Driss Wilheim Protheroe
Feat Keith de Voltron Legendary Defender
25 ans 02-06-20xx Unys Mâle Horticulteur Plé(pul)iade(sar)
DéfautsAigriRoutinierSolitaire
QualitésTravaillantCultivéRationnel
DéfautsAigriRoutinierSolitaire
Description
T’es pas un mauvais comme dans les films.
T’es juste un peu plus sauvage que la moyenne des gens et, ça, c’est un truc que la moyenne des gens a du mal à comprendre. Souvent pointé du doigt comme le sauvage ou l’ermite, tu as cessé de faire le décompte des rumeurs qui doivent circuler à ton sujet… Mais, même si une part de toi soupire à l’idée d’être jugé parce que tu as choisi de vivre différemment, la majorité ton être ne regrette rien, car tu es heureux.
Seul avec ta fille pour seule compagnie, tu as choisi le travail manuel à l’art et c’est une décision que tu ne regrettes pas.
Tu as repris ton existence en mains, tu as fait le ménage dans tes priorités et tu as choisi une vie qui convient à l’avenir que tu convoites. Avec les gens, c’est toujours un peu plus compliqué… Ce n’est pas que tu détestes l’Humanité, mais c’est que tu n’as plus envie de la laisser entrer dans ton quotidien. Ta présence et celle de ta fille te suffisent : le reste n’est qu’une source de danger sur laquelle tu n’as pas la moindre emprise.
Ça te fait un peu peur de ne pas pouvoir contrôler quelque chose d'aussi influent.
Tes anciens travers te hantent encore à ce jour et tu n’as pas envie de leur offrir le luxe de reprendre leur emprise sur toi. Alors tu t’es soustrait à tout, sans exception.
Lorsque les clients viennent te voir, ils sont toujours un peu surpris par l’accueil que tu leur réserves : ce regard froid, cette absence de chaleur presque incommodante… Si tes plantes n’étaient pas aussi belles et en santé, tu aurais sans doute mis la clé sous la porte.
Heureusement, tu es un homme acharné et consciencieux dans son travail… Et c’est ce qui t’a sauvé la mise toutes ces années.
Pour toi, il n’est jamais question de tendre une main vers son prochain.
En dehors de Eden, rien ne compte. La misère et le désespoir t’atteignent aussi efficacement qu’une attaque normale sur un type spectre : tu ne ressens rien. On t’a un jour demandé ce que tu ferais si quelqu’un à la rue et perdu venait cogner à ta porte pour te réclamer de l’aide… Tu as répondu que ce n’était pas ton problème. Vivre est le combat de tous et chacun : la guerre des autres n’est pas la tienne.
Malgré tout, tu es un père complètement différent de l’homme que tu laisses percevoir. Avec Eden, les choses sont incomparables : tu es doux, aimant et très à l’écoute… Un peu plus comme tu étais « avant », un peu moins comme ce que tu es « maintenant ».
Personne n’a jamais rien eu à redire sur la manière dont tu prenais soin de ta fille et ce n’est pas pour rien : tu n’es pas désespéré ou désespérant, Driss, tu es seulement apeuré.
Tu crains que les cicatrices du passé ne remontent à la surface et que tu anéantisses ton nouveau ton bonheur comme tu as anéanti le dernier.
Alors maintenant, c’est chacun pour soi.
PHYSIQUE 1m83 x Cheveux noirs mi long x Yeux gris cendrés x Cicatrice couvrant une partie de sa joue gauche, visible notamment lorsqu’il bronze x Garde-robe composée essentiellement de vêtements noirs : t-shirts noirs, vestons noirs, pantalons noirs, chaussures noires, gants noirs x Se permet parfois une petite touche de folie : des éclats de rouge x Ne semble ni très fort, ni très endurant x Visage naturellement très renfermé x
Mimosa
DoudouvetFemelleAvec Mimosa, il y a eu plus d’imposition que d’invitation.
