirabella. Celle-ci n'avait aucunement l'intention d'adopter un pokémon, mais le professeur a fini par la convaincre.
Beryl est presque constamment sur sa dresseuse, sur son épaule ou sur sa tête, si bien que sa dresseuse n'a parfois plus conscience de sa présence. C'est un pokémon curieux, mais plutôt dépendant, et même s'il fait partie du quotidien de Mira depuis plusieurs mois, elle a un peu de mal a créer un réel lien affectif.
Beryl est presque constamment sur sa dresseuse, sur son épaule ou sur sa tête, si bien que sa dresseuse n'a parfois plus conscience de sa présence. C'est un pokémon curieux, mais plutôt dépendant, et même s'il fait partie du quotidien de Mira depuis plusieurs mois, elle a un peu de mal a créer un réel lien affectif.
Histoire
Elle se sentait si seule.
Elle n’était pourtant pas isolée, issue d’une ville fortement peuplée. Des gens austères, sérieux, pressés, impeccablement vêtus et indiscernables. Comme s’ils sortaient tous d’une même machine.
Entre quatre murs, dans l’un de ces appartements miteux de cette ville de béton, Mirabella vivait avec son père. Seulement son père. Sa mère, c’est comme si elle n’avait jamais existé. Ni en photos, ni en souvenirs, ni en mots. « Elle est morte » qu’il lui a dit, mais la fillette s’est toujours demandé si elle n’était morte que pour lui.
Elle se sentait emprisonnée.
Ils possédaient peu, donc il faisaient peu. De son temps libre, elle n’avait que du papier et des crayons pour s’occuper, plus rarement elle pouvait regarder la télé. Mais son père était habile de ses mains, il lui a construit des jouets jusqu’à ce qu’elle soit trop âgée pour ces babioles. Le temps libre était toutefois une denrée rare : les jours de la semaine, elle allait à l’école et tout de suite après ses cours elle devait rejoindre son père. Avec un kiosque, il se promenait à la place centrale, vendant figurines de bois, bijoux et souvenirs aux touristes. Sa présence était exigée dès qu’elle le pouvait, y compris les week-ends, car cela faisait augmenter les ventes, disait-il. Alors elle restait là, assise à côté du kiosque, à observer tous ces inconnus qui défilaient. Parfois, des jeunes de son âge l’apercevaient et la dévisageaient. À ces moments là, Mirabella avait honte. Heureusement, elle avait le droit de dessiner, c’était son seul échappatoire.
Un homme est venu au kiosque une fois, Mirabella était presque une adolescente. Il voulait une série de petite sculptures en bois pour ses jeunes enfants, mais il avait le portefeuille vide. Il a offert la seule chose qu’il avait en quantité, puisqu’il était dresseur : un pokémon en guise de paiement. Son père a d’abord refusé l’offre, que pourrait-il bien faire de cette créature? Jusqu’à ce qu’il croise le regard de sa fille, et il perçut la tristesse et la déception dans son visage. Mirabella ne disait mot, par expérience elle avait appris à ne rien demander, mais ses émotions transparaissaient dans ses expressions. Son père était peut-être borné et peu à son écoute, mais il aimait sa fille et voulait la voir heureuse C’est ainsi que Abo devint son tout premier pokémon.
Ce pokémon eut un impact considérable sur le quotidien de la jeune fille, il apportait la présence qui lui manquait cruellement, une amitié précieuse. Devenir dresseuse ne l’avait jamais intéressée, et encore moins les combats. Abo n’a donc jamais été entraîné à de telles fins, mais son lien avec la fillette était très fort, ne se quittant presque jamais. Il est également devenu la mascotte du kiosque, et y passait son temps en attendant le retour de Mirabella.
Quelques années plus tard, à ses 16 ans, l’adolescente fit une rencontre qui a tout basculé. Une dresseuse, à peine plus âgée qu’elle, est arrivée dans sa vie comme un rayon de soleil au travers d’un épais manteau de nuages. Félicie qu’elle s’appelait, de passage à Volucité pour capturer de nouveaux pokémons et surtout défier le champion local. Fougueuse, sûre d’elle, libre, elle représentait ce que Mirabella aurait voulu être. À part son père, Félicie était la première personne à laquelle la jeune fille tenait vraiment, et son passage éphémère lui froissait le coeur : elle voulait apprendre à la connaître, être à ses côtés, découvrir chaques détails de ses aventures. Mais son père était toujours en train de la surveiller, il l’appelait à la moindre minute de retard, et elle s’occupait désormais du kiosque tous les week-end. Un soir, Félicie est allée cogner à la porte de leur appartement. « Je m’en vais dans trois jours. », elle a agrippé la main de Mira et elles sont parties. Ce fut ses premiers instants de liberté.
