Voilà qu’en ce beau jour, le roux que tu étais se retrouvais dans les rues de nemerya aux alentours des 10h. Pourquoi ? C’était une très bonne question. Mais en réalité, la raison pour laquelle tu te retrouvais dans cette ville, était bien assez simple. Enfin bon, finis le blblbl, un flash-back est beaucoup plus explicatif que le plus grand des discours.
2 Jours avant – à ton lieu de travail
Quand tu n’avais pas pour mission de mettre la main sur un ou des nouveaux sujets d’articles pour le journal. Tu avais pour habitude, de venir de temps en temps t’occuper de la paperasse ou rédiger tes articles sur ton lieu de travail. Assis à ton bureau qui était entourer également de nombreux autres bureaux, tu avais le nez plonger dans les papiers et pourtant, tu trouvais le moyen de laisser trainer tes oreilles un peu partout entre deux papiers. Il est vrai que la curiosité était un vilain défaut, mais en soit pour un journaliste ne pas être curieux pouvait se montrer handicapant. Vous ne pensez pas ?
Collègue femme 1 : « Tiens, tu as entendu la dernière nouvelle… ? »
Collègue femme 2 : « Non, il s’est passé quoi ? »
Collègue femme 1 : « A ce qu’il parait, Thomas compte bientôt se marier avec Jade ! »
Collègue femme 2 : « Hannn~… Qu’elle gâchis qu’il ne soit plus célibataire et qu’il compte s’engager également ! J’aurais bien aimé lui mettre le grappin dessus avant que cela arrive ! »
Collègue femme 1 : « Tu m’étonnes ! Mais bon… ils vont bien ensemble ! J’espère qu’au moins que cela marchera pour eux ! Enfin bon, nous n’avons pas à nous plaindre. Nous possédons pas mal d'employés masculins dans notre secteur ! »
Voilà que sur ces paroles, tes oreilles sifflèrent et ton attention s’intensifia sur la discussion des deux jeunes femmes. Il est vrai que tu n’étais pas très doué en relation amoureuse ou du moins cela n’était pas ce que tu recherches en premier lieu. Mais, comme tout homme savoir ce qu’une femme pensait de toi pouvait bizarrement t’intéresser. Il fallait aussi dire, qu'arriver à l'âge de 21 ans, on arrivait dans ce genre de moment de notre vie où l'envie de profiter des joies de la jeunesse, comme avoir par exemple une petite amie était présent. Enfin bon vu comment tu étais long à la détente sur ce genre de sujet, on n'était pas sortie de l'auberge.
Collègue femme 1 : « Hééééé…fais attention il pourrait t’entendre ! », soupire
Ta collègue marquait un point, enfin bon, tu les entendais depuis le début. Le jeune homme que tu étais attendais de pieds fermes la réponse de ta collègue qui ne semblait pas avoir remarqué que tu écoutais la discussion.
Collégue femme 1 : Sinon pour répondre à ta question ! Ce n’est pas du tout mon type ! Enfin…tu as déjà vu au moins son regard ?! Il me fait plus flipper qu’autre chose ! Rien que d’y penser, j’en ai des frissons !
Pourtant suite à ces paroles voilà que ton amour-propre prit un coup. Finalement, tu te demandais pourquoi avait-il fallu que tu les écoutes ?
Collègue femme 2 : « Héhé…tu n’as pas tort ! Pareil pour moi ! Même si on me donnerait 1 million, j’aurai trop peur qu’il me fasse quelque chose du style me poignarder pendant la nuit ! »
Ces paroles fut alors, l’épée de Damoclès qui t’infligea le coup de grâce, suite à cela le roux que tu étais s’affalait sur son bureau en se demandant bien pourquoi les paroles d’une femme pouvaient être aussi tranchant qu’une lame.
- Vous n’aviez pas besoin d’être aussi franc vous savez…,Pensas-tu tut en faisant mine d’avoir des larmes sur les joues. Pourtant, à peine avais-tu le temps de te morfondre sur ton sort que ton attention se dirigea vers une autre conversation qui cette fois-ci ne te concernait pas et qui comptait sûrement pas dérivé sur toi.
