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Don't worry, I'm here to help you. - Ft. Hazel
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Don't worry, I'm here to help you



"If you need help, tell me and I come to help you." - Hazel & Charlie
Il y avait quelques jours de cela, Charlie s’était rendu au Refuge pour pokémon à Artiesta. Le directeur l’avait appelé, lui disant qu’il avait une surprise pour elle. Ce fut l’air étonné, déconcerté, qu’elle avait passé le pas de la porte ce jour-là, se dirigeant vers le bureau de son supérieur hiérarchique. Elle se demandait bien ce qu’il avait à lui annoncer ou même à lui donner. Et, bien que ce fut une surprise, cela pouvait se révéler être bon comme mauvais – une mauvaise surprise est si vite arrivée ; on ne s’y attend généralement pas, pourtant elles existent bel et bien –.

La vérité, c’était que la rousse était stressée au possible. Elle avait peur d’avoir fait quelque chose de mal – ou de ne pas avoir fait quelque chose qu’elle aurait dû faire –. Pour rien au monde elle ne voudrait avoir à quitter cette association – il y en avait d’autres, c’était certain, mais elle se plaisait tellement ici –. D’ailleurs, le directeur avait bien remarqué cette angoisse qui pouvait se lire au plus profond de ses pupilles et il avait ri, doucement. Non pas pour se moquer, loin de là. Il ne l’a fit pas attendre plus longtemps et il lui annonça donc la nouvelle : un des bénévoles avait retrouvé un œuf dans un enclos d’un goupix dont s’était longuement occupée Charlie. Et puis tous ensemble, ils s’étaient mis d’accord pour offrir cet œuf à la rousse, qui offrait beaucoup de son temps et de son énergie au Refuge. Toute l’anxiété qui avait habité la jeune femme jusque-là s’était échappée d’un coup, laissant place au bonheur et à l’excitation. Bien entendu, elle avait accepté et avait ensuite été remercié tous les bénévoles présents ce jour-là au Refuge. C’était une nouvelle aventure qui commençait.

Elle avait lu beaucoup de choses concernant les œufs pokémons – elle n’en avait jamais eu, il avait donc fallu qu’elle se renseigne sur le sujet –. Elle avait lu qu’il fallait bien s’en occuper ; ce qu’elle fit. Tous les jours, elle lui parlait – on aurait pu la croire folle –, elle le chouchoutait en le nettoyant, l’installait confortablement dans une petite couverture bien douce et bien chaude. Et, quand elle avait du temps, elle le prenait avec elle et allait se promener, histoire de lui faire prendre un peu l’air aussi. Elle avait tellement hâte de voir le petit pokémon qui allait en sortir.

En ce jour plutôt frais et nuageux, Charlie, n’ayant rien à faire – chose extraordinaire – avait décidé d’aller se promener un peu dans Artiesta, avant de se préparer pour aller exercer son métier de barmaid. Elle s’était couverte correctement, et avait même emballé sont petit œuf dans une écharpe. Héllébore et Cosmos à ses côtés, la jeune femme se promenait, admirant les lumières installées dans les rues à l’occasion des fêtes de fin d’année. C’était un spectacle dont elle ne se lassait pas. Si ça ne tenait qu’à elle, elle resterait bien des heures et des heures à contempler les devantures des magasins, les guirlandes pendant au-dessus de sa tête, ainsi qu’à écouter les doux airs de Noël joués dans certaines rues. Malheureusement, elle n’avait pas assez de temps pour ça – pour son plus grand malheur –.

Soudainement se mirent à tomber de milliers de petits cristaux blancs, venant recouvrir les trottoirs et les routes. Oui, c’était réellement la magie des fêtes de fin d’année. Les yeux pétillants, Charlie se mit à tournoyer tout en portant son œuf à bout de bras, un large sourire sur le visage. Elle semblait épanouie, vraiment, dans ce décor digne d’un véritable film de Noël. Son farfuret la regardait d’un air totalement désespéré, tandis que le Kungfouine se mit à l’imiter. Des passants s’arrêtaient, ils souriaient, certains firent de même que la rousse. Les rires, la joie, c’était tout ce que la rousse voulait transmettre.

