Hazel Hilton
Feat Futaba Sakura de Persona 5
18 ans 13 / 04La Frescale (Kalos) femmeofficiellement chômeuse météores
Défautsanxieuseviolenteassociable
Qualitéssurdouéecurieusebienveillante
Défautsanxieuseviolenteassociable
Description
Oui maman, je vais essayer.
Mais tu n'essaies pas vraiment. C'est cet écho que tu entends, si souvent (trop souvent), qui te ronge les tripes et humidifie tes yeux. Tu aimerais bien essayer ; essayer de ne plus être toi, d'être quelqu'un d'autre. Tout est bon pour que ça se taise
pour que ça cesse
(des fois t'aimerais crever ; mais, ah, t'as trop peur pour ça. et puis, tu veux pas vraiment mourir, non plus ; t'es juste
tellement paumée).
T'es ni suicidaire, ni malade. Promis maman, tu es juste un peu abîmée, un peu fêlée -effrayée de tout ce qui se casse à ton contact.
Tu es destructive, corrosive ; tes mots brûlent ta langue et t'arraches le souffle. Tu es violence, de ces boucliers de verre brisé qui coupent si profondément ceux qui s'approchent -mécanisme d'autodéfense qui t'a défigurée. Tu es de ces mauvaises personnes dit-on, ces petites pestes quand l'on reste polis.
T'es qu'une môme, une môme qui traîne des problèmes qui ne sont même pas les siens, une môme qui s'est brisée encore enfant ; et face à qui l'on s'étonne, quand ton regard devient perçant, tes mots brûlants, tes gestes violents.
Tu t'isoles, derrière les pixels d'un monde imaginaire, hyperactive qui s'agite sans cesse et joue avec la matière -créer, détruire, reconstruire. Derrière un ordinateur ou sur un atelier -qu'importe, tant que ton imagination peut t'échapper
(le mieux reste derrière du papier, des crayons et milles et unes couleurs ; des mirages qui défilent sur internet sans que l'on puisse t'y associer, toi monstre à la cage thoracique que l'on dit vide -à la tête trop pleine)
Tu es pourtant si douce, si bonne, petite commette.
Maman veut que tu essaies, mais c'est pas grave si tu n'y arrives pas.
Tu t'es cassée, ce sera difficile de recoller les morceaux, pas vrai ? Alors en attendant, tu es Janus ; au visage de poupée au doux sourire derrière son écran, à la parole fruitée et que l'on aime si fort. Si fort, quand l'on ne te connaît pas en vrai
(parce qu'à ne point douter dirait ta mère, ce soleil est le vrai toi).
EN D'AUTRES TERMES ;; anxiété sociale ; elle flippe des autres et réagit mal, devient violente verbalement alors qu'au fond c'est une sweetheart ; elle culpabilise pendant 3h après avoir parlé avec qui que ce soit ; sauf sa mère ; vit de ses œuvres diverses et de ses hacks ; adore dessiner les pokemons ; à ce stade c'est une passion à part entière ; bricoleuse dans l'âme ; a démonté et remonté la moitié des appareils électroniques à la maison ; l'autre moitié, sa mère l'a planquée ; essaie sincèrement de changer ; mais pour l'instant c'est un échec ; et elle se renferme un peu plus à chaque fois ; complètement myope ; peut pas s'empêcher d'être détestable irl ; limite sweetheart et miss sunshine ivl ; très, TRÈS maladroite socialement ; quand elle se sent en danger, tape plus vite que l'éclair ; malheureusement, elle se sent... facilement en danger ; n'a aucun rêve ni ambition dans la vie ; creuse
Pixel
riolumâlePixel, c'est un doudou. Ou plus précisément, le doudou de Hazel. Il est généralement calme (et ronchon), mais c'est une vraie peluche quand Hazel en a besoin -soit 95% du temps environ. D'un naturel protecteur, il n'en est pas moins encore relativement jeune. Il a un léger complexe sur sa force, faible pour le moment.
Histoire
Pardon papa, pardon maman.
Pardon maman...
"Pardonne-moi", hurles-tu en silence ; une supplique jetée contre les éléments.
"Pardonne moi", parce que tu n'as pas été assez forte -qu'une enfant témoin de la ruine.