À son retour, trois jours plus tard, Mira avait le coeur léger. Même si Félicie était partie, et en sachant que son père serait fou de rage, son bonheur était plus grand que la tristesse ou la peur. Mais en entrant dans l’appartement, l’air était lourd et froid. Son père travaillait à ses figurines, l’air sévère, il ne leva pas même les yeux vers elle. Un silence pesant. Pourquoi ne disait-il rien? La jeune femme resta immobile pendant ce qui lui sembla être de longues minutes. Il n’y avait que le son du couteau qui sculptait le bois. « Où est Abo? ». Sa voix tremblotait, comme une prémonition. « Il est parti. J’imagine qu’il voulait te chercher. » Ces mots eurent l’effet d’une lame glacée dans sa poitrine, elle en eut le souffle coupé. Accroupie sur elle-même, elle avait envie de hurler, mais aucun son ne pouvait sortir.
Elle l’a cherché pendant des jours, dans tous les recoins de la ville, mais elle ne le retrouva jamais. « Tu l’as vendu! Tu l’as vendu! Pourquoi tu me mens? Il serait revenu! » Ce fut probablement le seul moment de sa vie où Mirabella ressentit une telle rage et un tel désespoir. Son père a nié, mais une autre vérité n’était pas possible. Elle est partie.
Méanville n’était pas plus calme que Volucité, mais l’ambiance était différente, festive. Elle avait un petit boulot au parc d’attraction, et pour la première fois elle avait le loisir de faire ce qu’elle voulait de son temps libre, et avoir une vie sociale. À ses 17 ans, elle rencontra un garçon du nom de Celestius, dont elle tomba amoureuse. Il était magicien (et escroc) au parc d’amusement, pas particulièrement canon mais il avait du charisme et un aura de mystère qui l’attirait. Avec du recul, Mirabella ne saurait dire pourquoi elle l’a aimé, et s’il avait vraiment eu les mêmes sentiments à son égard. Elle ne l’avouera jamais, mais d’une certaine façon il lui rappelait son père. En seulement quelques semaines, il aménagea chez elle, accompagné de son Spectrum, un pokémon au caractère exécrable. Ils ont été en couple pendant cinq longues années, une relation toxique dans laquelle la jeune femme perdit toute liberté et confiance : possessivité, manipulation, aucune stabilité financière ou émotionnelle, et aucun soutient pour ses projets personnels.
C’est en reprenant contact avec son père qu’elle a réalisé à quel point elle était malheureuse. Elle retourne à Volucité et se trouve un petit boulot d’assistante chez une fleuriste et éleveuse de pokémons plante, Sélina. C’est à cette période que se développe sa passion pour les plantes et les poisons, et elle doit une grande partie de ses connaissances à sa patronne et désormais amie. Le reste de ses connaissances, elle les as acquises grâce aux encyclopédies et autres ouvrages scientifiques.
À ses vingt cinq ans, Mirabella quitte enfin Volucité, poussée par Sélina qui sentait qu’elle n’avait plus rien à lui apprendre. C’est elle qui l’a référée au professeur Baobab, qui l’a accueillie à Lumiris et intégrée à son équipe de laboratoire. Cet endroit est devenu son petit coin de paradis, l’occasion pour elle de se concentrer sur ses projets. En plus de son travail à temps partiel au laboratoire, la scientifique possède maintenant son atelier personnel, où elle passe la majorité de son temps libre pour étudier les fleurs et expérimente leurs bienfaits. Le dessin n’a jamais non plus disparu de ses habitudes, vous pourrez trouver quelques unes de ses illustrations « anatomiques » de plantes et pokémons dans divers ouvrages et articles scientifiques.
Le travail prend une grande importance dans la vie de Mira, mais une nouvelle rencontre l’obligera peut-être à revoir ses priorités. Elle a rencontré Liam il y a quelques semaines, son terhal est venu frapper à l’arbre sur lequel elle était appuyée pour dessiner, la faisant sursauter. Pas particulièrement réceptive, surtout en pleine séance de travail, quelque chose en lui a capté son attention. Il est l’une des rares personnes qui arrive vraiment à la faire rire et la détendre, mais son plus grand talent reste néanmoins celui de la charmer et l’exaspérer en même temps (avec ses blagues pourries). Cependant, le plus difficile reste à venir : Mirabella reste profondément marquée par sa relation précédente et le comportement de son père, percer sa coquille ne sera pas une tâche aisée.