Après ses quelques arabesques disgracieuses, elle se remit en route, tout en riant toute seule. Elle serra un peu plus fort son œuf contre son torse, et soupira, comblée. « Vous avez vu comme c’est magnifique ! Il faudrait que ce soit Noël toute l’année en vérité ! » Avait-elle lancé à ses pokémon. Cosmos acquiesça, Héllébore ne dit rien. Il continuait plutôt de fixer l’œuf que tenait Charlie, avec ce regard noir, comme il le faisait depuis que la jeune femme l’avait ramené à son domicile. Elle arqua un sourcil avant de plisser les yeux, essayant – en vain – d’adopter un air sérieux. Mais rien n’y fit : le farfuret continuait de regarder l’objet de sa rancœur comme s’il allait le déguster – chose que n’aimait pas Charlie ; du regard, elle lui fit bien comprendre qu’un moindre faux pas et elle le ferait rentrer dans sa pokéball –.

Tandis qu’elle continuait sa petite marche, une scène pour le moins peu ordinaire attira son attention. Un homme qui discutait avec une jolie jeune femme. Pourtant, cela ne semblait pas être une conversation des plus plaisante. L’homme semblait être… lourd ? Insistant ? Que pouvait-il bien lui vouloir ? Charlie s’arrêta, fixant la scène. Quelque chose n’allait pas. Quelque chose clochait. Elle devait intervenir. Elle ne pouvait pas la laisser cette jeune femme se faire embêter par ce type qui semblait louche. Sans plus attendre, elle confia son œuf à Cosmos, lui demandant de faire très attention – sur ce coup, elle lui faisait plus confiance qu’à son farfuret –, puis elle se dirigea vers les deux individus. Inspirant un bon coup, bombant légèrement le torse, elle s’arrêta à côté de la jeune femme, son regard ambré devenu noir se plantant sur l’homme en face d’elles.

« Excusez-moi mais je vous prierais de la laisser tranquille s’il vous plait. Et, si vous refusez, vous aurez affaire à moi, c’est pigé ? » Avait-elle lancé d’un ton sec et assuré. Elle replaça une mèche de cheveux derrière son oreille, et se craqua les doigts.

Si elle devait se battre, il n’y avait pas de soucis.
Elle aimait ça.
Et elle avait bien envie de prouver à ce machos de qu’elle bois elle pouvait se chauffer.
#iwhae pour epicode
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charlie
hazel