Collègue homme 1 : Hé mec… Tu te rappel de l’article que cloud a pondu pour le journal ! Il stipulait que Nora la championne vol avait remis en place un gars qui l’aurait attouché sexuellement !
Collègue homme 2 : Oué je m’en rappel très bien même ! Quelle question ! Pourquoi ?
Collègue homme 1 : Ben selon certaines rumeurs ! La personne que Nora aurait frappée serait l’une des grosses têtes qui s’occupe du business de l’ombre d’Artiesta.
Collègue homme 2 : Tu es sérieux sûr ce que tu racontes…ça risque de mal finir si ça continue ! On devrait peut-être prévenir non ?
Collégue homme 1 : Humm…je ne sais pas trop, cela reste de rumeurs après tout ! Je ne suis même pas sûr que cela doit être vrai !
FIN du flash-back.
Ahhhh… Et bien voilà la raison pour laquelle tu te trouvais dans cette ville. En ce moment, tu recherchais son appartement ou bien sa maison. Tu avais entendu dire qu’elle vivait ici, mais tu n’avais pas réussi à dégoter son adresse. Pour le coup, la seule solution qui te restait maintenant après être arrivé dans cette ville, était d’appeler cette très chère petite blonde. Sur cette idée, tu ne perdis pas de temps pour aller chercher dans ton portefeuille la carte que la championne t’avait laissé la dernière fois et voilà sans plus tarder, tu tapais son numéro.
Voilà que le téléphone se mettait à sonner dans l’attente que la jeune femme décroche. Tout en attendant une réponse de Nora voilà que tu te mettais à faire une fixette sur ton regard en passant devant une vitrine. Tu ne pouvais t’empêcher de repenser aux paroles de tes collègues, ces paroles t’affectèrent à un point que tu te demandais si ton regard était autant malsain.
Finalement voilà que tu pouvais entendre le téléphone se décrocher. Le stress que tu avais pu emmagasiner avait un peu disparu.
- Allo Nora ? Je te dérange ? Je t’appelais pour prendre de tes nouvelles et pour savoir s’il y avait moyen que je vienne te voir à ton appartement pour parler ou bien qu’on se donne rendez-vous quelque part ? C'est assez important je dois t'avouer !
2 Jours avant – à ton lieu de travail
Quand tu n’avais pas pour mission de mettre la main sur un ou des nouveaux sujets d’articles pour le journal. Tu avais pour habitude, de venir de temps en temps t’occuper de la paperasse ou rédiger tes articles sur ton lieu de travail. Assis à ton bureau qui était entourer également de nombreux autres bureaux, tu avais le nez plonger dans les papiers et pourtant, tu trouvais le moyen de laisser trainer tes oreilles un peu partout entre deux papiers. Il est vrai que la curiosité était un vilain défaut, mais en soit pour un journaliste ne pas être curieux pouvait se montrer handicapant. Vous ne pensez pas ?
Collègue femme 1 : « Tiens, tu as entendu la dernière nouvelle… ? »
Collègue femme 2 : « Non, il s’est passé quoi ? »
Collègue femme 1 : « A ce qu’il parait, Thomas compte bientôt se marier avec Jade ! »
Collègue femme 2 : « Hannn~… Qu’elle gâchis qu’il ne soit plus célibataire et qu’il compte s’engager également ! J’aurais bien aimé lui mettre le grappin dessus avant que cela arrive ! »
Collègue femme 1 : « Tu m’étonnes ! Mais bon… ils vont bien ensemble ! J’espère qu’au moins que cela marchera pour eux ! Enfin bon, nous n’avons pas à nous plaindre. Nous possédons pas mal d'employés masculins dans notre secteur ! »
Voilà que sur ces paroles, tes oreilles sifflèrent et ton attention s’intensifia sur la discussion des deux jeunes femmes. Il est vrai que tu n’étais pas très doué en relation amoureuse ou du moins cela n’était pas ce que tu recherches en premier lieu. Mais, comme tout homme savoir ce qu’une femme pensait de toi pouvait bizarrement t’intéresser. Il fallait aussi dire, qu'arriver à l'âge de 21 ans, on arrivait dans ce genre de moment de notre vie où l'envie de profiter des joies de la jeunesse, comme avoir par exemple une petite amie était présent. Enfin bon vu comment tu étais long à la détente sur ce genre de sujet, on n'était pas sortie de l'auberge.