Elle n’était pourtant pas isolée, issue d’une ville fortement peuplée. Des gens austères, sérieux, pressés, impeccablement vêtus et indiscernables. Comme s’ils sortaient tous d’une même machine.
Entre quatre murs, dans l’un de ces appartements miteux de cette ville de béton, Mirabella vivait avec son père. Seulement son père. Sa mère, c’est comme si elle n’avait jamais existé. Ni en photos, ni en souvenirs, ni en mots. « Elle est morte » qu’il lui a dit, mais la fillette s’est toujours demandé si elle n’était morte que pour lui.
Elle se sentait emprisonnée.
Ils possédaient peu, donc il faisaient peu. De son temps libre, elle n’avait que du papier et des crayons pour s’occuper, plus rarement elle pouvait regarder la télé. Mais son père était habile de ses mains, il lui a construit des jouets jusqu’à ce qu’elle soit trop âgée pour ces babioles. Le temps libre était toutefois une denrée rare : les jours de la semaine, elle allait à l’école et tout de suite après ses cours elle devait rejoindre son père. Avec un kiosque, il se promenait à la place centrale, vendant figurines de bois, bijoux et souvenirs aux touristes. Sa présence était exigée dès qu’elle le pouvait, y compris les week-ends, car cela faisait augmenter les ventes, disait-il. Alors elle restait là, assise à côté du kiosque, à observer tous ces inconnus qui défilaient. Parfois, des jeunes de son âge l’apercevaient et la dévisageaient. À ces moments là, Mirabella avait honte. Heureusement, elle avait le droit de dessiner, c’était son seul échappatoire.
Un homme est venu au kiosque une fois, Mirabella était presque une adolescente. Il voulait une série de petite sculptures en bois pour ses jeunes enfants, mais il avait le portefeuille vide. Il a offert la seule chose qu’il avait en quantité, puisqu’il était dresseur : un pokémon en guise de paiement. Son père a d’abord refusé l’offre, que pourrait-il bien faire de cette créature? Jusqu’à ce qu’il croise le regard de sa fille, et il perçut la tristesse et la déception dans son visage. Mirabella ne disait mot, par expérience elle avait appris à ne rien demander, mais ses émotions transparaissaient dans ses expressions. Son père était peut-être borné et peu à son écoute, mais il aimait sa fille et voulait la voir heureuse C’est ainsi que Abo devint son tout premier pokémon.
Ce pokémon eut un impact considérable sur le quotidien de la jeune fille, il apportait la présence qui lui manquait cruellement, une amitié précieuse. Devenir dresseuse ne l’avait jamais intéressée, et encore moins les combats. Abo n’a donc jamais été entraîné à de telles fins, mais son lien avec la fillette était très fort, ne se quittant presque jamais. Il est également devenu la mascotte du kiosque, et y passait son temps en attendant le retour de Mirabella.
Quelques années plus tard, à ses 16 ans, l’adolescente fit une rencontre qui a tout basculé. Une dresseuse, à peine plus âgée qu’elle, est arrivée dans sa vie comme un rayon de soleil au travers d’un épais manteau de nuages. Félicie qu’elle s’appelait, de passage à Volucité pour capturer de nouveaux pokémons et surtout défier le champion local. Fougueuse, sûre d’elle, libre, elle représentait ce que Mirabella aurait voulu être. À part son père, Félicie était la première personne à laquelle la jeune fille tenait vraiment, et son passage éphémère lui froissait le coeur : elle voulait apprendre à la connaître, être à ses côtés, découvrir chaques détails de ses aventures. Mais son père était toujours en train de la surveiller, il l’appelait à la moindre minute de retard, et elle s’occupait désormais du kiosque tous les week-end. Un soir, Félicie est allée cogner à la porte de leur appartement. « Je m’en vais dans trois jours. », elle a agrippé la main de Mira et elles sont parties. Ce fut ses premiers instants de liberté.