you can't hide anymore

Prenez une carte.
Placez tous les points par lesquels tu passais.
Vous aurez un pattern qui n’a strictement aucun sens.
Tu t’habitues à ta vie de nomade et l’apprécies même tout particulièrement ; les heures de trajet ne te font plus vraiment peur. Plus ça va, et plus rester immobile t’effraie bien plus, à dire vrai. Toi qui vivait en ermite a besoin de mouvement, te vider la tête en l’emplissant d’images, de sensations, de souvenirs. T’étais vide de souvenirs, pleine de cauchemars, et voilà que tu les exorcises, les enterres sous les rires, les couleurs, ta nouvelle vie.
C’est extraordinaire. C’est délicieux.
Tu n’es pas encore spécialement à l’aise avec les gens, mais parfois, tu fais des efforts. Et tu y arrives ! Tout ça te rendrait presque optimiste (tu vas peut-être te (re)construire, finalement ?)… mais malheureusement, non, ta peur des gens n’a pas disparue
et fondamentalement, elle n’allait pas disparaître tout de suite.
L’œuf offert par ta mère pour noël contre ta hanche, tu débarques à Artiesta avec plein de motivation. Ta génitrice, justement, bosse ici pour la semaine, et tu as envie de passer la voir ; t’as pas arrêté de bouger à droite à gauche, donc, et tu n’as plus profité d’un moment avec elle depuis… deux semaines, trois ? Wow ! Vous vous croisez plus qu’autre chose dernièrement, quand vous ne vous voyez carrément pas de la semaine…
C’est tellement… étrange pour toi. T’es censée être un mollusque, un parasite qui ne vit qu’aux dépends de sa génitrice, et voilà que tu arrives à passer plus de vingt quatre heures sans elle. C’est pas désagréable dans le fond, mais elle te manque. Emotionnellement parlant, même une team aimante ne remplace pas une maman -ou du moins, pas la tienne.
Tu sais dans quel quartier se trouve son hôtel, mais tu ne sais pas vraiment où elle se situe actuellement. Tu lui envoies un message, prétextant prévoir un appel en visio-conférence pour savoir quand elle rentrera, puis te mets à te balader un peu. Pas spécialement à l’aise à l’idée de te balader avec un œuf sans pokémon à tes côtés, tu sors Pô de sa pokéball. Il joue les gros muscles et tu te retiens d’en rire, histoire de ne pas trop le vexer…
Enfin. Pô n’aura finalement pas servi à dissuader un gros lourd de venir t’emmerder.
Tu te figes instantanément. Ton pokémon s’interpose et il le regarde de haut avant de lui-même sortir une pokéball de sa poche. Un instant, tu flippes ; il va vraiment t’attaquer, alors ? Mais pourquoi ???
Allez miss, on a pas besoin de s’battre. On peut juste aller boire un verre, tu verras, j’suis un type sympa !
Dit-il en te menaçant, hein… Tu recules d’un pas et t’apprêtes à lui sortir toutes les insultes du monde, potentiellement lui taper sur la gueule et dégainer toutes ta team (de niveaux 5)(et 20) quand une silhouette, fluide et agile, s’interpose entre vous deux.
Tu recules de carrément un mètre.
Excusez-moi mais je vous prierais de la laisser tranquille s’il vous plait. Et, si vous refusez, vous aurez affaire à moi, c’est pigé ?
…De quoi elle se mêle ??
…T’aimerais bien penser ça. Mais tout ce qui te traverse l’esprit, c’est « y a vraiment des gens qui s’interposent, dans la vraie vie ? ». T’es bien plus habituée aux gens sourds et aveugles, qui détournent consciencieusement le visage voire encouragent d’une façon ou d’une autre à ta maltraitance. Tu connais bien plus la lâcheté et la haine que le courage des autres (et comment, alors, te reprocher son absence chez toi ?).
Pô se met à côté de l’inconnue et l’imite, tentant de craquer ses… doigts ? Également. C’est surréaliste.
Wow t’as rien à foutre là meuf, dégage. Sauf si t’es jalouse hein… ça s’discute.
La façon dont il la reluque (et c’est plus lubrique encore que la façon dont il te regardait) te fout des frissons. Tu connais ce regard et il te terrifie ; tu sais ce qu’il doit penser, ce qu’il doit prévoir. Ça te tétanise un instant, tu te sens trembler ; tu veux pas-
Il te dégoute autant qu’il t’effraie.
Sauf que cette fois, ce regard-là n’est pas pour toi. Et pour une raison tout à fait inconnue (sans doute parce qu’elle est intervenue pour t’aider et que maintenant, c’est elle sa proie), tu te glisses à côté d’elle, pokéball de Pixel en main.
On est pas intéressée, fout le camps avant qu’on te casse la gueule.
Ta voix tremble légèrement de colère ; tu fulmines. Pourquoi tant de tarés dans ce genre existent, hein ? Vous n’êtes pas des morceaux de bidoche, qu’ils calment leurs putains d’hormones !
Eeet... on s’calme ! J’vais pas vous faire d’mal, j’veux juste boire un verre ou deux. Vous êtes super mignonnes, j’adore les rousses. On pourrait-
DEGAGE !
Tu le pousses brusquement, ce qui lui déplaît évidemment tout particulièrement, et il t’agrippe le poignet. Tu paniques, tentes de le repousser, luttes pour ne pas tout taper (t’as pas envie d’abîmer l’œuf… ou l’autre rouquine) ; pas encore, s’il vous plaît, pas encore.
  • GO BEBE... BEBECAILLE Angry !
  • Hazel parle en salmon ~
  • le fdp parle en Darkseagreen *winkwink*
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