Cela faisait déjà quelques semaines que tu la voyais tournoyer autour des grimpantes et tu as finis par t’intéresser plus sérieusement à elle lorsque tu l’as vu se glisser sous l’épais feuillage d’une de tes pothos afin d’y faire sa sieste de l’après-midi.
Tu as voulu la chasser, lui demander d’aller embêter d’autres plantes que les tiennes… Mais Eden s’est interposé entre elle et toi. Du haut de ses trois ans, la gamine a été plus persuasive que ton désir de dégager l’indésirable.
Maintenant, Mimosa fait partie de votre quotidien. Elle se sent bien à la serre et elle n’hésite pas à aller accueillir les clients lorsqu’ils pénètrent dans l’enceinte du bâtiment… Tu supposes que leur sourire lorsqu’elle se met à tournoyer autour d’eux est un bon signe et qu’elle apporte plus au magasin que ton air de fossoyeur.
Cela faisait déjà quelques semaines que tu la voyais tournoyer autour des grimpantes et tu as finis par t’intéresser plus sérieusement à elle lorsque tu l’as vu se glisser sous l’épais feuillage d’une de tes pothos afin d’y faire sa sieste de l’après-midi.
Tu as voulu la chasser, lui demander d’aller embêter d’autres plantes que les tiennes… Mais Eden s’est interposé entre elle et toi. Du haut de ses trois ans, la gamine a été plus persuasive que ton désir de dégager l’indésirable.
Maintenant, Mimosa fait partie de votre quotidien. Elle se sent bien à la serre et elle n’hésite pas à aller accueillir les clients lorsqu’ils pénètrent dans l’enceinte du bâtiment… Tu supposes que leur sourire lorsqu’elle se met à tournoyer autour d’eux est un bon signe et qu’elle apporte plus au magasin que ton air de fossoyeur.
Histoire
Tu te souviens des étés à la campagne : des jours consacrés à tenter d’atteindre le ciel sur la balançoire que ton grand-père avait construit de son temps libre, des nuits perdues à comparer les étoiles entre elles et des heures passées les deux mains dans la terre, à aider ta grand-mère du mieux que tu le pouvais.
Ce sont les souvenirs les plus clairs que tu conserves de ton enfance. Ce sont ceux qui, quinze ans plus tard, font toujours écho en toi.
Tu viens de loin, Driss. Te souviens-tu de tout ce chemin parcouru ? L’enfant de personne est devenu… Encore plus quelconque que ses parents. Tu es parti de loin pour t’enfoncer encore plus loin. Tu as dépassé les frontières de l’anonymat, tu t’es refermé comme une huitre effrayée et tu as rejeté jusqu’à la lumière du jour. Tu es devenu une part de l’ombre qui grossi en ce monde, un paria insensible à la conquête du ciel et de sa reconnaissance… Tu t’es émancipé de la société comme on s’émancipe d’une famille trop toxique.
Tout a commencé avec une fille. Mais pas n’importe laquelle.
Ce genre de fille que la vie vous grave à même le corps et l’âme et qui rentre dans votre existence comme une tornade pour la quitter avec une partie de votre cœur. Ce genre de fille.
La vie avant Vai’ata était aussi insipide que stérile. Si elle y a apporté autant de lumière que de noirceur, c’est surtout parce qu’elle t’en a donné le sens. Jamais tu ne pourras oublier le chao que vous avez mis au monde et l’immaturité de votre passion l’un pour l’autre… Vai’ata était tout et elle t’a rendu rien.
Tu es Driss Wilheim Protheroe et on pourrait bien parler de ton enfance que l’on n’aurait pas grand-chose à en dire. T’es l’enfant de monsieur « tout le monde » : le gosse qu’on a tous déjà croisé dans une classe, notre quartier ou une activité.