Collègue femme 1 : « Hééééé…fais attention il pourrait t’entendre ! », soupire
Ta collègue marquait un point, enfin bon, tu les entendais depuis le début. Le jeune homme que tu étais attendais de pieds fermes la réponse de ta collègue qui ne semblait pas avoir remarqué que tu écoutais la discussion.
Collégue femme 1 : Sinon pour répondre à ta question ! Ce n’est pas du tout mon type ! Enfin…tu as déjà vu au moins son regard ?! Il me fait plus flipper qu’autre chose ! Rien que d’y penser, j’en ai des frissons !
Pourtant suite à ces paroles voilà que ton amour-propre prit un coup. Finalement, tu te demandais pourquoi avait-il fallu que tu les écoutes ?
Collègue femme 2 : « Héhé…tu n’as pas tort ! Pareil pour moi ! Même si on me donnerait 1 million, j’aurai trop peur qu’il me fasse quelque chose du style me poignarder pendant la nuit ! »
Ces paroles fut alors, l’épée de Damoclès qui t’infligea le coup de grâce, suite à cela le roux que tu étais s’affalait sur son bureau en se demandant bien pourquoi les paroles d’une femme pouvaient être aussi tranchant qu’une lame.
- Vous n’aviez pas besoin d’être aussi franc vous savez…,Pensas-tu tut en faisant mine d’avoir des larmes sur les joues. Pourtant, à peine avais-tu le temps de te morfondre sur ton sort que ton attention se dirigea vers une autre conversation qui cette fois-ci ne te concernait pas et qui comptait sûrement pas dérivé sur toi.
Collègue homme 1 : Hé mec… Tu te rappel de l’article que cloud a pondu pour le journal ! Il stipulait que Nora la championne vol avait remis en place un gars qui l’aurait attouché sexuellement !
Collègue homme 2 : Oué je m’en rappel très bien même ! Quelle question ! Pourquoi ?
Collègue homme 1 : Ben selon certaines rumeurs ! La personne que Nora aurait frappée serait l’une des grosses têtes qui s’occupe du business de l’ombre d’Artiesta.
Collègue homme 2 : Tu es sérieux sûr ce que tu racontes…ça risque de mal finir si ça continue ! On devrait peut-être prévenir non ?
Collégue homme 1 : Humm…je ne sais pas trop, cela reste de rumeurs après tout ! Je ne suis même pas sûr que cela doit être vrai !
FIN du flash-back.
Ahhhh… Et bien voilà la raison pour laquelle tu te trouvais dans cette ville. En ce moment, tu recherchais son appartement ou bien sa maison. Tu avais entendu dire qu’elle vivait ici, mais tu n’avais pas réussi à dégoter son adresse. Pour le coup, la seule solution qui te restait maintenant après être arrivé dans cette ville, était d’appeler cette très chère petite blonde. Sur cette idée, tu ne perdis pas de temps pour aller chercher dans ton portefeuille la carte que la championne t’avait laissé la dernière fois et voilà sans plus tarder, tu tapais son numéro.
Voilà que le téléphone se mettait à sonner dans l’attente que la jeune femme décroche. Tout en attendant une réponse de Nora voilà que tu te mettais à faire une fixette sur ton regard en passant devant une vitrine. Tu ne pouvais t’empêcher de repenser aux paroles de tes collègues, ces paroles t’affectèrent à un point que tu te demandais si ton regard était autant malsain.
Finalement voilà que tu pouvais entendre le téléphone se décrocher. Le stress que tu avais pu emmagasiner avait un peu disparu.
- Allo Nora ? Je te dérange ? Je t’appelais pour prendre de tes nouvelles et pour savoir s’il y avait moyen que je vienne te voir à ton appartement pour parler ou bien qu’on se donne rendez-vous quelque part ? C'est assez important je dois t'avouer !