À son retour, trois jours plus tard, Mira avait le coeur léger. Même si Félicie était partie, et en sachant que son père serait fou de rage, son bonheur était plus grand que la tristesse ou la peur. Mais en entrant dans l’appartement, l’air était lourd et froid. Son père travaillait à ses figurines, l’air sévère, il ne leva pas même les yeux vers elle. Un silence pesant. Pourquoi ne disait-il rien? La jeune femme resta immobile pendant ce qui lui sembla être de longues minutes. Il n’y avait que le son du couteau qui sculptait le bois. « Où est Abo? ». Sa voix tremblotait, comme une prémonition. « Il est parti. J’imagine qu’il voulait te chercher. » Ces mots eurent l’effet d’une lame glacée dans sa poitrine, elle en eut le souffle coupé. Accroupie sur elle-même, elle avait envie de hurler, mais aucun son ne pouvait sortir.
Elle l’a cherché pendant des jours, dans tous les recoins de la ville, mais elle ne le retrouva jamais. « Tu l’as vendu! Tu l’as vendu! Pourquoi tu me mens? Il serait revenu! » Ce fut probablement le seul moment de sa vie où Mirabella ressentit une telle rage et un tel désespoir. Son père a nié, mais une autre vérité n’était pas possible. Elle est partie.
Méanville n’était pas plus calme que Volucité, mais l’ambiance était différente, festive. Elle avait un petit boulot au parc d’attraction, et pour la première fois elle avait le loisir de faire ce qu’elle voulait de son temps libre, et avoir une vie sociale. À ses 17 ans, elle rencontra un garçon du nom de Celestius, dont elle tomba amoureuse. Il était magicien (et escroc) au parc d’amusement, pas particulièrement canon mais il avait du charisme et un aura de mystère qui l’attirait. Avec du recul, Mirabella ne saurait dire pourquoi elle l’a aimé, et s’il avait vraiment eu les mêmes sentiments à son égard. Elle ne l’avouera jamais, mais d’une certaine façon il lui rappelait son père. En seulement quelques semaines, il aménagea chez elle, accompagné de son Spectrum, un pokémon au caractère exécrable. Ils ont été en couple pendant cinq longues années, une relation toxique dans laquelle la jeune femme perdit toute liberté et confiance : possessivité, manipulation, aucune stabilité financière ou émotionnelle, et aucun soutient pour ses projets personnels.
C’est en reprenant contact avec son père qu’elle a réalisé à quel point elle était malheureuse. Elle retourne à Volucité et se trouve un petit boulot d’assistante chez une fleuriste et éleveuse de pokémons plante, Sélina. C’est à cette période que se développe sa passion pour les plantes et les poisons, et elle doit une grande partie de ses connaissances à sa patronne et désormais amie. Le reste de ses connaissances, elle les as acquises grâce aux encyclopédies et autres ouvrages scientifiques.
À ses vingt cinq ans, Mirabella quitte enfin Volucité, poussée par Sélina qui sentait qu’elle n’avait plus rien à lui apprendre. C’est elle qui l’a référée au professeur Baobab, qui l’a accueillie à Lumiris et intégrée à son équipe de laboratoire. Cet endroit est devenu son petit coin de paradis, l’occasion pour elle de se concentrer sur ses projets. En plus de son travail à temps partiel au laboratoire, la scientifique possède maintenant son atelier personnel, où elle passe la majorité de son temps libre pour étudier les fleurs et expérimente leurs bienfaits. Le dessin n’a jamais non plus disparu de ses habitudes, vous pourrez trouver quelques unes de ses illustrations « anatomiques » de plantes et pokémons dans divers ouvrages et articles scientifiques.
Le travail prend une grande importance dans la vie de Mira, mais une nouvelle rencontre l’obligera peut-être à revoir ses priorités. Elle a rencontré Liam il y a quelques semaines, son terhal est venu frapper à l’arbre sur lequel elle était appuyée pour dessiner, la faisant sursauter. Pas particulièrement réceptive, surtout en pleine séance de travail, quelque chose en lui a capté son attention. Il est l’une des rares personnes qui arrive vraiment à la faire rire et la détendre, mais son plus grand talent reste néanmoins celui de la charmer et l’exaspérer en même temps (avec ses blagues pourries). Cependant, le plus difficile reste à venir : Mirabella reste profondément marquée par sa relation précédente et le comportement de son père, percer sa coquille ne sera pas une tâche aisée.
Mirabella me convient 28 ans Femme Québec Étudiante
Comment a-tu découvert le forum ? J'le connais depuis longtemps, j'm'y suis jamais inscrite (avant aujourd'hui ofc)Ton pokémon préféré : (First gen en général) Psyduck, Cubone, Raichu, Vileploom, Slowpoke. La tronche d'Espurr me fait bien rigoler aussiAs-tu un parrain ? : J'accompagne Liam, mais il est pas un parrain à proprement parlerUn dernier mot ?