Tu as commencé à jouer de la guitare dès que tu as été capable d’utiliser tes mains autrement que pour marcher, mais ça ne t’a jamais vraiment rendu exceptionnel. À une époque où tout le monde se prétend musicien et où la guitare est l’instrument le plus mainstream qui soit, ça ne t’a pas aidé à tirer ton épingle du lot. Comme quelques centaines de mecs de ton âge, on a décrété que tu grattais les notes pour séduire les filles et, pendant un temps, ça a eu tout l’effet inverse. Il faut croire qu’il existe un monde dans lequel les femmes n’aiment se savoir désirée et convoitée à l’aide de méthodes archaïques...
Tu es né dans ce drôle de monde. Curieusement, jamais il n’a été question de « passion » dans l’esprit des gens. Ni particulièrement bon, ni particulièrement mauvais : tu étais un amateur destiné à le rester.
Jusqu’au jour où tu as rejoint « Injurious Freedom » et où ta vie a un peu changé… Dans le garage dans lequel vous aviez l’habitude de répéter, vous n’étiez personne. Un chanteur, un bassiste, deux guitaristes et un drummer dont la principale activité était d’écrire et composer des chansons dépressives à saveur d’adolescence edgy.
Mais plus disciplinés qu’un général de l’armée de terre, vous vous retrouviez, malgré tout, à chaque semaine afin de parler de votre gloire future et de ce que deviendrait votre vie lorsque « vous auriez réussi ». Y croyais-tu, Driss ?
Pendant des années, vous avez redoublé de patience et fréquenté plus de bars que vos seize à dix-sept ans le permettaient. Vous avez tenté de devenir quelqu’un et ça a fini par payer.
Tu te souviens encore de la première fois où vous avez performé en première partie. C’était un groupe local, moyennement spectaculaire, mais cette première partie vous a ouvert des portes dont vous ne soupçonniez pas même l’existence… Et derrière l’une de ces portes : Vai’ata.
Passion dangereuse, incontrôlable, chaotique.
Le début de votre relation t’a jeté dans un maelström de sentiments et de sensations qui t’ont écorché l’âme et le corps. Près d’elle, tu as perdu le nord… Tu lui as à la fois tout donné et tout pris. Le groupe n’a pas compris.
Tu détenais entre tes doigts la chance inestimable de devenir quelqu’un et, pourtant, tu t’es détourné d’eux. Tes passages aux répétitions étaient devenus rarissimes et ton implication auprès d’Injurious Freedom risible. La certitude d’avoir parcouru le plus gros du chemin t’es montée à la tête. Le petit guitariste sans prétention était en train de devenir une étoile et les efforts n’étaient plus nécessaire à la conquête du ciel.
Grossière erreur.
De tes propres mains, tu as tout détruit : ta relation, ton avenir et ta santé. Dans ta colère, tu as claqué des portes et tu t’es abandonné à la contemplation.
La chute fût rapide.
Aujourd’hui, c’est une époque dont le souvenir te hante. C’était peut-être « trop », trop pour l’enfant « tout le monde ». Après tout, « tout le monde » n’a pas les épaules pour ce genre de vie dont la pression surpasse parfois l’entendement.
Au final, tu as multiplié les conneries jusqu’à ce qu’elles aient raison de toi.
Le jour où Vai’ata est partie et où le groupe t’a tourné le dos, tu as cru que c’en était fini de ton existence… T’as pensé à t’enfoncer, à te détruire plus que tu ne l’avais déjà fait. Tu t’es demandé si c’était possible, s’il y avait un moyen de te foutre définitivement en l’air.
Sauf que la vie ne t’a pas offert cette chance. Le fantôme de ton adultère est revenu avec le fruit de ta trahison : un enfant.
Eden.
Aujourd’hui, tu as quitté Unys pour t’installer à Lumiris afin de refaire ta vie avec ta prunelle. Entre toi et Eden, il n’y a pas de place pour une troisième personne.
Il n’a jamais été question d’amour ou chaleur humaine après le départ de Vai’ata… Tu as décidé d’élever ta fille seul, de devenir le père qu’elle devait avoir à défaut d’avoir une véritable mère et c’est le seul objectif auquel tu consacres ta vie.
Depuis trois ans, tu as coupé les ponts avec la société.