Celle à qui l'on colle l'étiquette de malade, comme si la dépression était héréditaire, et toi, vouée à te jeter du haut d'une falaise
(comme ton père).
Tu te répètes, à l'occasion, que toi t'es trop lâche ; et parfois, tu cries que c'est lui qui l'était. Mais tu ne comprends juste pas ; embourbée dans tes souvenirs brisés et ton coeur émietté, tu as oublié de pardonner
(alors que tu le désires tellement, d'être pardonnée).
Pardonnée
pardonnée pour des crimes qui ne sont pas les tiens
pardonnée pour des erreurs que tu n'as jamais commise
pour une hérédité imaginaire
l'hérédité d'un homme malade qui se brisait et brisait les autres avec lui, de ce piètre mortel qui ne voulait pas partir seul (il allait partir, c'était évident).
Pardon maman, tu le dis parfois ; et elle s'excuse, parce que c'était à elle de te sauver ; pas l'inverse. Pas à six ans, petite commette.
Mais dans ce sac de noeud, la vérité s'égare ; et tu ne sais pas bien s'il était monstre ou victime, si les rumeurs étaient vraies (si ton père était un meurtrier)
tu sais juste qu'il était malade, fatigué, d'une vie qui l'avait trop usé
et qu'il avait fini par décidé de se jeter
du haut de sa putain de falaise
(il aurait pu crever seul, au lieu de te faire témoin ; de te faire victime de sa lâcheté quand ton monde s'est écroulé).
Tu te souviens des échos, des cris, des silences ; les regards perçants, les sanglots coupables ; tu te souviens de n'avoir jamais totalement été innocente -fille du malade puis du monstre- ; te souviens que le monde t'avait déjà broyée avant d'avoir pu en profiter.
Tu te souviens, encore, de la phobie scolaire et des chahutages, te souviens de son visage qui te dit je t'aime, écœurement et marques sur les poignets ; te souviens de l'obscurité du placard et d'une voix brisée d'avoir trop crié
te souviens que dans ta putain de vie
seule ta mère était ton foyer.
Et puis l'informatique, le dessin, tes petites mains pour seul refuge ; et un amour trop gros pour toi qui avait si peur des gens (mais les pokémons étaient si doux, eux pouvaient te protéger des autres [de toi-même])
Petite pokéfan qui s'accrochait comme elle pouvait
parce qu'elle flippait de crever
(du haut de cette falaise)
PARCE QUE J'ECRIS CHELOU ;;
son père était maniaco-dépressif ; elle n'a jamais su si c'était vrai, mais il a été accusé de plusieurs homicide ; il a été relaxé, mais les rumeurs ont continué de le présenter comme coupable ; du fait des symptômes de son père, il était soit le père idéal, soit il se désintéressait d'elle ou lui répétait combien il voulait mourir, des heures durant ; il a fini par passer à l'acte, n'en pouvant plus des accusations, sans préméditation, sur un coup d'émotion ; Hazel avait neuf ans et était dans la voiture, ils faisaient une balade ; sa mère voulait déménager mais n'avait pas assez d'argent pour ; Hazel est restée dans son patelin ; victime de harcèlement scolaire ; elle a fini par arrêter l'école tôt et passer les examens en candidate libre ; elle a (très) largement réussi, et ce deux ans en avance ; la mère et la fille ont fini par réussir à déménager (et changer de nom de famille ; l'histoire de son père a été relativement médiatisée) ; dernier déménagement quelques années auparavant, à Lumiris ; Hazel semble aller un peu mieux depuis qu'elle a rencontré (son doudou) Pixel ; c'est le professeur de Kalos qui le lui a confié, après un harcèlement intensif de sa mère ; et qu'elle lui ait rendu service ; à savoir, une commission de son pokemon préféré ; entre pokéfans, ils se sont biens entendus-
Pardon maman...
"Pardonne-moi", hurles-tu en silence ; une supplique jetée contre les éléments.
"Pardonne moi", parce que tu n'as pas été assez forte -qu'une enfant témoin de la ruine.
Celle à qui l'on colle l'étiquette de malade, comme si la dépression était héréditaire, et toi, vouée à te jeter du haut d'une falaise
(comme ton père).