Tu as acheté un terrain non loin de Kishika et tu y as construit ta serre, ton jardin : ton nouveau gagne-pain. L’argent des tournées, tu l’as sacrifié dans la construction de ton mobile-home et dans l’autosuffisance.
Vous ne connaissez pas la richesse, mais quelle importance ça a ? Pendant toute l’année, tu fais pousser des plantes et, plus modestement, des légumes que tu revends lorsque tes récoltes surpassent tes besoins.
Plus récemment, un doudouvet, Mimosa, s’est pris d’affection pour les végétaux que tu fais pousser. Tu as pensé le chasser, mais Eden a semblé l’aimer. Tu l’as accepté.
Personne ne te connait. Personne n’a envie de te connaître.
Ta relation avec l’Homme au sens large est aussi hostile que facultative… Mais au fond, n’est-ce pas un peu de peur que l’on discerne parfois au cœur de cette amertume ?
Ce sont les souvenirs les plus clairs que tu conserves de ton enfance. Ce sont ceux qui, quinze ans plus tard, font toujours écho en toi.
Tu viens de loin, Driss. Te souviens-tu de tout ce chemin parcouru ? L’enfant de personne est devenu… Encore plus quelconque que ses parents. Tu es parti de loin pour t’enfoncer encore plus loin. Tu as dépassé les frontières de l’anonymat, tu t’es refermé comme une huitre effrayée et tu as rejeté jusqu’à la lumière du jour. Tu es devenu une part de l’ombre qui grossi en ce monde, un paria insensible à la conquête du ciel et de sa reconnaissance… Tu t’es émancipé de la société comme on s’émancipe d’une famille trop toxique.
Tout a commencé avec une fille. Mais pas n’importe laquelle.
Ce genre de fille que la vie vous grave à même le corps et l’âme et qui rentre dans votre existence comme une tornade pour la quitter avec une partie de votre cœur. Ce genre de fille.
La vie avant Vai’ata était aussi insipide que stérile. Si elle y a apporté autant de lumière que de noirceur, c’est surtout parce qu’elle t’en a donné le sens. Jamais tu ne pourras oublier le chao que vous avez mis au monde et l’immaturité de votre passion l’un pour l’autre… Vai’ata était tout et elle t’a rendu rien.
Tu es Driss Wilheim Protheroe et on pourrait bien parler de ton enfance que l’on n’aurait pas grand-chose à en dire. T’es l’enfant de monsieur « tout le monde » : le gosse qu’on a tous déjà croisé dans une classe, notre quartier ou une activité.
Tu as commencé à jouer de la guitare dès que tu as été capable d’utiliser tes mains autrement que pour marcher, mais ça ne t’a jamais vraiment rendu exceptionnel. À une époque où tout le monde se prétend musicien et où la guitare est l’instrument le plus mainstream qui soit, ça ne t’a pas aidé à tirer ton épingle du lot. Comme quelques centaines de mecs de ton âge, on a décrété que tu grattais les notes pour séduire les filles et, pendant un temps, ça a eu tout l’effet inverse. Il faut croire qu’il existe un monde dans lequel les femmes n’aiment se savoir désirée et convoitée à l’aide de méthodes archaïques...
Tu es né dans ce drôle de monde. Curieusement, jamais il n’a été question de « passion » dans l’esprit des gens. Ni particulièrement bon, ni particulièrement mauvais : tu étais un amateur destiné à le rester.
Jusqu’au jour où tu as rejoint « Injurious Freedom » et où ta vie a un peu changé… Dans le garage dans lequel vous aviez l’habitude de répéter, vous n’étiez personne. Un chanteur, un bassiste, deux guitaristes et un drummer dont la principale activité était d’écrire et composer des chansons dépressives à saveur d’adolescence edgy.
Mais plus disciplinés qu’un général de l’armée de terre, vous vous retrouviez, malgré tout, à chaque semaine afin de parler de votre gloire future et de ce que deviendrait votre vie lorsque « vous auriez réussi ». Y croyais-tu, Driss ?
Pendant des années, vous avez redoublé de patience et fréquenté plus de bars que vos seize à dix-sept ans le permettaient. Vous avez tenté de devenir quelqu’un et ça a fini par payer.
Tu te souviens encore de la première fois où vous avez performé en première partie. C’était un groupe local, moyennement spectaculaire, mais cette première partie vous a ouvert des portes dont vous ne soupçonniez pas même l’existence… Et derrière l’une de ces portes : Vai’ata.
Passion dangereuse, incontrôlable, chaotique.
Le début de votre relation t’a jeté dans un maelström de sentiments et de sensations qui t’ont écorché l’âme et le corps. Près d’elle, tu as perdu le nord… Tu lui as à la fois tout donné et tout pris. Le groupe n’a pas compris.
Tu détenais entre tes doigts la chance inestimable de devenir quelqu’un et, pourtant, tu t’es détourné d’eux. Tes passages aux répétitions étaient devenus rarissimes et ton implication auprès d’Injurious Freedom risible. La certitude d’avoir parcouru le plus gros du chemin t’es montée à la tête. Le petit guitariste sans prétention était en train de devenir une étoile et les efforts n’étaient plus nécessaire à la conquête du ciel.
Grossière erreur.
De tes propres mains, tu as tout détruit : ta relation, ton avenir et ta santé. Dans ta colère, tu as claqué des portes et tu t’es abandonné à la contemplation.
La chute fût rapide.
Aujourd’hui, c’est une époque dont le souvenir te hante. C’était peut-être « trop », trop pour l’enfant « tout le monde ». Après tout, « tout le monde » n’a pas les épaules pour ce genre de vie dont la pression surpasse parfois l’entendement.
Au final, tu as multiplié les conneries jusqu’à ce qu’elles aient raison de toi.
Le jour où Vai’ata est partie et où le groupe t’a tourné le dos, tu as cru que c’en était fini de ton existence… T’as pensé à t’enfoncer, à te détruire plus que tu ne l’avais déjà fait. Tu t’es demandé si c’était possible, s’il y avait un moyen de te foutre définitivement en l’air.
Sauf que la vie ne t’a pas offert cette chance. Le fantôme de ton adultère est revenu avec le fruit de ta trahison : un enfant.
Eden.
Aujourd’hui, tu as quitté Unys pour t’installer à Lumiris afin de refaire ta vie avec ta prunelle. Entre toi et Eden, il n’y a pas de place pour une troisième personne.
Il n’a jamais été question d’amour ou chaleur humaine après le départ de Vai’ata… Tu as décidé d’élever ta fille seul, de devenir le père qu’elle devait avoir à défaut d’avoir une véritable mère et c’est le seul objectif auquel tu consacres ta vie.
Depuis trois ans, tu as coupé les ponts avec la société.
Tu as acheté un terrain non loin de Kishika et tu y as construit ta serre, ton jardin : ton nouveau gagne-pain. L’argent des tournées, tu l’as sacrifié dans la construction de ton mobile-home et dans l’autosuffisance.
Vous ne connaissez pas la richesse, mais quelle importance ça a ? Pendant toute l’année, tu fais pousser des plantes et, plus modestement, des légumes que tu revends lorsque tes récoltes surpassent tes besoins.
Plus récemment, un doudouvet, Mimosa, s’est pris d’affection pour les végétaux que tu fais pousser. Tu as pensé le chasser, mais Eden a semblé l’aimer. Tu l’as accepté.
Personne ne te connait. Personne n’a envie de te connaître.
Ta relation avec l’Homme au sens large est aussi hostile que facultative… Mais au fond, n’est-ce pas un peu de peur que l’on discerne parfois au cœur de cette amertume ?
TakeItEzy 23 ans Who knows ? Montréal Vendeur de jeux vidéo
Comment a-tu découvert le forum ? Long story short... Une amie.Ton pokémon préféré : Milobellus, alwaysAs-tu un parrain ? : Plus maintenant.Un dernier mot ? Allô, faudra encore lire une de mes pres'. Pardon.