Tu te répètes, à l'occasion, que toi t'es trop lâche ; et parfois, tu cries que c'est lui qui l'était. Mais tu ne comprends juste pas ; embourbée dans tes souvenirs brisés et ton coeur émietté, tu as oublié de pardonner
(alors que tu le désires tellement, d'être pardonnée).
Pardonnée
pardonnée pour des crimes qui ne sont pas les tiens
pardonnée pour des erreurs que tu n'as jamais commise
pour une hérédité imaginaire
l'hérédité d'un homme malade qui se brisait et brisait les autres avec lui, de ce piètre mortel qui ne voulait pas partir seul (il allait partir, c'était évident).
Pardon maman, tu le dis parfois ; et elle s'excuse, parce que c'était à elle de te sauver ; pas l'inverse. Pas à six ans, petite commette.
Mais dans ce sac de noeud, la vérité s'égare ; et tu ne sais pas bien s'il était monstre ou victime, si les rumeurs étaient vraies (si ton père était un meurtrier)
tu sais juste qu'il était malade, fatigué, d'une vie qui l'avait trop usé
et qu'il avait fini par décidé de se jeter
du haut de sa putain de falaise
(il aurait pu crever seul, au lieu de te faire témoin ; de te faire victime de sa lâcheté quand ton monde s'est écroulé).
Tu te souviens des échos, des cris, des silences ; les regards perçants, les sanglots coupables ; tu te souviens de n'avoir jamais totalement été innocente -fille du malade puis du monstre- ; te souviens que le monde t'avait déjà broyée avant d'avoir pu en profiter.
Tu te souviens, encore, de la phobie scolaire et des chahutages, te souviens de son visage qui te dit je t'aime, écœurement et marques sur les poignets ; te souviens de l'obscurité du placard et d'une voix brisée d'avoir trop crié
te souviens que dans ta putain de vie
seule ta mère était ton foyer.
Et puis l'informatique, le dessin, tes petites mains pour seul refuge ; et un amour trop gros pour toi qui avait si peur des gens (mais les pokémons étaient si doux, eux pouvaient te protéger des autres [de toi-même])
Petite pokéfan qui s'accrochait comme elle pouvait
parce qu'elle flippait de crever
(du haut de cette falaise)
PARCE QUE J'ECRIS CHELOU ;;
son père était maniaco-dépressif ; elle n'a jamais su si c'était vrai, mais il a été accusé de plusieurs homicide ; il a été relaxé, mais les rumeurs ont continué de le présenter comme coupable ; du fait des symptômes de son père, il était soit le père idéal, soit il se désintéressait d'elle ou lui répétait combien il voulait mourir, des heures durant ; il a fini par passer à l'acte, n'en pouvant plus des accusations, sans préméditation, sur un coup d'émotion ; Hazel avait neuf ans et était dans la voiture, ils faisaient une balade ; sa mère voulait déménager mais n'avait pas assez d'argent pour ; Hazel est restée dans son patelin ; victime de harcèlement scolaire ; elle a fini par arrêter l'école tôt et passer les examens en candidate libre ; elle a (très) largement réussi, et ce deux ans en avance ; la mère et la fille ont fini par réussir à déménager (et changer de nom de famille ; l'histoire de son père a été relativement médiatisée) ; dernier déménagement quelques années auparavant, à Lumiris ; Hazel semble aller un peu mieux depuis qu'elle a rencontré (son doudou) Pixel ; c'est le professeur de Kalos qui le lui a confié, après un harcèlement intensif de sa mère ; et qu'elle lui ait rendu service ; à savoir, une commission de son pokemon préféré ; entre pokéfans, ils se sont biens entendus-
Morphée | Candide 22 ans femme Var (région PACA) étudiante en droit
Comment a-tu découvert le forum ? ...je cherchais une explication d'un code pour la mise à jour de mon forum. et je suis tombée sur un message d'entraide pour ce forum. best. trouvaille. EVER.Ton pokémon préféré : hmm rayquaza, mimiqui, nymphali, minidraco & lucario, je dirais. (comment ça, UN pokemon ??)As-tu un parrain ? ( Une personne t'ayant montré le Forum?) : nopeUn dernier mot ? vous êtes beaux & je suis faiblesse :sob: